Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
JAMET ClaudeLettre autographe signée. « Fresnes, 2 décembre 1944 (Saint-Austerlitz !) » ; 2 pages in-8°. Rare lettre durant sa période de détention. Claude Jamet fut un collaborateur que le pacifisme mena à l’hitlérisme. Il fut libéré de la prison de Fresnes le 15 février 1945 (une semaine après l’exécution de Brasillach).
Lettre autographe signée
JAMES HenryLettre autographe signée, adressée à Mlle Souvestre. « November 4th »; 16 pages in-12. Sur papier à en-tête du « 34, de Vere-Gardens » (Kensington, Londres). « Dear Mademoiselle […]. I have come back from the country without having written to you again, but I will not come another hour. I took a chill while away which give me a violent cold so that I felt quite too little inactive of any faculties to hold epistolary ... with a lady of your formidable nation ! I will writing these next days, …………… to two friends of mine, one in New York and one in Washington, ………… M. Ribot, so that we will be so good as to call after ... they will be …… prepare to give him a friendly welcome of propose ……… rather than reasons .... impact to you ............ that I have for a long time part found myself forced to observe very religiously ……………………… of not going direct introductions in America to any person with ………… I have not direct personal acquaintance (buy) constant abscence from my owne country has …………… very much the intuinacy of any social relations …… …… it is a simple fact that will ………………… in the americans cities few persons (whose acquaintance would be worth a visitor sanking with whose I am in such terms as to make it all geither confortable to a stranger however
Ensemble de 3 lettres autographes signées.
JAMES HenryEnsemble de 3 lettres autographes signées.— Lettre autographe signée, adressée à Mlle Souvestre. « Wednesday 23th » [1886] ; 3 pages in-12. « Dear Mademoiselle Souvestre. — Lettre autographe, adressée à Mlle Souvestre. « 3 Bolton Piccadilly, July 11th » [1886] ; 3 pages in-12, incomplète de la fin. « Dear Mademoiselle Souvestre. — Lettre autographe signée, adressée à Mlle Souvestre. « ce 30 octobre 1886 » ; 3 pages in-12. Sur papier à en-tête du « 34, de Vere-Gardens » (Kensington, Londres).+« Dear Mademoiselle Souvestre.
Ensemble de 2 dessins aquarellés
JAMBON MarcelEnsemble de 2 dessins aquarellés représentant des colonnes ouvertes, l’une surmontée d’un aquarium et l’autre d’une composition de plantes vertes. 19,5 x 14 cm, chaque.
Manuscrit autographe signé
JALOUX EdmondManuscrit autographe signé intitulé « Malwide von Meysenbug ». 5 pages grand in-folio (38 x 25 cm).Très intéressant manuscrit, publié sans doute au Temps, sur la grande féministe et amie de Richard Wagner.
Manuscrit autographe signé
JALOUX EdmondManuscrit autographe signé. 5 pages in-folio. Les quatre-vingts ans de M. J.H. Rosny aîné. Manuscrit publié au Temps. « Je reconnais qu’il est difficile d’avoir lu les quelques cent volumes écrits par J. H. Rosny. »
Pièce signée
JALOUX EdmondTapuscrit signé avec nombreuses corrections autographes. 7 pages in-4°. « Le souvenir de René Boylesve ». Il raconte sa visite au cimetière de Passy et la tombe de René Boylesve. « Cette tombe est toute simple. Une simple dalle de marbre gris avec ces mots : René Boylesve, écrivain français et deux dates. Une croix de chrysanthèmes rouges est posée sur la pierre.» Il raconte en quelques pages la passé de Boylesve. Intéressant manuscrit.
Lettre autographe signée
JAELL AlfredLettre autographe signée. Heidelberg, 8 décembre 1869 ; 3 pages in-12. « Veuillez avoir la bonté de mentionner dans votre prochain journal qu’après notre brillante tournée à travers la Suisse où nous avons donné entre autre à Genève 2 concerts nous venons de donner des concerts avec le plus éclatant succès à Darmstadt, Heidelberg et Fribourg […]. Nous nous rendons à Leipzig où nous devons nous faire entendre aux Concerts du Gewandhaus ! » Avec sa femme Marie, il va faire une série de concert à travers l’Europe et la Russie en contribuant à faire connaître les œuvres des grands compositeurs tels que Brahms, Liszt, Beethoven, Schubert, Mendelssohn et Reinecke.
Lettre autographe signée
JAELL AlfredLettre autographe signée. Cologne, 3 février 1861 ; 4 pages in-8°. « Lhomme propose et Dieu dispose ! Une invitation avantageuse pour un concert à Aix-la-Chapelle retardera mon arrivée à Paris de quelques jours, de manière que je ne pourrais vous voir que le 11 courant. Mais ceci nempêche pas, au contraire, cest une raison de plus pour laquelle je vous prie, mon cher ami de bien soigner mes affaires parisiennes et dafficher au plus tôt possible mon concert. [ ] Ce soir je joue sur un piano de Pleyel dont je sui on ne peut plus enchanté ! Il me donne presque envie de donner mon concert chez Pleyel à Paris ! [ ] Sauriez-vous aussi quel jour aura lieu mon concert, et envoyez-moi laffiche (sous bande). »
Lettre autographe signée
JADIN Louis GodefroyEnsemble de deux lettres autographes signées. 1881 ; 1 page in-8° et 1 page 1/2 in-8°. Sur une fête des rois en l'honneur du commandant Berger et sur le général Cambriels.
Lettre signée
JACQUES IILettre signée « Jacques R[ex] » avec 6 mots autographes, adressée au duc de Juliers Philipp-Wilhelm von Wittelsbach-Neuburg, en français. Château de Whitehall, 15 octobre 1685 [25 octobre 1685, nouveau calendrier]. 1 page in-4°, adresse au dos, cachets armoriés de cire noire avec vestiges de lacs de soie noire. « Mon cousin, le vin que le Sieur de Philippin votre escuyer et lieutenant-colonel de vos gardes m’a présenté de votre part, m’est d’autant plus agréable qu’il est une nouvelle marque de votre affection, et un surcroist de l’ancienne bonne volonté que la Maison palatine de Neubourg a toujours eue et conserve pour moy. Ledit sieur de Philippin, qui s’est bien aquitté de la commission dont il étoit chargé, vous asseurera à son retour de mon amitié, et du désir que j’auray en toutes rencontres de vous en donner des preuves. »
Lettre autographe signée
JACQUES IILettre autographe signée « J R [ex]», adressée au futur duc de Lauzun, en français. Château de Saint-Germain-en-Laye, 31 août 1690 ; 1 page 1/4 in-4°, adresse au dos, cachet armorié de cire rouge, petite déchirure due à l’ouverture sans atteinte au texte. « JE VOY QUE L’ON AVOIT LAISSÉ bOISLEAU DANS LIMERIKE AVEC LE PLUSPART DE L’INFANTERIE IRLANDOIS ET QUELQUE CAVALRIE ET DRAGONS, ET QUE VOTRE INFANTRIE ET LE CANNON DEVOIT MARCHER À GALLOWAY. JE SUIS FORT EN PAINE POUR VOUS AUTRES, SÇACHANT LE MÉCHANT ESTAT DE MES AFFAIRS par les lettres du d[uc] de Tyrconnel [Richard Talbot, vice-roi catholique d’Irlande, un des chefs militaires de l’armée jacobite]. J’espère que les vaisseaux du roy arriveront assez à temps pour pourvoir à votre sûrté, s’il en est le besoin […]. La reyne et moy faisons tout ce que nous pouvons pour vous justifier auprez du roy et vous pouvez […] vous assurer que je ne manqueré pas de le faire e[n] tout temps et en tout lieu. »LA RÉSISTANCE HÉROÏQUE DE BOISSELEAU DANS LIMERICK. Après la défaite de la Boyne (11 juillet 1690), l’armée franco-irlandaise de Lauzun et Tyrconnell se replia sur l’Ouest entre Galway et Limerick. Guillaume II assiégea cette dernière mais dut se retirer en septembre devant la détermination du maréchal de camp Alexandre de Rainier de Droué, marquis de Boisseleau qui commandait la place. Peu après, Lauzun et Boisseleau rentrèrent en France, laissant les troupes jacobites sous le commandement du futur maréchal de Berwick, fils naturel de Jacques II.
Lettre signée en tête et en fin James R
JACQUES II , roi d’Angleterre et d’IrlandeLettre signée en tête et en fin « James R [ex] », à un membre du Conseil privé. Château de Saint-Germain-en-Laye, 2 avril 1692 [12 avril 1692]. 1 page 2/3 in-folio, quelques taches marginales, petite déchirure atteignant la deuxième signature. Importante et rare lettre écrite peu avant sa tentative de débarquement en Angleterre ayant aboutie à la défaite de La Hougue : Louis XIV, opposé à Guillaume III dans le cadre de la guerre de la Ligue d’Augsbourg, se laissa convaincre par Jacques II d’organiser le débarquement d’une armée en Angleterre. La traversée devait être protégée par la flotte de l’amiral de Tourville, mais la mauvaise organisation du ministre Barbezieux et l’ordre inconsidéré d’engager la bataille coûte que coûte obligèrent la flotte française à livrer un combat à un ennemi deux fois supérieur en nombre. Tourville réussit un des plus grands exploits de l’histoire maritime en résistant sans perte à la flotte anglo-hollandaise, mais dut se retirer, et le transport des troupes fut annulé. INVITATION À ASSISTER À L’ACCOUCHEMENT PROCHAIN DE SA FEMME MARIE DE MODÈNE, enceinte de leur dernier enfant, Louisa Maria Theresa. Des rumeurs de substitution ayant couru à la naissance de son fils James en 1688, il lança cette fois-ci une série d’invitations, à sa fille, épouse de Guillaume III, et à diverses personnalités protestantes. Personne ne vint. Le nouveau-né eut pour parrain et marraine Louis XIV (d’où son premier prénom de Louisa) et la princesse palatine duchesse d’Orléans. « Trusty and wellbeloved councellor, Wee greet you well. Whereas our royall predecessors used to call such of their Privy Councill, as could conveniently be ha, to be present at the labour of their queens, and witnesses of the birth of their children, and whereas Wee have followed their exemple at the birth of our dearest son James prince of Wales, though even that precaution was not enough to hinder Us from the malitious aspersions of such as were resolved to deprive Us of Our royall right that Wee may not be wanting to ourselves, NOW THAT IT HAS PLEASED ALMIGHTY GOD, THE SUPPORTER OF TRUTH, TO GIVE US THE HOPES OF FURTHER ISSUE, OUR DEAREST CONSORT THE QUEEN BEEING BIG AND DRAWING NEAR HER TIME, WEE HAVE THOUGHT FITT TO REQUIRE SUCH OF OUR PRIVY COUNCILL AS POSSIBLY CAN COME, TO ATTEND US HERE AT ST-GERMAIN’S TO BE WITNESSES OF OUR SAID DEAREST CONSORT THE QUEEN HER LABOUR, Wee doe therfor hereby signify Our royall pleasure to you, that you may use all possible means to come with what convenient haste you can […] Our dearest brother the most christian king has given Us his consent to promise to you, as Wee hereby doe, that you shall have leave to come, and (the queen’s labour over), to return with all safety. Though the iniquity of the times, the tyranny of strangers and a misled party of Our own subjects have brought Us under the necessity of useing this unusuall way, yet Wee hope it will convince the world of the truth and candor of Our proceeding to the confusion of Our enemies. »
Lettre autographe signée
JACQUEMIN AndréEnsemble de 2 lettres autographes signées :— adressée à une demoiselle. 5 mars 1952 ; 2 pages in-4°. « Je n’ai pas omis de faire envoyer par la galerie Le Garrec une invitation à M. Nacenta pour mon exposition triennale qui s’ouvre demain. Je sais que vous étiez en pleine fièvre de préparation de la magnifique présentation de vos cent portraits d’homme que je le réjouis d’aller admirer. Quand vous allez être un peu plus tranquille, je vous serais reconnaissant de bien vouloir rappeler à Monsieur Nacenta que je serais heureux d’avoir sa visite […]. Vous seriez très aimable aussi de me faire envoyer ma carte permanente pour suivre avec ma femme vos belles exposition. Je la recevais toujours les autres années ? »— adressée à M. Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Épinal, le 30 décembre 1961 ; 2 pages in-4°. « Merci de vos bons voeux et de vos cartes d’entrée à vos belles expositions. Ces baies d’églantier interprétées au burin vous transmettront nos meilleurs souhaits pour l’année nouvelle. Vous m’obligeriez infiniment en voulant bien fixer fin 1962 ou printemps 1963 l’exposition de petites fresques, pastels et dessins pour laquelle vous étiez d’accord dans vos trois salles en haut. »On joint l’estampe représentant les baies d’églantier.
Lettre autographe signée
JACQUE Charles ÉmileLettre autographe signée, adressée à M. Petit. Sans date ; 1 page in-8°. « L'impossibilité matérielle de terminer sur le champs mes deux tableaux m'en ont fait commencer d'autres et au lieu de deux, j'en ai cinq avancés dont trois presque terminés. Je crois bien pouvoir aller lundi vous porter une bonne partie de ce travail, trois ou quatre tableaux. Vous recevrez une lettre par laquelle j'aurai l'honneur de vous prévenir. »