Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Gouache.
DELAUNAY SoniaProjet pour tissus. Gouache à motifs serpentins. 10 x 10 cm. Cachet de la collection Robert Perrier, collection Sonia Delaunay au dos.
Gouache
DELAUNAY SoniaProjet pour tissus. Gouache à motifs serpentins. 10 x 10 cm. Cachet de la collection Robert Perrier, collection Sonia Delaunay au dos.
Poème autographe signé
DELARUE-MARDRUSPoème autographe signé « La Beauté ». 1 page in-folio (14 vers). Beau sonnet.« L’archet qui nous suscite un secret violon,La Beauté, nous tourmentera de couchants roses,De musique, de rêve ou d’art ; car toutes chosesSont le chaos où vit ce fugace filon ».
Poème autographe signé
DELARUE-MARDRUS LuciePoème autographe signé « Le soldat muet ». 2 pages in-4°. Poèmes en 9 quatrins , traduction d’après R.L. Stevenson.
Poème autographe signé
DELARUE-MARDRUS LuciePoème autographe signé, sans titre, adressé à Édouard de la Gandara. 23 décembre 1938 ; 1 page in-4°.« À Édouard de la GandaraPour ce vase dont l’art a faitUn merveilleux reflet de luneEt que va m’envier plus d’une,Je vous remercie, ami parfait !Il me souhaite la fortuneLe bonheur que rien ne défaitCe beau vase dont l’art a faitUn merveilleux reflet de lune.Mais, mieux que bonheur et pécune, Cause dont il n’est pas l’effetJe trouve noble et sans lacuneVotre amitié, ce doux bienfait,En ce vase que l’art a fait. »
Lettre autographe signée
DELAROCHE Paul (Paul, Hippolyte de la Roche, dit)Lettre autographe signée, [sans doute adressée à son ami, M. Le Blanc]. Dimanche, [mars 1836] ; 1 page in-8°.Très belle lettre sur sa fresque de L’Hémicycle des Beaux-Arts de l’amphithéâtre de l’École qu’il achèvera en 1841. Il s’agit d’une vue panoramique qui rassemble 75 figures des plus grands artistes de toutes les époques.« Je viens de trouver un sujet magnifique pour l’Ecole des Beaux Arts. Il est digne je vous le jure, du lieu auquel il serait destiné et je suis vraiment heureux de vous l’annoncer, car je suis tout en désir que vous avez de me voir réussir. L’important, le plus difficile est trouvé. Il faut maintenant, mon ami, que vous enleviez la place et surtout l’argent nécessaire pour qu’il me soit possible d’exécuter tranquillement ce grand ouvrage. J’y ai bien passé depuis que j’ai trouvé ma composition et je puis vous assurer qu’en demandant 80000 f je ne suis que ma dette. Faites tous vos efforts. J’attends demain à 4 h. Duban, je lui dirai d’aller vous voir après demain matin. Tout à vous Paul Delaroche. »
Lettre autographe signée
DELAROCHE MargueriteLettre autographe signée, adressée à M. et Mme de Goss. Paris, 11 octobre 1927 ; 3 pages 3/4 in-12. Au sujet d’un cadre pour une de ses miniatures que son client a donné à encadrer ; l’encadreur n’est pas arrivé à ses fins. « Je ne comprends pas comment l’encadreur a pu faire une telle erreur avec les mesures que je lui ai données et le carton que je lui avais remis […]. Notre séjour à Montoire a été fort contrarié par le mauvais temps, nous avons pu néanmoins aller quelquefois sur le Loir qui est une très jolie rivière. […]. Je suis rentrée de Franche-Comté il y a seulement quelques jours et j’ignore quand je pourrai reprendre mes pinceaux. »
Lettre autographe signée
DELAPORTE MarieLettre autographe signée. Saint-Pétersbourg, le 19 novembre 1870 ; 4 pages in-8°. « Je commence à croire que la poste perd bien des lettres car j’ai répondu presque tout de suite à la dernière que j’ai reçue de vous. » Elle évoque les incertitudes de la guerre : « On prétend que cette brave armée de la Loire a été écrasée sous un nombre sept fois supérieur, et que sa perte nous enlève notre plus grand espoir. On dit que les Prussiens ont tant à souffrir eux aussi, qu’ils désirent la paix plus que nous si c’est possible. Mais la solution n’arrive pas. Nous n’avons jamais reçu de nouvelles directes de mon frère aîné, enfermé dans Paris, ses lettres se sont toutes perdues […]. Pour tromper mes inquiétudes, je travaille à force, j’ai déjà joué Fernande, la matrone Éphèse, je reprends Froufrou samedi, et je suis en train d’apprendre le rôle de Victoria dans Cendrillon. »
Lettre autographe signée
DELANNOYEnsemble de 8 lettres autographes signées et d’1 lettre signée, adressées à René Brest. De 1936 à 1941 ; formats divers. « Trouvez ci-joint les éléments d’un article-interview que je remets à votre sagacité. Je vous passe les formules de publicité... Mais pourquoi n’en ferais-je point ! ... J’aimerais que vous en gardiez l’essentiel et si possible que vous le réserviez à un journal de grande diffusion. Dites-moi aussi ce que vous en pensez et ce que vous comptez en faire. » ; « Puis-je vous demander la faveur d’une insertion dans Paris-Soir ? Voici la note en question. J’espère, dans un temps très proche vous réserver la direction publicitaire d’un film. » ; « Je n’ai pas été tellement étonné de vous lire, ayant à plusieurs reprises, vu votre nom dans les journaux. J’ai même eu l’occasion récemment de l’évoquer avec mon ami Paul Lorenz qui est à “7 jours”. […] J’entends bien l’idée que vous en avez et ce que signifie dans votre esprit le mot “Back Street”. Mais pour vous donner mon avis, il me faudrait lire le scénario que vous en tirerez. » ; « Merci de votre promptitude et de votre amabilité. A l’occasion de vous rendre la pareille. » ; « Puis-je vous demander de bien vouloir faire passer à Paris-Soir et dans les journaux que vous jugerez bon le petit écho suivant : Jean Delannoy réalisera prochainement avec Bernard de Laour un grand film dans les milieux automobiles. Junie Astor, la belle interprète de “Club de femmes” a écrit le scénario de “Contact” et sera l’une des vedettes de ce film. » ; « J’ai lu votre “Fauvette” et je crois évidemment que le sujet, en le simplifiant peut faire un excellent film public. » ; « Je prépare le découpage de “Women’s Club” qui semble vouloir se décider enfin. » ; « Je pense qu’ainsi l’article gagne 100 %. » ; « Pourriez-vous me rendre le service de faire passer dans les journaux où vous collaborez une petite note rappelant que : “C’est M. Jean Delannoy qui assurera la collaboration à la mise en scène de “Club de femmes” ».BREST René (René Bomio, dit) [Paris, 1906 - id., 1998], journaliste et traducteur français, (fils non reconnu de Robert Schreiber), filleul d’Emile Cohl « Les Échos » prennent des initiatives pour valoriser leur image et améliorer leur efficacité. Ainsi, en juillet 1928, le journal invite 400 Américains à un congrès de détaillants. Il se dote de moyens nouveaux : un agrandissement de format, en janvier 1929 ; la création d’un poste de secrétaire de rédaction, confié à Jacques Rozner, en juin 1933 ; puis, en 1934, celle d’une rubrique cinéma, tenue par René Bomio (fils non reconnu de Robert Schreiber).
Manuscrit autographe comportant de nombreuses signatures en marge
DELACROIX EugèneManuscrit autographe. Sans date ; 3 pages in-4°. Le manuscrit comporte de nombreux essais de signatures en marge et dans le texte. Rare manuscrit de jeunesse comportant une version latine sur l’heliotrope, avec ratures et corrections et un texte philosophique : « Qu’est-ce que l’homme ? C’est un vase agité ou toute autre chose fragile. Il ne faut pas pour le briser un grand effort, un choix suffit pour cela. Quelque part que vous le frappiez vous trouverez peu de résistance. Qu’est ce que l’homme, un corps faible et fragile »… Seul il devient la proie et la victime des animaux, un être lâche et facile à vaincre, ni les dents ni les ongles ne sont assez forts pour le rendre redoutable, il a reçu deux choses de Dieu qui le rendent très puissant la raison et la société...Celui qui peut résister c’est à celui-là seul qu’appartient la philosophie...
Lettre autographe signée
DELABORDE HenriLettre autographe signée. Paris, le 26 octobre 1863. 2 pages in-8°. En-tête gravé « Bibliothèque Impériale ». « En disant un mot de vos très utiles travaux, je n’ai fait que rappeler les enseignements que chacun de nous y a trouvés et le profit que j’en ai tiré moi-même. Il n’y a eu en cela de ma part ni intention de politesse envers vous, ni arrière-pensée d’amitié […]. J’ai voulu être et j’ai été tout simplement sincère ; et j’ai signalé ce que vous avez fait, parce que ce que vous avez fait est, à mon avis, méritoire. Vous savez d’ailleurs que je ne vous tiens par quitte de votre dette en ce qui concerne l’histoire de la lithographie et que je vous ai déjà sommé de l’écrire tout entière. Voilà qui vous revient de droit. Je n’ai fait, moi, que la préface du livre qu’il vous appartient de nous donner.» En post-scriptum, il rajoute qu’il aimerait constituer un ouvrage sur Gavarni digne de ceux sur Géricault et sur Charlet que possède la bibliothèque. Jolie lettre.
Lettre autographe signée
DELABORDE Henri, vicomteLettre autographe signée adressée a un confrère. Sans date ;1 page in-12. « Le 28 octobre, jour de notre séance annuelle, je réunirai le soir […] les jeunes artistes auxquels l’Académie a décerné les grands prix de 1876. Voudrez-vous bien nous réserver un peu de votre soirée ce jour-là ? En honorant de votre présence cette réunion de famille académique, vous donnerez à ces jeunes gens un témoignage de l’intérêt qu’ils nous inspirent. »
Lettre autographe signée
DELABORDE DIT ELIELettre autographe signée adressée à un ami. 4 novembre ; 2 pages in-4°. (fente au pli central). Il juge inacceptable ce que lui propose son correspondant et lui affirme, sans vouloir le fâcher : « 1° Je me f... radicalement de l’opinion des gens de L... et n’ai ni à conquerir ni à perdre leur estime. 2° ma réputation n’est pas à faire, fort heureusement d’ailleurs ». Ne pouvant pas se passer de ses revenus de professeur, il ne pourrait faire la tournée prévue que s’il était payé, frais de soirée et d’organisation compris. Enfin il nomme les morceaux pour piano seul qu’il serait prêt à interpréter s’ils devaient jouer à Lausanne : « A- caprice sur la truite de Schubert- st Heller, B; la petite marche villageoise [ tirée de son propre opéra] Maître martin. C. Etudes tierces. D-la clochette de Paganini -Liszt ».
Ensemble de lettres autographes signées, de manuscrits, de dessins.
DEKOBRA Maurice (Maurice Tessier, dit)Ensemble de lettres autographes signées, de manuscrits, de dessins.— Manuscrit autographe « La Gondole aux chimères ». [1926] ; 12 pages in-4° numérotées 153 à 164. Avec un mot d’envoi autographe avec dessin « Princesse dear, je viens d’accoucher d’une gondole ! Le père et la quille se portent bien. Comment allez-vous là bas ? Je ne vous oublie pas du tout. On joue la Perle de Chicago à Bruxelles. Si vous étiez là, ce serait allé là-bas entre 2 flips. »— Dessin rehaussé au crayons de couleurs représentant un couple enlacé dansant, signé de ses initiales « M.D. »— 3 lettres autographes signées « Serpan », adressées à une jeune femme nommée Sandrina, toutes illustrées de dessins. « Je ne fais que manger des euff’ à la coque depuis que le Sioux m’a sculpté une cuiller serpentesque ! Merci Princesse du grand Canon pour la si charmante pensée. J’espère que Fisco vous enchante avec sa porte d’or et que vous reviendrez sans tatouage. » — « Comment va votre altesse Vénézuelarde » il se propose de manger avec elle. — Lettre autographe signée. 26 février 1920 ; 1 page in-4°. Lettre à un confrère relative à ses droits d’auteurs : « Mais si, comme je le souhaite, Lisons … est un succès et part pour une longue carrière, je ne peux pas m’engager à vous réserver des romans inédits au prix immuable de 4000 francs. Je pense que nous serons d’accord sur ces changements de détail. Si oui, vous pouvez faire établir le contrat sur papier timbré. »
Carte autographe signée
DEKOBRA Maurice (Maurice Tessier, dit)Carte autographe signée, adressée à M. André Paysan. « Mercredi » ; 10,5 x 12,5 cm. Carte gravée à son adresse et enveloppe timbrée jointe. « Pour votre critique dramatique, vous devriez causer avec Maurice Revel que vous connaissez. Je lui en ai parlé et cela l'intéresserait en principe. Je crois qu'il serait précisément le critique non professionnel indépendant et ayant son franc parler que vous cherchez. Et puis sa signature serait une valeur de plus pour votre magazine. »