Nos plus beaux documents autographes
4421 autographes de prestige trouvés
Photographie
SCHUBERT FranzReproduction photographique d’un portrait peint. Format cabinet (17 x 11,4 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Pièce autographe signée
[SAPRICHT] — RABANNE PacoPièce autographe signée. Sans date ; 1 page in-4°. Texte écrit pour le portrait de D’A. Sapritch.« Merveilleuse Alice, cette photo traduit toute l’angoisse, toute l’inquiétude devant le temps qui fuit, regard, objets : tout glisse, tout s’estompe dans le mouvement, Bruno de Monès dans cet instantané fixe l’impossible : cette fuite du temps. »
Lettres autographes signées
CALAMATTA Lina (Mme Maurice Sand)Importante correspondance adressée à Félix Guy, pasteur de l'Église réformée de Bourges. SAND Maurice (Jean-François Maurice, baron Dudevant, dit) [Paris, 1823 - Nohant, 1889], illustrateur, caricaturiste, marionnettiste, romancier et entomologiste français : Lettre autographe signée. Nohant, 19 mars 1865 ; 2 pages 1/2 in-4°. « Ma mère arrive de Paris et me prie d'ajourner la consécration de mon mariage et le baptême de mon fils. La destitution de Mr Coquerel fils et la tendance rétrograde d'une partie de l'église protestante de Paris lui font désirer que pèse de nouveau ma résolution. En la prenant cette résolution, j'ai été gagné et convaincu par le mouvement du progrès qui s'opérait dans le sein du protestantisme et dont divers écrits remarquables m'avaient semblé être l'expression acceptée ou tolérée tout au moins par l'église entière. Ma position n'est pas une position tout à fait ordinaire. Ma mère est solidaire jusqu'à un certain point de mes actes par la raison que nous avons toujours vécu d'accord sur nos convictions. Elle pense comme moi qu'il faut élever un enfant dans des idées religieuses parfaitement sincères et ne pas lui en donner qu'on ne partage pas. Nous voulons ma femme et moi pouvoir dire à nos enfants tout ce que vous enseigne votre pasteur est vrai, nous le croyons, nous le partageons. Nous savons que vous êtes un esprit avancé et un caractère loyal, que par conséquent, vous ne nous demandez pas des croyances imposées, puisque la liberté de l'esprit devant la lettre est le principe fondamental de la réforme. Mais si l'esprit de l'autorité catholique s'introduit et triomphe dans l'église protestante, si le pasteur qui nous bénira doit être persécuté pour nous avoir autorisé à croire ce que nous croyons, nous devons y regarder à deux fois. Ma mère est trop en vue, trop haïe par les catholiques, ses moindres actes et par conséquent les miens seront trop discutés et commentés pour que nus ne soyons pas obligés de nous expliquer publiquement sur les motifs de mon abjuration. Il ne faut pas qu'on puisse nous répondre que nous ne sommes plus catholiques et que nous ne sommes pas protestants, que le pasteur qui nous a acceptés dans croyance à l'enfer et à la divinité de Jésus-Christ est un hérétique dans l'hérésie et mérite d'être destitué. Voilà, Monsieur, les réflexions que ma mère m'a engagé à vous soumettre afin que vous ne soyez pas compromis sans l'avoir prévu et accepté, par l'inévitable retentissement que doit avoir ma détermination. » CALAMATTA Lina (Mme Maurice Sand) [1842 - 1901], fille du célèbre graveur, elle épousa Maurice Sand en 1862 : Ensemble de 8 lettres autographes signées, adressées au pasteur Guy : Nohant, [Décembre 1867] ; 1 page 1/2 in-12. « Mon mari me charge de vous répondre en son nom à la lettre que vous avez bien voulu lui adresser. C'est avec le plus grand plaisir que nous vous verrons parmi nous, et nous désirions beaucoup qu'une occasion nous vint à même de faire connaissance avec vous. » Nohant, 22 septembre 1868 ; 1 page 1/2 in-8°. « Nous sommes forcés de remettre le baptême de nos fillettes au mois de décembre. Nous ne pourrons réunir les parrains et les marraines qu'à cette époque là. Nous vous récrirons donc aussitôt que nous aurons à peu près fixé la date de cette réunion, si pourtant vous voyiez dès à présent que vous ne pourriez pas vous absenter vers le 15 octobre, nous vous serions obligés de nous l'écrire de suite. » Nohant, 28 octobre 1868 ; 2 pages in-12. « Votre lettre nous a fait très grand plaisir, nous vous récrivons donc quelques jours avant celui qui sera fixé pour vous en prévenir. Veuillez s'il vous plaît me dire s'il faut une procuration de la marraine de Gabriele qui ne pourra pas venir et quelle en est la formule. » Nohant, 23 novembre 1868 ; 2 pages in-8°. « Nous ne voulons pas renoncer encore au plaisir de vous avoir parmi nous. Malheureusement il nous est impossible de fixer l'époque du baptême avant le 14, 15 ou 16 décembre, mais ne pourrez vous pas venir à Nohant quand bien même vous ne seriez pas à Bourges à ce moment là ? Ne pourriez-vous prendre deux ou trois jours de congé n'importe où vous serez ? Il est bien entendu que les frais de votre déplacement seraient à notre charge. » Nohant, 20 décembre 1868 ; 2 pages in-12. « J'espère que vous avez fait bon voyage et que vous avez retrouvé tout votre monde en bonne santé. Nous vous remercions encore une fois d'avoir bien voulu vous déplacer pour le baptême de nos fillettes. Puisque vous avez bien voulu vous charger de tâcher de nous retrouver à Rochefort les numéros de la Revue des Deux Mondes qui nous manquent, ou du moins une partie de ces numéros, je vous en envoie la liste tout en vous remerciant à l'avance de la peine que vous voudrez bien prendre. » « Nohant, le 17 janvier » ; 2 pages in-12. « Je vous écrit deux mots seulement pour vous dire que notre mère, étant à Paris encore pour quelques jours, nous lui avons écrit pour la prévenir et savoir le jour précis de son retour afin de nous faire savoir l'époque nous aurons choisie. Nous l'attendons à la fin de cette semaine. Ce sera donc probablement pour la semaine prochaine. » On joint un ensemble d'enveloppes et de cartes de visites. On joint l'acte de baptême d'Aurore et Gabrielle Sand, signé par le pasteur, les parents et les parrains et marraines : George Sand et le Prince Napoléon pour Aurore, Oscar et Herminie Cazamajou, pour Gabrielle. Avec un extrait de baptême pour Gabrielle.
Intéressant ensemble de documents sur le mémorialiste.
[SAINT-SIMON Louis de Rouvroy, duc de]Intéressant ensemble de documents sur le mémorialiste.— Lettre manuscrite signée du duc de Choiseul (ministre des affaires étrangères de Louis XV). 21 décembre 1760 ; 1 page in-4°, légères piqûres au début. « Les manuscrits, Monsieur, trouvés au deceds de M. de St Simon ont été renfermés, lors de la levée des scellés, dans plusieurs grandes caisses et laissés en depot au S. de La Leu notaire. Comme ils concernent les affaires du Roy […] vous vous concerterez avec M. Boudot Procureur au Chatelet pour l’exécution de cet ordre, sois pour le temps sois pour le nombre de voitures nécessaires pour les transporter » — Copie (d’époque) de la lettre du notaire du Chatelet de Paris, signée. 21 décembre 1760 ; 1 page in-4°.Ordre « que sur la simple représentation du présent ordre et nonobstant toutes oppositions faites ou à faire […] les clefs des dites caisses (des manuscrits) seront remis au Sieur le Dran premier commis du dépôt des affaires étrangères et ce sur la simple reconnaissance qu’il en donnera […]. Fait à Versailles le 21 décembre 1760 signé Louis et plus bas le Duc de Choiseul . Je soussigné que Monsieur le Dran m’a remis l’original de l’ordre du Roi dont copie cy-dessus avec sa reconnaissance de l’exécution du dit ordre de ma part. A Paris le 22 décembre 1760 » signature Delaleu (?).On joint :— la copie (d’époque) non signée d’une petite lettre (28 juin 1788 ; 1 page in-8°) adressée à Madame la comtesse de Saint-Simon déboutant celle-ci de la propriété des manuscrits des Mémoires du Duc de Saint-Simon. — Arrêt du conseil d’état du roi qui ordonne la suppression des trente premiers volumes de l’ouvrage ayant pour titre : Œuvres complètes de Voltaire : de l’imprimerie de la société littéraire typographique, 1784. Paris, Imp. Royale, 1785, 3 pages in-4°. — Arrêt du conseil d’Etat du roi, qui supprime l’ouvrage intitulé, Lettre du comte de Mirabeau, sur l’administration de M. Necker. Du 6 juin 1787. Paris, Imp. Royale, 1787, 2 pages in-4°.
4 pièces
ROSTAND JeanEnsemble de 4 pièces de Jean Rostand, dont 3 lettres autographes signées, au sujet de ses droits sur les oeuvres de son père Edmond Rostand. 1930-1950 ; 4 pièces in-4°.- 23 septembre 1930. Lettre dactylographiée d’Antonio Berumen Sein, avocat mexicain, adressée à l’éditeur Eugène Fasquelle, au sujet d’une traduction en espagnol : « La Princesa Lejana », du 18 août 1930. Jean Rostand charge en quelques ligne son destinataire [Monsieur Arnaud ?] d’y donner les suites convenables.- Ville d’Avray, 15 décembre 1945 : « Je m’empresse de vous retourner le contrat relatif à l’adaptation cinématographique en langue anglais de Cyrano de Bergerac ».- Ville d’Avray, 16 mai 1950 : « Je m’empresse de vous retourner après l’avoir signé, le reçu de la somme [...] ma part dans les bénéfices des tournées de l’Aiglon (1948-1949) [...] ».- Sans date : « Je suis profondément touché par tout ce que vous me dites de beaucoup trop indulgent sur mon livre. Merci de tout mon cœur. Je vous retourne ci-inclus les contrats pour La Princesse Lointaine ».
Ensemble de 3 lettres de Madame Veuve Edgar Quinet
[QUINET Edgar].Ensemble de 3 lettres de Madame Veuve Edgar Quinet, adressée à sa « Chère Adah ».Correspondance amicale.
Ensemble de 3 lettres de Madame Veuve Edgar Quinet
[QUINET Edgar].Ensemble de 3 lettres de Madame Veuve Edgar Quinet, adressée à sa « Chère Adah ».Correspondance amicale.
Lithographie
POUSSIN NicolasPortrait du peintreLithographie du XIXe sur papier bleu d’après le portrait de Girodet gravé par Sudre.24,5 X 17,8 cm
Lithographie
POUSSIN NicolasPortrait du peintre. Lithographie du XIXe sur papier bleu d’après le portrait de Girodet gravé par Sudre.24,5 x 17,8 cm
Photographie représentant
POINCARÉ RaymondPhotographie en noir et blanc le représentant en buste, de face. Cliché Ad. Braun & Cie, rue de Rivoli. 105 x 160 mm. Très beau cliché.
Photographie représentant
POINCARÉ RaymondPhotographie en noir et blanc le représentant en pied avec la Légion d’honneur. Cliché Félix , boulevard des Italiens à Paris. 160 x 105 mm. Très beau cliché.
Ensemble de lettres autographes signées
[PIE IX].2 lettres autographes signées d’un français nommé « Charles » [Vallès], adressées à sa mère. « Rome, jour de Pâques » [Dimanche 27 mars 1853] ; 4 pages 1/2 in-8°. Intéressantes lettres décrivant le jour de Pâques, à Rome. « J’étais ce matin de bonne heure à Saint- Pierre et j’ai pu me placer parfaitement pour bien voir la cérémonie. Lorsque le Pape a fait son entrée, il a passé tout près de moi ; j’ai pu tout à mon aise contempler cette bonne figure qui respire la douceur et la paix. […] La messe a été célébrée avec toute la pompe et tout l’éclat que nécessite la présence du souverain Pontife. C’était très beau. J’étais fier d’être catholique en voyant les ambassadeurs de toutes les puissances de la Terre entourer de leurs hommages le chef de notre religion. […] À la fin de la messe, le temps mauvais depuis la veille, n’a pas permis de donner la bénédiction à l’extérieur : toute l’armée Française et Romaine qui étaient rangées sur la place ont du ainsi que la foule qui couvrait les abords de St Pierre le regretter beaucoup. […] On a porté le pape au milieu de l’église pour la bénédiction qu’il ne pouvait donner au dehors. Là, au moment ou ce saint vieillard s’est levé entonnant le “Benedicat vos”, son regard inspiré regardant le ciel, ses bras étendus pour bénir ; l’émotion l’a gagné, les larmes coulaient de ses yeux et c’est à peine si sa voix étouffée a pu achever les paroles de la bénédiction. Je m’étais glissé aux pieds du trône et j’ai pu voir ce qui aura échappé à d’autres. » La lettre se poursuit en donnant des détails de sa visite à la basilique.
Ensemble de 3 documents sur-
PICHEGRU Jean CharlesEnsemble de 3 documents datés de 1823, concernant la construction d’un monument en l’honneur de Pichegru à Arbois : état nominatif des officiers de la garnison de Rocroy qui ont participé à la souscription pour l’érection d’un monument et 2 circulaires lithographiées avec en-tête imprimé « Monument du général Pichegru ». Sur l’une figure une réaction manuscrite : « Votre Pichegru était un assassin comme les Georges [Cadoudal], les Polignac, les Lajolais et tant d’autres qu’on comble d’honneurs aujourd’huy. Dieu me garde de jamais rien faire pour la mémoire de gens semblables. »
4 belles photographies
PICASSO Pablo (Pablo Ruiz y Picasso, dit)Ensemble de 4 photographies représentant Pablo Picasso :— 3 photographies représentent Picasso avec Pierre Bertrand, lors d’un repas (tampon du 20 mai 1956, au dos). Sur l’une des photographies, on aperçoit Jean Cocteau. 15 X 10 cm, chaque.— 1 photographie faite à Vallauris le 3 août 1956, représente Picasso entouré de Hélène Parmelin (femme du peintre E. Pignon), Paco Muñoz, Polo et Jacqueline Hutin (dernière femme de Pablo Picasso). 8,5 X 11 cm.
4 belles photographies
PICASSO Pablo (Pablo Ruiz y Picasso, dit)Ensemble de photographies représentant Pablo Picasso :— 3 photographies représentent Picasso avec Pierre Bertrand, lors d’un repas (tampon du 20 mai 1956, au dos). Sur l’une des photographies, on aperçoit Jean Cocteau. 15 X 10 cm, chaque.— 1 photographie faite à Vallauris le 3 août 1956, représente Picasso entouré de Hélène Parmelin (femme du peintre E. Pignon), Paco Muñoz, Polo et Jacqueline Hutin (dernière femme de Pablo Picasso). 8,5 X 11 cm.