Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
LAS CASES Emmanuel, Pons Dieudonné, comte deLettre autographe signée, adressée à un éditeur. Paris, 29 octobre [ ?] ; 2 pages in-4°. Il a trouvé à son retour à Paris le prospectus du premier volume de l’Encyclopédie des gens du monde que son correspondant lui a adressé et il lui demande de l’inscrire sur la liste des souscripteurs. « Votre connaissance avec les Dr Gall [Franz Joseph Gall (1757-1828)] et Spurzheim [Johann Gaspar Spurzheim (1776-1832] me fait espérer de trouver enfin la phrénologie convenablement traitée dans un ouvrage qui annonce devoir être aussi remarquable. Maintenant que Spurzheim n’est plus je ne connais d’autre personne vraiment phrénologiste que le Dr Vimont [Joseph Vimont (1795-1857)] qui vient de publier un ouvrage digne de ses prédécesseurs. […] Je suis convaincu que dans le cas où M. Vimont serait encore en France ce que j’ignore il coopérerait volontiers à votre ouvrage si vous vous adressiez à lui. Il est encore une branche de science encore presqu’inconnue en France mais qui a fait assez de progrès en Allemagne pour mériter je pense une place dans votre ouvrage, je veux parler de l’homœpathie. Peu de personnes, même parmi ceux qui la pratiquent la connaissent à fond et avec pureté parce qu’il est bien difficile pour des médecins distingués de dépouiller totalement les idées acquises par un travail de plusieurs années et il serait cependant important de la présenter disons avec développement tout au moins avec exactitude. » A la fin de la lettre, il s’offre de relire la notice qui pourrait éventuellement être consacrée à son père, « cela uniquement pour éviter des erreurs. »En 1821, il cravacha publiquement Hudson Lowe pour venger l’attitude de ce dernier à l’égard de l’Empereur, de son père et de lui-même, un incident qui pourrait expliquer la tentative d’assassinat dont il fut victime en 1825 à Passy par deux hommes parlant à peine le français.
Lettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe
LAS CASES Emmanuel, comte deLettre autographe signée, adressée à Hudson Lowe. 20 décembre 1816 ; 3 pages 1/2 in-folio. « J’ai l’honneur de vous adresser ma lettre au Cte Bertrand, relative à l’offre verbale que vous avez bien voulu me faire de retourner à Longwood. Si dans ma lettre du 18 janvier l’honneur de vous mander que j’attendrais pour lui escrire votre première visite ; c’est que ma facilité en affaires me portait à vous montrer d’avance les brouillons de ces lettres afin de prévenir toute difficulté ultérieure de votre part. Je vous l’envoye aujourd’hui parce que je me trouve pressé par la lettre que je reçois de vous en cet instant. J’ai l’honneur de vous accuser réception de cette lettre du 20 ainsi que de votre décision du même jour, relative à ma déportation au Cap. Je vous prie, Mr le Gouverneur, de vouloir bien aussi m’accuser réception, ne fut-ce que pour la forme, de mes lettres du 30 9bre, du 2, 4 et 18 Xbre demeurées sans réponse jusqu’à ce jour et dans lesquelles je me retirais de ma sujétion volontaire ; je vous sommais (autant que la circonstance l’admettait) de me rendre à la liberté ; je protestais contre la séparation de mes papiers ; je vous ferais connaître l’état déplorable de la santé de mon fils et de la mienne, vous demandant d’être envoyé immédiatement en Angleterre soit pour y être jugé s’il y avait lieu, soit pour y trouver les secours de la médecine, vous offrant d’avance toutes les suretés qui pourraient équivaloir à la quarantaine du Cap et vous observant qu’ici et dans un cas aussi particulier, je voulais que la lettre de vos instructions put vous mettre à l’abri de leur esprit invoqué par la supériorité des lois de S.R. Dès que vous m’auriez mis à même, Monsieur, de connaître le désir de Longwood, je m’empresserai de vous faire parvenir mon choix comme aussi mes observations sur votre décision à mon égard. Une chose m’y a frappé en la parcourant des yeux : c’est que quelqu’un dont la délicatesse s’est trouvée heurtée par l’expression furtive et qui a rencontré une personne aussi empressée à l’effrayer, n’ait pas été plus ménagé dans le choix du mot seducing si faussement appliqué dans votre décision. N’importe, cette circonstance ou tout autre ne sauraient me faire repentir jamais d’avoir suivi l’impulsion de mon cœur vis-à-vis de qui ce soit. J’ai l’honneur d’être, Monsieur, votre très humble serviteur. Le Cte de Las Cases.P.S. Oserai-je vous demander encore, si vous persistez toujours au changement de demeure dont vous m’avez si souvent parlé. Outre l’inconvénient que j’ai eu l’honneur de vous mentionner et que vous me dites avoir si bien saisi vous-même, il est encore l’état de mon malheureux enfant dont les progrès alarmants et journaliers demanderaient des soins suivis. Vous m’avez dit que notre nouvel endroit serait plus sur la route des secours. Nous en sommes ici tellement éloignés que nous ne pouvons être que très mal. Une autre chose (vraiment je suis trop malheureux) c’est que mon fils insensiblement ne peut plus écrire. Je n’y vois pas et vous jugerez que je ne saurais écrire moi-même Ne me serait-il pas possible d’obtenir sous peu de jours un copiste. J’ai tracé quelque chose touchant des objets relatés dans nos conversations. Je ne puis vous l’envoyer faute de pouvoir le faire retranscrire. Pourtant cela pourrait vous être utile et me rendrai heureux si je pouvais par là devenir l’instrument de quelqu’amelioration. »
Lettre autographe signée
LARROUMET GustaveLettre autographe signée. Paris, 24 janvier 1899 ; 1 page in-8°. Bel en-tête de l'Institut de France avec vignette. « Je serai très heureux de causer avec vous de Roll, dont j'admire beaucoup le talent, et de vous conseiller utilement si je le puis. »
Lettre autographe signée illustrée de plusieurs dessins
LARROQUE Armand-AlexisLettre autographe signée illustrée de plusieurs dessins, adressée à son ami Albinet. [Nice], s.d. ; 4 pages grand in-4° à l’encre rouge (31 x 21 cm). « Mon cher Albinet, Aujourd’hui pour m’inspirer il fait un soleil d’or qui flamboie sous la pétillante coupole azurée. Quel beau pays enchanteur que Nice !... Vous seriez ravi de l’habiter avec moi. L’inspiration se développe naturellement au contact des belles choses qui vous sourient dès l’aube jusqu’au crépuscule du soir. Et puis la vie sublime de cette mer simple et grande comme un monde. L’on se sent remué jusqu’au fond de l’être ; le regard s’allume de convoitise et de jouissance ; le souffle artistique devient brûlant, intense, dévorateur. Tous les soirs à la même heure, campé sur un rocher qui domine la ville niçoise, quand le soleil, comme une hostie ensanglantée descend dans le ciboire violâtre que forme exactement la découpure échancrée d’une montagne, ivre d’immensité, pantelant, je hume fiévreux, l’air ambiant qui enveloppe harmonieusement ce féerique panorama qui se déroule à mes pieds : Sur le premier plan, des coteaux et des arbres aux tons riches et variés ; quelques-uns de ces derniers sont au crépuscule coiffés de calottes d’or : le soleil frise leur sommet de ses obliques rayons qui vont bientôt s’évanouir pour laisser tout se noyer dans le silence de la nuit. Au second plan, la ville de Nice aux mains agglomérées. Au second plan la ville se profile en bleu clair sur la mer qui est vert clair à ce moment. La ligne d’horizon est une traînée violâtre qui se fond dans le vert du ciel. Sept heures sonnent. Je descends de mon rocher et regarde paisiblement mon gîte hospitalier. Des calèches nombreuses qui montent ou descendent le chemin que je parcours, aucune ne s’arrête pour me prendre. Arrivé chez moi, je mange, et quand j’ai mangé, repu, je vais me coucher. Bonsoir, Albinet. Mes amitiés à vous, à Dartigues, Albert et Cornut s’il n’est pas mort. Armand-Alexis Larroque. » A la suite, Larroque a esquissé la scène qu’il décrit dans sa lettre, se représentant juché sur un rocher dominant la ville de Nice. Des dessins plus élaborés figurent au verso de chaque feuillet : trois mains sur le premier et un vigoureux étalon sur le second avec cette légende : « cheval d’Ali-Baba – cherchez les quarante voleurs ».
Pièce signée
LARREY Dominique Jean, baronPièce signée. Paris, 28 avril 1823 ; 2 pages 1/2 in-folio. Très important document sur le testament de Napoléon. « Les faits principaux relatifs à l'objet matériel de la question qui doit être traitée par le conseil des arbitres sur les droits des personnes portées sur le testament et le 3me codicile de l'Empereur napoléon, paraissent traités avec une telle précision et une telle impartialité par les avocats partisans de le division en distinction de ces deux actes, qu'on ne saurait révoquer en doute la légitimité des motifs sur lesquels ces mêmes avocats jugent cette question en faveur des légataires du Testament, or, il n'y a maintenant pour compléter la solution de cette question, que l'objet moral à traiter : c'est sans doute la tâche la plus difficile et la plus délicate à remplir ; cependant pour les personnes qui connaissaient parfaitement le caractère et la grandeur d'âme de Napoléon, comme celles intéressées du 3me codicile, il ne peut rester dans leur esprit ni dans leurs coeurs, nul doute que l'opinion qu'elles se sont formées, que quand à la rétribution pécunière établie dans ces deux actes qu'on peut considérer comme rémunération de la part de l'Empereur pour chacun de ceux portés surtout dans le premier de ces actes, est telle que son intention a été que les sommes désignées pour chacun fussent payées par les créances qui leur sont exclusivement et séparément affectées par ces deux différents actes, et on ne peut prêter à l'Empereur, sans l'accuser d'imprévoyance, l'idée de faire réduire aux personnes nommées par lui dans son testament, les sommes qu'il leur donne, pour effectuer le payement de celles désignées au 3me codicile, en supposant que la créance, spécialement chargée de leur acquittement vint à manquer, nous n'examinerons pas même la situation respective sous le rapport de la fortune des personnes dénommées dans ces deux actes, mais nous la demandons à celles désignées dans le premier, pensent-elles que l'Empereur ait jamais eu l'intention de réduire la somme assignée par exemple aux enfants de Labédoyère, de Monton-Duvernet, à ceux de Travot, de Chatran, etc. pour donner une somme quelconque aux enfants des maréchaux duc d'Istrie de Frioul et autres personnes désignées dans le 3me codicile ? C'est d'autant moins vraisemblable, que ce souverain, pendant son règne, avait assuré le sort des veuves et des enfants des deux premiers guerriers que nous avons nommés. Pour terminer l'interprétation des pensées de l'Empereur lorsqu'il a fait ces actes et dans le sens que nous avons établi, il aurait d'autant moins voulu prendre sur les fonds Laffitte pour payer les legs de son codicile n°3, qu'il dit formellement à l'article 35 de son testament, que s'il restait des fonds sur la somme totale, les legs de son testament payés, ils seraient distribués aux blessés de Waterloo et aux soldats de l'ile d'Elbe. Dans la double supposition, il n'a certainement pas entendu réduire ce qu'il a bien voulu donner aux uns pour avantager les autres. Pourquoi l'Empereur a-t-il dit que le 3me codicile serait assimilé à l'article 36 de son testament ? C'est pour prouver aux descendants des Maréchaux d'Istrie, Duroc, du gal Le Tort et à l'ordonnateur Boinod, qu'il leur donnait le même tribut de gloire et d'honneur, qu'à ceux portés sur son testament. Toutes ces considérans, ce me semble , ne laissent aucun doute sur la spécialité. Il est donc de toute justice, sous le rapport moral et matériel, que les sommes de chaque créance soient exclusivement distribuées aux personnes désignées dans les différents actes de l'Empereur Napoléon.» (Provenance : Ventes Archives du général Bertrand-Drouot)
Ensemble de 3 lettres autographes signées, adressées au journaliste René Brest
LARQUEY PierreEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées au journaliste René Brest : Paris, le 5 janvier 1935 ; 2 pages in-4°. « Pendant les prises de vue de LOr dans ma rue, Préjean et moi devions provoquer une grosse explosion au cours de nos recherches en vue de la fabrication de lor. Dans un immeuble creuset, un mélange important de poudre de chasse et dautres produits divers avait été entassé par le chimiste professionnel, chargé de diriger nos opérations, car un professionnel présidait à nos ébats, comme bien vous pensez. Si dans le film, je représente un chimiste averti, mes connaissances dans cette matière, sont complètement nulles. Celles de Préjean ne doivent pas être beaucoup plus élevées. » Il raconte par la suite le tournage de lexplosion. Il na pas retiré les bras suffisamment tôt et il fût légèrement atteint par quelques petites brûlures aux cheveux, sourcils et moustache. Paris, le 8 janvier 1935 ; 2 pages in-4°. « Vous mavez demandé mes impressions dacteur sur un sujet quelconque Vous mavez suggéré lArt dramatique au théâtre et au cinéma par exemple. Et voilà ce qui membarrasse voyez-vous : faire du texte. Voilà de nombreuses années que je joue le texte des autres, mais lidée ne métait jamais venue den faire moi-même. Et pourtant quel sujet admirable : le Théâtre et lÉcran. Ah que je connais des gens qui écrivaient de belles choses là-dessus ! Oui mais voilà aujourdhui cest mon tour. [ ] Actuellement je suis très préoccupé par linterprétation de 3 personnages assez différents à tourner dans 3 films. Je tourne en ce moment, aux côtés de Milton, dans un film dAndré Hugon, un pauvre homme de français moyen qui a échoué partout, qui vit dans la détresse la plus noir et qui a très mal tourné. » Maisons-Laffite, le 11 décembre 1936 ; 1 page in-4°. « Je rentre linstant dAllemagne et je trouve votre aimable carte du ... 8 novembre quon avait omis de me faire suivre là-bas. Hélas je nai aucune des coupures ou articles dont vous me parlez. Quant aux photos, je nai pas grandchose. Sous ce pli, je vous adresse tout ce qui me reste. »
Lettre autographe signée
LARGUIER LéoLettre autographe signée, adressée à Jean-Jacques Brousson. 1 page in-4°. « J’ai lu avec quelque retard, après l’obligatoire migration d’été, votre chronique des Nouvelles littéraires et je vient vous remercier. Vous êtes d’ailleurs toujours fidèle, généreux et bien disant et je regrette de ne pas vous voir. Il y a pourtant des années que vous aviez promis à ma femme (un soir d’été à la terrasse du café ... )de venir manger un fricot de chez nous. »
Manuscrit autographe
LARGUIER LéoEnsemble de 2 manuscrits autographes (dont un signé « Francis Laurière »), « Sa Majesté la Reine.» & « Leurs Majestés ». 58 pages in-4°, quelques collages et corrections.Contes de protocole et dhumour, mettant en scène des monarques et des courtisans des royaumes de Syllistrie et de Carinthie, de nos jours : Othon XXIII et son frère larchiduc Salvator, Marie-Dorothée et Christian IV, occupés damour, de sciences, dun traité de commerce et, presque toujours, de leur dignité...On joint des brouillons autographes (17 pages in-4°) et 2 coupures de presse.Provenance: Succession Léo Larguier, 2006.
Lettre autographe signée
LARGUIER LéoLettre autographe signée, adressée à Charles-Henry Hirsch. 27 février 1918 ; 4 pages in-8°. Il est actuellement sergent dans la 84e compagnie d’aérostiers. « Je vous remercie de votre lettre. Bien que trop pleine d’éloges elle m’apporte un puissant réconfort. La guerre a brisé tant de choses en moi et autour de moi que je suis plus heureux que je ne saurais le dire de retrouver votre amitié si vivante. De ce passage effaré, si je reviens, je crois que je ne rapporterai rien. J’admire les hommes comme Barbusse qui savent asservir même l’horreur à leur art, mais moi que puis-je faire ? Prendre un crêpe sanglant, en faire le voile de gloire que l’on jettera sur les ossuaires... Tout mon métier de sorcier et de transfigurateur ! C’est peu. Puis on perd pied ici. J’ai rêvé que je traînais dans les salles de rédaction le carrick du colonel Chabert de Saint-Balzac. Enfin, on travaillera. Nous ne sommes plus que quelques uns comme vous et moi à garder la Foi, mais nous l’avons bien, n’est-ce-pas, la Foi des vieux Saints de la littérature. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à M. Wyttenbach
LARCHER Pierre-HenriEnsemble de 3 lettres autographes signées adressées à M. Wyttenbach, professeur à Amsterdam. Paris, 1797 à 1802; 9 pages in-4°, adresses et marques postales.Il y parle de ses travaux littéraires, des savants de son temps et de la composition de l’Institut après la Révolution. Détails intéressants sur les membres de l’Institut qui est très mal composé.
Ensemble de 3 lettres autographes signées adressées à M. Wyttenbach
LARCHER Pierre-HenriEnsemble de 3 lettres autographes signées adressées à M. Wyttenbach, professeur à Amsterdam. Paris, 1797 à 1802; 9 pages in-4°, adresses et marques postales.Il y parle de ses travaux littéraires, des savants de son temps et de la composition de l’Institut après la Révolution. Détails intéressants sur les membres de l’Institut qui est très mal composé.
Carte de visite autographe
LAPRADE Victor Richard deCarte de visite autographe. 1 page in-32 oblongue. Il remercie M. Billaud de son charmant volume.
Portrait en lithographie
LAPLACE Pierre Simon, marquis dePortrait en lithographie. XIXe siècle ; 157 X 240 mm sur un feuillet de 215 X 290 mm. Lithographie par Ch. Bour d’après une peinture de F. Philippoteaux. Beau portrait de Laplace, lisant un livre assis dans un fauteuil .
Correspondance de 2 lettres et dune carte autographes signées
LAPICQUE CharlesCorrespondance de 2 lettres et dune carte autographes signées, adressées au critique dart Georges Boudaille. Lettre autographe signée. 21 mars 1959 ; 1 page in-4°. « Je suis infiniment touché par votre papier sur mon exposition de dessins dans les Lettres Françaises. Il me semble que vous avez présenté lessentiel de cette oeuvre à laquelle je tiens beaucoup. Merci mille fois et merci pour lannonce que vous faites dune analyse de mes Essais ; cela me ferait un grand plaisir. Jai rencontré à mon exposition Marcel Guillot, qui ma dit être enchanté davoir fait votre connaissance. je me réjouis de lire son article ; je suis sur quil sera à la fois très sérieux et très original. » Carte autographe signée. 24 novembre 1960 ; 2 pages in-16 oblongues.« Jai bien regretté de vous manquer lors de votre passage à mon exposition galerie Villand Galanis. Je suis enchanté de larticle - interview [ ] dans les Lettres Françaises » Lettre autographe signée. 3 juin 1967 ; 1 page in-4°. « Jai lu avec autant de plaisir que dintérêt votre bel article sur ma Rétrospective au Musée dArt Moderne, dans les Lettres Françaises.Cest un grand réconfort pour moi de voir la fidélité que vous avez toujours portée à mes efforts, se manifester dans cette occasion à la fois glorieuse et redoutable. Croyez bien que je suis infiniment sensible à la fois à la justesse de votre analyse et à la sympathie pour loeuvre et pour lartiste, dont témoigne votre importante chronique. »
Photographie dédicacée
LAPICQUE CharlesPhotographie dédicacée à Maurice Escande. Mai 1965 ; 17,5 x 23,5 cm. Photographie représentant le Parthénon (photographie de Ch. Lapicque). Dédicacée au dos : « Pour vous, cher Maurice, ce petit souvenir à la fois dun grand chef doeuvre que vous avez bien aimé, et dune délicieuse soirée dans votre inoubliable appartement. Charles Lapicque. Mai 65. »