Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée. 1 page in-8°.« Ça va sans dire, mon cher collègue, seulement gardez votre loge et faites un heureux. j’ai la même. J’irai dimanche à votre répétition. Sainte Minette qui me dit que c’est le jour choisi par vous. »
Lettre autographe signée
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée. Sans date ; 3 pages in-8°. Madame Flahaut a « déjà envoyé une dépêche à Mr Dumas pour lui dire qu’elle ne prend pas les deux places de l’Opéra comique. Valentine n’ose pas encore se montrer en toilette dans mes représentations où il y a tant de gens de connaissance. […] Made Flahaut ne parle que demain et elle me demande de dîner avec elle ce soir, son père et les deux époux »...
Lettre autographe signée
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée, adressée à une femme. Sans date ; 1 page 1/2 in-8°. « Je ne suis jamais allé le mardi même à la campagne. J’ai toujours quelques amis qui dînent chez moi ce jour là, et maintenant que Mad. Dumas est souffrante, ils font le voyage de Marly avec moi à 5 h.50. Je n’en suis pas moins fautif. J’aurais dû réserver encore ce jour là avec ceux que j’avais désignés à Legouvé ».
Lettre autographe signée
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée. [1884 ?] ; 3 pages in-8°, à l’encre violette.Intéressante lettre évoquant le monument à son père qui sera inauguré à Villers-Cotterêts.« Il va sans dire que je donne très volontiers les droits d’auteur de la représentation de la Gaieté. […] Notre dîner n’est pas tombé dans l’eau, mais l’inauguration de la statue de mon père à Villers Cotterets devant avoir lieu au mois de septembre, le dîner étant par conséquent ajourné. J’ai pensé que toutes les convenances se prêtaient à n’en faire qu’un réunissant les deux comités à la fin de septembre ou au commencement d’octobre.»
Photographie
Alexandre DumasGrande photographie (140 X 190 mm) de la série « Nos contemporains chez eux » du photographe Dornac. Belle photographie représentant Alexandre Dumas à sa table de travail.
Portrait photographique
DUMAS FilsPortrait photographique. [Vers 1885] ; 230 X 185 mm sur un carton 345 X 252 mm. Photoglyptie sur papier pour la Galerie Contemporaine. Beau portrait en buste.
Lettre autographe signée
DUMAS fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée, adressée à un confrère. Sans date ; 3 pages 1/2 in-8°. « Mon cher confrère, Les commissions ne sont pas encore constituées. Je ne sais pas si votre œuvre rentre dans le programme un peu exigeant, pour ne pas dire prétentieux du prix […] qui doit récompenser les lions en écrits... qui paraîtraient les plus propres à honorer la France, à relever parmi nous les idées, les mœurs et les caractères et à ramener notre société aux principes les plus salutaires pour l’avenir ! » Il lui conseille de se présenter au concours d’un autre prix.
Lettre autographe signée
DUMAS filsLettre autographe signée [à John Grand-Carteret]. Sans date [1887] ; 4 pages in-12. « Il m’est donc impossible de vous donner le rendez-vous que vous me demandez. Il m’est impossible aussi de m’occuper de quoi que ce soit, en dehors du travail qui m’amène ici et du discours de réception de Leconte de Lisle, succédant à Victor Hugo. Quand je n’écris pas, je lis. […] Ne comptez donc pas sur moi cette année-ci, car j’en ai certainement jusqu’à la fin de décembre, après quoi les répétitions. » En 1887, Leconte de Lisle est reçu au fauteuil de Victor Hugo à l’Académie française.
Lettre autographe signée
DUMAS fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-8°, sur papier bleu. Il souhaite un bon voyage à son correspondant et le charge de remettre quelque chose à M. Duval « dont j’ignore l’adresse. Tendresses à Maman. J’irai dîner avec elle. Rien à Junon et tout à vous ou du moins ce qui reste de moi. »
Ensemble de 4 lettres autographes signées
DUMAS FilsEnsemble de 4 lettres autographes signées. Sans date ; formats in-8° :— « J’irai donc vous voir demain lundi vers une heure. Je vous ferai en même tems tous mes complimens pour vos conférences dont j’ai lu les programmes très remarquables. Nous nous chamaillerons un peu sur la question du baptême. »— « Vous m’avez promis d’être mon parrain. Le moment fatal approche. »— « Je suis allé prendre les eaux ou plutôt les bains, que je vous recommande si vous êtes […] rhumatisant sérieux ou si vous avez des phénomènes nerveux. Je n’ai rien de tout cela, mais j’étais fatigué. […]. Quand on a comme Hugo le droit de faire parler un faux nom , on n’a que l’agrément de la chose. […] Je garde ce que je sais de Mme Sand que les autres ne savent pas. »— « Je joins à cette lettre la liste de tous ces messieurs. Vous serez bien aimable de me la envoyer avec une croix à côté des noms des membres dont vous êtes sûr, qui vous ont dit oui. Que je sache bien qui j’ai à remercier, qui j’ai à conquérir ou à éviter même. »
Long poème autographe
DUMAS CharlesLong poème autographe, signé « Le Poète inconnu ». 5 pages in-4°. Intitulé « Élévation ».« Aujourd’hui j’ai gravi la montagne. Aujourd’huiJ’ai bu tout l’or du ciel pour en cribler la nuitRouge sombre de ma souffrance ;Je suis monté le front courbé, si triste et lasMais j’avais soif d’être là-haut, puisque là-basOndulait l’horizon de FranceAh ! Là-haut, ce serait l’air libre, l’océanDe lumière où mon cœur, dont un spasme géantFait craquer l’ardente carèmeOù mon cœur bondissant, fou d’orgueil, aigle et roiDéferlerait sa voile ou ses ailes en moiComme une pourpre souveraine.[...]Le Poète Inconnu.»
Lettre autographe signée
DUMAS Alexandre père (Alexandre Davy de La Pailleterie, dit )Lettre autographe signée. Écrite à Vienne ; 9 pages in-8°.Très longue lettre sur sa visite de Vienne : « Si quelqu’un vous dit que les viennois ne sont point à commencer par sa majesté François Joseph les gens les plus hospitaliers de la terre donnez vite un démenti à ces malappris - d’abord après ma campagne de 1860 mes trois ans de Naples et la création du Journal l’Indépendant dans le casino […]. Je ne devais pas être en odeur de sainteté près de la maison des Habsbourg — en odeur de sainteté ou non l’empereur m’a donné une leçon de courtoisie, car c’est dans son palais même et dans la salle de la petite redoute communiquant à ses appartements du Palais que j’ai fait mes deux première causeries, non pas scientifiques comme il a plu à plusieurs journaux et même aux votre je crois de l’annoncer — mais littéraires — ce qui était moins ambitieux et je le crois ne dépassais pas mes moyens. Après cette galanterie de l’empereur qui a bien son mérite, je vous citerai celle d’un banquier de Vienne qui m’ayant entendu dire que je désirais visiter le Danube à l'endroit où Napoléon l’a passé et l’Ile de Lobo où est mort je crois le maréchal Lannes — m’a invité à une chasse sur les rives du Danube et dans les îles — La chasse a duré deux jours hier et aujourd’hui dans les îles du Danube. Nous avons tué cinq cerfs, trois chevreuils et vingt-cinq faisans, et sur les rives du fleuve cent quatre lièvres — Vous voyez que cela vaut la peine de se déranger. […] Les Viennois ont certainement de tous les peuples de l’allemagne, celui qui par sa gaieté et ses manières ressemble le plus au peuple français — Les femmes y sont ravissantes de beauté et cette beauté toute poétique qui rappelle les héroïnes des Ballades d’Uhland, des tragédies de Schiller et des poèmes de Goëthe, ne ressemble en rien à la beauté mobile et railleuse des Parisiennes — pas une qui ne sache par coeur Goethe depuis Faust jusqu’au roi des Aulnes, Schiller depuis les Brigands jusqu’à la cloche. Ch. Uhland depuis le vieux chevalier jusqu’à la fille de Röckel de Weymar qui est bien la vraie Marguerite rêvée par Goethe en supposant qu’il ait rêvé une Marguerite belle à rendre amoureux Mephistolès lui-même. » Il informe son correspondant que ce soir, il participe à un souper organisé par Melle Charlotte Walter, la Rachel de Vienne. « Je lui ai vu jouer avant hier Roméo et Juliette dans une exécrable traduction de Schlegel. […] Inutile de vous dire que la soirée a été charmante et toute littéraire. L’Allemagne est le seul pays où les soirées littéraires ne soient pas ridicules à cause de la Poésie native des femmes. » Il poursuit en faisant l’éloge de la beauté des femmes de Vienne et de celles d’autres pays qu’il a visités. Il raconte par la suite une anecdote avec un saltimbanque, dresseur de chiens et une dame suivie d’un laquais « Elle était toute vêtue de soie et de velours et une voiture l’attendait à la porte. Elle me dit que ruinée par une longue suite de malheurs elle en était réduite à solliciter avec un seul domestique la charité des nobles étrangers. Je lui fis donner par mon neveu un demi florin espérant qu’elle le luit jetterait au nez. Elle le prit en faisant la révérence. »
Photographie signée.
DULLIN CharlesPhotographie autographe signé. 14 décembre 1944 ; 240 x 180 mm. Grande photographie représentant l’acteur dans le rôle de Shylock dédicacée : « À Madame Joutel. Le 14 déc. 44 Ch. Dullin ».
Lettre signée
DUKE Charlie (Charles Moss Duke, dit)Lettre dactylographiée signée, adressée à un admirateur. Sans date ; 1 page in-4°. Extraordinaire récit de son voyage sur la lune : « My trip to the moon was an exciting timpe from lift-off to splashdown. It was one exciting adeventure after another. The lift-off itself was very, very shaky atop the huge Saturn V rocket for about the first three minutes […]. We landed on the moon four days after lift-off. John Young an I were very excited ! […] Everywhere we walked, we left a set of footprints. When I had been back on Earth in my spacesuit and life support equipment I weighed 632 pounds. But on the moon I only weighed 60 pounds and I could jump like a kangaroo ! I was excited, fascinated and I was enjoying myself very much. I felt right at home. My walk on the moon was eight years ago and is still a fond memory for me. »