Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de lettres autographes signées
FARGUE Léon-PaulCorrespondance de 13 lettres autographes signées et 1 carte autographe signée, adressées à son ami Léon Pivet. Paris, 1913-1940 ; formats divers. Il est question de son séjour en Suisse (1913), « 1800 mètres d’altitude, silence. Traîneaux, patins. On se casse la gueule. Lumières rousses, presque violettes dans le brouillard », de son exemption du service militaire, de Larbaud et Gallimard. « Je ne crois pas que les boches s’approchent de la grosse ligne des Forts de l’Est. » Il évoque son départ à Saint-Tropez, une inauguration d’une école, un rendez-vous avec Gignoux au Figaro, une invitation à déjeuner et un ennui de santé. « Il y a ce soir un grand dîner chez Adrienne en l’honneur de l’anniversaire de Rinette. Quelques camarades. Viens ! Tout le monde te désire et compte sur toi. » Il décrit enfin la débâcle de 1940 avec les villes dévastées. On joint une note autographe signée avec son adresse au Palace Hôtel.
Carte autographe signée
FANTIN-LATOUR HenriEnsemble de 2 pièces, adressées à M. Georges Moreau de la Revue Encyclopédique Larousse.— 1 lettre autographe signée. 11 avril 1896 ; 2 pages in-8°. « Je vous envoie ci-joint deux photographies, l’une Vénus et les Amours est une peinture à l’huile et l’autre Ondine est un pastel. Vous choisirez celle que vous paraîtra la plus convenable pour votre publication. » — 1 carte autographe signée. 13 mai 1899 ; 115 X 90 mm, oblongue, sur papier de deuil. « Je regrette bien de ne pouvoir vous donner un dessin de mon tableau Ondine. »
Réunion de lettres
FAMILLE D’ORLÉANS.7 lettres autographes signées, 1 lettre signée et 1 carte de visite. — Louis d’Orléans, duc de Nemours (Eu, 1877).— Henri d’Orléans, duc d’Aumale (Chantilly, 1881, plus carte de visite autographe signée).— Antoine d’Orléans, duc de Montpensier (Paris, 1884).— Robert d’Orléans, duc de Chartres (à un camarade ; sceau de cire joint).— Louis-Philippe d’Orléans, comte de Paris, PhilippeVII (Eu, 1879, au capitaine de Bellefon).— Philippe d’Orléans, fut incarcéré à Clairvaux. prétendant au trône sous le nom de Philippe VIII (1909).— Françoise d’Orléans, duchesse de Chartres (Florence, 1909).— Henri d’Orléans, comte de Paris (Lettre signée, « en exil », 1938).
Carte autographe signée
FALLA Manuel deLettre signée avec correction autographe, adressée à Christian Zervos ; Granada 2 décembre 1929 ; 1 page in-4°. À propos de la monographie écrite par Roland-Manuel. Le compositeur explique quelle curiosité l’a poussé à interroger Roland-Manuel «[au sujet de l’omission d’une certaine partie de la section graphique du livre ». Il avait cru comprendre que cette partie serait formée « par mon portrait fait par Picasso, par quelques-uns de ses dessins pour “ Le Tricorne,” et par d’autres documents scénographiques, parmi lesquels plusieurs du “ Retablo.”..», et c’est aussi pour cette raison que Falla avait ajouté des photographies de sa dernière interprétation. Il s’attendait également à la reproduction des autographes demandés par Zervos. Mais tout cela n’amoindrit pas sa reconnaissance et il remercie encore pour l’exemplaire de luxe qu’il a reçu. On joint une carte de visite autographe. Granada, janvier 1932.
Lettre autographe signée
FAIZANT JacquesCarte autographe signée, adressée à Jean-Michel Royer. [Avril 1970] ; 2 pages in-16 oblongue. « J’ai l’impression, depuis quelques temps, que vous êtes plus encombré qu’intéressé par mon dessin hebdomadaire. Son utilisation pour illustrer le sommaire dans le dernier numéro me confirme dans cette idée. Comme par ailleurs, et malgré votre bonne volonté il semble impossible d’assurer à Chimulus la collaboration régulière dont nous étions convenus, je pense que vous serez soulagé si je cessais ma collaboration à l’Actualité. »
Lettre autographe signée
FAIZANT JacquesCarte autographe signée, adressée à Jean-Michel Royer. 1er décembre 1969 ; 1 page in16 oblongue .« Je ne mets pas de lavis sur le dessin cette semaine parce que j’ai l’impression que cela affadit les noirs. Ce n’est peut-être qu’une impression mais je tente l’expérience. »
Lettre autographe signée
FAIZANT JacquesEnsemble de 2 cartes autographes signées, adressées à Jean-Michel Royer. Sans date et 1990 ; 2 pages in16 oblongues.— Sans date. « Un grand merci pour la lettre ouverte du général [de Gaulle], dont je me promets mille délices. Je vous en remercie avant de l’avoir lue car ensuite je ne me rappellerai pas si je l’ai fait et j’en concevrai remords et inquiétude, toutes choses nocives à mon équilibre. »— 6 septembre 1990. « Je pensais lire la lettre ouverte quand mes polichinelles quotidiens m’en laisseraient le loisir. Et puis ayant, bêtement lu les premières pages, je n’ai évidemment plus pu men départir ! Bravo ! C’est revigorant à souhait ! Tout de même, je trouve de Gaulle bien dur avec Pompidou ! Il oublie qu’il a enjoint à sa cuisinière de voter pour lui ! »
Aquarelle signée
FAIVRE voir ABEL-FAIVRE Abel, dit ABEL-FAIVREAquarelle signée, représentant une jeune femme au chapeau fleuri. Sans date ; 1 page in-4°.
Lettre autographes signée, adressée Raymond Nacenta
FAGES ArthurLettre autographes signée, adressée Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Toulouse, le 15 septembre; 1 page in-4°. « Jules Cavaillès m’écrit que vous préparez pour la rentrée une grande exposition de peinture contemporaine. Je prend la liberté de vous demander s’il me serait possible de figurer à cette exposition à coté de mes commandes. Vous avez eu l’amabilité de m’inviter jusqu’à présent et je pense que vous voudrez bien encore accrocher une de mes toiles sur vos cimaises. Je dois partir quelques jours en Corse pour exécuter une nouvelle une nouvelle affiche pour la SNCF [...] Je vous prie cher Monsieur d’excuser la liberté de ma demande et de croire à mon entier dévouement. »
Factures de la maison Allard
FACTURES.Factures de la maison Allard (ébénisterie à Paris, 1844); bordereau d’adjudication du commissaire-priseur Bonnefons (Paris, 1840). On joint une facture de l’horloger Picquart-Vitoux (Saint-Mihiel, 1840) et une facture pour acquis de Tappon (régisseur et concierge du cimetière de l’Est au Père Lachaise ; 1824, déchirure).
Ensemble de 6 factures à en-têtes illustrés
FACTURES.Ensemble de 6 factures à en-têtes illustrés : manufacture de bonneterie Courseulle-Collin, 1869 (Guibray, Calvados) ; Auber frères, 1869 (Amiens) ; manufactures d’aiguilles Teste, 1870 (Lyon) deux pièces ; manufacture de bonneterie Evrard, 1869 (Troyes) ; Bellet, 1869 (Lyon). Joli lot.
Ensemble de 9 factures de Paris
FACTURES ANCIENNES DE PARIS.Ensemble de 9 factures de Paris. 1802-1818 ; 6 pages in-4° et 2 pages in-12 oblongues. Ces factures sont libellées à l’ordre de M. de Vandeuil (gendre de Diderot).Factures de la maison Gindre (papiers peints pour tentures) ; maison Simon (2) boulevard Porte Denis, au coin de la rue de la Lune (manufacture de papiers peints pour tentures et décorations) ; maison Hemery (marchand fayancier) ; maison Landry (épiceries, droguerie, liqueurs) ; maison Maurice (gantier, parfumeur-distillateur) ; maison Marsault-Marlin (magasin de couvertures en laines) ; maison Allez (outils de sculpteurs, menuisiers, et quincailleries) ; maison Nottelin (draperies).
Facture « Chaudé Sr de Rieussec — Horloger du Roi ».
FACTURE DE PARIS.Facture « Chaudé Sr de Rieussec — Horloger du Roi ». Paris, le 10 janvier 1840 ; 1 page in-8°. « Vendu une montre avec boîte gravée et ciselée. Echappement à cylindre. […] cuvette en or, cadran d’émail. N° de boite 5520, n° de cuvette 2801 plus une chaine et clé à la bréguet en or. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées
FABRE LucienEnsemble de 3 lettres autographes signées [adressées à Lucien Dubech]. 1925-1934 ; 5 pages in-4° ou in-8°. 5 février 1925 : « Je viens de relire vos trois nouvelles, mais j’hésite encore à vous en parler car j’ai surtout du bien à vous en dire, j’ai, par suite, peur de passer à vos yeux pour un inutile. […] Vivacité du ton […]. Je ne puis mieux louer ces deux qualités qu’en me rappelant qu’à travers elles perce l’auteur, et que c’est pour son caractère et que c’est pour son caractère que je suis son ami, avant tout autre considération d’estime littéraire. Ardeur de la satire et valeur de celle-ci. À ce point de vue là, vos nouvelles sont uniques par la justesse et la proportionnalisation des moyens, par le timbre de la voix qui raconte l’histoire, par tout ce qu’il y a de rationnel, et je veux dire, de cartésien dans tout cela. Intérêt de l’histoire. Vous avez sans peine réalisé ce que tant de conteurs et de romanciers ratent après avoir longuement besogné, et qui est pourtant l’essentiel de toute histoire, quoiqu’en disent les gardiens du savoir qu’on ait envie de tourner la page pour lire la suite. […] Ne vous ferais-je pas de reproches ? Si. D’abord un manque d’individualisation. Vos personnages n’ont pas, à mon avis, leur tiers. On ne les voit pas assez. Votre chartiste, je vois seulement qu’il a des favoris et le torse étroit. Quoiqu’on en dise, dans un conte, il faut voir le héros, au physique […]. Deuxième reproche. Disproportions des parties. dans cette dernière nouvelle le véritable sujet tient la même partie, plus encore dans l’esprit du lecteur que par le nombre de lignes. Troisième. L’atmosphère est inégalement répartie. Tantôt excessivement détaillée, tantôt manquante. […] Mille excuse de ce topo qui n’est qu’un tissu d’impressions. Toutes peuvent être absurdes mais, que je vous envoie parce qu’elles valent en toute simplicité et affection. »Bucarest, 3 juin 1929 : « Je crois, carissime, que nous serions des épistoliers si nous le pouvions entre nous : l’esprit, la culture, la confiance et l’affection mutuelles ne nous manquent pas. Et comme dirait Valéry, “la bêtise n’est pas notre fort”. Mais les loisirs, nous manquent et les destins nous sont contraires. Ainsi me serais-je privé des moments qui eussent peut-être été les meilleurs de ma vie : ceux de lire de vous des lignes écrites uniquement pour moi. […] Je vous envoie un essai sur le Rire et les Rieurs qui est le fruit, sinon du génie, du moins d’une longue et amoureuse patience. Faites-moi la grâce de le juger et de m’en parler. La récompense d’un tel effort n’est que dans l’adhésion de nos pairs. Je l’envoie aussi à Maurras et à Daudet »…12 octobre 1934 : « Je viens de rentrer à Paris et la N.R.F. me communique vos deux articles. Avec quelle émotion, quelle reconnaissance je les ai lus ! À travers le temps, l’Espace, les tribulations, e je vous retrouve le même pour moi et j’en serais plus surpris, tant de belles choses sont rares. Si je ne me sentais à mon côté exactement le même pour vous. Mais j’ai de la chance car, chaque semaine, je puis vous lire et vous lisant, je vous vois, je vous entends, je revis nos entretiens d’autrefois, rien de changé en vous ! »…
Pièce signée
FABRE ÉmileContrat signé. Paris, 14 novembre 1917 ; 1 page 1/2 in-4°. Contrat pour ladaptation au cinéma des oeuvres dÉmile Fabre : La Maison dargile, Les Vainqueurs, Les Sauterelles, Un Grand Bourgeois.