Histoires d’enchères

ARISTOPHIL… Première vente test … pour un marché en pleine expectative.

Largement commentée et plutôt très mal par des journalistes en mal de scandales… On aura lu plein d’inepties dans la presse écrite qui ne se nourrit plus que de ce qui peut susciter des esclandres.

La vente qui aurait pu avoir beaucoup de retentissement s’est vue aliénée des deux lots principaux : Sade et Breton. Ces deux lots auraient probablement dynamisé la vente.

Les manuscrits de Breton auraient sans aucun doute atteint la barre des 10 millions d’euros si ce n’est plus. Les vendre à 5 millions est une grande perte pour les petits épargnants ! De même pour Sade…

La première vente s’est déroulée sans encombre comme une vente classique d’autographes. Des prix bas, alors que les semaines précédentes (et futures) les prix étaient plus consolidés.

Des estimations plus ou moins logiques sur certains lots qui ont vu leurs estimations pulvérisées comme pour les documents de Napoléon qui ont atteint des prix tout à fait dans l’ordre des choses.

La conclusion de tout cela est qu’Aristophil avait fait un très bon choix pour les documents et constitué un fonds tout à fait hors normes.

Dans les circonstances actuelles, les prix atteints sont des prix idéaux pour placer de l’argent en toute sérénité, le marché se trouvant nettoyé de tout investisseur ou spéculateur. Donc nous vous conseillons d’investir en vous diversifiant en achetant tous ces trésors qui sont loin d’être ordinaires…

J.E. RAUX

Expert en autographes et manuscrits.

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2 avis sur “Histoires d’enchères

  1. Lataud Eric

    Cher monsieur,
    Je viens de lire votre sujet sur « histoires d’enchères 21 décembre » Etant un des propriétaires de collections AMADEUS acquises auprès d’Aristophil,,ces documents me seront restitués le 22 Janvier par la maison Aguttes qui les détenait car je ne souhaite pas les mettre en vente avant quelques années. Avant de redescendre dans le lot et garonne,j’aimerais avoir une idée,un avis sur la valeur des manuscrits autographes que je possède,sans qu’il s’agisse bien sûr d’une expertise formelle.

    Réponse
    1. Jean-Emmanuel Raux Auteur de la publication

      Bonjour,
      le grand problème dans les ventes Aristophil est qu’il ne faut pas inonder le marché de documents.
      Dans le contexte actuel, il vaut mieux acheter que vendre. Quelque soit le prix vendu par Aristophil à ses clients, aujourd’hui tous les trésors d’Aristophil sont sur le marché à des prix je dirais bradés et sont achetés soit par des marchands, soit par des amateurs opportunistes ou par des institutions qui enrichissent leurs collections.
      Aux prix vendus il y a de très bonnes opportunités à prendre.
      A très bientôt pour vous donner des conseils.
      J.E. RAUX

      Réponse

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