Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
COMTE JulesLettre autographe signée. 5 septembre 1902 ; 2 pages in-8°.Concerne un article à publier.
Documents et parchemins
COMTÉ DE HORNE.Important ensemble de documents et parchemins de La Seigneurie puis du Comté de Horne (Hornes, Horne ou Hoorne), fief de l’Empire, vassal du Comté de Looz, annexé aux domaines du prince Évêque de Liège en 1568, s’étendant le long de la Meuse, face à la ville de Ruremonde, enclavé dans le duché de Gueldre, l’actuelle province de Limbourg. — Retranscription au XVIIIe siècle d’un document de 1239, faite au XVIIe siècle. Dessin d’un sceau figurant un chevalier en armure.— Grand vélin de 1357. 64 x 72 cm. Confirmation de partage de terres. « Acte d’aggreation et confirmation du partage fait par le Seigr Comte Willelm de Hornes de ses biens entre ses enfans en l’an 1342 fait et agree par l’Empereur Charles en 1357. »— « Lettres de rachapt fait par le comte de Hornes de quelques vieux groset chapons sur les biens d’Ophorne et Gristinghe. 14 avril 1472. » Sur parchemin.— Consentement des États de Brabant de la donation faite par l’Archiduc d’Autriche en 1501 en faveur de Henry de Wachem (?) seigneur de Berscle de la Haute Justice ... avec ses appendances et dependances. Nombreuses signatures.— Contrat de mariage entre Messire Jacques et Dame Margaret. Fait à Malines 1571 (?) sur vélin avec de nombreux sceaux (identifiés) pendant dans des boîtes métalliques. Très nombreuses signatures.— Pièce signée « Hornes », avec d’autres signatures. Appointements sur rentes. (à déchiffrer)— Document de 1626 sur vélin. Sur la juridiction de la franchise. Sceau aux armes sous papier.— Patente de gouverneur et capitaine général de la province d’Artois pour Ambroise Comte de Hornes. 28 février 1649, sur vélin (52 x 61,5 cm). Nombreuses signatures.— Pièce signée « Léopold » par l’archiduc d’Autriche Léopold. Patente de capitaine d’infanterie de Monsieur le comte Philippe. 8 mars 1650; sur vélin.— Pièce signée « Léopold » par l’archiduc d’Autriche Léopold. « Patente de Monsr le comte Eugene Maximilien de Hornes pour une compie d’Infantrie ». 24 mars 1653; 25,5 x 53 cm, sur vélin.— Patente de capitaine d’une compagnie de cuirassiers pour Albert de Hornes. Donné en l’an 1662, sur vélin. — Pièce signée « A. de Hornes ». Bruxelles, 7 décembre 1664; 1 page grand in-4°, sur papier, sceau aux armes sur papier à côté. Il donne et confère les droits de canonicat à un ecclésiastique.— Document de 1674 sur papier. Sur la prise de fonction de Benoist Boote comme notaire et tabellion public.— Pièce signée « A. de Roÿ ». Sceau sous papier. 1692. (à déchiffrer). Deux pages.— Pièce sur vélin. (à déchiffrer)— Testament signé « Angeline de Hornes ». 1693 ; 4 pages in-folio, en vieux français. — Lettre signée « De Hornes », adressée à M. le comte de Bassingny. Sans date; 3 pages in-4°, adresse avec fermeture avec cachet de cire rouge aux armes sur soies roses. Très intéressante lettre dans laquelle il est question de l’obtention d’un passeport, de changement d’armoiries, etc.— Pièce signée « Le Prince de Hornes ». 2 avril 1712; sur papier in-folio oblong, sceau à sec sous papier. Il donne et confère les droits de canonicat à Paul Routers, chanoine.—Document de 1716 au nom de Philippe Emmanuel, prince de Hornes. Nomination de Herman Breugels comme chanoine au chapitre de l’église de St Pierre à Boxtel. Cachet de cire noire aux armes.— Document signé « Yo la Reyna », adressé à M. A. de Hornes. 1 page en espagnol.La seigneurie puis comté de Horn (ou Hornes, Horne, Hoorne) était un fief d’Empire, vassal du comté de Looz, et située à la marge septentrionale de celui-ci. Faute d’héritiers, il fut annexé aux domaines du prince-évêque de Liège en 1568. Son territoire se situe dans l’actuelle province de Limbourg. La seigneurie de Hornes regroupait une dizaine de villages autour du château de Horn, qui en constituait le siège. Elle s’étendait le long de la Meuse, face à la ville de Ruremonde. Au sud, les terres de l’abbaye impériale de Thorn faisaient la jonction avec le reste du comté de Looz. Sur tout le reste de sa périphérie, la seigneurie était enclavée dans le quartier supérieur du duché de Gueldre (Wikipédia).Les comtes de Hornes servirent les ducs de Bourgogne puis la maison de Habsbourg, le comté entre par la suite dans la maison de Montmorency. Ce dernier est supprimé à la fin du XVIIIe siècle par la révolution liégeoise.
Carte
COMTÉ DE BOURGOGNE ou FRANCHE-COMTÉ : Orgelet, Lons-Le-Saunier, Poligny, Arbois, Salins, PontarlierCarte gravée, dressée par le Sr Robert, géographe ordinaire du Roi. 1749; 51 x 65 cm, trace de mouillure dans la partie du haut au centre, rehauts d’aquarelle. Le titre est en bas et à droite dans un cartouche ornemental : « Partie Méridionale du comté de Bourgogne ou Franche-Comté, où sont les Bailliages de Orgelet, Lons-Le-Saunier, Poligny, Arbois, Salins, Pontarlier, les terres de St Claude et partie des bailliages de Dole et Dornans.»
10 lettres signées, adressées au compositeur Emmanuel Bondeville
COMPOSITEURS. MONACO.10 lettres signées, adressées au compositeur Emmanuel Bondeville: Gaston Brenda (2 lettres signées sur le Prix de composition musicale Prince Rainier III de Monaco) ; Luigi Cortese (sur la représentation de Sardanapale au théâtre de Monte Carlo) ; Vagn Holmboe (sur le Prix de composition musicale Prince Rainier III de Monaco) ; Otmar Mácha (lettre autographe signée, en français, sur la préparation du prix de composition) ; Alexandre Ivanow Raytchev (il accepte d'être membre du jury pour le Prix de composition musicale Prince Rainier III de Monaco) ; Domingo Santa Cruz Wilson ; Alexandre Spitzmüller ; Antonio Veretti (2 lettres signées sur le Prix de composition musicale Prince Rainier III de Monaco).
Pièce signée
COMPOSITEURSPièce signée par de nombreux musiciens dont : Arthur Honegger, Georges Auric, Arthur Bliss, Werner Egk, Marcel Poot, Jean Binet, Franco Alfano, Géza Frid, Ernest Van der Eyken, Maurice Schoemaker, etc. Bergen, 5 juin 1954 ; 1 page in-folio. « Réunis au congrès de Bergen, les compositeurs de musique qu’il est convenu d’appeler sérieuse, c’est-à-dire ceux pour lesquels la seule recherche du gain matériel ne constitue pas la raison première de leur travail, désireraient être consultés lorsqu’il s’agit de questions qui les intéressent directement et où leurs connaissances et leur expérience peuvent être utiles, qu’il s’agisse par exemple des contrats d’édition, des barèmes de répartition, de la double imposition, etc. Ils remercient la conférence des directeurs et des experts de la répartition d’avoir formulé en avril 1953 le vœu qui les concerne et recommandent chaleureusement son adoption par l’assemblée confédérale en espérant que toutes les sociétés le mettront en pratique. » Précieux document.
Grande photographie signée
COMPAGNONS DE LA CHANSONGrande photographie signée par tous les chanteurs du groupe. 254 x 200 mm. Photographie des disques Columbia. Jo Frachon, Guy Bourguignon, Jean Broussolle, Jean-Louis Jaubert, Hubert Lancelot, Fred Mella, Jean-Pierre Calvet, René Mella, Gérard Sabbat.
Pièce autographe signée
COMPAGNIE DES INDES.Pièce autographe signée par George Crauford. Rotterdam, 2 mars 1815 ; 7 pages in-folio. Intéressante pièce manuscrite sur un contrat passé en 1790 entre la Compagnie des Indes et le baron de Nagell. celui ci « déclare que la qualité d’anglais que George Crauford se donne, et la réclamation, qu’il renouvelle sont également inadmissibles. Les actes du Parlement britannique, qui font loi, ne lui accordent pas seulement, en tout temps, la qualité de sujet anglais, quoique né en pays étranger, mais étendent cette qualité jusque et compris ses enfants. Il fut aussi complètement reconnu comme tel, et quand il fût nommé Commissaire de Sa majesté britannique à Paris, en 1784, pour conclure un traité de commerce. Il a donc le droit incontestable de renouveler sa sollicitation pour obtenir la protection des Ministres de Sa majesté Britannique, comme sujet lésé dans ses propriétés, en pays étranger et ami, relativement aux colonies asiatiques qui vont être rendues gratuitement à la nation hollandaise, laquelle s’est emparée non seulement de ces possessions, mais aussi de toutes les propriétés de la Compagnie des Indes, avec la condition expresse de payer les dettes, et de réaliser les engagements de la dite compagnie. C’est une condition qui ne peut avec justice être détruite par aucun raisonnement plausible, ou par aucune loi postérieure à celle qui a annoncé cette homologation du public. » Texte très intéressant.
Ensemble de 4 lettres autographes signées :
COMMUNE DE PARIS. ROBERT Louis-RémyEnsemble de 4 lettres autographes signées. 1871 ; 15 pages in-8°. Très intéressant témoignage sur les dernières semaines de la Commune de Paris. — Lettre autographe signée. Sèvres, s.d. [fin mars-début avril] ; 4 pp. in-8°. Il savait que son correspondant avait quitté Paris peu après le massacre de la rue de la Paix [22 mars] ; il lui a écrit sans savoir si sa lettre lui parviendrait. Il est 7 heures du matin et déjà les canons du Mont-Valérien et les batteries de Meudon ont repris leur fusillade. « Les attaques venant de Paris portent avec rage tant sur la rive gauche que sur la rive droite, et ont été jusqu’ici repoussées. L’armée tient bon et a grande hâte d’en finir : elle tient sur toute la rive de la Seine les positions qu’occupait l’ennemi pendant le Siège ! Nous sommes ici littéralement bloqués. Les chemins de fer rive gauche et droite ne marchent pas ; on entre et on sort de Paris à l’aide d’un laissez-passer de la Commune, rarement donné. » Il lit les nouvelles de Paris dans le Gaulois. « Le résultat de cette affreuse lutte ne saurait être douteux et cette guerre des voleurs contre les gendarmes, cette lutte contre la France doit se terminer prochainement. Une machine remorquant une une voiture de 1ère classe est partie hier matin se rendant à Versailles par la rive droite. Elle transportait me dit-on à la station de Ville d’Avray des négociants de Paris, autorisés par le comité de la garde nationale à traiter avec le gouvernement de Versailles. Ils ont fait le soir retour sur Paris par la même voie. Le résultat nous est inconnu, mais la violence des détonations partant tant de Bellevue que du Mont-Valérien ne prouvent pas de l’accord le plus parfait. » Le post-scriptum revient sur cette tentative de médiation. « J’apprends à l’instant que le citoyen Delecluse aurait coffré la Commune, et que les parlementaires d’hier venaient de sa part à Versailles proposer un arrangt, qu’ils seraient retournés avec la réponse que le seul arrangt possible était la reddition de Paris. »… — Lettre autographe signée. Sèvres, dimanche matin [9 avril 1871 ?] ; 3 pages ½ in-8°. Il donne d’autres nouvelles de la situation militaire : « La lutte se prolonge […] et quoique les moyens d’attaque soient formidables la vigilance des gredins de Paris maintenue en éveil et parfaitement renseignée de tous les projets d’attaque […] est continuellement à la parade ; dix bandits derrière ces murs tiennent une compagnie en échec. Il est hors de doute que l’on en vienne à bout mais à moins de circonstances fortuites, je crains bien que l’on ne soit obligé de mettre Paris à la diète comme ont fait les Prussiens. […] La prolongation de la lutte a ce danger de faire dire au populaire qui en somme est bête […] : s’ils résistent si longtemps c’est qu’ils ont raison. Joignez à cela le peu de patriotisme de la chambre en présence d’un danger aussi grand. Les partis s’occupent seulement de leurs petites affaires, et par leurs discordes font encore l’affaire de l’insurrection. L’armée touche aux portes de Paris, l’artillerie qui nous avoisine tonne sans cesse : les obus nous arrivent rarement maintenant. Il y a progrès évidemment, mais la clôture est diablement longue à arriver. » Il rassure son correspondant sur le sort de son laboratoire et de ses collections : tout est intact. Il le renseignera ultérieurement sur l’état de son habitation. Robert se rend parfois à Versailles où il discute avec un de ses anciens amis, intime avec les hommes du 4 septembre et voyant souvent Thiers, Simon, Picard et Fabre. Il ressort « qu’une fois Paris vaincu on procèdera à l’élection des 125 députés manquants (d’ici à deux mois) que d’ici là, la France aura su se faire son opinion, qu’il n’y a que les d’Orléans de possible, et que si la chambre votait la forme monarchique constitutionnelle, le parti républicain se rallierait à ce vote. La pancarte légitimiste a eu maintenant ce bon résultat sur le parti républicain, non socialiste. »…— Lettre autographe signée. Sèvres, mardi de Pâques [11 avril 1871] ; 3 pages in-8° sur papier à en-tête de la Manufacture Royale de Porcelaine et de Peinture sur verre. Rien de nouveau depuis avant-hier : « ces garnds combats d’artillerie ayant pour objectif le fort d’Issy [qui tiendra encore un mois et ne tombera que le 8 mai aux mains des Versaillais] et la porte Maillot a eu pour résultat de fort démanteler le fort, non encore pris, et de démolir le rempart de la porte Maillot par laquelle l’assaut va sans doute se donner. Une fois entrée dans Paris l’affreuse guerre des rues par notre armée va commencer : que de victimes vont succomber sous les coups des brigands qui tiennent la capitale ! Un garnd coup se prépare du reste, et le silence relatif de l’artillerie aujourd’hui me fait penser que Mac-Mahon qui prend aujourd’hui la direction de l’armée, prépare ses Dominos : les Parisiens font de même sans doute : le résultat n’est pas douteux pour moi. Le Diable veuille que l’on puisse d’ici peu passer ces gredins au fil de l’épée ; et que l’on baillonne la clémence ; il y a temps pour tout. » Les nouvelles de Paris ne se lisent plus que dans les journaux de Versailles : « Nous sommes bloqués à Sèvres sans pouvoir même passer les ponts. Les malheureux Parisiens vont en éprouver de rudes ; leur goût pour Mrs les Rouges s’en modifiera peut-être. »… — Lettre autographe signée. Sèvres, s.d. [circa 8-10 mai] ; 4 pp. in-8°. Il assure son correspondant qu’il ne tardera pas à rentrer à Paris : « je ne pense pas que la prise de cet aimable repaire tarde de beaucoup maintenant, et une fois les remparts enjambés le désarroi des communeux sera prompt : les gredins ont perdu énormément de monde dans toutes leurs attaques et les femmes de ces héros du désordre piaillent à qui mieux mieux à la rentrée, intra muros, des bataillons qui reviennent décimés, et qui disent-ils ne veulent plus y retourner : les mégères d’un bon nombre ne retrouvent plus leurs maris, ou tués, ou prisonniers, ou blessés. […] La prise du fort d’Issy va sans doute entraîner la reddition de [Vanves et de Montrouge] : les Parisiens vont maintenant avoir la guerre chez eux et fort indifférents jusqu’alors aux ruines qu’ils ont amoncelées autour de la capitale, vont cruellement souffrir à leur tour : ce sera terrible, à moins que le Dombrowski qui vient de se faire donner des pouvoirs militaires absolus [Rossel l’a nommé commandant en chef de l’armée de la Commune le 5 mai] ne vende un bon prix ses frères d’armes [Robert est bien informé : on lui avait proposé pour trahir un million et demi de francs qu’il refusa] ; Dieu veuille qu’il en soit ainsi ! » Robert décrit ensuite l’explosion d’un ballon près de la barrière d’Issy : « figurez-vous la lune se levant grande et rouge à l’horizon, prenant feu tout à coup en débordant d’une frange éblouissante et disparaissant laissant dans l’air un immense nuage. » Les troupes sont maintenant à 250 mètres de la porte du Point du Jour « où les tranchées se sont faites l’avant dernière nuit à l’insu des communeux. » Une troupe de 30 insurgés ayant été capturée, les Versaillais ne se tiennent plus de joie et Robert ne s’en amuse qu’à demi : « Cette hideuse commune qui nous fait tant de mal, nous fait aussi du bien sans s’en douter, elle relève notre armée, pourquoi faut-il que cette armée soit aux mains de ces impuissants bavards qui n’ont su faire que de l’opposition toute leur vie. Tenez pour certain que si ce second couplet de Sedan ne finit pas comme le premier, c’est uniquement parce que nous n’avons plus affaire aux Prussiens. Toujours est-il qu’il est temps que ce drame finisse, les doctrines communistes pour peu que cela dure, feraient du chemin par toute la France. »… Joint : Le faire-part de décès de Louis-Rémy Robert
Lettre signée
COMÉDIENS.Lettre signée, adressée à François Tédesco. Paris, 27 avril 1905 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Comité de l’association de Secours mutuels entre les artistes dramatiques ». « Monsieur Coquelin aîné, Président, a annoncé au comité à la séance d’hier, la mesure tant aimable et bien gracieuse que vous avez bien voulu adopter, comme conséquence de la conversation que vous avez eue avec M. Brémont et qui se traduira par l’envoi gratuit du journal dont vous avez la direction. Il y a là, l’exemple d’un témoignage d’intérêt pour les vieux comédiens qui est précieux à tous et à toutes et pour lequel le Comité vous prie d’agréer ses plus chaleureux et sincères remerciements. » Ont signé notamment : Coquelin, Grivot, C. Lamy, Brémont, Debruyère, Alexandre, Louis Ulbach, L. Péricaud, Galipaux, Guyou, Regnard, etc.
Lettre autographe signée
COMÉDIE FRANÇAISE — DELAUNAYLettre autographe signée, adressée à M. Bodinier. Versailles, 27 mai 1888, 9 heures 1/2 du matin ; 1 page in-12, sur papier de deuil, pli fortement marqué. « Merci d’abord pour la baignoire. Si Cocheris est encore malade, Burgnet jouera ne jurer de rien. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées
COMBES ÉmileEnsemble de 3 lettres autographes signées. 1907-1917 ; 4 pages 1/2 in-8°.À la suite de la perte de son fils, il remercie son correspondant pour « les témoignages de sympathie qu’il m’a donné dans l’épreuve douloureuse que je subis. J’en garderai le souvenir profondément gravé dans mon coeur. C’est là un lieu qui s’ajoute dans ma pensée à ceux que j’ai contactés dans mon passage au pouvoir, avec ce grand corps de l’État, auquel mon fils était si fier et si heureux d’appartenir. » 27 juillet 1916, à une dame : « Je pars ce soir pour Roquecourbe (Tarn), mon pays natal, ou je ne resterai que 36 heures. Je serais de retour à Paris, mardi matin »... 14 juillet 1917, à M. Périer : « Il m’est arrivé souvent d’ailleurs de m’entretenir de vous avec ceux qui vous ont connu à Paris et qui partagent mes sentiments à votre égard »...
Plaquette dédicacée
COLONNETTI GustavoPlaquette dédicacée à M. Jacques Jouques Duparc. « L'influence de la recherche scientifique dans le monde moderne ». 1955 ; 7 pages in-4°. Extrait de la revue La Ricerca scientifica.
9 photographies dédicacées
COLONNE Émile9 photographies dédicacées. 1931-1943 ; formats divers (la plupart par J. Rentmeesters à Bruxelles).Au Théâtre royal de la Monnaie dans les rôles d’Henri de Valois (Le Roi malgré lui), du Marquis de Saluces (Grisélidis), de Guillaume (Cosi fan tutte), d’Albert (Werther), de Schubert (Chanson d’amour), de D’Orbel (La Traviata), de Marcel (La Bohème) et en tenue de ville.
Photographie autographe signée
COLONNE ÉmilePhotographie autographe signée, dédicacée à Mlle Marvet. 1929 ; 14 x 9 cm. Photographie de Jos. Rentmeesters à Bruxelles. « À Mademoiselle Christiane Marvet, en souvenir de Schubert. Emile Colonne. 1929 ». Tirage d'époque. Emile Colonne, baryton à l'opéra Royal de la Monnaie figure ici pour une représentation de la Chanson d'amour à la Monnaie.
Photographie autographe signée
COLONNE ÉmilePhotographie autographe signée, dédicacée à Mlle Marvet. 1929 ; 14 x 9 cm. (Photographie de Jos. Rentmeesters à Bruxelles). « À Mademoiselle Christiane Marvet, Emile Colonne. 1924-29 ». Tirage d'époque. Emile Colonne, baryton à l'opéra Royal de la Monnaie figure ici dans le rôle de Georges d'Orbel, opéra La Traviatta de Verdi.