Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble d’1 lettre autographe signée et d’1 pièce signée :
THOMAS RenéEnsemble d’1 lettre autographe signée et d’1 pièce signée :— Pièce signée. Sans date ; 1 page in-4°. Récit de la première collision de deux aéroplanes dans lequel il est impliqué: « C’est au meeting international d’aviation de Milan, à fin septembre 1910, que se produisit, pour la première fois, une rencontre entre deux aéroplanes en vol. […] Je sens mon appareil s’arrêter et je vois passer devant mes yeux des lambeaux de toile et des morceaux de bois. […] Près d’arriver au sol, je ne pense qu’à sauter hors de l’appareil pour éviter les débris de bois et le feu. Abasourdi, une épaule cassée et le sang coulant du nez et des oreilles, j’apprends que je suis rentré dans le Farman du capitaine Dickson. »— Colombes, le 28 mars 1959 ; 1 page in-4°, trous d’archivage. Il a été souffrant et a du garder le lit « J’ai fait un effort pour descendre aujourd’hui. Vous me demandez de vous donne un souvenir de mon accident à Milan en 1910 sur avion Antoinette. Dans votre lettre, vous me dites que vous faites un ouvrage sur les 100 premiers aviateurs au monde. Je ne suis pas des 100 puisque j’ai le brevet 116 (1910), naturellement beaucoup de amis aviateurs sont morts. Il doit peut-être en rester, je crois 60 ou 70 […]. Je vous joint donc à ma lettre l’histoire demandée de ma rencontre aérienne avec Dickson. »On joint 1 carte postale et 1 photographie dédicacées ainsi que le brouillon dactylographié avec des corrections autographes du récit de la collision.
Ensemble passionnant de documents et photographies.
THOMAS AmbroiseEnsemble passionnant de documents et photographies.Lettre autographe signée, adressée au poète Raoul Lafagette [1842-1913]. Paris, 26 août 1869 ; 2 pages in-8°, enveloppe jointe. « Toujours absent de Paris, je n’ai reçu qu’hier votre aimable lettre et votre livre que je vais lire avec intérêt. Forcé de repartir dès ce matin, j’ai le regret de ne pouvoir vous envoyer tout de suite quelques places pour l’Opéra Comique. Mais s’il en est temps encore, vous pourrez voir Mignon ou tout autre spectacle en prenant la peine de remettre à son adresse le mot que je joins ici. En vous présentant le jour même au théâtre, entre 2 et 4 heures, rue Favart, entrée des artistes, on vous donnera les deux places que vous désirez. »— Photographie format cabinet (16,5 x 10,5 cm) avec dédicace de 4 lignes à la tante de son épouse, Mme Raoul d’Espaignol.— 2 photographies signées. Format carte de visites. Dédicacées à la même.— Photographie de son épouse, Mme Elvire Ambroise Thomas, dédicacée à sa tante Mme d’Espaignol. (21,5 x 16 cm).
Portrait lithographié
THIERSPortrait lithographié. XIXe siècle ; 200 X 265 mm. Gravé par Julien pour la Galerie de la Presse.
Portrait gravé
THIERS Louis AdolphePortrait gravé. 95 X 115 mm sur un papier 160 X 240 mm. Gravure du XIXe siècle sur acier par Bosselman.
Portrait gravé.
THIERS Louis AdolphePortrait gravé. 105 X 135 mm. Gravure de Pannier (XIXe siècle). Gravure tirée de l’Histoire du Consulat et de l’Empire.
Gravure
THIERS Louis AdolpheGravure sur bois de J. Robert d’après Mouilleron le figurant en tant que président de la République.165 X 250 mm.
Lettre signée
THIERS AdolpheLettre signée, adressée à son « Cher Rossini ». Paris, le 15 octobre 1840 ; 1 page in-4°, en-tête « Ministère des Affaires Étrangères ». Le Stabat Mater de Rossini pour les cendres de Napoléon. « Je sais que vous avez composé une partition du Stabat qu'il conviendrait parfaitement pour la cérémonie de la translation des restes de l'Empereur Napoléon. Vous ne refuserez pas, j'ose l'espérer, d'associer votre nom aux hommages que la France va rendre à cette grande Mémoire. Ce sera témoigner dignement que vous n'avez pas oublié un pays qui vous admire toujours et qui vous regrette autant qu'il vous aimait. En accueillant favorablement ma demande, vous me donnerez un précieux souvenir de notre ancienne amitié. »
Lettre autographe signée
THIBAUDEAU JeanLettre autographe signée, adressée au philosophe Yvon Bélaval. Paris, le 9 avril 1965 ; 2 pages in-4°. Intéressante lettre littéraire : « Votre lettre d'Amérique (je ne savais pas que vous êtes là-bas) m'a fait vraiment plaisir. Il me semble que j'écris pour quelques-uns, illusion très nécessaire contre le sentiment d'imposture que j'éprouve souvent devant mes travaux... Vous avez raison, il y a une redondance dans cette expression, théâtre imaginaire ; elle vient au sujet j'ai voulu sauver un peu du néant ce que j'écrivais quand vous m'avez connu , et aussi prendre date : le théâtre reste une de mes idées fixes. La radio, et peut-être, bientôt, la télévision et le cinéma me donnent (en même temps que de quoi vivre) des occasions dramatiques exactes, où les sempiternels problèmes scénographiques, politiques, etc., se trouvent selon moi résolus a priori. [ ] Pourtant, un roman m'occupe depuis très longtemps (deux fragments provisoires publiés : Ouverture dans Tel Quel en 62, L'Escalier dans Médiations en 64). Depuis peu, je progresse de façon moins aveugle, mains vaine et je vais peut-être en publier un premier à la fin de l'année. [ ] J'ai lu votre livre sur Nathalie Sarraute avec un grand intérêt. Après une période de retrait à l'égard des écrivains du nouveau roman qui n'avaient cependant appris à passer du théâtre à la prose, maintenant que je suis dans mon travail, je reviens à des estimations plus justes. »
Lettre autographe signée
THÉVENET JaquesLettre autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Sans date ; 1 page in-4°, trous d’archivage. « J’ai fait enlever l’étiquette “vendu” sur le 38 et l’ai remplacée par un confetti rouge. Je vous ai fait violence pour ce petit tableau que vous aimez, je crois. Vous l’accepterez. Votre discrétion n’est pas en jeu ! dix huit toiles, hier soir, étaient vendues. Ce premier acte est une réussite et je vous dis encore un très grand merci pour l’irréprochable encadrement matériel et psychologique de cette exposition. »
Lettre autographe signée
THÉRY JacquesLettre autographe signée, adressée à Paul Brach. « Jeudi matin » ; 1 page 1/2 in-4°. « Dès que Robert Laffon aura reçu un cable qu’il attend de New York, vous pourrez commencer les démarches auprès des noms que vous m’avez indiqués. […] Faites l’impossible pour recueillir quelques réflexions, notules, petites critiques, échos signés, amabilités ou rosseries pour avoir le 20 mars au plus tard les éléments de Bravo Cocktail ».
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé intitulé « Les Livres ». [1933] ; 8 pages in-4°. Chronique sans doute destinée à être publiée dans Le Temps sur les ouvrages parus :Marcelle Tinayre (La femme et son secret); René Puaux (Le jardin de Candide) ; Fortunat Strowski (Nationalisme et patriotisme).
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 7 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Waldemar-George : L’humanisme et l’idée de patrie (Fasquelle) ; Édouard Krakowski : La France et la mission (Mercure de France) ; Paul Gaultier : L’âme française (Ernest Flammarion) ; Brice Parain : Retour à la France (Grasset).
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 6 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Georges Bernanos : Journal d’un curé de campagne(Plon) ; Philippe Amiguet : Race de Calvin (Albin Michel).
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 7 pages in-4° (fente à la première page). Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Cet article est entièrement consacré à François Mauriac qui venait de publier Les Anges noirs chez Grasset.« Pour faire pendant au Fleuve de feu, le nouveau livre de M. François Mauriac aurait pu s’intituler “Le fleuve des bons” ; l’expression se trouve d’ailleurs à la p.194 qui nous montre un saint prêtre se pencher sur les spectacles de l’infamie humaine non avec horreur, mais avec terreur. Le mystère du mal tourmente en effet le chrétien dans sa foi plus encore que dans sa délicatesse et c’est une véritable tentation que l’âme subit , exactement un vertige »...
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 6 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Roland de Maret : La maison du chanoine (Mercure de France) ; René Füllöp-Miller : Charivari (Plon) ; Philippe Amiguet : Race de Calvin (Albin Michel) Claude Aveline : Le Prisonnier (Emile-Paul).