Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Portrait gravé.
FRANÇOIS Ier de ValoisPortrait gravé. XIXe siècle ; 40 X 45 mm sur un feuillet de 130 X 210 mm.
Lettre autographe signée
FRANCK AdolpheLettre autographe signée. Paris, 15 février 1872 ; 1 page in-8°. « Je vous suis très reconnaissant de l’attention que vous avez eue de m’envoyer votre excellent travail sur le Collège de France. »
Lettre autographe signée
FRANCK AdolpheLettre autographe signée. Paris, 17 décembre 1872 ; 1 page in-8°. « Je vous remercie de votre aimable lettre et de la bonté que vous avez eue de m'adresser la brochure de M. Braudely. [ ] C'est vous qui m'apprenez que j'ai mérité des injures. »
Carte autographe signée
FRANCHET DESPÉREYCarte autographe signée, adressée à Édouard Soulier [Bordeaux, 1870 - Courbevoie, 1938]. 26 novembre 1934 ; 2 pages in-12 oblongues. En-tête imprimé à son nom. « Léloge dun génie comme Lyautey vient facilement sous la plume, mais le difficile est de trouver du neuf après tous les écrivains distingués vous compris qui ont abordé ce sujet ».
Lettre autographe signée
FRANCEN Victor (Victor Franssen, dit)Lettre autographe signée, adressée au journaliste René Brest [1906-1998]. 13 mai 1937 ; 1 page in-4° sur son papier à son adresse, enveloppe jointe.« Je vois que le mieux serait que vous veniez bavarder quelques instants avec moi un après midi aux studios de Billancourt ; j’y suis tous les jours presque du matin au soir. »
Photographie autographe signée
FRANCEN VictorPhotographie autographe signée. XXe siècle ; 14 x 9 cm. Jolie photographie dédicacée (cliché ACE).
Photographie autographe signée, dédicacée
FRANCEN VictorPhotographie par Georges Henri, représentant Victor Francen, dans une scène de théâtre, avec dédicace : « À Madame Deyrens, hommage de Victor Francen. 1952. »
Ensemble de 4 lettres et 1 manuscrit autographes signés.
FRANCE AnatoleEnsemble de 4 lettres et 1 manuscrit autographes signés.— Manuscrit autographe signé, intitulé « Sur l’orthographe »[Éloge de l’orthographe] étant l’ancien titre. 15 pages in-4°, certaines découpées et remontées pour la reliure. Manuscrit relié, ex-libris E. de G.— Lettre autographe signée « Anatole », adressée à son beau-père [Jules Guérin]. [Août 1882] ; 2 pages in-4°. « Arrivés 7 h 1/2 matin Strassburg. Santés bonnes ; rencontre : jolie autrichienne, genre Madeleine Roujon ; intimité survenue dans wagon, embrassement d’elle et de Valérie à la gare d’arrivée. Promesses de s’écrire !!! Alsaciens sympathiques, Allemands désagréables […]. Cathédrale merveilleuse. Vieilles rues aimables. » La lettre est truffée de petits dessins et complétée par quelques lignes écrites par sa femme Valérie.— Lettre autographe signée, adressée à [Henri Roujon]. 15 août 1882 ; 4 pages in-8°, papier effrangé sur les bords. « Nous sommes ici sur un plateau au milieu de collines couvertes de sapins et de vallées où coulent des ruisseaux frais qui chantent. C’est une nature qui a l’air grave et bon. Cela est peuplé de bonnes gens pleins de décence et d’une prodigieuse quantité de marmots rouges de joues et blanc de cheveux. Quand ce sont des filles, ce qui arrive le plus souvent, ce petit monde, nu-pieds et en jupes couleur de terre, chante joliment des chansons de Schiller. Quel pays nous avons perdu là ! et quels paysans ! Leurs maisons sont d’une propreté charmante. »—Billet autographe signé. Sans date ; 1 page in-16. « Je suis heureux d’offrir cette servante de Molière à un excellent Moliériste, comme Adolphe Heymann. »— Lettre autographe signée, adressée à un libraire. Paris, le 23 mai 1913 ; 1 page in-16. « Dès mon retour de voyage, je vous retourne le dessin que vous m’avez envoyé et qui n’est ni de Prud’hon ni de l’époque de Prud’hon. »— Lettre autographe signée, adressée à Mme Couchoud. [1921] ; 4 pages in-8°, enveloppe jointe. Il donne des nouvelles familiales d’Antibes où il séjourne et où il « ne désespère pas de finir ici la vie en fleurs. »— Poème de 4 quatrains autographes signés « La Perdrix » dédié à Madame Roujon.— GUÉRIN DE SAUVILLE Valérie [Paris, 1857 - 1921], artiste peintre et épouse d’Anatole France. Carte autographe signée avec une aquarelle représentant sa fille Minette. Au dos une correspondance d’A. France.On joint une gravure d’Henri Roujon et 1 page autographe signée du même, adressée « À ma chère petite Lili. » On joint une photographie de H.Roujon, format cabinet.
Manuscrit autographe signé
FRANCE Anatole (Anatole François Thibault, dit)Manuscrit autographe signé « Paul Verlaine - Mes hôpitaux ». Dimanche 15 novembre 1891 ; 6 pages in-4°.Manuscrit destiné à La vie Littéraire dans le journal Le Temps. « En ce mince petit livre (70 pages environ) le poète raconte une existence succincte de vie d’hôpital. On sait que Paul Verlaine a beaucoup fréquenté depuis sept ou huit ans Broussais. […] Cynique et mystique, Paul Verlaine est de ceux-là dont le royaume n’existe pas de ce monde, il appartient à la pauvre famille des amants de la pauvreté »…
Lettre autographe signée
FRANCE AnatoleLettre autographe, signée« Anatole », adressée à sa mère. [Le Hâvre], 5 septembre 1852; 1 page in-folio, encadrement romantique gravé, un bord effrangé.Tendre missive du jeune Anatole France, âgé de huit ans à sa mère, le « jour de notre arrivée du Hâvre ».« Maman, Pour feter mieux ton arrivée, je voudrais être plus grand.. Qu’au jourd’hui ton coeur n’entende et devine dans mes yeux. Faible enfant tout m enbarasse, helas que puis-je sans toi ? il faut pour que je t ’enbrasse que tu te baisses vers moi. Je veux si bien faire que tu seras toujours la plus heureuse mère et moi le plus heureu enfant. Ton fils soumis, Anatole »
Très beau diplôme
FRANC-MAÇONNERIE. Alsace-Lorraine.Très beau diplôme très décoratif en bleu sur vélin du Grand Orient de France. Paris, 30 novembre 1878 ; 1 page in-folio oblongue. Très bel en-tête illustré maçonnique « Le Grand Orient de France », imprimé en bleu. Beau sceau à sec sur papier couleur outremer. « Sur la demande présentée au G.O. de France par la R. L. Alsace Lorraine, Orient de Paris, à l’effet d’obtenir un diplôme de maître pour le f. Risler Charles, industriel. » Pièce décorative..
Brevet franc-maçonnique
FRANC-MAÇONNERIE.Brevet franc-maçonnique. Paris, 7 février 1893 ; 350 x 270 mm, petite déchirure aux fentes au milieu. Très bel en-tête illustré maçonnique « Le Grand Orient de France », imprimé en bleu. Beau sceau à sec sur papier couleur outremer. Brevet délivré à Eugène Gautier, adjudant d’artillerie, sur la demande de la loge Le réveil du Calaisis, Orient de Calais, pour être reçu maître franc-maçon. Beau diplôme.
Lettre signée
FRANC-MAÇONNERIE. (LILLE).Lettre signée des membres de l’Orient de Lille, adressée à M. Vandalle, négociant à Lille. « Or :. de Lille, le 27e jour du Ve mois m:. l’an de la V:.L:. 5846 de l’ère vulgaire, le 18 août 1846 » ; 2 pages in-4°, adresse sur le 4e feuillet. Très bel en-tête illustré aux emblèmes maçonniques. Demande d’un acte authentique qui justifiera qu’un membre de la loge est quitte avec la loge. « Le certificat doit être révêtu de la signature des cinq lum:. signé scellé et timbré par le garde des sceaux pour offrir le caractère officiel d’authenticité des actes émanant d’une L:.»
Certificat maçonnique
FRANC-MAÇONNERIE.Certificat maçonnique en faveur du frère Martin jeune (Louis Germain), étudiant en droit, natif de Blaye, département de la Gironde, demeurant à Paris, rue des cordiers, membre de la loge de Saint-Jean de Paris « sous le signe des Tributaires d’Hiram ». 1823 ; 480 x 550 mm, sur vélin, trois cachets de cire reliés par des rubans en soie, bleus et rouges. Loge de Saint-Jean de Paris. En-tête gravé : « À la Gloire du Grand Architecte de l’Univers » avec importantes gravures entourant le document. Pièce signée (très nombreuses signatures) par les membres de l’Orient. Très beau document.
Lettre autographe signée
FOURNIER GabrielEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à M. Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Trous d’archivage :— 12 octobre 1945 ; 1 page 1/2 in-4°. « Je suis allé plusieurs fois à votre galerie avec l’intention de vous voir et je n’ai pas eu ce plaisir. Monsieur Jean Baignières vous avait parlé de moi et, comme peintre de sa galerie, vous aviez bien voulu lui promettre de reprendre avec moi les invitations à vos expositions, invitations interrompues je ne sais pourquoi, peut-être à la suite de non réponse de ma part à une invitation égarée car le courrier a été très souvent perdu entre Paris et Fontainebleau. Je me suis réjouis de la promesse que vous avez faites à Monsieur Jean Baignaires, d’autant plus que je n’ai eu qu’à me féliciter de mes participations vos expositions et que vous m’avez rendu quelques services. Votre prochaine exposition s’intitulera — je crois — “hommes et dieux” ? J’aimerais beaucoup connaître son programme et sa date. La publicité de votre dernier catalogue mentionnait un de mes livres La Fille d’Auberge […]. Je serais heureux d’avoir votre avis d’éditeur sur ce livre et j’espère bien avoir le plaisir de vous rencontrer. »— 28 mars 1954 ; 1 page in-4°. « Mon achat de l’État au Salon des Tuileries est toujours à votre galerie. Je suis confus du retard apporté à la réception des papiers que j’ai depuis deux jours. J’irai donc vendredi vous débarrasser du tableau (un paysage de 30 F) et je vous suis infiniment reconnaissant d’avoir bien voulu lui donner asile si longtemps. »