Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Carte autographe signée
LIFAR SergeCarte autographe signée, adressée à M. et Mme Vyroubova. Glion, Suisse, 22 décembre 1981 ; 1 page in-12 oblongue au dos d'une carte postale de Noël. « Avec mes meilleurs vux pour un Joyeux Noël et Bonne et heureuse Année 1982. »
Carte autographe signée
LIFAR SergeCarte postale avec deux lignes autographes signées. Carte potale d'Afrique noire. Sous des lignes rédigées par des proches, Serge Lifar ajoute : « Mission accomplie, amitié, Serges Lifar ».
Pièce signée
LIFAR SergePièce signée. Paris, 30 avril 1946 ; 1 page in-4°. Résumé de la réunion tenue le 24 avril [1946] à la direction artistique. Le document est signé également par Grunberg, Henri Tomasi, Locatelli, et concerne des « propos désobligeants qui auraient été tenus par M. Cassandre au sujet de la chorégraphie par M. Michel au sujet de l'exécution musicale » sur le montage du ballet Dramma per Musica à Monte Carlo en 1946.
Ensemble de 4 pièces signées.
LIBRETTISTES.Ensemble de 4 pièces signées. BRAMMER Julius [Sehradice, 1877 - Juan-les-Pins, 1943], librettiste autrichien. 2 pièces signées concernant les droits de La Bayadere. GRÜNWALD Alfred [Vienne, 1884 - New York, 1951], librettiste autrichien. 2 pièces signées concernant les droits de La Bayadere. On joint une pièce signée sur les droits de « La dame en noir ».
Photographie dédicacée
LIBERO DE LUCAPhotographie dédicacée. 17,57 x 12,4 cm. Dédicace en italien au Maestro L. Musy.
Ensemble de 2 lettres dun soldat (canonnier) des Forces Françaises Libres,
LIBÉRATION 1944.Ensemble de 2 lettres d'un soldat (canonnier) des Forces Françaises Libres, Maurice Thivolle, adressées à Albert Masse à Lyon. (enveloppes jointes avec les cachets de censure militaires. 6 pages in-folio (34,5 x 21,3 cm) 3 octobre 1944, « de quelque part en France ». « depuis quelques temps on n'arrête pas de patauger dans la merde, et on a constamment les pieds mouillés d'autant plus que les pompes américaines ne sont pas des plus pratiques [ ] nous avons eu un petit pilonnage des 88 qui pleuvaient assez serrés, mais ça n'a pas duré longtemps. [ ] Pour ce qui est du ravitaillement il ne se fait pas toujours bien au poil, mais dans l'ensemble ça va assez bien, pour ce qui est des cigarettes [ ] on touche à peu près tous les jours un paquet de cigarettes, de temps en temps du chewing-gum et du chocolat ainsi que des bonbons.[ ] Par ici on n'a guère de nouvelles de l'arrière pas plus que celles du front, on ne sait même pas du tout où en est la situation. [ ] L'on a bien eu vaguement connaissance du discours de Churchill (fort apprécié) » Dimanche 29 octobre 1944 : « Je n'ai guère l'impression d'être un soldat depuis quelques jours. [ ] Maintenant si tu voies mon ex-copine de bureau aux assurances sociales, permets-toi de l'approcher et de lui donner le bonjour de ma part [ ]. J'ai toujours le béguin de cette fille. [ ] Pour moi je suis quelque part en France dans le secteur de la 1ere armée française et je me porte très bien - comme un charme. C'est tout ce que je puis te dire à mon sujet »
Lettre autographe signée
LIANCOURT Roger du Plessis, duc deLettre autographe signée, [adressée à M. de Chavigny]. [1645] ; 1 page in-folio. Il intervient en faveur du neveu d’un de ses amis intimes, qui est « de ceus dont le Roy se plaint », M. Salo, « conseiller en la troisième chambre des anquestes qui est prisonnier à Loches ».
Lettre autographe signée
LI-KING-SI (Georges Cassel, dit)Lettre autographe signée, adressée à Jean Grün. Paris, 16 décembre 1943 ; 1 page in-4° en-tête avec son nom et titre imprimé, enveloppe timbrée jointe. Jolie lettre concernant un tour de magie : « Je me suis servi de la boule mardi, mais à cause du produit, elle n’a pas marché c’est à peine si elle a tiédi, voyant cela j’ai continué au chiqué, j’ai ainsi pu en tirer un petit effet quand même ». Rare.
Pièce autographe
LHOTE AndréPièce autographe. Sans date [vers 1945] ; 2 pages in-4°. Texte autobiographique. « Né à Bordeaux, (il y a déjà quelque temps). Autodidacte absolu. A peint dès qu’il a pu tenir un crayon de couleur. Fils d’un petit fonctionnaire, il lui fallut à 13 ans choisir un métier...rémunérateur. Entre en apprentissage chez un sculpteur-décorateur, apprend le rudiment du dessin à l’école des Bx-Arts de Bordeaux et entre dans les classes de sculpture décorative. Premiers prix partout, naturellement. Brillant artisan, son métier ne l’intéresse que dans la mesure où il peut innover. Mais “l’Art nouveau” en sculpture est peu apprécié à Bx. Dégoûté de faire du Louis XV, du Louis XVI ou de la renaissance de commerce, il reporte tout son amour sur la peinture qu’il n’a pas cessé de pratiquer, chaque soir et le dimanche. […] À 22 ans, il abandonne le métier de sculpteur et se consacre à la peinture. Pour vivre, il lui faut donner des leçons à des jeunes gens qui préparent leurs examens. C’est ainsi que se révèlent en lui les dons d’éducateur et de théoricien de la peinture, qui nous ont valu des livres tels que La Peinture, le Cœur et l’Esprit, Parlons peinture(devenus introuvables). […] A. Lhote expose à Paris depuis 1908, où ses envois furent remarqués dès ses débuts au Salon des Indépendants et au Salon d’Automne. en 1910, il fit sa première exposition particulière qui lui valut une notoriété qui s’est bien entendu amplifiée par la suite. […] A. Lhote ne s’intéresse qu’à la nouveauté en art, peindre en dehors des sentiers battus fut de tous temps sa passion. Ennemi des conventions usées de l’Académisme, il fut un des premiers dès 1911, à fonder cette école dite cubiste, dont on dit tant de mal jadis, et qui maintenant est à l’honneur dans les musées européens. […] On lui offrit avant guerre une place de professeur à l’École des Beaux-Arts de Paris […] Tout ce qu’il put faire fut d’accepter d’être nommé chevalier de la Légion d’honneur. »Document très intéressant.
Lettre autographe signée
LHOTE AndréLettre autographe signée. « 20 août » ; 2 pages in-4°, traces de trombone. « L’envoi que je fais aux Éditions de la France Nouvelle, de l’autorisation de reproduire quelques-unes de mes œuvres pour illustrer le livre que vous consacrez à la peinture moderne, me remet en mémoire la visite que je voulais vous faire, avant mon départ en vacances au Palais de Tohis. […] Je voulais vous féliciter de l’organisation de ce musée, et de l’excellente sélection que vous avez faite parmi les œuvres des artistes de ce temps. Le Delaunay est très beau et les Villon admirables. Mon “Avignon” m’a paru bien gris. Je vous demanderais de le corriger, […] à l’aide de la reproduction en couleurs qui illustre la couverture des “Petits itinéraires à l’usage des artistes” que vient de publier Denoël, et qui représente le même sujet. Je voulais vous apporter un exemplaire de cet album, malheureusement je suis parti avant sa parution. […] Il n’y a au magasin qu’une employée qui ne peut se déplacer. Je mettrai la dédicace à ma prochaine visite, qui sera, j’espère, plus heureuse que la précédente. »
Pièce signée.
LHOTE AndréPièce signée. Paris, 16 novembre 1942 ; 1 page in-8° oblongue. « Reçu de M. G. Turpin pour le compte de la galerie sélection de Tunis […] la somme de quatre mille cinq cents francs […] en paiement de la vente de mon tableau Paysage de la Drôme. »
2 lettres autographes signées
LHOTE André2 lettres autographes signées, adressées à une femme : — 30 décembre 1923. « Recevez-vous toujours la N.R.F. ? Si oui, je n’ai pas besoins de vous tenir au courant des événements artistiques, puisque j’en parle tous les mois dans cette revue. […] L’article qu’on devrait y écrire sur moi paraîtra dès le n° de février (C’est dès celui de janvier que j’ai écrit un article sur Rouault, artiste très peu connu et tellement différent de moi que certains, qui ne voient dans le voisin que le reflet d’eux-mêmes, s’étonnent « que j’aime ça ». Au cas où vous seriez, pas au courant des derniers événements artistiques, sachez que la belle vague d’imagination qui depuis Gauguin jusqu’à Picasso berçait les consciences des jeunes peintres, s’est subitement apaisée et que maintenant, c’est l’école réalisto — pour copier — académico-naturaliste qui triomphe. Les gens deviennent fous, peintres et amateurs. Plus de couleur, plus de déformation : c’est l’école des Beaux Arts dans toute sa splendeur. On comprend alors la nécessité du “Salon unique” dont on a tant parlé ces derniers temps. »— 10 octobre 1924. Il a été souffrant et n’a pu répondre à sa correspondante : « Il suffit de la nommer : diphtérie et d’ajouter que je suis par la faute des médecins, ignoré, demeuré 6 jours sans sérum, pour que vous soyez fixée sur la gravité du cas, et, par les lumières de Monsieur Lapidus, sur les désagréables suites de l’aventure : paralysie heureusement localisée aux extrémités des mains. Tout cela a gâché mon hiver et bousculé tous mes plans […] Il me reste à vous parler de votre album, d’une si belle présentation. Si je vous dis que je l’ai regardé, avec plaisir et que j’ai constaté que vous aviez une facilité que j’ignorais à noter les types et à exprimer le pittoresque des rues exotiques, vous trouveriez cela fade et, avec votre modestie habituelle, vous me demanderez des observations profitables. Je vais donc régler mon rôle (hélas) de professeur. Vous composez avec facilité, et bonheur vos planches, comme tableaux, mais il me semble que vous avez tendance à diviser votre surface en parties un peu trop semblables. […] Le tableau (car c’en est un) est composé de 4 éléments répartis en quantités différentes. »On joint l’ouvrage broché « Traité de la Figure ». Éditions Tournon. 1950 ; 140 x 190 mm, broché (usé).
Pièce signée.
LHOTE AndréPièce signée. Paris, 16 novembre 1942 ; 1 page in-8° oblongue. « Reçu de M. G. Turpin pour le compte de la galerie sélection de Tunis […] la somme de quatre mille cinq cents francs […] en paiement de la vente de mon tableau Paysage de la Drôme. »
Manuscrit autographe signé
LHOTE AndréManuscrit autographe signé « André Lhote ». [23 mars 1953]. 2 pages in-4° (marques au crayon rouge pour la lecture).Bel hommage à Raoul Dufy (décédé le 23 mars 1953). [Ce texte a dû être lu à la radio, comme l'indiquent les pauses marquées au crayon rouge; il a été ensuite publié, sous le titre Mon compagnon, dans Les Lettres françaises du 26 mars 1953.] « Cest avec grande émotion que j'ai appris il y a un instant la mort de Raoul Dufy. Je regrette à la fois la perte d'un excellent peintre et celle d'un camarade fidèle et généreux. Oui. La France perd en Dufy un grand coloriste qui, devant le chevalet était également homme d'esprit. Il avait en effet le sens de la retenue à une époque où le génie n'est accordé qu'à la démesure. Artiste savant, il professait que la science du peintre ne doit pas peser d'un trop grand poids sur son oeuvre et que le tableau le mieux combiné doit se présenter avec la grâce d'une improvisation ». Lhote souligne la mesure naturelle de lartiste et sa thématique récurrente, puis parle du début de leur relation, en 1909, à Orgeville, relation marquée en tout temps par la générosité de son aîné, « déjà notoire », qui mit « au carreau » des esquisses du « jeune peintre inconnu » pour sa première exposition particulière, comme plus tard, il recommanda Lhote à son propre marchand : « Je vis un jour Dufy arriver chez moi, essoufflé par mes trois étages sans ascenseur, accompagné du marchand. Il fallut que je montre toutes mes toiles... Je demande quon me signale un pareil cas de désintéressement, de folie! chez un peintre contemporain. Raoul Dufy, gentil compagnon, je te vois partir avec grande peine et grand effroi. Tu es un peu de mon passé qui disparaît, et ce vide réduit dun peu plus lhorizon de mon avenir ».On joint une photographie dAndré Lhote.
Lettre signée
LEYGUES GeorgesLettre signée. Paris, 16 août 1900 ; 1 page grand in-4°. Nomination de Marcel Prévost comme officier de la Légion d’Honneur.