Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
LOUŸS Pierre (Pierre Louis, dit)Lettre autographe signée, adressée à M. Chauvin de la Société des Auteurs et Compositeurs. 25 octobre 1910 ; 2 pages in-8°. Sur La Femme et le Pantin. Il demande quand aura lieu le premier versement, la nature du second. « Je ratifierai la convention mais puisque d’autres sont projetées, j’espère que Miss Andrews voudra bien pour les suivantes ne pas vous présenter un ultimatum avec un délai de trois heures quand je suis absent de Paris. Tamaris a un bureau de télégraphe ouvert jusqu’à 7 h du soir, et en cas d’urgence, je puis télégraphier de Toulon toute la nuit. Une dépêche de vous aurait donc facilement une réponse le jour même, ou au plus tard le lendemain matin ».
Lettre autographe signée
LOUŸS Pierre (Pierre Louis, dit)Lettre autographe signée, adressée à Alfred Vallette. 1er décembre 1916 ; 2 pages in-12. Il demande un exemplaire de la traduction de Keats, des ouvrages de Leblond et Séché consacrés à Leconte de Lisle et Vigny. « Vous avez édité une traduction de Keats que j’ai reçue et qu’il m’est impossible de retrouver, peut-être parce que j’aime trop les vers de Keats pour les lire en prose, mais je voudrais montrer ce livre à quelqu’un. »
Manuscrit autographe signé
LOUŸS PierreManuscrit autographe signé. 1 page grand in-4°, à l’encre violette. Page manuscrite extraite de son livre L’Homme de pourpre (1901). « Six esclaves sarmates s’avançaient deux par deux, chacun portant une charge d’or et un coutelas à la ceinture. Derrière eux, un négrillon tenait horizontalement, comme une patère à libations une longue crosse de cèdre rose serrée par un lacet d’or : la canne auguste du Maître. »
Lettre signée
LOUVOIS Auguste Michel Félicité LE TELLIER, marquis deLettre signée, adressée à M. de Clairan. Versailles, 16 aout 1688 ; 1 page in-folio.« Reçeu la lettre que vous avez pris la peine de m’escrire le 3e de ce mois. Puisque c’est par la negligence du geolier des prisons de Bezançon qu’un des deux deserteurs qui y estoient gardez, s’est évadé, il faut faire mettre ledit geolier en prison jusques a cequ’il l’ait representé, et si un mois apres qu’il aura esté arresté, il n’y a pas satisfait, il faudra pour l’en punir, le destituer de sa charge, et luy faire payer une grosse amande. »
Ensemble de 6 lettres signées
LOUVOIS Auguste Michel Félicité LE TELLIER6 lettres signées « Louvois » adressées au commissaire des guerres Charles Gresillemont. Versailles 6 janvier - 15 juin 1691 ; 7 pages 1⁄2 in-folio. 37057 Relative aux travaux de la forteresse de Mont-Royal, en Moselle. Surintendant des Bâtiments et Secrétaire d’État de la Guerre, Louvois accuse réception et approuve les lettres et les comptes envoyés par Gresillemont. Il est question des frais des entrepreneurs, anciens et nouveaux, du transport de chaux et de pierres, des subsistances accordées, des contributions apportées par les habitants voisins, etc. La dernière lettre [qui précède d’un mois la mort de Louvois survenue le 15 juillet] concerne un remboursement des frais engagés pour les réparations d’une maison destinée à M. Dumontal qui n’a pas l’intention de garder les deux pavillons qu’il a occupé à Mont-Royal. Les fortifications de Mont-Royal, conçues par Vauban en 1687 afin de verrouiller la route de la Moselle entre Trèves et Coblence, seront démantelées en 1698 après le traité de Ryswick et la fin de la guerre de la Ligue d’Augsbourg. Copie d’une lettre de M. de Saint-Pouange à lui adressée. 23 septembre 1689 ; 3 pages in-folio. À propos des provisions devant être livrées par M. de La Goupillière à la forteresse de Mont-Royal, sur la Moselle. Saint-Pouange demande à Louvois d’approuver les quantités de blé, avoine, et farine, déjà envoyées ou devant arriver à Mont-Royal, par le fleuve ou par la route, pour l’hivernage des hommes et des chevaux avant la prochaine campagne. Au verso, annotation indiquant que cette copie est destinée à M. de Gresillemont. Gibert Colbert seigneur de Saint-Pouange (1642-1706), administrateur de la Guerre, est qualifié de « échappé de ministre» dans les mémoires de Saint-Simon en raison de son rôle très actif, en l’absence de Louvois, traitant directement avec Louis XIV.
Lettre signée
MARGUERITE D’ANGOULÊMELettre signée « Loyse ». Compiègne, 9 septembre [1527], au premier président Jean de Selve et au président Poillot ; contresignée par Georges de Vercle ; 1 page in-4°, adresse au dos. « Le Roy et moy escripvons a ceulx de la ville de Paris pour le fait de loffice de leur clerc et greffier les priant que diceluy ensemble des autres estatz que y tenoit le feu dernier greffier, ilz vueillent pourveoir maistre Pierre Perdrier qui est lun des trois personnaiges quilz y ont esleuz. A ceste cause et que ledit Sgr veult que ledit office luy demeure, et que telle est mon intention jay bien voulu escripre a tous deux ceste lettre et par icelle vous prier tresaffectueusement vouloir vous transporter pardevers eulx leur presenter les lettres dud. Sgr et myennes et leur faire entendre de nostre part par remonstrance et autrement ainsi que saurez bien fere quilz ne faillent a luy en faire provision. »
Apostille autographe signée
LOUIS-PHILIPPE IerApostille autographe signée sur une lettre adressée à lui par Olivier Gérente [Mollans, 1744 - Avignon, 1837], homme politique français, et député du Vaucluse. Neuilly, 18 mai ; 1 page grand in-4°. Sur la nomination de l’abbé Bruneval à sa place d’aumônier de la chapelle de Dreux. Le roi lui répond : « Je suis rentré après votre départ & je regrette que vous m’ayez attendu si longtems. Il faut expédier demain les pouvoirs & la nomination de Bruneval. Si vous avez la minute de votre instruction à Wal, je serai bien aise de la voir & je vous prie de me l’envoyer. Je serai demain à Paris à deux heures. LP »
Lettre autographe signée
LOUIS-PHILIPPE IerLettre autographe signée (monogramme), avec de nombreuses corrections. Paris 12 novembre 1820 ; 2 pages in-4°.« C’est une véritable satisfaction pour moi de vous annoncer que je vous ai nommé membre de mon conseil & j’espère que désormais vous y assisterés autant que le permettrons vos nombreuses occupations dont de toutes manières, je serais bien fâché que vous fussiés détourné. […] Vous me serez d’un grand secours pour me préserver de l’écueil dont votre main habile m’a déjà écarté dans une circonstance importante, je veux dire de cette alternative de sacrifier des droits que les lois m’accordent comme à tous, ou de passer en les défendant pour vouloir faire revivre ceux que j’ambitionne moins que personne. L’expérience m’a prouvé que des intentions droites ne suffisent pas toujours pour démêler cette route qu’il d’ailleurs nullement facile de suivre au milieu de tant de lois qui se contredisent & de tant d’intérêts divergens toujours prêts à prendre l’allarme ».On joint la lettre de Dupin au roi Louis Philippe dans laquelle il le remercie (13 novembre 1820 ; 2 pages in-4°).
Dessin autographe
LOUIS-PHILIPPE IerDessin autographe. Dessin à la plume fait par le roi pendant un conseil des ministres : portrait d’un ministre de profil, en buste. 1/2 page in-4°.On joint un billet écrit par le roi durant une crise ministérielle. 9 avril 1837 ; 1 page in-8°. On ne pouvait pas s’entendre, et le roi se serait amusé de l’accent alsacien du ministre des Finances Georges Humann, et de sa prononciation du mot idées : « Les Ités Ministérielles. Les Incompatibilités & les inséparabilités constituent les impossibilités. Les vanités & les susceptibilités détruisent les possibilités. » Très bon ensemble.
Grand placard
LOUIS-PHILIPPE IerGrand placard avec inscrits en grands caractères à la feuille d’or : « Vive Louis Philippe Premier Roi des Français » entourés de motifs feuillus verts dorés à l’or sur un fond bleu. [Circa 1830] ; 72 x 55 cm. Exceptionnelle et rarissime document en couleurs d’époque très bien conservé.Histoire de ce placard officiel : C’est un papier peint de la Manufacture Dufour-Leroy, inscription en lettres d’or dans une couronne de laurier et de chêne fermée par la médaille de la Légion d’honneur au chiffre LP, sur fond bleu roi. Il s’agit n° 2295 de l’inventaire tarif de la manufacture Dufour-Leroy, désigné Attique colorié /Louis Philippe Ier en 1831 et 1832.Les papiers peints officiels de l’époque Restauration et Monarchie de Juillet :C’est avec la Révolution française que le papier peint s’impose comme support de choix pour la propagande des nouveaux régimes. Il convient en effet de changer ou masquer au plus vite les marques emblématiques du régime précédent à l’intérieur des bâtiments officiels salles des assemblées, tribunaux révolutionnaires, administrations et ministères. Le Musée Carnavalet conserve ainsi pour cette époque un décor de la manufacture Jacquemart & Benard chargé de bonnets phrygiens, piques et faisceaux de licteurs et des devises de la Révolution datant de 1792 et provenant la Salle du Salut Public du Pavillon de Flore aux Tuileries. D’autres commandes officielles sous l’Empire et la Restauration enracinent cet usage. Le décor et l’échelle de dessin du papier peint présenté ici ne le destinait pas au décor de murs entiers d’édifices publiques comme ceux conservés au Musée Carnavalet, mais plutôt à être placardé aux murs pour recouvrir les emblèmes du régime précédent par exemple. La relative fragilité du support, la vivacité des coloris, la lisibilité de décors très symboliques, des messages courts et efficaces inscrivent ces papiers peints aux sources de l’Affiche politique, quelques huit années avant l’invention de la lithographie en couleurs. Techniquement ces papiers sont imprimés à la planche de bois sur des feuilles raboutées; c’est à dire mises bout à bout pour former un rouleau, les parties de rouleaux présentées sont marouflée sur un carton d’apparence vieillie, elles proviennent d’un château de Bourgogne non identifié. Bibl.: Le Monde du papier peint, F Teynac , P Nolot, JD vivien, Paris , 1981, Breger Levrault; p 95 à 10
Ensemble de 3 portraits gravés
LOUIS XVIII Louis-Stanislas-XavierEnsemble de 3 portraits gravés du XIXe siècle. Une lithographie (portrait dans un cercle), une lithographie de Delpech avec la reproduction de sa signature (rousseurs) et un portrait du roi par Frémy.
Lettre autographe signée
LOUIS XVLettre autographe signée, adressée « à mon frère et petit fils Ferdinand enfant d’Espagne duc de Parme, et de Plaisance ». Versailles ce 25 février 1771 ; 1 page in-4°, adresse sur le 4e feuillet, cachet de cire rouge aux armes.« Mon cher petit-fils, Come je me proposais hier d’écrire au Roy d’Espagne, l’ambassadeur m’a dit de sa part, qu’au premier jour il m’envoierait copie de la lettre que vous lui avez écrite avec ces reflexions dessus ; je l’attends donc et je vous en fairai part aussy tot. Prenez donc patience mon cher petit-fils, et sur toutes choses tranquilisez vous, et ne laissez rien apercevoir de ce que vous sentez. Quand je voudrais vous envoier Chauvelin, ce que je ne fairais pas, celui lui serait impossible, car il n’est pas bien, une humeur de goutte le tourmante, et je doute que cela finisse bien, surtout s’il remange come il a fait jusqu’à present. Je prends demain le deuil pour votre cousine de Portugal. Je vous embrasse de tout mon coeur mon cher petit-fils. »L’Infant avait demandé que le Monsieur de Chauvelin fût envoyé à Parme pour juger du différend entre lui et Dutillot. Or, Chauvelin avait repris sa place auprès du roi.
Pièce signée « Louis » (secrétaire de la main), contresigné par Amelot
LOUIS XVPièce signée « Louis » (secrétaire de la main), contresigné par Amelot. Versailles, 26 février 1737 ; in folio oblong, sur parchemin (26 x 46 cm). Commission de l’office de maire de la communauté de Barran (Gers en faveur de M. Daure.
Lettre signée « Louis » (secrétaire), contresignée par Colbert de Croissy
LOUIS XIVLettre signée « Louis » (secrétaire), contresignée par Colbert de Croissy, adressée à l'abbé Bidal, conseiller et Résident à Hambourg. Versailles 5 septembre 1686 ; 2 pages in-folio, adresse (légère mouillure) ; lettre en partie chiffrée. Il annonce la naissance du troisième fils de la Dauphine, le duc de Berry, et lui adresse une lettre pour en faire part au duc d'Holstein Gottorp. Puis il l'entretient de la résolution du roi de Danemark « de se vanger incessamment des injures quil pretend avoir receu de la ville d'Hambourg [...] l'intention dud. Roy nest pas de se rendre Maistre de lad. ville, mais de temoigner son ressentiment contre elle par des bombes et d'autres semblables moyens de causer du dommage aux habitans et de les contraindre a luy rendre a l'avenir les devoirs auxquels ils sont obligez »...
Important parchemin signé « Louis » (secrétaire de la main), contresigné par Phelyppeaux
LOUIS XIVImportant parchemin signé « Louis » (secrétaire de la main), contresigné par Phelyppeaux. Versailles, 24 août 1698 ; 7 pages in-folio (35 x 26 cm).« Nous vous mandons et ordonnons par ces pièces signées de notre main que vous avez à imposer et faire pour l’année prochaine mil six cent quatre vingt dix neuf sur nos sujets contribuables aux tailles de la d° ... de St Maixant »...