Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Carte de visite autographe signée.
LE SIDANER LouisCarte de visite autographe signée. 19 octobre 1936 ; 2 pages in-32 oblongues. Il prie « la famille d’Eugène Dabit de trouver ci-jointes les bonnes feuilles d’un article dans la Nouvelle Revue Critique » de novembre.
Pièce autographe signée.
LE SIDANER HenriPièce autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]. Sans date ; 2 pages in-8°. Les sensibilités artistiques du peintre : « Vous rangerez justement parmi les phénomènes de l’intelligence et de la sensibilité l’impression que je voudrais vous traduire néanmoins le mot même de Survie a marqué pour mieux me les définir certaines visions de peintres dont l’extrême aboutissement arrive à la création dépassant les plus heureuses images ou les plus ingénieux décors. Les artistes privilégiés eux-mêmes n’ont atteint que par instants ces prodigieux sommets. J’ai le souvenir d’un après-midi de Corot, l’ombre couvrant à demi le vallon baigné dans la lumière sensation de la vie d’un jour qui transmise revit en nous et demeure éternelle. Je revois le fond de l’Embarquement pour Cythère quelques figures de l’Angelico au Cloître de St Marc et le merveilleux portrait de Rembrandt dans sa vieillesse. Le Sidaner. »
Lettre autographe signée
LE SIDANER HenriLettre autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]. Gerberoy par Songeons 7 septembre 1924 ; 2 pages in-8°.« Malgré que ma réponse ne puisse vous apporter qu’un intérêt médiocre je vous soumets mon souvenir. Il est possible que j’ai cherché de bonne heure des images dans la nature car de l’île Maurice ou je suis né mon père écrivait vers ma dixième année “j’ai un fils qui sera peintre”. Je me souviens encore que pendant une année de collège un ami avec qui j’échangeais des impressions me demanda si je ferais de la peinture à quoi je luis répondis avec une émotion bien grande “Oh non” n’osant pas espérer pour l’avenir ce qui était déjà sans me le déclarer le plus troublant de mes désirs.»
Lettre autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]
LE SIDANER HenriLettre autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]. Versailles, 18 janvier 1934 ; 1 page in-4°. « En retour sur des impressions anciennes je ressens que la vue de l’image m’a plus frappé peut-être que la musique même des vers et je transcris ici ces deux souvenirs (si vous le permettez) dont je conserve l’enchantement :de Mallarmé dans “Soupirs” ce vers !Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’azur !et de Baudelaire dans “L’harmonie du soir”Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir....Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. »On joint la réponse à deux questionnaires de H. Corbière : Maximes de vie des grands peintres contemporains : « Travailler ».et « Par le travail et l’Amour. Henri le Sidaner. »
Lettre autographe signée
LE SIDANER HenriLettre autographe signée. Versailles, dimanche ; 2 pages in-8°. « Batilliat est venu me voir aujourd’hui et je lui ai montré la composition de mon ensemble pour Lambinet. J’ai renoncé à la disposition d’un bois unique qui en nos parties réunirait les trois oeuvres. Je vous donnerai les trois tableaux superbement encadrés. Il me sera seulement nécessaire pour teinter le cadre des fleurs, de voir le fond que vous aurez choisi . Il ne vous reste du reste à vous préoccuper que de leur choix et de tout installer. J’aimerais peut-être ? un ton riche et rare composé de bleutés ou violets lourds inchangés ou mordorés. J’espère que nous obtiendrons ainsi une heureuse harmonie »...
Lettre autographe signée
LE SIDANER HenriLettre autographe signée, adressée à Georges Moreau, directeur de La Revue Encyclopédique Larousse. Gerberoy, ans date ; 1 page in-12. « Camille Mauclair devant faire paraître à l’Automne dans l’Art décoratif un article accompagné de quelques reproductions de mes œuvres, je vous serais reconnaissant que vous vouliez m’autoriser à laisser photographier […] Les Arbres taillés. Il est parmi ceux que je préfère. » Moreau répondit affirmativement (note au crayon en bas de la lettre).
Livre neuf
LE PESTEUR Jacques« FRESQUES DE SALLES DE GARDE ». Précédé de Vies et Morts des Internes en médecine. Éditions Ramsay, Paris, 1980 ; 244 X 333 mm avec emboîtage. État superbe.
Lettre autographe signée
LE GO Alexis RenéLettre autographe signée, adressée à son ami le peintre Albert Magimel [1799-1877], élève d'Ingres. Villa Médicis, 14 septembre 1859, minuit ; 4 pages in-4°. Le peintre Albert Magimel vient de perdre son frère. « J'apprends avec un bien vif chagrin l'affreux événement qui vient de vous frapper dans vos plus chères affections. Ta chère femme est surtout bien à plaindre, comment supportera-t-elle un pareil malheur ? Je sais quelle tendre confiance l'unissait à ton frère et combien il en était digne. Elle pouvait compter sur lui comme sur toi-même, et le perdre encore plein de vie, par un si déplorable accident est une fatalité contre laquelle la force de l'âme d'une femme peut bien facilement se briser. [ ] J'ai bien reconnu la chaleur de ton amitié à la manière dont tu me presses au milieu de ton chagrin, de te parler de mes tristes préoccupations. [ ] Mon Henri n'est encore qu'un enfant renfermé pendant 4 ans dans un cloître et depuis un an dans un collège ; il n'a encore appris à rien connaître de la vie d'un homme. On ne lui a donné d'autre gout d'indépendance que celui de ses soustraire à l'autorité et à l'affection paternelles. Quand à la sa sortie du collège il sera admis à se faire une idée de ce qu'est l'indépendance personnelle, et de ce que peut être l'affection de son père pour l'aider à la conquérir, ses gouts naturels reprendront peut être leur emprise et son esprit plus ouvert, son intelligence plus développée changeront peut-être tout naturellement la direction de ses aspirations et de ses appétits ».
Pièce signée
LE CHAPELIER Isaac René Guy — MALHERBE Joseph François MariePièce signée par Le Chapelier et Malherbe. Rennes, le 6 juillet 1766 ; 3 pages in-4°. Il s’agit de réponses aux questions de la ville de Vitré, relatives à la préséance du maire. Après avoir examiné les édits successifs du roi à ce sujet, le conseil déclare « que la ville et communauté de Vitré est bien fondée à soutenir que son maire doit avoir la préséance aux assemblées de la paroisse. […] On ne peut opposer valablement, ni règlement, ni usage antérieur à 1748 puisqu’alors il n’y avait point eu de maires à Vitré. […] Dans les villes et lieux où la justice appartient à des seigneurs particuliers les maires y auront rang (aux hôpitaux) séance et voix délibérative avant le premier officier des dites justices et y présideront à leur exclusion. La présidence appartient donc au maire, à l’hôpital général […] mais sur la fin du même article, il y a une exception qui exclut le maire de la présidence de l’Hôtel-Dieu — à moins que l’hôpital ou Hôtel-Dieu ne fut de la fondation des Seigneurs de Vitré, et par conséquent leurs juges doivent présider au bureau de cet hôpital. […] Les maires iront à l’offrande et auront l’honneur du pain béni et tous autres honneurs de l’église avant tous les officiers des dites justices. » Belle pièce.
Lettre autographe signée
LE BRETON ConstantLettre autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Paris, 15 janvier 1952 ; 1 page in-8°, deux trous d’archivage à gauche.« J’ai appris hier par Monsieur de Laborde, le deuil qui vient de vous frapper. Permettez-moi de vous adresser mes sincères condoléances et l’expression de ma sympathie. J’ai éprouvé moi même ce déchirement qu’est la perte d’une mère et je m’associe à votre pensée ».
Photographie signée
LE BARGY SimonePhotographie signée. 90 X 135 mm. Carte postale de la collection Coquelin. Très jolie pièce.
Pièce signée
LE BARGY Charles-Gustave-AugustePièce signée. Paris, 2 janvier 1929 ; 2 pages in-4°. Traité de contrat entre M. Le Bargy et M. Ballot autorisant la représentation en France de Moloch de M. Boursac de Saint- Marc.
Pièce autographe signée
LAZZARI SilvioPièce autographe signée. Sans date ; 1 page in-4° « Il est impossible d’apprécier l’oeuvre considérable de Gabriel Fauré en quelques lignes. Tout a été d’ailleurs dit sur elle. Je préfère donc évoquer mon souvenir. Il y a des années de cela, je déjeunais un jour chez mon ami Antonin Marmontel avec d’autres musiciens dont un membre de l’Institut chargé […] d’honneurs, de décoration et de quelques mauvais opéras. On parlait de la candidature de Fauré à l’Institut. “Mais enfin qu’a-t-il donc fait, où est son oeuvre pour qu’il ose se présenter” dit un convive. Sur ce, l’immortel dessus nommé (il avait beaucoup d’esprit) de répondre “ La douzième barcarolle ! ”. Ce temps est loin et l’Institut lui-même ne mesure plus la valeur du candidat au nombre des actes et à la longueur des ouvrages. Le temps est également loin où l’on considérait Fauré comme un charmant “petit maître”. [… ] Comme Chopin et Schumann, il lui a plus de se cantonner dans le petit cadre de la musique de chambre, de la mélodie et de la pièce pour piano. Mais dans ce cadre, que de grandeur, que d’émotion, que de grâce et que de nouveauté ! »
Lettre autographe signée
LAZZARI SilvioLettre autographe signée, adressée à un ami. 10 décembre 1937 ; 1 page in-8° oblongue. Il lui envoie « L’analyse de ma symphonie par Lamotte de Gaignon, qui l’a jouée à Barcelone il y a trois ans ».
Billet autographe signé
LAZZARI SilvioBillet autographe signé. Sans date ; 1 page in-16. « Ne connaissant pas l’adresse de Marc Delmas qui vient de m’écrire, voudriez-vous me rendre le service de lui faire transmettre la lettre ci-jointe. »