Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Carte autographe signée
CLADEL JudithCarte autographe signée. 23 décembre 1940 ; 1 page 1/2 in-12 oblongue. « Je vous restitue l'intéressant ouvrage de G. Le Cardonnel et Vellay La littérature contemporaine] que vous avez eu l'obligeance de me prêter. Qu'ils sont vivants, ces entretiens d'écrivains au temps où le monde n'était pas un enfer ! »
Lettre autographe signée
CIRY MichelLettre autographe signée, adressée à Jean René Thomé. Chatou, le 20 janvier 1954 ; 2 pages in-4°. Belle lettre retraçant la liste des ouvrages pour lesquels il a fait des illustrations, leur auteur, le nombre d’eaux-fortes, la date et le nom de l’éditeur. « Voici donc la liste : (H. de Montherlant) La reine morte, 10 eaux-fortes, 1942 (Lefevre éditeur) ; Fromentin, Dominique, 74 pointes sèches, 1948 (Porson) […]. Je pourrai vous fournir des pages de La Nativité, de Madame Bovary, que je tiens pour les meilleurs avec le Maupassant. Soyez assuré, Cher Monsieur, que je suis entièrement à votre disposition pour tout renseignement complémentaire. »
Ensemble de 5 lettres autographes signées
CIRY MichelEnsemble de 5 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque. De 1964 à 1967 ; formats in-4°, enveloppes jointes :— « Voici la dédicace. Je vous avais répondu à vos voeux, par mon arlequin, messager des miens »,— « Vous recevrez par le même courrier le catalogue des P.T.T. Le plus simple pour vous sera de m’envoyer à l’occasion la correspondance de 6 Frs de timbres. »— « Merci de tout pour les voeux et l’envoi de cette délectable blanquette, justement réputée. Je garde précieusement le dessin. »— « Je vous ai renvoyé, dédicacée la reproduction que vous m’avez adressée, y joignant la réponse à vos sympathiques voeux. »— « Je vous remercie pour vos bons voeux et m’excuse d’y répondre tardivement. Des voyages et de sérieux soucis. »On joint 2 lettres autographes signées de sa mère.
Ensemble de 5 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque
CIRY MichelEnsemble de 5 lettres autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque. De 1964 à 1967 ; formats in-4°, enveloppes jointes :— « Voici la dédicace. Je vous avais répondu à vos voeux, par mon arlequin, messager des miens »,— « Vous recevrez par le même courrier le catalogue des P.T.T. Le plus simple pour vous sera de m’envoyer à l’occasion la correspondance de 6 Frs de timbres. »— « Merci de tout pour les voeux et l’envoi de cette délectable blanquette, justement réputée. Je garde précieusement le dessin. »— « Je vous ai renvoyé, dédicacée la reproduction que vous m’avez adressée, y joignant la réponse à vos sympathiques voeux. »— « Je vous remercie pour vos bons voeux et m’excuse d’y répondre tardivement. Des voyages et de sérieux soucis. »On joint 2 lettres autographes signées de sa mère.
carte autographe signée
CIRY MichelCarte autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. 9,5 x 43,5 cm, pliée au centre. Carte de vœux avec dessin (au stylo Rotring) représentant une colombe. « Tous mes vœux, et mes remerciements pour la carte. »
Lettre autographe signée
CIRY MichelLettre autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Chatou, 13 janvier 1956 ; 1 page in-4°.« Je viens de recevoir la carte permanente, ce dont je vous remercie vivement. Que cette année me permette de participer aux autres expositions que vous organisez, voilà mon plus cher désir. »
Lettre autographe signée
CIRY MichelLettre autographe signée, adressée à Mme Blanche Meyer. Chatou, le 7 février 1964 ; 1 page in-4°. « Voici le quatuor ! Bon courage ! Vous me ferez un grand plaisir en l’exécutant. Merci d’avance. »
Carte autographe signée
CIRY MichelCarte autographe signée. 1956 ; 1 p in-8° oblongue, sur carte de vœux illustrée. « Tous mes vœux chère Anne et pardon pour hier mais je n’ai pu me libérer à temps. »On joint deux cartes, l’une de bonne année, l’autre pour l’exposition de ses œuvres à Londres en mars 1956.
Ensemble de lettres autographes signées
CIRY Michel7 lettres autographes signées, adressées à M. de Saint-Pierre ; quelques enveloppes jointes. On joint un carton d’invitation à un vernissage des œuvres de Michel Ciry en 1992 avec envoi. Belle correspondance. Il lui promet de passer le voir « pour y chercher la lumière nécessaire au peintre ! » Il cherche à réconforter son ami pour ses opérations à la hanche, le remercie pour ses ouvrages : « Vous êtes un des rares à défendre vaillamment l’honneur de notre pauvre France et de notre malheureuse Église ».
Photographie signée
CIRY MichelPhotographie signée, adressée au peintre Constant Baruque. 1964 ; 138 X 190 mm. Dédicace sous la photographie : « Pour Constant Baruque. Bien amicalement Michel Ciry /64 ». Fiche biographique jointe. Rare.
Ensemble de 22 lettres autographes signées
CIORAN Emil MichelEnsemble de 22 lettres autographes signées, adressées à Mme Laurent. De 1976 à 1990 ; formats in-8° et in-4° principalement ; quelques traces de mouillures sur 6 lettres.— Paris, 22 janvier 1976 : Il a « accepté d’écrire pour une revue un texte assez compliqué. » Il se plaint des difficultés de son âge pour travailler. « Or, le cerveau ne marche pas toujours seul ; il faut l’aider, le fouetter. Je fais exactement le contraire, puisque je vis sur des tisanes, qui l’engourdissent au lieu de le réveiller. » Dieppe, le 24 août 1976 : « La Normandie ne vaut pas la Californie […] d’abord parce que cette ville est boudée par les gens bien, ensuite parce que des amis vous y prêtent depuis longtemps chaque année une appartement somptueux. Simone a passé le mois de juillet en Vendée où elle pense retourner pour une semaine avant la rentrée. Nous sommes curieux d’en saisir plus long sur vos impressions d’Amérique. […] Je relis des ouvrages inactuels à la bibliothèque d’ici, ce qui me donne une vague illusion d’activité. » ; Saint-Julien de Concelles, le 7 août 1977 : ils sont chez des amis. « J’y fais de petits travaux de toutes sortes par plaisir bien entendu, car je suis bricoleur dans l’âme. La seule manière de surmonter un cafard invétéré est de s’adonner à des exercices physiques, plus précisément manuels. […] Le mois de juillet a été terrible pour moi : chaque jour des visiteurs de partout... Un vrai cauchemar. Simone a été malade : elle a attrapé une amibe en mangeant quelque crudité et, pour s’en débarrasser, elle doit faire une cure d’arsenic ! ». Dieppe, le 21 décembre 1977 : « Le “destin” de Dick me poursuit. Gâcher une situation comme la sienne, à cause d’une gourgandine ! Cela peut être beau dans une perspective littéraire, mais lui, n’aimait que l’efficacité et non la poésie du downfall. » Paris, 10 janvier 1978 : « Un seul événement mémorable à la B.B.C, un major survivant du Titanic, fait le récit de la catastrophe avec un détachement extraordinaire. » ; 27 mai 1978 : « De mon côté, je vois tous les jours des gens et je vous assure que je ne suis pas quelqu’un qui mérite d’être envié. La condition des morts n’est pas tellement pénible, eux du moins ne reçoivent plus de visites. J’espère que le fait d’être grand-mère a eu sur vous un effet plutôt tonique. Puisqu’il faut que la vie se perpétue, il vaut mieux que cela se fasse par des êtres qu’on aime. Et non par des Katangais ! ». Paris, le 14 juin 1979 : « Avril et mai, je les ai passés presque entièrement dans ma chambre, à cause d’une grippe et ‘une infection à la gorge. Après m’être soigné moi-même inutilement avec des plantes, il m’a fallu prendre des antibiotiques, ce qui équivaut à une défaite. Simone a été plus chanceuse que moi. » Paris, le 15 novembre 1979 : « L’article du Monde a été écrit par un ami. En revanche le dessin, j’entends la caricature est l’oeuvre d’un inconnu […]. On dirait une tête de rat ! Je ne suis tout de même pas si hideux. Ne croyez pas que je sois tellement content du bruit qu’on fait autour de mon livre. J’ n’y suis pour rien. Ce genre de cirque appartient au paysage parisien, et il faut s’y résigner. ». Dieppe, 23 juillet 1980 : « Je n’insiste pas sur l’anniversaire, car cela invite toujours à des réflexions mélancoliques? Personnellement je n’ai jamais fêté un événement quelconque de ma vie, en tout cas pas celui de ma naissance. » Il annonce que Simone est à la retraite et que l’état de santé de son frère est bon « peut-être trop bon ». Paris, le 29 décembre 1980 : « Je n’ai pas le courage de me réfugier à Dieppe à cause du climat trop vif. J’y dors en effet très mal. Où aller ? ». Dieppe, le 9 février 1682 : « Je suis devenu une sorte de personnage “culturel”, avec tout ce que cela implique de concessions, de cabotinage […]. Cela a commencé à Cologne où je me suis produit devant un public allemand […]. Ce fut un demi-échec. En revanche, invité par l’Institut Français d’Amsterdam, je m’y suis comporté comme un acteur. Il s’agissait d’un dialogue en fait : un professeur hollandais qui posait des questions et j’y répondais comme si je m’étais trouvé sur une scène...[…] La vieillesse nous fait gagner en vanité ce que nous perdons en orgueil. Je suis content d’apprendre que Dick a remonté la pente. J’aimerais bien savoir ce qu’il pense de l’état actuel de l’Europe ». 6 septembre 1981 : Ils sont chez des amis où ils pratiquent le jardinage et le bricolage « Vous écrivez de bien jolies lettres ; la dernière surtout devrait figurer dans vos Mémoires si un jour vous décidez d’évoquer les évènements marquants de votre vie. » Paris, 30 décembre 1984 : « Je me fais le reproche d’avoir très peu lu Mme de Sévigné. Je vais vous imiter, je vais me plonger dans ses lettres ». Paris, le 1er janvier 1986 : « Notre voyage a été une réussite. Ce qui nous a plus surtout c’est Lecce, ville splendide non loin de Brindisi, où nous avons pris le bateau pour la Grèce. Athènes nous a déçus. Il est vrai que j’ai dû y donner deux conférences, ce qui suffit à vous gâcher un voyage. Nous nous sommes arrêtés heureusement quelques jours à Corfou qui, sans les touristes, serait une manière de paradis. » Paris, 15 avril 1986 : « Thank youfor your telegramme. But I am on evening of my birthday ». Paris, le 28 décembre 1986 : « Chacun de nous deux, vu notre âge, a des ennuis de santé plus ou moins sérieux. Simone se plaint des jambes, moi je surveille ma tention et affronte — depuis 25 ans ! — mes ennuis gastriques. » Dieppe, le 30 juin 1987 : « Ma vie est devenue un cauchemar. Aurais-je pu empêcher que les choses tournent de cette façon ? Je n’en suis pas sûr. Le résultat de tout cela est que j’ai perdu toute envie de me manifester et que j’évolue lentement vers une manière spéciale d’abrutissement. » Paris, le 11 avril 1989 : « Au long des années, je n’ai fait que maudire le jour de ma naissance et m’émerveiller en même temps d’être né. Je n’aurais donc pas vécu en vain, et c’est avec joie que je contemple cet investigateur d’optimisme qu’est le Pomerol. » Paris, le 21 février 1990. Il n’ a pas répondu plus tôt à sa lettre : « Mon excuse ? La maladie ou plutôt un état étrange qui relève de la psychiatrie et de la vieillesse. Jusqu’à présent je connaissais la fatigue comme problème, je la connais maintenant comme état. C’est ce qu’on appelle progrès.... J’espère pourtant qu’une amélioration est toujours possible. » Sans date : « Cela pourrait aller si je n’étais pas envahi par mes compatriotes et, ce qui est plus grave, par des “écrivains” d’ici et d’ailleurs qui me demandent des préfaces et d’autres stupidités. » Paris, 24 august : « We would be very pleased to see you again, if you could come to dinner next wednesday th 28. » 6 décembre : « I am very much upset by the news of the death of your husband. I know that you were very happy together ».On joint une lettre de Simone : « Dec 6. Thank you for your beautiful little card. […] I wonder if I could arrange a little dinner sometime next week. I would ask Christiane Frémont. […] We would drink the bottle of ine she brought me some time ago. A ‘82 Saint-Émilion 1er grand cru classé ! ».Nous savons que Mme Laurent était une américaine parisienne grande femme élégante et très amie de Man Ray, habitant le quartier de l’Odéon. Elle croisa Cioran rue de l’Odéon et l’aborda. Il l’invita chez lui dans son petit appartement de la rue de l’Odéon et ils sont devenus amis. A la mort de Cioran, elle resta amie avec Simone la compagne de Cioran.
Photographies de tournage
PHOTOGRAPHIES.6 belles photographies de tournage: Le Destin fabuleux de Désirée Clary (film français en noir et blanc écrit et réalisé par Sacha Guitry en 1941, images de Bachelet); Miarka, la fille à lours (film français de Jean Choux de 1937); Vautrin (film français réalisé par Pierre Billon, sorti en 1944); Le pavillon brûle (film français de Jacques de Baroncelli sorti en 1941); Le Jugement dernier (film français de René Chanas sorti en 1945); LAmant de Bornéo (film français de Jean-Pierre Feydeau et René Le Hénaff sorti en 1942 avec Arletty qui figure sur la photographie); Sont jointes 12 autres photographies de plans non identifiés, 1 photographie dédicacée du chansonnier Gabriello et 6 photographies de personnages Yvon Beker, Björn Borg, etc.
Aquarelle (attribuée à)
CICÉRI Pierre-Luc-CharlesPaysage.Aquarelle non signée.XIXe siècle11,5 x 15,8 cm.
Lettre autographe signée
CHRISTOFOROU JohnEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées au critique dart Georges Boudaille. Paris, 21 mars 1963 ; 1 page in-4°. « Cher Boudaille, jai vu Les Lettres françaises et je suis très content. Cest encore grâce à vous que jai eu cette occasion et je vous en remercie vivement. Vous êtes vraiment très bon. » Paris, 28 mars 1963 ; 1 page in-8°. « Cher Boudaille, Je ne sais quoi vous dire. Je suis très ému par ce que vous avez écrit. Vous êtes la première personne à écrire sur ma peinture avec autant de pénétration et dintensité. Vous avez créé une oeuvre dart en elle-même. En effet cest un poème merveilleux, vous êtes un poète, un grand poète. Encore une fois, cher mai, je vous offre tous mes remerciements et ma gratitude. » 28 mai 1965 ; 1 page in-8°. « Je viens de voir dans Les Lettres françaises les quelques lignes bien sympathiques que vous avez écrites sur ma toile au salon de Mai. Merci beaucoup, cest vraiment très très gentil à vous. Je suis à Londres en ce moment où, à ma grande surprise je viens de recevoir le prix de la critique internationale (section anglaise) ».
Pièce signée
CHRISTIAN VIIPièce signée, adressée au lieutenant général von Gähler. Christiansburg, 7 avril 1766 ; 2 pages in-folio (trace de cachet sous papier). Nomination de Peter Elias von Gähler au grade de général lieutenant. Le document est contresigné par Rosenkrantz, sous la signature royale.