Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de 2 pièces signées :
TÉLÉGRAPHIE. [FOY Alphonse [1796 - 1888], administrateur télégraphiste français.]Ensemble de 2 pièces signées :— Dépêche télégraphique signée. Perpignan, le 6 juin 1843 ; 1 page in-folio. « Valence le 2, Narvaez a quitté Marvière le 1er pour se rendre à Segorbe &, de là, à Teruel. Il y a 12 bataillons & 900 chevaux. Le régent occupait Albacète & Chinchilla. Barcelone le 4 : Sésane était à Lérida le 2 ; sommé de se prononcer par un officier de Serrano, il a répondu que cela se déciderait à coups de canon. »— Lettre signée, adressée à M. Laserrie. Paris, le 6 décembre 1852 ; 1 page in-folio. Au sujet d’une erreur commise dans une dépêche télégraphique : « Permettez-moi d’abord, Monsieur, de vous faire remarquer que la personne à laquelle vous avez remis votre dépêche rue Feydeau, n’est pas un agent de l’administration télégraphique, aussi cette personne a-t-elle été obligée d’expédier votre message en son nom personnel. Si votre dépêche n’a pas amené le résultat que vous attendrez, le principal motif en est sans doute qu’elle est parvenue à destination, signée par une personne inconnue de votre correspondant. »L’ensemble :
Manuscrit autographe signé
TCHERNICHOVSKY ShaulManuscrit autographe signé.Très long poème autographe signé. 1934 ; 5 pages in-8°. Poème évoquant Israël et l’étude du Talmud. En Yiddish transcrit en caractère hibraïque.Russian-born poet, considered one of the great Hebrew poets. RARE, lengthy five-page poem signed, dated (1934) and penned entirely in Tchernichovsky’s hand, 5x8, mentioning Israel and Talmud study, hebreu typography.
Photographie signée
TCHERINA LudmillaPhotographie signée. Photographie la représentant en noir et blanc dans le ballet du Lac des Cygnes. Studio Liseg. Sans date ; 150 X 105 mm. « Avec ma sympathie Ludmilla Tcherina. »
Lettre autographe signée
TCHAÏKOVSKI Piotr IlitchLettre autographe signée, adressée à un ami. 13 février 1891 ; 3 pages in-12 sur papier vélin crème, monogramme, en français. « Je n’irai pas chez la Melba, je ne l’inviterai pas à changer à notre concert, pour la même raison que je te l’ai expliqué hier. Je vois que tu me connais peu encore. Je veux bien exprimer ma reconnaissance aux artistes qui se donnent la peine de bien jouer ou chanter mes oeuvres, mais pour rien au monde je ne leur ferai des avances. Je n’ai pas de nouvelles de Sapellnikoff depuis plusieurs mois et ne peux rien te dire sur la question que tu me fait. Encore une fois, apprends que je viendrai à Paris, que je conduirai volontiers un concert que je donnerai pour les frais 1000 roubles (tout en espérant qu’ils me reviendront). Mais c’est tout ce que je ferai. »
Photographie du studio Harcourt
TATI JacquesPhotographie du studio Harcourt représentant Jacques Tati, jeune. 180 x 245 mm, minimes froissures.
Photographie dédicacée
TATI Jacques (Jacques Tatischeff, dit)Photographie dédicacée. 24,5 x 18 cm. Cliché du studio Harcourt représentant Jacques Tati, jeune. « Bravo ! Chers madame et Monsieur Simermann pour votre belle oeuvre. J'en reste un dévoué serviteur. J. Tati. »
Manuscrit autographe
TARNAUD ClaudeManuscrit autographe. [Circa 1948] ; 1 page in-8°. Manuscrit autographe en 2 couleurs, rose et noir formant rosace dans un cadran avec au dos un autre manuscrit autographe, figurant le plan d’un texte. Cette rosace constitue ce que Claude Tarnaud appelait un « poème à occultation progressive ». Il s’agit selon toute apparence du premier jet du poème paru dans le n° 4 de la revue Néon, en janvier 1948 (page 3).
Portrait original au crayon
TARDIEU AndréPortrait original au crayon, signé par Georges Tcherukine. Mine de plomb sur papier. 1935 ; 40 x 30 cm. Portrait original destiné à être publié dans le Panthéon des gloires en réduction (31 X 23 cm). On relève des signatures dont celle de L. Baillez. Portrait signé par l'artiste. Georges Tcherukine exécuta des portraits pour le Panthéon des gloires, en dessinant des personnalités de son époque d'après nature. Ces dessins originaux sont réalisés entre 1932 et 1938.
Tirage photographique baryté
TARDI JacquesTirage photographique baryté. 50 x 40 cm, avec marges. Épreuve d’artiste signée par le photographe (Bruno de Mones) au dos.Avril ou mai 1983 : Jacques Tardi m’a été présenté par mon éditeur avec qui je travaillais sur la préparation de mon futur album de photographies. Je suis très attaché à l’atmosphère étrange, voire surréaliste qui se dégage de cette photo et qui est due en grande partie au hasard. En effet, j’ai déclenché l’obturateur (sans le faire exprès) au moment exact ou le chat sautait du canapé. Quant aux objets, ils étaient à leur place à mon arrivée. En bas et à droite de la photo, l’animal empaillé semble, comme le chat, vouloir fuir.
Lettre autographe signée
TANSMAN AlexandreLettre autographe signée, adressée à M. Paul Aron. Paris, 5 janvier 1939 ; 1 page 1/2 in-8°, enveloppe jointe. Son correspondant, en difficulté, lui a adressé une lettre et à laquelle il répond : « Je ne connais malheureusement personne du service consulaire de Cuba ou de Panama à Paris, mais comme vous vous arrêtez à Londres, j’ai pensé que vous trouverez peut-être un conseil auprès de mon ami, le grand écrivain espagnol, et l’ancien ambassadeur d’Espagne à Paris, Salvador de Madariaga. […] Comme il a présidé autrefois la Sté des Nations, peut-être a-t-il des relations dans ce monde hispano-américain de Londres et pourrait vous aider. […] À Cuba, j’ai un grand ami, le compositeur et chef d’orchestre Sanjuan, qui pourra vous guider au besoin un peu au début.»On joint une lettre autographe signée, adressée au même. Paris, 25 mars 1939 ; 3 pages in-8° carré, enveloppe jointe, en allemand. Sont évoqués les noms de ses amis Madariaga, Sanjuan.C’est Ravel qui emmène Tansman chez Roland-Manuel, aux lundis de Roland-Manuel. C’est là que Tansman fit la connaissance de Milhaud, Honegger, Roussel, Florent Schmitt, Ibert et de toute la musique française dont la légèreté et le caractère spirituel marqueront très souvent ses propres compositions.
Lettre autographe signée
TANSMAN AlexandreLettre autographe signée, adressée à Gérard Leman. Paris, 20 juin 1972 ; 1 page 1/2 in-4°, enveloppe timbrée jointe.Très belle lettre dans laquelle il énumère toutes ses principales œuvres :« Je vous signale les quelques œuvres que je considère comme les plus importantes dans ma production :Éditions Max Eschig, 48 rue de Rome Paris. Musique pour orchestre, Musique pour cordes, concerto pour orchestre, Quatre mouvements pour orchestre, Hommage à Erasme de Rotterdam, Résurrection - ballet (partitions de poche).Sabbataï Zévi, le faux Messie opéra en 1 prologue et 4 actes (réduction pour chant et piano).Universal Edition, Vienne (Autriche)Le Serment, opéra (réduction p. ch. et piano) Sinfonia Piccola, les Habits neufs du roi, d’après Andersen, Isaïe le Prophète (oratorio p. choeurs et orch.) […]. Pour les enregistrements sur disques, malheureusement, ils sont tous faits à l’étranger […], ne figurent au catalogue français que les œuvres pour guitare, enregistrées par André Segovia. »
Lettre autographe signée
TANNING DorotheaLettre autographe signée. Seillans, le 12 janvier 1968 ; 1 page in-4°. « Je suis un peu consternée par les nouvelles de votre lettre, reçue ce matin. Ce qui me semble évident, c'est que mon art (mon style, mon genre, façon de m'exprimer...) ne se marie pas avec des si gros caractères, et, vu en juxtaposition, les gravures seraient ainsi écrasées. Donc puisque rien est commencé, je vous suggère d'engager un autre peintre, que M. de Mandiargues aimerait, pour illustrer ce livre. »
Lettre autographe signée
TANNING DorotheaLettre autographe signée. Seillans, le 12 janvier 1968 : 2 pages in-4°. « Voici le résultat de mes réflexions sur la mise en garde de La Marée. J'ai fait certaines modifications. 1. Une réduction radicale des hauteurs du livre (raison : Les livres démesurés ne rentrent pas dans les rayonnages de nos bibliothèques et puis, je le trouve plus subtile comme ça). 2. Les gravures flotteraient sur les pages [ ] donc gâcherait le précieux et la beauté du livre. 4. J'aimerais voir les caractères (très jolis !) d'un point en dessous Peut-on essayer ? Pour résumer : je vis le livre un peu comme la prose de Mandiargues : sinueuse, complexe, voluptueuse. C'est cette volupté qui m'a mis en garde contre les cuvettes qui sont normalement rigides et rectangulaires. »
Manuscrit autographe « Journal de mon séjour a Plombieres »
TALLIEN Thérésa de CabarrusManuscrit autographe « Journal de mon séjour a Plombieres - en 1822 - ». Plombières [et Aix-la-Chapelle] 4 mai-14 juillet 1822 ; cahier cousu de 37 pages in-4, tête et tranche dorées, couverture (un peu usagée) de papier vert rempliéPrécieux journal intime de son séjour aux eaux de Plombières. « Vaincue par les menaces des médecins, par des souffrances aigües et par les instances des amis », elle se résigne à suivre l'ordonnance de M. Dupuytren, à Plombières, et consigne dans son journal des détails de la cure, des visites et des lettres, et quelques anecdotes. Elle se prend d’un vif intérêt pour une pauvre Portugaise, née Rosa de la Costa, mariée civilement à Valladolid avec un boulanger attaché à l’Armée de Portugal : elle note les secours qu’elle lui donne (argent, vivres), des démarches en sa faveur auprès des ambassadeur d’Espagne en France et en Belgique, des réflexions à la vue de « cet excès de misere et de malheur » (8 mai). Ses humeurs varient, selon le ton et la teneur des lettres de son mari, le prince de Chimay ; l’absence de ses enfants la chagrine ; « on est heureux de ne pas me ressembler ! » (9 mai). Elle colle dans son cahier un billet de sa fille Louise, l’exhortant à revenir (reçu le 16 mai), et de petits rameaux de pin cueillis dans les montagnes Elle se promène à pied, à cheval et en char à bancs, fait des bains et des douches, souffre des cataplasmes et des frictions Le baron d’Haussez, préfet de Grenoble, lui apprend qu’on a voulu jeter le préfet de Lyon, M. de Tournon, dans le Rhône. Mais peu après, « qu'elle nouvelle ! Le duc de Richelieu est mort ! Je l’apprends avec chagrin quoique depuis trois ans, je n’aye pas eu à me louer de ses procédés, mais j’avois beaucoup d'amitié pour lui et c'est un homme de bien de moins - il est mort si subitement qu’il est difficile de ne pas en ressentir un mouvement de terreur » (22 mai). Après trois semaines d’absence, elle s’inquiète d'une lettre de son mari, triste et ennuyé : « il ne me rassure plus comme dans ses premières lettres sur les causes de mes chagrins personnels - mon coeur s’étoit trop ouvert à l'espérance, il s’étoit trop flatté. Il a sans doute de l’attachement pour moi, mais je ne suis pas ce qu’il aime le mieux et il ne fera jamais pour moi que ce que les convenances le détermineront à faire tandis que moi je lui sacrifierois tout jusqu'à ma vie » (26 mai). Elle lit Mme de Genlis, et un Voyage à Tripoli, fréquente Mmes de Caylus et Mlle Pictet de Genève, l’abbé de Maffioli et sa soeur, reçoit un officier qui connaît son neveu Victor de Caraman, puis le duc de Choiseul, le préfet Boula de Coulombiers, etc. Souffrante, elle refuse les visites du comte et la comtesse de Gourgues et de Mme Casimir Périer, puis se rend à Aix-la-Chapelle, le 18 juin, « heureuse de me retrouver au milieu des miens que je ne croyois plus revoir ». On joint une copie ancienne de ce journal au XIXe siècle.
Lettre autographe
TALLIEN Thérésa de CabarrusLettre autographe, adressée à Népomucène Lemercier, membre de l’Institut de France. « Dimanche matin » ; 1 page in-8°, avec adresse. « M. de Chimay me charge, Monsieur, de vous prier de nous apporter votre discours dans lequel se trouve l’éloge de l’Empereur de Russie. Un aide de camp du gal Waronzoff doit dîner lundi avec vous et il désire pouvoir en parler à l’Empereur. » Peu commun.