Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
MASSINE LéonideLettre signée, adressée à M. Ballot. Leipzig, 28 novembre 1927 ; 1/2 page in-4°. Il le remercie pour sa lettre du 4 novembre. « Je tâcherai de trouver l’adresse de Mme Nijinska, veuve, et lui signalerai encore une fois la question des droits pour ma chorégraphie de « Sacre du Printemps ».
Portrait gravé
MASSILLONPortrait gravé. Éditeur Garnier frères. XIXe siècle ; 110 X 145 mm.
Lettre autographe signée
MASSENET JulesLettre autographe signée. Paris, le 7 mars 1878 ; 3 pages in-12. « J’ai l’honneur de présenter au comité de la Société Nle de musique la partition de Narcisse — Idylle antique pour solo et choeurs. J’avais vivement désiré que cet ouvrage fut accepté et exécuté au concert avec orchestre de la société. Cependant je dois prévenir la Comité que la partition d’orchestre & les parties séparées ne seront à ma disposition qu’à partir du 10 mai. Si le concert avec orchestre devait avoir lieu avant cette époque, je serais dans l’impossibilité de livrer la musique nécessaire à l’exécution. Les parties de choeur sont prêtes dès à présent et Melle de Miramont […] m’a fait l’honneur de me demander à chanter cette scène à ce concert. »
Ensemble de lettres autographes signées
MASSENET JulesEnsemble de 5 lettres autographes signées et 3 cartes de visite. De 1900 à 1912 ; formats in-8° principalement, trous d’archivage : « Je suis à la campagne & vais partir pour les eaux. Écris-moi à Paris & je te répondrai de suite. » ; « Avec grand plaisir, je réponds à votre désir de venir me voir en vous disant : à mercredi 1er mai. » ; « Amis bien chers, je vous unis toujours dans ma pensée et dans mes souvenirs. » ; « Vos belles nouvelles, si gracieusement envoyées, me sont ma joie. Vos artistes auxquelles j’adresse mes félicitations sont bien heureux de revoir vos conseils. À tous, mes pensées bien émues. À vous, ma plus affectueuse reconnaissance. » ; « Amis si bons, vous me consolez de la vie si triste... ».
Ensemble de 4 lettres autographes signées, adressées à Mme Jane Catulle Mendès et 1 à Catulle Mendès.
MASSENET JulesEnsemble de 4 lettres autographes signées, adressées à Mme Jane Catulle Mendès et 1 à Catulle Mendès. [1904-1909]; 5 pages in-12 ou in-8°, une pièce avec déchirures.Billets lui faisant par d’un succès à l’Opéra (novembre 1906) ; 1904 : « J’ai par vous, le bonheur de posséder votre volume de poésies; quelle joie et quelle fierté j’en éprouve. Je voudrais tellement mériter - même un peu - en écrivant la musique d’Ariane. Sa dédicace que - tout ému - je lis sur la première page des “Charmes”. » ; « Dans le calme de ma vie, quelle chère émotion en recevant votre pensée... à vous en pieuse admiration, J. Massenet. » ; « Vous êtes adorable en tout ! J. Massenet. » ; « Quel bonheur ! Voici des vers ... des poèmes admirables car ils sont “votre âme” ».
Lettre autographe signée
MASSENET JulesLettre autographe signée. 15 février 1882; 2 pages in-12. « Est-il vrai que le Maestro Bevignani n'ait pas reçu ma lettre ? Je lui avais écrit au moment de la Première (après tes excellentes dépêches), une lettre officielle pour lui, pour l'orchestre, pour les choeurs, pour la danse ! rien de tout cela n'est parvenu et je suis dans mon tord - j'enrage! - veux tu me prévenir dans ce cas je recommencerai ma lettre. Mais si M. Bevignani l'a reçue déjà, (sans y faire attention) je serai dans une situation ridicule en recommençant mes félicitations et remerciements si tard ! Tu me comprends. Tout marche bien ici. Tu auras des nouvelles. Tous mes meilleurs souvenirs à Mlle Durand, [ ] et mon affection à ce cher et brave Barbaccini ! »
Manuscrit musical autographe « Chant Républicain ».
MASSÉ Victor (Félix-Marie dit)Manuscrit musical autographe « La Républicaine - chant populaire - Poësie d’Edouard Plouvier. Musique de Félix Marie » [Victor Massé gratté].Page de titre et 8 pages in-folio (35 x 27 cm).« Oublions ce blasphème qui nomme l’orgueil des rois, un droit venu du ciel, le droit divin c’est celui de tout homme qui fait sa part dans l’oeuvre universelle. »Édouard Plouvier [Paris, 1821 - id., 1876], était un poète, écrivain, librettiste et goguettier français.
Manuscrit musical autographe signé
MASSÉ Victor (Félix-Marie dit)Manuscrit musical autographe signé « L’Arbre de la Liberté ». 2 pages in-folio oblongues plus la page de titre.Hymne patriotique pour 3 voix d’hommes en choeur sur une poésie de Francis Tourte.
Manuscrit musical autographe « Chant Républicain ».
MASSÉ Victor (Félix-Marie dit)Manuscrit musical autographe, signé en tête, « Choeur ».Page de titre et 3 pages in-folio (35 x 26,5 cm).« On nous appelle, nous voici tous »...
Lettre autographe signée
MASSÉ VictorLettre autographe signée, adressée à un ami. Samedi 11 ; 3 pages in-12. Il remercie son ami au sujet de l’ouvrage qu’il lui a adressé. « Je te remercie de ton cordial envoi. J’ai lu déjà une partie de ton livre et j’en suis tout ému. Voilà de beaux vers, pleins de terre et d’énergie ; ils t’ont rendu tes vingt ans ! La dernière phrase de ta préface, la haine est encore une espérance, doit être maintenant la devise de tout français aimant son pays. Enfin, mon cher ami, selon moi, tu as fait tes châtiments et ils sont dignes d’être mis à côté de leurs frères aînés. »
Lettres autographes signées
MASPERO GastonEnsemble de 3 lettres autographes signées : Boulaq, le 22 avril 1881 ; 3 pages in-8°. « On devient paresseux à vivre dans un pays de paresseux, la plume s'alourdit et l'encre se sèche de chaleur : on n'a plus qu'une désir, ce serait d'être le Nil afin de sentir couler en-soi une eau perpétuelle. » Il vient de faire une tournée d'inspection en Haute Égypte : « Rhôné en était : ce sera la troisième fois que Louys et lui se seront contemplés face à face. Si vous voyez sa femme vous pouvez la rassurer sur son compte : il a mangé comme deux, dormi comme quatre, bu du saké comme un Grec et de la bière comme un Allemand, fait des calembours et coupé des petits papiers à la joie de son coeur. Vous ne lui direz pas [ ] qu'il est tombé partout où il y avait chance de tomber et qu'à Deir El Bahari, en revenant de la vallée des Rois, il a jugé à propos pour mieux voir la scène de s'allonger sur le nez, lunettes et tout, et de glisser joyeusement le long d'une pente raide qui se terminait à pic sur un trou de cent mètres de profondeur. On l'a arrêté non sans peine à trois pieds environ de l'abîme et on l'a remis sur pied [ ]. Vous aurez vu peut-être dans les gazettes que j'ai déniché un Pharaon le mois dernier. Qui croyez-vous que j'aie déniché ce mois-ci ? Un autre Pharaon, sans plus. Celui-ci n'a pas été aussi sage que l'autre : il a cassé sa pyramide, son sarcophage et fait les cent coups avec ses os, on ne le retrouve plus que par miettes. Il est fort curieux d'ailleurs et me tient en fièvre depuis huit jours. Figurez-vous que le gueux porte un nom qui peut être aussi bien de la VIe que de la VIIIe dynastie, et n'a pas voulu nous dire jusqu'à présent à quelle dynastie il appartenait réellement ». Qénéh, le 3 février 1883 ; 4 pages in-8°. « Il y a toujours une ombre au tableau. J'ai reçu le même jour un télégramme de Paris m'annonçant la nomination et un autre de Tunis me disant de préparer ma femme à la mort de sa mère. J'ai passé mon nouvel an à chercher des consolations et à n'en pas trouver. Nous attendions ma belle-mère pour partir et le coup est tombé d'autant plus fort qu'on nous avait caché le danger. [ ] Nous voici à Qénéh, bientôt à Thèbes et chaque jour apporte un peu plus de calme. Je voudrais bien être à six mois d'aujourd'hui. [ ] Rhôné m'a écrit trois ou quatre lettres, une de reproches tendres l'autre de remerciement attendris, le reste couci couça, mais toujours avec une pointe de tendresse. [ ] Il a laissé sur les bords du Nil d'Assouan au Caire une réputation fantastique et tous les assiens qu'il rossait me demandent de ses nouvelles avant d'approcher leurs baudets. [ ] Vous devriez me donner vous et Schlumberger une indication un peu précise des objets que vous cherchez et du prix que vous entendez y mettre. Je pourrai peut-être vous avoir quelques bonnes occasions. L'autre jour, on est venu m'offrir environ soixante pièces arsacides et sassanides [ ] Et autant de pièces en cuivre arabes ». Boulaq, le 18 janvier 1884 ; 3 pages 1/2 in-8°. « Il y a seize ans, j'étais si bas que je me trouvais presque au fond du néant primitif et que j'étais plein d'espoir. [ ] Il me semble que je viens de verser dans le Rhôné. L'Arthur en question ne m'a pas écrit un mot depuis mon départ. : c'est une des chances inespérées qui me font considérer mon bonheur actuel comme surhumain. [ ] Quand Mme Rhôné arrive, c'est pour une heure au moins et quelquefois pour trois. Ces gens là ont manqué leur vocation : ils auraient dû naître au bord de la mer, dedans entre deux écailles, ils se seraient cramponnés aux rochers et les rochers n'auraient rien dit. »
Lettre autographe signée et memoires
MASERS DE LATUDE (Jean Henry, dit Danry, dit)Lettre autographe signée (brouillon), adressée « à Monsieur le President & à Messieurs les representants des peuples de la Chambre des Congrès à Washington ». Paris, 29 août 1804 ; 2 pages in-folio (31,5 x 20 cm).« La renommée ne cessant de publier dans toute lEurope, vos sublimes vertueux et le bonheur du Grand Peuple qui a mis son sort entre vos mains quel est lhomme au monde, qui par son esprit et ses talents, ne désire point dêtre connu et de mériter lattention, des hommes aussi sages. Je suis Latude, ingénieur : jay été enfermé pendant trente cinq années dans les cachots de la Bastille, et le premier qui ait échappé de cette terrible prison, et après le duc de Beaufort, je suis le second prisonnier qui parvins à me sauver deux fois de la Tour de Vincennes. Pendant que je gémissais dans les cachots de ces deux prisons, je fis des observations, sur tous les objets, qui se présenterent à mon imagination et je fixai mon esprit, sur lobjet le plus noble, cest à dire sur les armées qui décident du sort de toutes les nations. Jobservai que jusquen 1758 tous les officiers et sergens, de toutes les armées des potentats et des Républiques, navaient pour attaquer et se défendre, les officiers que des spontons, et les sergens des hallebardes. dans toutes les batailles, on nen venait pas toujours à larme blanche et que dans ce cas, dans deux armées composées de cent mille hommes chacune, il sen trouvait vingt mille, qui étaient précisément les plus adroits et les plus courageux qui ne pouvaient atteindre lennemi.Bien assuré que lintention de tous les souverains, était de rendre utiles tous leurs guerriers, je crû devoir composer un mémoire à ce sujet.En 1758, jétais dans un cachot de la Bastille, avec les fers aux pieds et aux mains, et il métais impossible dobtenir de mes persécuteurs, du papier, de plumes et dencre, pour venir à bout de faire ce que je désirais, il fallût que je devinsse créateur, pour cet effet, de la mie de mon pain, pêtrie avec ma salive, je fis des tablettes de six pouces carrés, qui me servirent de papier, et de larrête triangulaire, que les carpes sont sous le ventre, jen fis une plume et à defaut dencre, je me servis de mon sang. Mon memoire fini, je demandé un confesseur, le Gouverneur menvoya le père Griffet jésuite, qui à ma prière, prit mon projet sous sa protection, depuis ce moment il me fut impossible de revoir ce confesseur. A ma sortie de prison, jappris que tous les souverains avaient mis mon projet à exécution. Comme ce projet vû son utilité généralement reconnue a sans doute mérité lapprobation de toutes les nations, je mestimerais heureux, si en voyant des fusils entre les mains de vos officiers et sergens, vous disiez, Messieurs, ce changement darmes est une production de lesprit dun prisonnier, linfortuné Latude » On joint un volume « Mémoires de Henri Masers de Latude, ancien ingénieur, prisonnier pendant trente-cinq années à la Bastille et à Vincennes, sous le nom de Daury ; à Charenton sous celui de Danger ; et à Bicêtre, sous celui de Jedor. » Paris, chez Latude, rue de Grenelle, de limprimerie de la veuve Lejay. 1793; 20,5 x 13 cm, 2 tomes en un volume in-8, reliure plein maroquin rouge, dentelle dorée sur les plats, dos lisse, titre en lettres dorées. Exemplaire revêtu de la signature de Latude. Lillustration comprend deux portraits gravés au pointillé, celui de Latude gravé par Canu daprès Vestier, et celui de Madame Legros par Clément daprès Pujos. Quelques feuillets uniformément roussis.Première édition sous ce titre des célèbres mémoires de « lune des plus touchantes victimes du despotisme royal ». La première édition vit le jour en 1791, sous le titre de Despotisme dévoilé ou Mémoires de Latude, publiée par Thierry.Victime de lui-même, Latude a croupi dans les cachots pendant trente-cinq ans pour avoir envoyé, pour se faire remarquer, un colis piégé à la Pompadour, tout en prévenant à lavance lentourage de la favorite du complot dont elle allait être la cible. Arrêté, soumis à un interrogatoire en règle, Latude avoua la supercherie. À la faveur de circonstances rocamboles- ques, une mercière de Paris, Madame Legros, fit de la libération de Latude le combat de sa vie jusquà obtenir pour ce malheureux lélargissement définitif.
Lettre autographe signée
MASCART ÉleuthèreLettre autographe signée. Paris, 23 novembre 1883 ; 2 pages in-8°. « Je vais m’absenter quelques jours pour aller dans le Nord. Tu trouveras au besoin sur mon bureau à droite les seules figures que j’ai. Je crois bien que ce sont de vieilles épreuves. J’ai vu Masson ce matin. Quand tu voudras allez chez Fernique, passe chez Masson et Yankowski ira avec toi. Tache de voir ce que devient l’affaire des bustes de Guillaume. Sandoz doit avoir la liste des personnes qui ont demandé des réductions et il ne faudrait pas tarder à envoyer à l’Association du Lycée Henri IV le plâtre grand modèle qui lui revient. […] Tu dois avoir à moi un traité de Lamont “Erdmagnetismes” ou simplement “Magnétismes”. J’en aurais besoin. Si tu n’as rien d’autre pour la prochaine séance de la Société tu pourrais m’inscrire : “Instruments pour l’observation du magnétisme terrestre” »…
Photographie signée
MASCAGNI PietroPhotographie signée et datée. « Lurigo 24/11/99 » ; format cabinet (17 x 11 cm). Beau portrait (Guigoni & Bossi, Milano).
Photographie avec dédicace autographe signée
MASCAGNI PietroPhotographie avec dédicace autographe signée. 27 mars 1914 ; 27 x 18 cm. Tirage argentique sur carte du photographe Varischi Artico à Milan. Tampon à froid sur le carton de montage.« Al Sig. Avocato Raimondo Scrafini. Ommagio de Pietro Mascagni. Livorno 27 marzo 1914. »