Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de 14 manuscrits
MONTESQUIOU Anatole, comte deEnsemble de 14 manuscrits autographes de poésies, toutes dédiées au duc de Montmorency. [1856-1861] ; 56 pages 1/2 in-4° oblongues. Nombreuses ratures et surcharges. Les titres des poèmes sont Les auneurs, Les deux quartiers d’hivers, Visites et retours, Le gland doux, Les nouvelles, Monsieur Hume, un rayon de soleil, etc. Certains sont sans titre. On joint 1 lettre autographe signée du duc de Montmorency (Paris, 2 avril 1838 ; 1 page in-4°).« Les auneursLes magasins de fantaisies,Dans Paris beaucoup trop nombreux,font à leurs pratiques choisiesLes appels parfois malheureux.Par mille procédés sans cesse,S’exerçant dans l’art de tenter,Ils font battre la grosse caisse,Et combinant des Tours d’adresseQu’on ne sais comment éviter »
Ensemble de 14 manuscrits
MONTESQUIOU Anatole, comte deEnsemble de 24 manuscrits autographes (dont un signé) de poésies, toutes dédiées au marquis de Foudras. [1846-1861] ; 104 pages in-4° oblongues. Nombreuses ratures et surcharges. Certaines pièces de vers ont pour titres: Les misères dorées, L’indulgente amitié, Une promenade au jardin du roi, Epitre, L’avenir, Le souvenir, Socrate, La semaine prochaine, Le libre arbitre, Comment il faut voir, Emancipation, Le souvenir, etc. Certains sont sans titre. On joint 1 lettre autographe signée du marquis de Fondras (30 octobre 1865 à Louis de Fondras ; 4 pages in-8°, avec enveloppe timbrée).
Ensemble de 14 manuscrits
MONTESQUIOU Anatole, comte deEnsemble de 24 manuscrits autographes (dont un signé) de poésies, toutes dédiées au marquis de Foudras. [1846-1861] ; 104 pages in-4° oblongues. Nombreuses ratures et surcharges. Certaines pièces de vers ont pour titres: Les misères dorées, L’indulgente amitié, Une promenade au jardin du roi, Epitre, L’avenir, Le souvenir, Socrate, La semaine prochaine, Le libre arbitre, Comment il faut voir, Emancipation, Le souvenir, etc. Certains sont sans titre. On joint 1 lettre autographe signée du marquis de Fondras (30 octobre 1865 à Louis de Fondras ; 4 pages in-8°, avec enveloppe timbrée).
Ensemble de 14 manuscrits
MONTESQUIOU Anatole, comte deEnsemble de 14 manuscrits autographes de poésies, toutes dédiées au duc de Montmorency. [1856-1861] ; 56 pages 1/2 in-4° oblongues. Nombreuses ratures et surcharges. Les titres des poèmes sont Les auneurs, Les deux quartiers d’hivers, Visites et retours, Le gland doux, Les nouvelles, Monsieur Hume, un rayon de soleil, etc. Certains sont sans titre. On joint 1 lettre autographe signée du duc de Montmorency (Paris, 2 avril 1838 ; 1 page in-4°).« Les auneursLes magasins de fantaisies,Dans Paris beaucoup trop nombreux,font à leurs pratiques choisiesLes appels parfois malheureux.Par mille procédés sans cesse,S’exerçant dans l’art de tenter,Ils font battre la grosse caisse,Et combinant des Tours d’adresseQu’on ne sais comment éviter »
Vue de la ville de Montereau.
MONTEREAU.Vue de la ville de Montereau. XIXe siècle ; 155 X 105 mm sur un feuillet de 270 X 185 mm. Gravure en noir et blanc tirée de la France militaire. Jolie vue.
Ensemble de deux lettres :
MONTEIL Parfait-LouisEnsemble de deux lettres : Lettre adressée à un ami ancien militaire. Paris, 1er mars 1916 ; 1 page 1/4 in-8°. « Je sais exactement votre situation militaire mais si vous êtes libéré de toute obligation militaire ou réformé, etc., susceptible en un mot de contracter un engagement spécial pour le service de la guerre, ou si vous voulez bénéficier du paragraphe (A) page 27 je puis vous donner dans les bureaux de la place un emploi au contentieux qui rentrerait dans vos goûts et aptitudes. Je joins un exemplaire du rapport de la place eu sujet des engagements spéciaux. Lettre signée par Monteil et Lucien Millevoye aux ambassadeurs des deux républiques Boers. « Nous avons l'honneur de vous adresser M. de Ktier et M. Cocherie chargés auprès de vous d'une mission spéciale »... On joint une fin de lettre.
Lettre autographe signée
MONTEIL Parfait-LouisLettre autographe signée, adressée au directeur du « Temps ». Herblay, 28 juillet 1897 ; 2 pages in-4°. Il s'insurge contre ce qu'il vient de lire dans le Temps du 18 juillet, et notamment ceci : « Le désastre de la mission Henderson venant après l'échec de la Colonne Monteil » Monteil exprime sa ferme volonté de mettre fin à la « légende calomnieuse accréditée par une certaine presse. » Il affirme que la Colonne de Kong « n'a jamais subi d'échec. Elle a été rappelée en pleine lutte avec une légèreté totale, par un ordre venu de Paris. Quatorze combats victorieux livrés à Samory [Samory Touré (1833-1900)] du 3 au 17 mars 1895 la prise de la base de ravitaillement de l'ennemi puis de son camp sont des succès et non des échecs. En outre lorsque j'ai reçu l'ordre de rappel [ ] j'ai ramené avec la Colonne à Kadiokofi six mille habitants du Djimini et du Djamala qui ont été ainsi arrachés aux horreurs de l'esclavage. » En revanche, Monteil qualifie l'ordre de rappel de « faute politique. [ ] L'équivoque doit cesser : la Colonne de Kong n'a pu profiter de ses nombreux succès contre Samory, parce que le Gouvernement de l'époque a prononcé avec une impéritie coupable sa dislocation en présence de l'ennemi. » En septembre 1894, Parfait-Louis Monteil, ci-devant gouverneur et commandant supérieur du Haut-Oubangui, prend le commandement de la Colonne de Kong pour combattre Samory en Côte d'Ivoire. Il fait subir de nombreux revers à l'ennemi, même le jour où il est grièvement blessé, à Sobala. C'est à ce moment qu'arrive l'ordre de rappel de Paris et que la colonne est dissoute. En 1896, Monteil prend sa retraite pour écrire des ouvrages sur ses missions africaines. On joint : une copie conforme, signée par Monteil, d'une lettre adressée au président du Conseil [Charles Dupuy], le 19 février 1899, mais surtout destinée à être publiée dans les journaux. Au sujet d'une « irrégularité » commise lors de l'élection du président de la République [Émile Loubet] par le Congrès qui a siégé à Versailles le samedi 18 février. Monteil, qui semblait nourrir plus que du ressentiment envers les politiciens depuis l'affaire de la colonne de Kong, avait déposé sa candidature aux fonctions de président de la République, mais sa demande avait été rejetée. « Déduction logique, il est impossible, je puis même dire interdit à tout citoyen français qui n'est ni député, ni sénateur, de se présenter à l'élection présidentielle. La démonstration que je voulais faire en me présentant est donc acquise désormais. La Constitution de 1875 est contraire à l'esprit des institutions républicaines. »
Pièce signée
MONTÉHUS (Gaston Mardochée Brunschwig, dit)Pièce signée par Louis Marchand. 1939 ; 4 pages in-4°. Pièce illustrée de sa photographiecontenant sur un feuillet de 4 pages, sa photographie, la chanson « Y’a pas d’copains, Y’a qu’des vaches ! ». Dédicace sur la première page, sous la dédicace imprimée à « mon bon camarade, le chansonnier Montéhus, à l’occasion de son 68e anniversaire 9 juillet 1939 », il écrit et signe : « Et aussi à l’ami Coulaud, Marchand ».
Manuscrit autographe signé
MONTÉHUS (Gaston Mardochée Brunschwig, dit)Manuscrit autographe signé « Supplique à Dieu ». [Circa 1941] ; 2 pages in-4°, à l’encre violette. Manuscrit d’un poème pour une publication qui devait s’appeler « Cris de misère ». « Tous les peuples font des prièresAppelant la douce bontéPour barrer la route à la guerreEt sauver notre humanité.Pour toi on allume des cierges,Des mères gémissent à genoux,Les enfants invoquent la ViergePourquoi ne fais-tu rien pour nous.[…]Si l’homme est fait à ton image,Alors Dieu tu n’es qu’un démonC’est donc toi qui veux le carnage.Et moi qui te croyais si bon,En toi nous perdons la croyance,Nous sommes las d’être à genoux.Ne vois-tu pas notre impatiencePourquoi ne fais-tu rien pour nous ».
Manuscrit autographe signé
MONTÉHUSManuscrit autographe signé, intitulé « La maison que je lézarde ». [1941] ; 1 page 1/2 in-4°. Manuscrit devant composer une brochure intitulée Cris de Misère.« C’est la maison que je lézardeDont les pauvres murs sont trop vieuxQui du sous-sol à la mansardeTout tremble quant l’vent est furieuxElle symbolise la misèreLes habitants sont tous des gueuxOn n’y voit pas souvent d’lumièreDans les ch’mins y a jamais d’fleur[…]C’est l’image de la détresseComment peut ell’tenir deboutJamais l’soleil ne la caresse Elle est enfouie comm’dans un trou[…]C’est plus trist’que dans un cimetièrePlus sinistr’que dans une’prisonOh ! toi Paris ville Lumière ».
Manuscrit autographe signé
MONTÉHUSManuscrit autographe signé Le Diable vous parle. 23 juillet 1941 ; 2 pages in-4°, à l’encre violette. Manuscrit d’un poème pour une publication qui devait s’appeler Cris de misère. « La vie est courte profitez-enOffrez-vous de belles maîtressesSoûlez-vous de joie et d’ivresseOn n’a pas deux fois vingt ansIl faudra bien qu’on crève un jourAlors pourquoi s’fair de la bileTous les chagrins sont inutilesPensez donc plutôt à l’amour.[…]Pour n’avoir jamais de remordsFaut tordr’le cou à sa conscienceAux regrets imposer silenceEt se dir’ je n’ai jamais tortLes autr’ se fichent pas mal de vousAlors foutez-vous donc des autresNe jouez pas le rôle d’apôtresCar vous passerez pour un fouRegardez de loin Jésus ChristPour que l’on prie dans les églisesIl a froid sans une chemisePour être heureux soyez bandits »
Ensemble de lettres autographes signées
MONTÉGUT MauriceEnsemble de 4 lettres autographes signées, adressées à Henri Lartigue. 1885-1889 ; 4 pages in-8° ou in-12. Lettres écrites dans le cadre de son activité journalistique sur des sujets très divers.
Pièce autographe signée
BRUNET MargueritePièce autographe signée. Paris, 19 octobre 1818 ; 1 page in-4° oblongue. En-tête manuscrit « Théâtre des Variétés ». « À Prendre chez M. Houette deux aunes et demie de toile blondine pour M. Bosquier. » M. Bosquier est un acteur et chanteur du Théâtre des Variétés.
Lettre autographe signée
MONTANSIER Mademoiselle (Marguerite Brunet, dite)Lettre autographe signée. « 5 messidor an onze » [24 juin 1803] ; 1 page in-12.« Mon mari part demain, non pas pour Bourbon l’Archambault, mais pour Bourbonne les Bains. Les médecins disent que les premiers, qu’après bonne discussion, ne sont pas des rentiers pour lui. Je vous prie de vouloir bien le recommander à votre correspondant de Bourbonne les Bains et lui faire escompter le montant du billet de 500 f que je vous envoie. »
Lettres autographes signées
MONTALEMBERT Charles Forbes de, comte de2 lettres autographes signées :— adressée au comte Eugène de Montlaur. 9 juillet 1851 ; 2 pages in-8°. « Au milieu des injures et des calomnies dont la fièvre légitimiste et socialiste me gratifie tous les jours, j’ai été agréablement surpris par les lignes que vous avez bien voulu me consacrer dans la livraison du 13e vol. de l’Art en Province. Lorsque ma corvée politique sera finie, et si je survis à l’orage prochain, je compte reprendre avec persévérance les études historiques qui ont fait tout le charme de ma vie ; et je compterai alors plus que jamais sur la sympathie et l’indulgence dont vous venez de me donner une preuve si sensible. »— adressée au baron d’Eckstein. Sans date ; 2 pages in-8° sur papier de deuil. « Je vous remercie de nouveau de vos bonnes et amicales lettres & tâcherai de suivre votre exemple et de ne me laisser abattre, ni par les infirmités douloureuses qui me surviennent si prématurément ni par l’humiliante abdication des intelligences et des coeurs dont nous sommes les témoins. J’espère que vous avez reçu votre épreuve. Je ne puis plus m’occuper du correspondant comme par le passé ! »