Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
DEBBIEG HughLettre autographe signée. 1er octobre 1799 ; 1 page in-4°, en anglais. « Having occasion to write to M. Adam, I enclosed M. Tuesdales receipt for this months Pay which he of course will deliver to you, and the sooner you can send me £ 20..8..0 the more you l' oblige. »
Proclamation : Citoyens français : Le jour de la délivrance se lève. Vos frères d’armes sont maintenant sur le sol français.
DÉBARQUEMENT DE NORMANDIE — EISENHOWER DwightProclamation de Dwight David EISENHOWER, Général Commandant Suprême des forces Expéditionnaires Alliées. [Juin 1944] ; 25 x 20,5 cm, recto-verso, jaunissement dû au temps et petites fentes restaurées. Cette affiche qui fut tirée dans de multiples formats a été diffusée sur la France après le débarquement.« Proclamation : Citoyens français : Le jour de la délivrance se lève. Vos frères d’armes sont maintenant sur le sol français. Je suis fier d'avoir sous mon commandement les vaillants soldats de France, qui se sont préparés si longtemps dans l’attente du jour où ils participent à la libération de la Patrie. […] L’ennemi combattra avec le courage du désespoir. Il emploiera tous les moyens, si cruels soient-ils, pour essayer d’enrayer notre progrès. Mais notre cause est juste, nos armes sont puissantes. Avec nos valeureux alliés russes, nous marchons vers une Victoire certaine.»Il est probable que notre exemplaire (deux faces) a été fait dans un petit format dans le but d’être lâché par avion au dessus de la Normandie.
Pièce signée
DEAUVILLE MaxContrat d’édition signé par Max Deauville. Louvain, 1er mars 1938 ; 2 pages in-8°. « Tamerlan et la courbe d’une étoile […] le manuscrit devra être soumis pour lecture aux Editions Neggor, le présent ne devenant définitif qu’après accord adressé à M. Max Deauville. »
Lettre autographe signée
DEARLY Max (Lucien Paul Marie Joseph Rolland, dit)Lettre autographe signée. Mercredi 12 septembre 1917 ; 2 pages 1/2 in-8°. Légère déchirure en-tête n’affectant pas le texte.« Je vous confirme mon télégramme. J’ai donné effectivement à M. Willemetz plein pouvoir pour présenter et faire accepter Petite Reine mais cela ne me dépossède nullement de mon droit de propriété qui reste exclusif et entier. Je ne désire nullement compliquer les choses et surtout être désagréable à personnes : Je vous demande donc de laisser les choses en état. [...] D’autre part mon traité avec les propriétaires anglais comportent des clauses que je suis obligé de faire respecter. Savoir principalement : 1°/ Que l’on doit me fournir toutes les semaines un relevé des recettes brutes. 2°/ Que la pièce doit être jouée un minimum de 40 fois consécutives. Sans cela l’avaloir que j’ai versé serait déclaré forfaitaire et les droits retourneraient aux Anglais. »
Photographie signée
DEARLY Max (Lucien Paul Marie Joseph Rolland, dit)Photographie signée. 13,8 x 9 cm.
Lettre signée
DEARLY MaxLettre signée, adressée à Marcel Ballot. 24 août 1917 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Productions Théâtrales Max Dearly ». « Concernant Trilby, il apparaît que M. Cain a acquis l’autorisation d’adapter la pièce mais non de la faire représenter. Il faut donc que j’acquiers ce droit ; c’est ce que j’ai fait et ce que je fais d’ailleurs pour toutes les pièces anglaises et américaines. Ce n’est qu’une simple formalité qui, en l’espèce, ne peut porter aucune atteinte aux intérêts de notre ami Henri Cain. »
Photographie autographe signée, dédicacée
DEARLY MaxPhotographie autographe signée, dédicacée à Mme Bérard. 1937 ; 125 x 176 mm. Photographie des studios Harcourt. « À Madame Bérard, en amical souvenir Max Dearly ». Très belle photo.
Lettre autographe signée
DEARLY MaxLettre autographe signée, adressée à Alfred Bloch. Beaulieu-sur-Mer, 22 mai 1927 ; 1 page in-4°. Sur ses droits d’auteurs de la pièce J’ai une idée. « En ce qui me concerne personnellement, la pièce n’a pas été représentée à Paris cette année. Quant à la province et la Belgique, ces Messieurs ont cédé le privilège à Montcharmon. La pièce a été représentée à Bruxelles cet hiver et a terminé je crois, fin décembre. »
Lettre autographe signée
DAVOUT Louis NicolasLettre autographe signée « Louis » adressée à sa femme. « Près de Presbourg», 2 juillet [1809] ; 2 pages 1/2 in-4°. « Je t’ai annoncé il y a quelques jours ma chère aimée l’envoi de 20 000 francs environ provenant de nos revenus de [...] Hanovre. J’avais espéré pouvoir réaliser les ordonnances qui m’aveient été envoyés sur les receveurs généraux françaisdans ces pays. La lettre ci jointe de Lenoir te prouvera que j’ai échoué. Je te l’envoie avec les ordonnances qui ne se montent qu’à 17 000 francs et non à 20 000 francs comme je le croyais. La lettre de Lenoir explique comment il faut s’y prendre pour faire acquitter les ordonnances. Ainsi je n’entrerai dans aucun détails. Tu as ma procuration qui est général et par conséquent suffisante pour toucher ces sommes. Hier soir j’ai passé une bonne soirée ayant recus tes lettres les 15, 18, 18, 21 et 22juin. Tous les détails que tu me donnes ma chere aimée, sur nos enfants me font le plus vif plaisir. Continue les ils me font trouver quelques fois avec eux et leur excellent et brave maman. Ce que tu me mandes ma chère aimée, de l’état de ta santée me trouble de plaisir des autres détails. Soigne la bien pour être prompteusement en état de venir joindre ton Louis. Il me semble que l’époque ou les circonstances le permettront s’approchent. »
Lettre autographe signée
DAVOUT Aimée LeclercLettre autographe, signée « Aimée », adressée à sa belle mère Madame Davout. Vienne 22 octobre 1809; 3 pages in-8°, adresse sur le 4e feuillet avec marque postale en rouge N° I / Arm. d’Allemagne. « Mille circonstances ce sont opposées à ce que j’aille vous voir ma bonne mère avant de me réunir à votre bon fils mes affaires m’ont retenue huit ou dix jours de plus que le Mal ne le croyait et pendant lesquels je suis restée sans nouvelles de lui. Vous pouvez vous faire une idée de cette privation et de mon desire de la faire cesser; passez chez vous mon excellente mère m’eut fait faire un grand détour. J’eusse voulu y séjourner et l’on m’a assuré que je trouvrais de mauvais chemins qui casseraient ma voiture qui n’était pas trop solide. Ayant d’abord voulu voyager dans ma bonne calleche j’ai du sacrifier ce desir quoi que bien vif à celui de me réunir le plus tôt possible à mon Louis que je suis venu trouver presque sans m’arreter puisque je n’ai couché qu’à Bar et à Munich chez le Gal Beaumont que j’ai trouvé très bien portant. J’espère pour Julie qu’il ne tardera pas à lui être réunis alors il ne manquera rien à son bonheur; la santé de ses chers petits étant excellente, ma nièce me mandé que celle des miens ne laisse rien à désirer. Je sens bien vivement de la peine d’en être séparée; j’ai besoin de me dire souvent mon Louis mérite tous les sacrifices que je peux lui faire et mes derniers enfants sont trop petits pour me flatter qu’ils n’eussent pas souffert d’un aussi long voyage dans la saison ou nous sommes. Ma mère me mande aussi qu’elle n’a pas encore touché une somme de 3000 mille francs que je l’avais prie de vous faire tenir mais vous ne pouvez éprouver un grand retard. Soyez assez bonne pour me donner souvent de vos nouvelles. Le Mal se porte on ne peut mieux. Il va de nouveau être bien occupé il commande l’armée d’Allemagne et toutes les marques de confiance que l’Empereur veut bien lui donner. Je ne vous dis rien de sa part. Il est sorti et ignore que je vous écris. »
Lettre autographe signée
DAVOUT Aimée LeclercLettre autographe, signée « La Male D. Psse d’Eckmühl », adressée à sa belle soeur, l’épouse du général Davout. [Paris], 14 août 1830 ; 3 pages in-8°, adresse sur le 4e feuillet avec marques postales dont un superbe déboursé de DEB.83/ ANCY-LE-FRANC. Petit manque de mots dus à la brisure du cachet à l’ouverture de la lettre. Belle lettre sur les événements de 1830. « J’arrive du fond des Pyrénées, ma chère soeur. J’en suis partie précipitamment à la 1e nouvelle des grands événements qui viennent de se passer et jugez de ma surprise et de ma joie d’avoir trouvé tout si promptement rentré dans l’ordre que dès le soir de mon arrivée, j’ai été je ne dirai pas faire ma cour à la Reine. Mais lui faire porter le tribut de ma reconnaissance qui est du à ma famille qui placée par la providence pour nous sauver de l’anarchie la plus effroyable a eu le devouement de ne pas se soustraire à ce mandant dans l’état actuel des choses le républicanisme est le seul ennemi à craindre puisque seul il pourrait troubler la France et la brouiller avec l’étranger qui profiterait de nos divisions tout ce qui porte un cœur français gemit des fautes et même des crimes qui ont rendus inévitable ce qui vient de se passer on n’en sent que mieux l’injustice de se rallier au prince dont les vertus privées dont le caractère public sont une garantie d’ordre et de respect pour tous les intérêts. Je suis convaincue que votre excellent esprit aura compris toutes ces vérités et que vous n’hésiterez pas à convoyer Jules à Saint-Cyr. J’ai vainement cherché à savoir ou il se trouvait. Je lui aurais su gré de m’en informer par un mot. Je le crois auprès de vous. Il est urgent qu’il soit rentré le 22 car, il perdrait une carrière ou maintenant son nom peut puissamment le servir, si lorsque vous recevrez ma lettre il n’est pas encore parti, recommandez lui […] de passer chez moi avant de rentrer à l’École ».
Lettre autographe signée
DAVID HermineLettre autographe signée [adressée à l’atelier de gravure Lacourière-Frélaut]. Sans date [1932] ; 2 pages 1/2 in-4°.« Je viens de retrouver la lettre du Bibliophile de Lyon qui, l’année dernière m’avait proposé de m’acheter la planche “Sous-Bois”. Cela avait été convenu avec lui, et, je n’avais pas donné de suite, c’est à dire qu’occupée à autre chose, j’avais négligé cette affaire. […] Je vous enverrai très bientôt la liste de Pascin que vous m’avez demandée ».
Lettre autographe signée
DAVID Félicien-CésarLettre autographe signée. 1 page in-8°. « Je suis à votre disposition dès demain samedi de midi à 4 heures. Si vous voulez avoir la bonté de passer chez moi, je serai charmé d’avoir l’entrevue que vous me proposez. »
Lettre autographe signée
DAVID Félicien-CésarLettre autographe signée. 1 page in-8°. « Je suis à votre disposition dès demain samedi de midi à 4 heures. Si vous voulez avoir la bonté de passer chez moi, je serai charmé d’avoir l’entrevue que vous me proposez. »
Ensemble de lettres autographes signées
DAVID Félicien-César2 lettres autographes signées, adressées à Ambroise Thomas. Saint-Germain-en Laye, 16 mai 1866 ; 2 pages in-8° et in-12. Lettre de recommandation d’élèves au Conservatoire. « Jusqu’à ce moment, j’avais essayé de conserver l’espoir que ma santé se rétablirait assez promptement pour me permettre de me présenter, selon l’usage, chez chacun des membres de l’Académie des Beaux-Arts, avant le jour de la prochaine élection. Je me vois condamné à renoncer entièrement à cette espérance, et à vous témoigner, ici de nouveau, le sincère et vif regret que j’en éprouve ».