Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Aquarelle originale signée
DUBOUT AlbertAquarelle originale signée. 315 X 215 mm. Aquarelle exécutée pour l’illustration des Fadas de la Pétanque.
Dessin original signé
DUBOUT AlbertAquarelle originale signée. 195 X 150 mm. Aquarelle à l’encre de Chine et couleurs. Les gouvernements : « Hein, vieux ! nos gouvernements à nous ... Ils tiennent plus longtemps !.... » Encadrée.
Aquarelle originale signée
DUBOUT AlbertAquarelle originale signée. 31,5 x 24 cm. Aquarelle exécutée pour lillustration des Trois Mousquetaires (page 79 : « Monsieur dit-il, vous vous ferez étriller, je vous en préviens, si vous vous frottez ainsi aux mousquetaires ! »)
Lettre signée
DUBAS MarieLettre signée, adressée à Mme Mortier. Paris, 15 avril 1935 ; 1 page in-4°. « Je ne puis, hélas pas vous promettre de chanter vos chansons, elles sont charmantes cependant, mais le public exige de moi des choses plus exagérées dans le sens parodique. »
Pièce signée
DU DEFFAND Jean Baptiste, Marquis DE LA LANDEPièce signée « Dudeffand de lalande ». 7 novembre 1704 ; 1 page in-4°.« En exécution des ordres de M. le Marechal, nous lieutenant général des armées du Roy ordonnons aux habitants […] de la paroisse de St Sebastien de se retirer suffisamment et dans quatre jours au plus tard dans le dit lieu à St Sebastien, avec toutes leurs familles, meubles […] en sorte qu’il ne reste rien dans les maisons des dites deux hameaux »...On joint 4 documents relatifs à cette fouille de hameaux à la recherche d’armes de guerre dans la région de San Sebastian durant la guerre de succession d’Espagne.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
DU CAMP MaximeEnsemble de 2 lettres autographes signées. Baden-Baden, 1877 et 1881 ; chacune sur feuillet in-8°, l’une avec trace d’adhésif.25 novembre 1877 : « Je serai du jury pour le 1e Xbre ; ce qui me force à rentrer plus tôt que je n’aurais voulu ». 13 août 1881 : « J’ai oublié de vous prévenir que je dirais à âme qui vive que je devais à votre complaisance de savoir le nom de Mme Le Pic. »
Lettre autographe signée
DU CAMP MaximeLettre autographe signée. Paris, 9 mars 1870 ; 1 page in-8°.« Voici le travail dont j’ai eu l’honneur de vous entretenir. »
Pièce signée
DU CAMP MaximePièce signée. Paris, le 28 février 1878 ; 1 page in-4°, avec timbre fiscal impérial. Il s’agit de la dissolution de la société formée pour l’exploitation de la Revue de Paris. La pièce est également signée par Laurent Pichat, littérateur, Babaud-Laribière, journaliste, représentant du peuple, et Émile Desmarest, avocat-bâtonnier. « Que par chute de la suppression de ladite revue, suppression portée au Moniteur de janvier 1918, la société dont il s’agit a été dissoute de plein droit, ce que cette dissolution a été prononcée par délibération des membres de ladite société, en date du neuf février 1878. »
Ensemble de lettres autographes signées
DU CAMP MaximeTrès bel ensemble d’une vingtaine de lettres autographes signées. De 1865 à 1893 ; format in-8°. Lettres évoquant ses articles dans la Gazette du Midi et ses travaux. Longues lettres écrites de Baden-Baden pour la plupart. À étudier.
Lettre autographe signée
DU CAMP MaximeLettre autographe signée, adressée à un violoncelliste, prénommé Paul. Paris, 31 juillet ; 2 pages 1/2 in-8°. Amusante lettre écrite pour une jeune femme amoureuse : « Mlle Judith Lion s’étant légèrement blessée la main droite dans son déménagement, me prie de lui servir de secrétaire ; je saisis en hâte cette occasion de vous serrer cordialement la main. » Il écrit ensuite sous la dictée de Mlle Lion une très jolie lettre d’amour. « Cher adoré, la joie a inondé mon cœur en recevant ta lettre. Ah ! comme tu es aimé de ta Judith et comme elle voudrait t’accompagner dans ce voyage afin de jouir de tous les triomphes qui vont t’accueillir. Je m’ennuie, je languis, je suis souffrante. Pourquoi n’es tu pas là pour calmer les tourments de ce cœur qui t’appartient. […] Tu me demandes s’il faut jouer à la roulette : non ! non ! cher Paul ! ; ne sais tu pas le proverbe : heureux en amour, malheureux au jeu ! Tu perdrais tout, crois moi, car nulle tendresse ne fut plus violente que la mienne. Je vois Brice quelquefois, il fait la cour à ma mère qui se la laisse faire avec plaisir. […] Ne fais plus de rêves affreux, je t’en conjure, crois en moi comme on croit en Dieu et n’oublie jamais que pour la vie et l’éternité, je suis à toi. Ta Judith. Écris moi ! Écris moi ! j’attends ta réponse avec impatience ! tes lettres seules me font vivre ! »
Pièce signée
DU BOURGPièce signée. Strasbourg, 14 septembre 1728 ; 1 page in-folio. « Copie dune lettre escrite par M r de Breteuil à M r le M al Du Bourg, à Marly le 13 fevrier 1725 ». Sur une pension octroyée par le roi.
3 lettres autographes signées
DU BOUCHET André3 lettres autographes signées, adressées à M. Martin Ziegler. 1988-2000 ; 1 page in-4° chaque, enveloppes jointes. Remerciement pour l'envoi d'un livre; sur ses traductions, etc.
Lettre autographe signée
DRUON MauriceLettre autographe signée [adressée à J. Carcopino]. 27 octobre 1968 ; 4 pages in-8°.« Pour qui a vécu à Rome, aime Rome, s’est nourri de Rome, vos “Souvenirs romains” sont une lecture d’enchantement. Et de douce nostalgie, aussi. J’ai passé dans la ville, comme terme d’une jeunesse impécunieuse et turbulente, deux années d’un séjour qui, pour n’avoir pas été aussi studieux que le vôtre, n’en fut pas moins enrichissant. J’y ai puisé images et personnages ; et c’est sur une terrasse de la Via Margutta, au pied de la Villa Médicis, que m’est venue un matin l’idée des Rois Maudits. C’est assez vous dire avec quelle attention et quel plaisir je vous ai suivi du Farnese au Janicule, de Saint Pierre à San Stefano Rotondo […]. J’imagine quelle put être votre joie, découvrant devant vous, chez le Prince del Vivaro, le paysage exactement décrit par Virgile. Ce chapitre est celui de l’intuition et de l’intelligence unies pour le service d’une passion. Comme il vous ressemble, et reflète bien les hautes qualités pour lesquelles on vous admire et l’on vous aime. L’Académie s’afflige de votre absence. Le chancelier que je suis, pour ce trimestre, espère chaque jeudi entendre, sur sa droite, s’élever votre belle voix aux sonorités d’airain ».
Lettre autographe signée
DRUON MauriceLettre autographe signée [adressée à J. Carcopino]. 11 octobre 1966 ; 1 page in-4°.« Je viens de poser ma candidature au fauteuil de l’Académie française laissé vacant par la disparition de Monsieur Georges Duhamel, et je suis très vivement désireux de me présenter à vous.[…] Je me réjouis, je vous le confesse, d’un usage dont j(attend qu’il exauce le souhait que j’ai, depuis longtemps, de vous connaître et de vous exprimer autrement que par lettre ou par livre, la grande admiration que je vous porte ». Maurice Druon a été élu le 8 décembre 1966.
Lettre autographe signée
DRUON MauriceLettre autographe signée [adressée à J. Carcopino]. 15 décembre 1966 ; 2 pages in-4°. Cette lettre après son élection n’a sans doute pas été envoyée.« Le monde moderne impose au succès quelques servitudes, fort plaisantes certes, mais un peu exigeantes, prioritaires, et qui obligent à différer les expressions de la gratitude envers ceux mêmes à qui l’on doit le succès. Voilà cette presse un peu apaisée. J’ai votre César sous les yeux, dans un exemplaire que vous aviez dédicacé “à votre maître René Durand” et que je consultais l’autre semaine, pour une tâche en cours. Je puis enfin vous remercier, profondément, chaleureusement, pour vous remercier doublement, et pour l’honneur extrême qui m’est accordé d’accéder à la haute compagnie que vous illustrez, et pour tant de livres magistraux que vous avez écrits, qui ont nourri mon esprit, aidé mes travaux, et donc ont une large part dans quelques mérites que vous avez, très généreusement récompensés ».