Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
KRAUSS GabrielleLettre autographe signée [à Alice Gossen]. Anvers, 26 décembre 1885 ; 1 page in-8°.« Quoique n’ayant pas le plaisir de vous connaître, je suis contente de vous envoyer ce petit autographe. »
Portrait gravé.
KRANTZ Jean-Baptiste-SébastienPortrait gravé. 1874 ; 265 X 380 mm. Portrait gravé en lithographie par A. Néraudan, tiré du Panthéon Républicain (1874). On joint sa biographie imprimée de la même époque. Très beau portrait.
Lettre autographe signée
KRABBE Hendrick MaartenLettre autographe signée, adressée à Jean Signovert. 23 juillet 1951 ; 4 pages in-12. « J’ai eu deux commandes pour des portraits, et le soir j’étais obligé de préparer mes conférences pour cet hiver [...]. Je vous remercie aussi que vous avez donné à Monsieur Braque ce que j’ai écrit [...]. Quelques jours que j’ai vu le film de Braque dans lequel vous fixez le dessin sur le mur [...]. En ce qui concerne M. Braque j’avais fortement l’impression que c’était pour lui une supplice de jouer pour le film ! Pourtant je suis content d’avoir vu ce grand homme, avec sa belle tête passionnée !... Ici à la campagne je dessine un un peu ». On joint une lettre autographe signée de Madame Greet Krabbé, la femme du peintre [une des seules femmes sorties vivantes du ghetto d’Amsterdam - en même temps qu’Anne Franck, qu’elle a connu].
Lettre autographe signée
KOSMA JosephPièce signée. Paris, 3 août 1959 ; 2 pages 1/2 in-folio. Contrat signé avec M. Breal afin de composer un opéra de sa pièce en 3 actes Les Hussards. On joint une lettre autographe signée de Mme KOSMA, épouse du compositeur Kosma . Paris, 24 mai 1960 ; 1 page 1/2 in-4°. « Mon mari a été très touché par votre si gentille lettre. Oui, nous aussi, nous avons beaucoup aimé l’émission que vous avez si bien su rendre vivante et nous avons aimé qu’elle nous ait procuré le plaisir de vous connaître. »
Poème autographe signé
KOPLAND Rutger (Rutger Hendrik Van den Hoofdakker, dit)Poème autographe signé, intitulé « Choisir une carte postale ». Sans date ; 1 page in-8°.« Sur la carte postale figurent quelques hommesIls jouent à la pétanque sous un plataneÀ leurs pieds, les boules qu’ils ont lancéesIls ont arrêté le jeu et réfléchissentIls forment un cercle, leurs têtes penchéesSur ce qui se trouve làC’est un problème qui se trouve làJamais leurs boules n’ont reposé ainsi.Je peux regarder cette carte longtempsSans doute le soir est proche, les ombresSont déjà longues, la fin d’une journée chaudeEt alors que rien ne bouge làGrandit invisiblement lente une questionLa question : Que faire maintenant ?J’aimerais t’envoyer cette carte. »On joint 2 cartes postales autographes signées.
Photographie signée
KÓNYA SándorPhotographie signée. 14,5 x 10 cm. Photographie de S. Lauterwasser, le représentant dans Lohengrin.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
KOENIG John-FranklinEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées au critique dart Georges Boudaille. 1960-1962 ; 2 pages in-4°, en français. Luxembourg, 1 mars 1960 : « Je profite dun moment de repos - quelques jours que je passe au Luxembourg - pour vous envoyer ce petit mot pour vous remercier (bien tardivement, jadmets, mais...) pour lintérêt que vous continuez à porter à mon oeuvre, et pour plus spécialement votre article sur Antagorrigmes - avec la reproduction dune de mes toiles. Je ne vous ai pas vu depuis quau vernissage de Feito, mais ce nétait pas le moment ; donc acceptez ce petit mot de remerciement de lamitié. Cest à peu près tout. Le silence des bois luxembourgeois ma fait du bien ; quelques interminables promenades - marches 25-30 km aussi mont aidé à changer les idées. » 12 mars 1962 : « Simplement un mot pour vous dire que jai reçu Cimaise avant mon départ en ce long petit voyage (à lintérieur de mon grand voyage) qui me fait parcourir les îles de Kyûshû et Shihosen.Jétais très touché par votre (compte-rendu serait impropre, cest beaucoup plus que cela) par vos paroles concernant mon travail de lannée dernière et beaucoup plus de cela. Cela me gêne beaucoup de parler de mon travail (et de ma vie, car ils sont très étroitement liés). »
Lettre autographe signée
KOBELL Franz Ritter vonLettre autographe signée. Munich, le 17 mars 1842 ; 4 pages in-4°, en français. « J’ai reçu avec beaucoup de plaisir la seconde parthie de votre mémoire sur les Kaolins et je m’empressais de communiquer vos belles observations et réflexions dans notre Journal des Savants. […] J’ai admiré vote persévérance dans une recherche qui parait toute propre, à faire beaucoup de travail sans permettre la perspective d’un résultat satisfaisant […]. Il serait été intéressant d’examiner exactement si le feldspath de Dixon-Plate est peut-être un oligoklas ou un triphane, car c’est ne pas un véritable feldspath. Vos experiments galoaniques pour décomposer le feldspath m’ont vivement intéressé et j’étais bien charmé que vous avez réussi. Mais quelles sont les éléments de la pile dans la nature ? Est-ce que le fer était un jour à l’état métallique dans l’écorce de la terre, est-ce que le temps et l’action galvanique l’on changé en oxyde ou l’ont combiné avec des autres éléments ? […] Quant au galvanisme, je poursuivi ma galvanographie, de laquelle vous avez daigné si aimablement les premiers essayes de votre attention. […] Je fis imprimer un mémoire sur cet objet. » Il souhaite faire publier cet ouvrage en français et lui demande son assistance pour trouver un libraire efficace « un homme sûr, pour cela ». Il propose de contacter « la maison de Cotta, ici, pour recevoir les planches et ou les plaques, car je ne connais pas les voies et moyen de transport ». Il ajoute en post-scriptum : « La planche avec les chevaux montre une combinaison de l’art à graver à l’eau-forte avec la galvanographie. Le contour est gravé, ainsi, je pris le relief galvanique de la plaque et alors je fis le peindre en manière noire. » Belle lettre technique.
Lettre autographe signée
KOBELL Franz Ritter vonLettre autographe signée. Munich, le 17 mars 1842 ; 4 pages in-4°, en français. « J'ai reçu avec beaucoup de plaisir la seconde parthie de votre mémoire sur les Kaolins et je m'empressais de communiquer vos belles observations et réflexions dans notre Journal des Savants. [ ] J'ai admiré vote persévérance dans une recherche qui parait toute propre, à faire beaucoup de travail sans permettre la perspective d'un résultat satisfaisant [ ]. Il serait été intéressant d'examiner exactement si le feldspath de Dixon-Plate est peut-être un oligoklas ou un triphane, car c'est ne pas un véritable feldspath. Vos experiments galoaniques pour décomposer le feldspath m'ont vivement intéressé et j'étais bien charmé que vous avez réussi. Mais quelles sont les éléments de la pile dans la nature ? Est-ce que le fer était un jour à l'état métallique dans l'écorce de la terre, est-ce que le temps et l'action galvanique l'on changé en oxyde ou l'ont combiné avec des autres éléments ? [ ] Quant au galvanisme, je poursuivi ma galvanographie, de laquelle vous avez daigné si aimablement les premiers essayes de votre attention. [ ] Je fis imprimer un mémoire sur cet objet. » Il souhaite faire publier cet ouvrage en français et lui demande son assistance pour trouver un libraire efficace « un homme sûr, pour cela ». Il propose de contacter « la maison de Cotta, ici, pour recevoir les planches et ou les plaques, car je ne connais pas les voies et moyen de transport ». Il ajoute en post-scriptum : « La planche avec les chevaux montre une combinaison de l'art à graver à l'eau-forte avec la galvanographie. Le contour est gravé, ainsi, je pris le relief galvanique de la plaque et alors je fis le peindre en manière noire. » Belle lettre technique.
Carte autographe signée
KNIASEFF BorisLettre signée, adressée à André de Fouquières. Genève, 19 juillet 1957 ; 1 page in-4°, en français. En-tête imprimé « Boris Kniaseff — Académie Internationale de Chorégraphie ». Belle lettre : « Je n’ai pas pu, depuis longtemps, vous donner de mes nouvelles. Mon travail m’a entièrement accaparé […]. Ce n’est qu’après quatre ans de travail assidu que je peux commencer à montrer les résultats de ma nouvelle méthode. Les progrès de mes élèves me donnent de grandes joies. […] Du 28 juillet au 4 août, je suis invité à collaborer avec Serge Lifar au premier Congrès Mondial des Chorégraphes, à Aix-les-Bains […]. Heureusement j’ai près de moi, depuis 4 ans, une personne dont l’aide m’est précieuse, Madame Mercier, avec qui je fais un grand travail : mon nouveau livre ». On joint une lettre de Juliette Mercier datée du lendemain à M. André de Fouquières.
Ensemble de lettres autographes signées
KLINGSOR Tristan (Léon Leclère, dit)Ensemble de 4 lettres autographes signées, adressées à Jean-René Thomé :— Paris, le 20 janvier 1947 ; 1 page in-8°. En-tête « Académie Ronsard ». « Vous avez dû recevoir le dernier Ronsard avec votre article sur les Inventaires. Que méditez-vous de nous donner pour les prochains n°? Pouvez-vous m’indiquer quelques sujets ? »— Paris, le 14 juin 1947 ; 2 pages in-8°. « Merci infiniment pour le Fontaney . Je vais le faire envoyer à l’imprimerie. Et nous publierons volontiers d’autres notes sur les petits romantiques. »— Paris, le 27 juin 1947 ; 2 pages in-8°. « Pour les éditeurs de poètes, il ne s’agit pas des contemporains, mais de ceux du passé, Rendul, Poulet Malassis, Vanier, et même le cas échéant de ceux d’autrefois. Il s’agit de rappeler que l’édition des poètes n’est pas toujours nécessairement une mauvaise affaire. »— Paris, le 21 avril 1948 ; 1 page in-8°. « Le numéro en préparation de Ronsard, où figurait votre poème, a bien été mis en pages, mais n’est jamais sorti de l’imprimerie, le commanditaire s’étant dérobé. Vous le savez peut-être déjà, mais je tiens à m’excuser auprès de vous de vous avoir laissé inutilement préparer un article. »
Pièce autographe signée en tête du document
KLEIN WilliamPièce autographe signée en tête du document. Sans date ; 1 page in-4°. 20 lignes dans lesquelles il décrit l’ambiance de 1968 à Paris et parle aussi d’un dessin de son fils, alors âgé de 5 ans, dessin dont il joint la photocopie et qu’il a réutilisé pour l’affiche de son film Grands Soirs et Petits Matins. « En 68, j’était à Paris depuis déjà près de 20 ans. Et c’était la 1ere fois qu’on me parlait et en plus on vous écoutait. Dans mon quartier (latin) on vous écoutait, même dans ma maison. Même mes voisins. Sauf la concierge. Elle ne parlait qu’aux flics. Tous les 3 mètres, un groupe discutait, analysait, délirait. J’osais m’y mêler. Même en filmant, je parlait. Malgré mon accent. En juin, c’était terminé. Et depuis 20 ans, on se parle plus comme ça... Voici un dessin que mon fils, 5 ans a fait au Comité Gavroche, à la Sorbonne. Je l’ai employé pour l’affiche de mon film Grands soirs et Petits Matins. » Le document est signé en tête de la lettre : « William Klein, photographe, cinéaste américain ».
Pensée autographe signée
KISTEMAECKERS HenryPensée autographe signée. « La liberté d’un être finit où commence la douleur d’un autre être. (La Blessure. Acte III) ».Au-dessous, pensée autographe signée de Paul Milliet :« O nature, pleine de grâce,Reine du temps et de l’espaceDaigne accueillir celui qui passeEt te salue humble mortel...(Werther, acte I) ».et une pensée autographe de Robert de Flers :« Une couronne d’épines c’estUne couronne de roses d’où lesroses sont tombées. »
Lettre autographe signée
KISTEMAECKERS HenryLongue lettre autographe signée, adressée à A. Bloch. Bassou, Yonne, 25 août 1930 ; 2 pages in-4°. Lettre en rapport à un contrat sur le film produit à partir de son œuvre « La Nuit est à vous ».
Lettre autographe signée
KISLING MoïseLettre autographe signée, adressée à Yves Bonnat. Sanary-sur-mer, « Dimanche » ; 1 page in-8° oblongue. « Je viens de recevoir ta lettre et les invitations qui me sont parvenues de Paris. Comme tu vois, je suis encore dans le midi et regrette sincèrement de n’avoir pas pu assister à ton vernissage. J’étais si content de te retrouver après de longues années et j’espère que j’aurais la joie te revoir et plus souvent ! Ainsi que ta si charmante femme. Je suis certain que tu as du succès parce que tu le mérite pleinement. Peut-être j’arriverai avant la cloture et si non sitot arrivé à Paris, je te ferai signe et verrai ton turbin chez toi. J’envoie d’ici à trois ou quatre personnes intéressantes et qui peuvent s’interesser à ton exposition. »