Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
HAMBOURG AndréLettre autographe signée. [Paris], le 1er octobre 1980 ; 2 pages in-4°. « Plusieurs ouvrages (modestes) et études m’ont en effet été consacrés, dont : Hambourg par Michel Droit édité par Pierre Cailler, à Lausanne en 1967 avec plus de 200 reproductions mais épuisé je crois, et difficile à trouver. […] Hambourg au musée de la Marine, ouvrage très bien édité à l’occasion de ma rétrospective au musée, en 1977 avec des reproductions en noir et en couleurs, textes de J. Ducros, préfacé par Luc Marie Bayle... Quelques autres petits ouvrages ont également paru, dont Hambourg et la réhabilitation sentimentale par Jean Bouret... mais il y a bien longtemps. Je ne sais si vous pouvez vous procurer facilement ces ouvrages. Mais si vous le désirez, à mon retour d’un prochain voyage aux USA, je demanderai au musée de Trouville qui en a peut-être encore dans son bureau de vente, de vous les faire parvenir. »On joint la plaquette de son exposition Voyages à la mairie de Trouville-sur-Mer. Juillet-août 1973, dédicacée : « Pour Gérard Leman, en sympathie. Hambourg », agrémentée d’un dessin au feutre noir représentant des voiliers sur la mer.
Photographie dédicacée
HAMBOURG AndréPhotographie dédicacée à Gérard Leman. 1er janvier 1993 ; 42 x 30 cm.Grande et belle photographie dédicacée représentant Hambourg dans son atelier.
Livre avec envoi et dessin original
HAMBOURG AndréLivre avec envoi et dessin original. « A. Hambourg en Côte d’Ivoire ». Édition galerie Guigné, Paris 1987 ; 46 pages, 31 x 23,5 cm, broché, sous emboîtage toilé.Envoi autographe signé surmontant un dessin au lavis représentant une scène de pêche à Abidjan. « Pour Irène Dayan en hommage le plus affectueux A. Hambourg, 1987. »En 1971 André Hambourg fait son premier voyage en Côte D’Ivoire à Abidjan, c’est un véritable émerveillement, « l’ivresse picturale est à son comble ».
Carte autographe signée
HAMBOURG AndréCarte autographe signée, adressée à Michel de Saint-Pierre. [1975] ; 254 x 195 mm sur deux feuillets. « Tous mes vœux pour 1975 ! et mes amitiés. A. Hambourg » sur une carte illustrée d’une reproduction d’une vue de Venise en couleurs.
Dédicace avec dessin
HAMBOURG André« Remise au peintre André Hambourg de la grande médaille de vermeil de la Ville de Paris » par M. Julien Tardieu, président du conseil municipal. Paris, 1962 ; 180 x 230 mm, 50 pages, broché. Exemplaire avec un envoi autographe signé : « Pour Annie, France et pour Serge, avec toute mon affection. A. Hambourg 8/11/62. » Sous la dédicace figure un joli dessin représentant une gondole sur un canal de Venise.
Carte autographe signée
HAMBOURG AndréCarte de vœux autographe signée, illustrée. 1976 ; 155 X 200 mm. « Amitiés et tous mes vœux 1976... avec l’espoir de vous revoir bientôt ? et merci pour le catalogue 1975 que j’ai reçu. »
Lettre autographe signée
HAMBOURG AndréLettre autographe signée, adressée à Michel de Saint-Pierre. 30 mars 1973 ; 2 pages in-4°. « Depuis 3 ans je me promets un nouveau séjour vénitien sans jamais le réaliser. […] Je dois aller à N.Y. fin avril et début mai. J’espère tout de même aller vers l’évasion vénitienne. » Michel de Saint-Pierre comptant se rendre à Venise, il le charge d’aller rendre visite à ses amis et de les saluer de sa part. « Ne manquez pas d’aller sur la “terrasse aux linges” (demandez au concierge de vous faire accompagner) 360° de vue ! […] Si vous allez à Torcello, ne manquez pas de demander au gardien de la basilique la clef de la tour, d’où vous découvrirez une extraordinaire vue sur la lagune et d’où vous apercevrez le dernier cimetière des Vénitiens, celui où une fois par an on amène, en novembre, les ossements recueillis à “San Michele”. » Belle lettre sur Venise.
Pièce autographe signée
HAMBOURG AndréLettre autographe signée, ornée d’un dessin représentant un chat. Saint-Rémy de Provence, le 1er avril 1979 ; 1 page in-4°. « Je t’embrasse “la fille”, et fais mes affections à tes parents... et à très bientôt ! »En post-scriptum : « Il fait beau, mais froid, mais Mimi ronronne et cela occupe ! »
Lettre autographe signée avec dessin
HAMBOURG AndréLettre autographe signée, adressée au général Bank, directeur d’une revue. 2 pages in-4°, avec dessin autographe représentant son chat Zadig, en tête de la lettre. « Nous voici de nouveau, Nicole et moi, “face au phare” et près de Zadig qui est endormi à l’heure présente, c’est pourquoi je vous envoie son portrait “de mémoire” ! […] Remerciez Madame Bank pour son accueil. Nicole me charge de ses amitiés et de sa reconnaissance. […] L’émission d’hier de Jean Nohain où Nicole a chanté Chevaux de bois a été excellente. Nous venons d’entendre la retransmission et j’ai l’impression très objective que, grâce à vos soins, ces chevaux de bois feront ou devraient faire une bonne petite route ! » Il compte se remettre au travail, lui enverra la photographie d’une des deux toiles de l’automne et le remercie pour tout le mal qu’il se donne pour sa femme et pour lui.
Ensemble de 2 lettres signées
HAMBOURG AndréEnsemble de 2 lettres signées, adressées à Michel de Saint-Pierre, enveloppes jointes :— Englesqueville-en-Auge, le 5 septembre 1972 ; 2 pages in-4°. Il remercie son correspondant pour son invitation et son « magnifique article. […] Votre fille, que j’ai eue au téléphone, m’a dit que vous rentriez ces jours prochains, et j’espère bien pouvoir vous dire, de vive voix, combien votre article m’a ravi. On se sent soulagé, que cela ait pu paraître dans la presse, et écrit, de cette façon-là par vous. Des réactions officielles se sont-elles manifestées ? […] C’est un véritable combat à mener, contre cette déshumanisation de notre planète, devant laquelle trop restent indifférents... On pourrait penser que cela fait partie d’un complot mondial contre l’intelligence et contre l’homme, pour pouvoir plus facilement le conduire, le mener par le bout du nez... Le soi-disant est contemporain, l’hypocrisie, religion d’État, les murailles de béton, les tours et autres marinas... le mensonge, la prise d’otages, tout cela va bien ensemble. »— Englesqueville-en-Auge, le 22 octobre 1972 ; 2 pages in-4°. « Quel bruit cela a fait dans le milieu peintres. Personne, sauf vous, n’a eu le courage de prendre cette position aussi nette, parmi les écrivains ou les critiques d’art (sauf quelques rares, peu lus, peu connus). Et cela a coûté officiellement dit-on près de 200 millions (réponse à M. Poniatowski)... sans le catalogue, l’éclairage, l’enménagement, le déménagement... etc., c’est-à-dire, en effet 400 millions (ou plus !) […] Certains peintres... des sculpteurs également, pensent que de toutes façons, il serait peut-être bon et utile (en effet, nous pouvons tous nous tromper.... et le Président avoir raison !) pour rendre hommage — déférent — aux déclarations du Pdt, et pour préparer peut-être les futures collections du musée Pompidou ou plateau Beaubourg (sans que, pour une fois, cela coûte quoi que ce soit à l’État), nous pourrions déposer à l’Elysée, un don, à son nom, chacun son petit flacon bien bouché, cacheté même, et daté bien entendu ? De quelle richesse serait en effet une salle, en ce moment, de flacons d’urine (de différentes couleurs... suivant l’âge des peintres... mais on pourrait augmenter l’intérêt de pareilles collections en sollicitant des dons... à différentes époques de leur vie...)... Urines de Michel Ange, de Léonard, de Rembrandt, de Chardin (quelle belle nature morte il en aurait tirée !) »On joint une carte autographe signée où il indique un itinéraire à son correspondant.
Ensemble de 2 lettres signées
HAMBOURG André [Paris, 1909 - id., 1999], peintre, graveur et illustrateur français.Ensemble de 2 lettres signées, adressées à M. Michel de Saint-Pierre, enveloppes jointes :— Englesqueville-en-Auge, le 5 septembre 1972 ; 2 pages in-4°. Il remercie son correspondant pour son invitation et son « magnifique article. […] Votre fille que j’ai eue au téléphone, m’a dit que vous rentriez ces jours prochains, et j’espère bien pouvoir vous dire, de vive-voix, combien votre article m’a ravi. On se sent soulagé, que cela ait pu paraître dans la presse, et écrit, de cette façon là par vous. Des réactions officielles se sont-elles manifestées ? […] C’est un véritable combat à mener, contre cette déshumanisation de notre planète, devant laquelle trop restent indifférents... On pourrait penser que cela fait partie d’un complot mondial contre l’intelligence et contre l’homme, pour pouvoir plus facilement le conduire, le mener par le bout du nez... Le soi-disant est contemporain, l’hypocrisie, religion d’état, les murailles de béton, les tours et autres marinas... le mensonge, la prise d’otages, tout cela va bien ensemble. »— Englesqueville-en-Auge, le 22 octobre 1972 ; 2 pages in-4°. « Quel bruit cela a fait dans le milieu peintres. Personne, sauf vous, n’a eu le courage de prendre cette position aussi nette, parmi les écrivains ou les critiques d’art (sauf quelques rares, peu lus, peu connus). Et cela a coûté officiellement dit-on près de 200 millions (réponse à M. Poniatowski)... sans le catalogue, l’éclairage, l’enménagement, le déménagement... etc.., c’est à dire, en effet 400 millions (ou plus !) […] Certains peintres... des sculpteurs également, pensent que de toutes façons, il serait peut-être bon et utile (en effet, nous pouvons tous nous tromper.... et le Président avoir raison !) pour rendre hommage — déférent — aux déclarations du Pdt, et pour préparer peut-être les futures collections du musée Pompidou ou plateau Beaubourg (sans que, pour une fois, cela coûte quoi que ce soit à l’état), nous pourrions déposer à l’Elysée, un don, à son nom, chacun son petit flacon bien bouché, cacheté même, et daté bien entendu ? De quelle richesse serait en effet une salle, en ce moment, de flacons d’urine (de différentes couleurs... suivant l’âge des peintres... mais on pourrait augmenter l’intérêt de pareilles collection en sollicitant des dons... à différentes époques de leur vie...)... Urines de Michel Ange, de Léonard, de Rembrandt, de Chardin (quelle belle nature morte il en aurait tirée !) »On joint une carte autographe signée où il indique un itinéraire à son correspondant.
Lettre autographe signée
HALÉVY LéonLettre autographe signée, adressée à Mlle Dutertre. Paris, le 5 novembre 1828 ; 1 page in-4°. Il lui répond à la place de M. Lemétheyer, surchargé de travail : « Les conditions onéreuses auxquelles il a été obligé de se soumettre pour arriver à l’administration de l’Odéon l’empêchent, Mademoiselle, de satisfaire pour le moment, au désir manifesté dans votre lettre, d’une augmentation de traitement. […] À la première circonstance favorable, il s’empressera d’accéder à votre demande. »
Portrait gravé
HALÉVY Jacques FromentalPortrait gravé sur acier. XIXe siècle ; 100 X 140 mm sur un format de 240 X 320 mm. Gravure de Geoffroy.
Lettre autographe signée
HALÉVY JacquesLettre autographe signée. Dimanche ; 1 page in-8°. Légères traces de pliures. Relative à l’un de ses jeunes élèves. « J’approuve le plan que vous vous proposez pour ses travaux pendant les vacances. Il est inutile de mettre le chant donné dans une partie intermédiaire. La basse et le dessus suffisent. Dites donc au jeune Émile de bien travailler »… Musicien prodige, Halévy enseigna le solfège dès ses quinze ans, avant de devenir au Conservatoire de Paris professeur d’harmonie et d'accompagnement.
Lettre autographe signée
HALÉVY JacquesLettre autographe signée, adressée à léditeur de musique Maurice Schlesinger [1798-1871], fondateur de la Gazette Musicale. Paris, 16 février 184 , ; 1 page in-8°. En-tête imprimé « Conservatoire de Musique et de Déclamation ». Il lui adresse son élève « Duvernoy, jeune compositeur et pianiste » et lengage à publier un morceau de sa composition pour piano. « Cest un jeune artiste quil faut encourager. Accueillez-le favorablement. Publiez son premier ouvrage, son maître vous en prie & vous remerciera. »Henri Duvernoy (1820-1906), second grand prix de Rome en 1843, composa de nombreuses pièces pour piano ainsi que des mélodies, mais ces uvres ne lui apportèrent pas la notoriété que Jacques-Fromental Halévy semblait prophétiser. Cest dans lenseignement du solfège et de lharmonie au Conservatoire de Paris et dans lécriture douvrages didactiques que Duvernoy trouva sa voie et excella. Parallèlement à ces activités pédagogiques, il assuma les fonctions dorganiste dans plusieurs lieux de culte protestants.