Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de lettres autographes signées
DAVID Félicien-César2 lettres autographes signées, adressées à Félix Lecouppey. 1 page in-18 et 1 page in-8°. Il lui recommande un jeune élève de piano, Mlle Péan, et demande de l’admettre dans sa classe.
Photographie
DAVID Félicien-CésarPhotographie le représentant en buste par F. Mulnier. XIXe siècle ; 105 X 160 mm. Beau cliché.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
DAVID Félicien-César2 lettres autographes signées, adressées à Félix Lecouppey. 1 page in-18 et 1 page in-8°. Il lui recommande un jeune élève de piano, Mlle Péan, et demande de l’admettre dans sa classe.
Lettre autographe signée
DAVID D’ANGERS RobertLettre autographe signée avec dessin, adressée à son oncle. 4 février 1876 ; 3 pages in-12. Il le félicite sur sa profession de foi qu’il faudrait envoyer au Courrier de France, qui fait campagne contre « les meubles gênants comme les Buffet ». Lui-même a la chance de voter pour M. Thiers, qu’il connaît et estime, et qui serait à sa place au fauteuil présidentiel de la Chambre. Après de nouvelles paroles encourageantes il termine par un amusant croquis d’un candidat malheureux, en habit de magistrat et à très long nez.
Portrait gravé
DAVID D’ANGERSPortrait gravé. 225 X 300 mm. Gravure du XIXe siècle de G. Gorvel d’après un portrait d’Ingres. Belle épreuve en eau-forte.
Manuscrit entièrement réalisé par un religieux, frère Luc David, médecin et herboriste au couvent des Récollets de Brive
DAVID (Luc). Traité des plantes universelles par figures au naturel par le frère Luc David Recollet, chirurgien oculiste.Manuscrit du XVIIIe siècle, sur papier grand in-folio (45 x 27 cm). Daté de 1742. 423 pages, chacune, illustrée d'un grand dessin à pleine page, 10 ff. de table, 2 ff. blancs : vélin dur de l'époque (usures). Cachet ex-libris de Mtre Grinard, 19 rue de Pessac à Bordeaux. Manuscrit entièrement réalisé par frère Luc DAVID, pharmacien et médecin oculiste renommé, de la congrégation des Récollets à Bordeaux dont le couvent se trouvait sur la place du Marché-des-grands-hommes qui au XIXe siècle s'appelait Marché des Recollets. David est arrivé de Toulouse à Bordeaux où il est installé en 1752. On connaît de lui un manuscrit d'ophtamologie daté de 1752. Il fut herboriste au couvent des Récollets de Brive, actif entre 1730 et 1742. Sources : Mercure français (avril 1730) pp. 768-769 : « On mande de l'Abbaye de Fontevraud que le Frère Luc David, Récollet de la province de Toulouse, de la communauté de Brin, en bas Limousin, y était arrivé au mois de Décembre dernier [ ] a fait sur sept personnes des opérations très dangereuses, avec une adresse et un succès qui leur fait espérer une guérison radicale ». Cf. Histoire de l'Ophtamologie à Bordeaux (thèse pour le doctorat en médecine d'Alexandre Alfred Chabe, 1908). C'est un très beau manuscrit de botanique !
Lettre autographe signée
DAUZATS AdrienLettre autographe signée. 16 décembre 1849 ; 1 page in-8°. Il remercie son correspondant « d’avoir fait insérer mon nom au registre du contrôle du Théâtre Historique. Je suis bien sensible, Monsieur, à la décision que vous avez bien voulu prendre en ma faveur. »
Lettre autographe signée
DAUZAT AlbertLettre autographe signée. 3 mai 1927 ; 2 pages 1/2 in-8°. Intéressante lettre concernant ses recherches linguistiques sur l'origine du mot « briou » et du « Briou bazaclais » : « Malheureusement les Briou ne sont pas riches en formes anciennes. Je crois que les antécédents sont différents suivant les régions ». Lettre très intéressante par les détails fournis.
Lettre autographe signée
DAUSSY PierreLettre autographe signée. Paris, 16 février 1832 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Ministère de la Marine et des Colonies ». Lettre d’ordre scientifique : il renvoie la lettre de M. Richard et la petite figure qui y était jointe « en vous engageant à différer toute nouvelle publication à ce sujet, dans l’espoir que M. Richard reconnaîtra lui-même que son système n’est pas praticable. Du reste l’Académie des Sciences et le Bureau des Longitudes doivent prononcer sur cette nouvelle méthode qui n’est sans doute pas entièrement fausse, mais dont l’usage à terre serait certainement plus long que celui de la méthode ordinaire, et qui de plus présenterait à la mer des difficultés insurmontables. Il y a même dans la dernière lettre que vous avez publiée de M. Richard une absurdité manifeste lorsqu’il dit que l’on pourra avoir l’heure en observant la distance de deux étoiles l’une près du méridien et l’autre près du premier vertical, puisque la distance de deux étoiles est à toutes les heures du jour la même. […] Il est plus prudent de laisser faire ceux qui sont chargés officiellement de cet examen. »
Lettre autographe signée
DAUSSY PierreLettre autographe signée « P. Daussy Ingénieur hydrographe en chef ». Paris, 1er novembre 1835 ; 3 pages in-4°. Lettre intéressante relative à l’expédition de La Bonite en Mer de Chine. Sur l’emploi d’un ingénieur hydrographe. « Je me flattais que le corps des ingénieurs hydrographes recevrait sous votre direction et sous les auspices de l’illustre amiral placé à la tête du département de la Marine, une nouvelle impulsion, en dirigeant ses travaux sur l’hydrographie des mers éloignées ». Il regrette donc qu’il ne puisse espérer avoir à bord du vaisseau La Bonite, un ingénieur hydrographe. « Je sais que MM. de Freycinet, Duperrey, D’Urville, de Bougainville et Laplace n’ont point emmené d’ingénieur hydrographe avec eux, je sais que leurs travaux sont à juste titre admirés ; mais à qui l’hydrographie moderne doit-elle ses perfectionnements, si ce n’est à l’ingénieur hydrographe embarqué à bord de l’expédition de M. d’Entrecasteaux ; c’est dans ses écrits que tous les officiers de marine qui se sont occupés d’hydrographie ont cherché les méthodes à suivre». Il insiste donc sur la nécessité d’embarquer un officier ingénieur dans l’expédition qui fera le tour du monde. Très beau texte.
Pièce signée
DAUSSY PierrePièce signée « L’Ingénieur hydrographe en chef P. Daussy ». Paris, 25 septembre 1848 ; 1 page in-folio. Intéressante note pour M. l’ingénieur Darondeau. « Monsieur le conservateur du dépôt a fait expédier à Rochefort le jeu complet de compas nécessaire à l’installation du Requin. […] Des informations ont été prévues au Ministère de la Marine sur l’opportunité d’installer immédiatement L’Épervier et de controler l’Australie ».
Ensemble de 3 documents signés.
DAURIER CharlesEnsemble de 3 documents signés. 1795-1801 ; formats divers.
Lettre autographe signée
DAURAT DidierLettre autographe signée, adressée à un secrétaire général. Villiers-sur-Marne, 4 juillet 1962 ; 1 page in-8°. Sur une cérémonie à la gloire de l’aviation: « J’ai l’honneur de vous informer que je serai présent à votre cérémonie du samedi 7 juillet. C’est avec un sentiment de fierté et d’émotion, qu’à vos côtés, je me joindrai à l’hommage qui, grâce à votre belle association sera rendu à ceux auxquels nous devons tous ».
Lettre autographe signée
DAURAT DidierLettre autographe signée, adressée à un secrétaire général. Villiers-sur-Marne, 4 juillet 1962 ; 1 page in-8°. Sur une cérémonie à la gloire de l’aviation: « J’ai l’honneur de vous informer que je serai présent à votre cérémonie du samedi 7 juillet. C’est avec un sentiment de fierté et d’émotion, qu’à vos côtés, je me joindrai à l’hommage qui, grâce à votre belle association sera rendu à ceux auxquels nous devons tous ».
Lettre autographe signée
DAURAT DidierLettre autographe signée, adressée à Georges Desvallières. Villiers-sur-Marne, 4 septembre 1959 ; 1 page 1/2 in-8°. « Je m’excuse bien tardivement de n’avoir pu me joindre à vous le 4 juillet dernier, mais je vous assure que mon absence était essentiellement physique, lors de l’hommage que les nôtres ont rendu à Antoine de Saint Exupéry, en particulier. Je tiens à vous remercier d’avoir bien voulu m’associer aux bons Français soucieux de rappeler le souvenir de ceux auxquels nous devons de pouvoir vivre encore avec quelque fierté »…