Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
FERRAND-WEYHER YvonneLettre autographe signée. Paris, 10 octobre 1948; 2 pages in-8° oblongues. « Comment vous remercier de la beauté au-delà de tout remerciement de l'objet d'art précieux, contenant et contenu, que vous avez bien voulu m'envoyer. Je suis confuse de la réponse d'une si haute qualité que vous donnez généreusement à mes bouts rimés. Mais croyez bien que je sais l'apprécier. [ ] Le Souvenir de Lorca renforce encore mon admiration pour le poète de Simone et de tant d'autres plus gracieuses les unes que les autres. »
Lettre autographe signée
FERNIG Jean Louis Joseph César, comte deLettre autographe signée. Paris, 24 novembre 1844 ; 1 page in-8°. « Le Lt Colonel Nerenbürger, mon neveu, vous remettra ce billet. Vous avez déjà été si bon pour lui que je crois suffisant de le nommer. Bientôt sa sœur réclamera aussi votre bienveillance. Cette malheureuse femme vient de perdre son mari qu’elle adorait. »
Carte de visite autographe, adressée à un poète
FERNÁNDEZ-GUERRA Y ORBE AurelianoCarte de visite autographe, adressée à un poète. 2 pages in-32, recto verso, en espagnol.« Queridisimo poeta : cus ultimas quintinas de V. son de la mayor valra ; et poema, interesante y bello ; et plan, de encantadora sencillez ; et cuadro, Ueno de verdad, ofreu un pensamiento noble y profundo. No esta aqui la fuente de agnas vivas ni la compasion, ni la justicia : hay que esperantas del cielo. Mit placemes : V es ya et maestro, el modelo exidente. I qué diera por imitaste en vigio y apasionado amigo. »Google traduction : Cher poète: Les dernières quintines de V. ont la plus grande valeur; et poème, intéressant et beau; et plan, d'une charmante simplicité; et image, Ueno vraiment, a offert une pensée noble et profonde. La source d'agnas vivants, de compassion ou de justice n'est pas ici: vous devez attendre le ciel. Mit placemes: V est déjà le professeur, le modèle existant. Que prendrais-je pour vous imité en vigio et ami passionné.Au pied de vous étaient des dames: ....... cette maison
Lettre autographe signée
FERDINAND Ier, prince de Saxe-Cobourg-GothaLettre autographe signée, adressée au baron de Hirsch. Palais de Sofia, 12 mars 1893 ; 3 pages 1/2 in-8, sur papier avec couronne royale gravée. « Je viens de passer par de longues et cruelles souffrances qui m’ont privé de vous dire jusqu’à présent combien j’ai été sensible aux aimables félicitations que vous m’avez adressées à l’occasion de mes fiançailles. » Il se réjouit des sympathies de ses vrais amis pour « un événement qui, en faisant le bonheur de ma vie, marquera, j’espère une bonne étape de ma carrière politique ».
Carte de visite autographe signée
FÉRAUDY Dominique-Marie-Maurice deCarte de visite autographe signée. 1 page in-32 oblongue. « En attendant ma visite, tous mes vœux les plus reconnaissants et les plus affectueux. »
Lettre autographe signée
FÉRAUDY Maurice deLettre autographe signée. 18 avril 1916 ; 1 page in-12. Il sera très heureux de faire la connaissance de son correspondant. « Votre monologue est bien fait ; le vers est facile, mais le sujet est d’un scabreux ! Nous en causerons. »
Lettre autographe signée
FAYE HervéLettre autographe signée, adressée à un confrère. Paris, le 6 août 1887; 2 pages in-8°. « La comète de 1821 a été découverte le 21 janvier à Paris. À ce moment cet astre n’avait rien de bien remarquable. Mais en février elle devint visible à l’œil nu, avec une queue de 7 degrés de longueur. […] Le 5 mai, elle devait être encore visible avec une lunette à l’Ile Sainte-Hélène mais elle s’éloignait de plus en plus de la terre. Son orbite a été calculée par divers astronomes. Ce qu’elle présente de remarquable, c’est une forte inclinaison de 73° sur l’écliptique. Le mouvement était rétrograde. » Belle lettre scientifique.
Manuscrit autographe
FAYE HervéManuscrit autographe. 5 pages in-4°. Communication faite à l’Académie des sciences sur les travaux de M. Sage. Il est question d’astronomie, d’applications de procédés photographiques à la dernière éclipse. « Un des beaux clichés, obtenus à cette occasion à l’aide de la grande lunette de M. Vorro, a été présenté à l’Académie par M. Sage. C’était l’épreuve relative à la plus grande phase. » Très intéressant manuscrit scientifique.
Lettre autographe signée
FAYE HervéLettre autographe signée, adressée à un baron. Le 5 octobre 1887 ; 3 pages in-8°. « La fameuse comète de 1769 a été découverte à Paris par M. Essier le 8 août. […] En septembre, elle est devenue magnifique. Sa queue atteignait 60° de longueur à l’époque où elle disparut dans l’éclat du jour à cause de sa proximité du soleil. M. Essier n’a pu lui donner le nom de Napoléon, attendu que les comètes ne portent que des noms propres. On dit bien la comète de Halley, mais non la comète Halley. […] Ce qu’il y a de certain c’est que l’année 1769 est remarquable par la grande comète dont vous parlez et qu’elle a fait son apparition une semaine avant la naissance de Napoléon, et dans le même mois. » Belle lettre scientifique.
Manuscrit autographe
FAYE HervéManuscrit autographe. 5 pages in-4°. Communication faite à l’Académie des sciences sur les travaux de M. Sage. Il est question d’astronomie, d’applications de procédés photographiques à la dernière éclipse. « Un des beaux clichés, obtenus à cette occasion à l’aide de la grande lunette de M. Vorro, a été présenté à l’Académie par M. Sage. C’était l’épreuve relative à la plus grande phase. » Très intéressant manuscrit scientifique.
Photographie
FAVRE JulesPhotographie en buste. Fin XIXe siècle ; 100 X 135 mm. Photographie de A. Liebert à Paris. Beau cliché.
Ensemble de lettres autographes signées
FAVART EdméeEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées à Mme Cordier. 1941 ; 4 pages 1/2 in-4°. Correspondance amicale.
Ensemble de lettres autographes signées
FAVART EdméeEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées à Mme Cordier. 1941 ; 4 pages 1/2 in-4°. Correspondance amicale.
Lettre autographe signée
FAURE JacquesLettre autographe signée adressée au Dr Henri Diriart. 26 septembre 1961 ; 1 page 1/2 in-8°. Cachet de censure de la Maison d’arrêt de la Santé.Envoyé en Algérie en septembre 1956, il est général adjoint au commandant de la division d’Alger. À cette époque, il projette une action contre le gouverneur général en Algérie Robert Lacoste qui devait être enlevé et remplacé par le général Salan. Ce projet est éventé et le général Faure, transféré à Paris, est sanctionné au début 1957 de trente jours d’arrêt, avant de rejoindre les Forces françaises en Allemagne comme adjoint au commandant en chef. Promu général de division, il retourne en Algérie en 1958 pour commander la 27e Division d’Infanterie Alpine à Tizi Ouzou en Kabylie jusqu'en 1960. Solidaire de la rébellion pour l'Algérie française en 1961, il est arrêté et condamné à dix ans de détention à Paris puis à Tulle mais est libéré le 1er avril 1966. Réintégré dans son grade de général de division en 1974, il intègre la 2e section des officiers généraux en 1982.« Merci, mon cher Docteur de votre mot qui m’a beaucoup touché. Voici des jours curieux à vivre et auxquels il faut s’attendre à tout. Même à une déduction universelle suivant un jugement porté par un tribunal composé d’officiers d’un grade inférieur au mien. Ce qui est opposé à la règle comme au code de justice militaire. Et vous mettre dans l’obligation morale de se taire, n’est pas de la meilleure ».
Lettres autographes signées
FAURÉ GabrielCorrespondance de 8 lettres ou cartes autographes signées, adressées à la pianiste Madeleine Ten Have. 1892-1924 ; formats divers. Cette correspondance intéressante montre les liens noués entre Fauré et la pianiste Madeleine Ten Have qui interprétait ses œuvres.— 1891 : Il lui demande de venir le voir de toute urgence.— Mai 1892 : Très affectueuse lettre adressée à « Mademoiselle et chère Madeleine, mon amie ! […] J’ai envie de dîner chez vous, de manger énormément, de boire encore plus et de faire beaucoup de tapage ! »— 1892 : Il lui dit qu’il y a bien longtemps qu’il ne l’a pas vue, qu’il a tellement à faire qu’il n’ose lui demander de venir le voir.— 1894 : « On m’a dit que M. Verner était le tout puissant. Or il vous connaît car il m’a parlé de vous avec un véritable intérêt. »— Juillet 1894 : « Je suis très heureux de la bonne nouvelle. »— Février 1897 : Il lui demande d’envoyer chez sa voisine, Mme Bardac, « Les Petits Dolly à quatre mains qui lui appartiennent et dont elle a besoin tout de suite. Si vous jouez ce soir la 2e Valse je vous supplie de prolonger les points d’orgues qui séparent chaque différentes phases de ce morceau. »— 1899 : Il a pu se désengager pour être avec eux ce soir.— 1912 : Félicitations pour la naissance d’un enfant chez les Salmon.On joint une lettre autographe signée de Madeleine Salmon, adressée à Robert Ten Have. 1924 ; 2 pages in-8° sur papier de deuil, enveloppe jointe. Après un décès (ses parents ?) elle écrit à son frère (sans doute) Robert concernant la succession.