Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Menu du dîner du 12 août 1933
BLÉRIOT LouisMenu du dîner du 12 août 1933 « Dîner des Ailes Victorieuses », en-tête Marseille-Plage, signé au dos par Blériot, Rossi et Codos.
Lettre autographe signée.
BLANQUI Louis AugusteLettre autographe signée. Paris, le 8 septembre 1848 ; 1 page in-4°. « Le retard mis à m’acquitter envers vous pour les honoraires de l’acte que vous avez rédigé ne dépend ni de mauvais vouloir, ni de l’oubli de l’empressement que vous avez mis à l’achever. Il tient tout simplement à l’impossibilité financière provenant des pertes énormes que les événements m’ont fait subir et qui nous mettront encore plus de six mois dans une position malaisée. Je vous envoie en signe de bonne volonté 300 francs à valoir, et ne me tiendrai jamais quitte, Monsieur, même après solde, des sentimens de gratitude dûs à votre zèle. » 100 €
Lettre autographe signée
BLANQUI Jérôme AdolpheLettre autographe, signée « Blanqui aîné », adressée à Messieurs Jacquin frères, grainetier à Paris. Paris, le 29 février 1831 ; 1 page in-4°.À propos d’une commande de graines. « La caisse de graines n’est pas encore partie. Je compte l’expédier dans quelques jours pour la Colombie, par la voie des États-Unis, qui est la plus courte. Si vous avez un envoi particulier à faire, j’attendrai votre commodité pour joindre les deux caisses. Nous aurons, je l’espère, une belle récolte de graines de Colombie en retour. »
Lettre autographe signée
BLANQUI Jérôme AdolpheLettre autographe signée. 5 juillet 1852 ; 1 page in-8°.« J’ai l’honneur d’adresser à M. Vergé la copie revue de la portion qui me revient dans la discussion de l’autre jour, et je le prie d’agréer l’expression de tous mes sentiments. Blanqui. »
Lettre autographe signée
BLANQUI Jérôme AdolpheLettre autographe signée. Paris, le 8 septembre 1848 ; 1 page in-4°. « Le retard mis à m’acquitter envers vous pour les honoraires de l’acte que vous avez rédigé ne dépend ni de mauvais vouloir, ni de l’oubli de l’empressement que vous avez mis à l’achever. Il tient tout simplement à l’impossibilité financière provenant des pertes énormes que les événements m’ont fait subir et qui nous mettront encore plus de six mois dans une position malaisée. Je vous envoie en signe de bonne volonté 300 francs à valoir, et ne me tiendrai jamais quitte, Monsieur, même après solde, des sentimens de gratitude dûs à votre zèle. »
Lettre autographe signée
BLANQUI AdolpheLettre autographe signée, adressée à M. Defly. Paris, 29 décembre 1852 ; 2 pages in-4°, avec adresse. Lettre concernant la sortie seul d’un enfant « sa mère m’ayant vivement recommandé de ne jamais le laisser sortir seul, je vous serais bien reconnaissant de l’envoyer chercher, soit par votre fils à qui je le confierai volontiers, soit par toute autre personne munie d’un mot de votre part [...]. Je n’ai pas oublié, Monsieur, les trop courts instants que j’ai passé avec vous à Malte, lors de mon retour d’Orient et les soins empressés que j’ai reçu de vous et de ce pauvre Fabregettes dont la mort a été si déplorable ».
Lettre autographe signée
BLANCHE Jacques-ÉmileLettre autographe signée, adressée à Paul Dermée. Offranville, 4 décembre 1920 ; 3 pages ¼ in-8°. Il le remercie pour son n° II : « un record. Tout y est étonnant. » et lui demande son aide : « Lisez le prochain mercredi (je crois, du moins) de Comoedia, et mon appel aux « Avantguardas ». Il s’agit de constituer pour le musée de Strasbourg une salle de peinture française « ultra » moderne. Si des gens comme Salmon voulaient s’en occuper (mais Salmon est trop bon et il est grave !) il semble qu’il fût facile d’obtenir des dons d’artistes tels que Derain et autres peintres fort à leur aise ; et de faire « marcher » les négociants en art d’« Esprit nouveau », gens, pour la plupart, d’origine germanique, mais parfois alsacienne, ou ravis de le faire croire au public. » Il ne peut prendre, personnellement, la tête de cette initiative, mais il pense que Dermée, « qui sut mettre sur pied le seul périodique réussi qu’on nous ait servi depuis longtemps », pourrait réussir. « Mme Langweil [Florine Langweil], la grande Alsacienne, qui a enrichi le musée de Strasbourg d’une merveilleuse collection de peintures chinoises, tirées de ses magasins et galeries privées, se chargerait de recueillir les dons. […] Mais il faudrait que les œuvres fussent importantes, « significatives » […] Il serait assez bien que le premier musée de province française pouvant rivaliser avec ceux d’Allemagne, fût celui de Strasbourg, quant à l’Esprit Nouveau. J’écrirais volontiers à Salmon, car il semble tutoyer tous les génies ; mais, encore un coup, j’ai peur de me perdre à ses yeux, ou de le blesser, comme il est susceptible et haut juché dans son ministère apostolique, l’excellent garçon. »
Lettre autographe signée
BLANCHE Jacques-ÉmileLettre autographe signée, adressée à Rachilde. 10 juin 1938 ; 2 pages in-4°. « Je vous présente mille excuses pour la réponse que j’ai faite au messager venu me demander… je ne savais quoi ! Mais je découvris, peu après son départ, l’immense enveloppe et son contenu […]. Croyez et faites croire à madame de Boas de Jouvenel que mon cerveau subit une crise de complète stérilité à la vue de l’intimidante feuille blanche qu’il s’agirait de salir. Quelqu’un me l’assure, M. Claudel aurait composé un admirable poème de circonstance. Je ne suis point poète et je manque de génie […]. Cette sorte de témoignages sentimentaux n’est guère du goût de nos voisins d’Outre-Manche ; pas plus que ne le serait le monument projeté !! de la Fraternité franco-britannique. »
Carte autographe signée
BLANCHARD RaphaëlLettre autographe signée, adressée à un confrère. 15 novembre 1907 ; 1 page in-12. « Jai bien reçu [ ] lex-libris que vous avez eu lamabilité de menvoyer. Malheureusement, non protégé par un carton, il mest arrivé déchiré et froissé. Je serais désolé de perdre une pièce de cette importance. Je vous serais très obligé, sil vous était possible de men envoyer un second exemplaire. » On joint sa carte de visite avec une ligne autographe.
Portrait
BLANC LouisPortrait lithographié par Auguste Bry. XIXe siècle ; 105 X 120 mm sur un feuillet de 180 X 275 mm. Avec fac-similé de la signature.
4 lettres autographes signées
BLANC Louis4 lettres autographes signées, écrites en exil, adressées à Charles Ribeyrolles [Martel, 1812 - Rio de Janeiro, 1860], écrivain, journaliste républicain français et compagnon d’exil de Victor Hugo.— Octobre 1854 : « Je vous envoie, selon votre désir, quelques pages inédites du 6e volume, qui, du reste, va paraître. C’est une esquisse du parti des Girondins. Si cela vous convient, publiez-le, mais sans coupures, je vous en prie. Car les citations tronquées, comme celles que vous avez déjà faites dans l’Homme — ceci soit dit sans reproche mais avec regret — sont de nature à faire plus de mal que bien au livre dont on veut donner une idée. […] Je vous écrit de Brighton : c’est vous dire que je n’ai pu voir l’ami qui devait me remettre votre billet. ». — 24 mars 1856 : « Ayez la bonté de me renvoyer les pages que je vous ai confiées. Comme je n’ai pas de brouillon, elles me sont nécessaires. » — 25 mars 1856 : « J’ai demain une occasion pour envoyer à Paris mon manuscrit. Je vous prie donc de me faire tenir sans retard les quelques pages que je vous ai données et qu’un billet de moi, écrit hier, vous redemandait. Il y a dans mon manuscrit une solution de continuité que ma mémoire ne suffit pas pour remplir ; car comme je vous l’ai dit, je ne fais jamais de brouillon. Salut fraternel. Louis Blanc. » —29 août 1856 : « Voulez-vous avoir la bonté de me renvoyer la lettre des déportés de Cayenne ? Vous savez qu’elle a paru dans tous les journaux anglais et a produit la plus grande sensation. Le Times contient aujourd’hui à ce sujet un très important article. »On joint un imprimé annoté par Louis Blanc à l’encre : « Cayenne ». Imprimé de 22 pages par Tassillier, daté « des bagnes d’Amérique, île St Joseph, 1854 », imprimé à Manchester en 1855.
Lettre autographe signée
BIZET GeorgesLettre autographe signée [adressée à Mr Blétry]. Paris, 1 page in-12°, avec enveloppe jointe. « Mon cher ami, faite donc votre possible pour venir me prendre vendredi à 8h 1/2 du matin. Je vous conduirais dans une maison ou vous allez donner deux leçons par semaine (5Fr) »
Lettre autographe signée
BIXIO AlexandreLettre autographe signée. Paris, 20 novembre 1843 ; 1 page in-8°. En-tête imprimé « Maison Rustique ». « Je suis heureux de contribuer pour ma faible part à l’oeuvre que vous avez entreprise et viens vous prier de faire hommage d’un exemplaire de La Maison Rustique à l’Institut national des États Unis ».
Carte autographe signée
BISCHOFF HenryCarte de visite autographe signée. 31 janvier 1928 ; 2 p. in-32. Il s’excuse de ne pas avoir eu le temps de lui accuser réception des 250 francs.
Lettre autographe signée
BIOT Jean-BaptisteLettre autographe signée. Nointel, par Clermont , le 19 juillet 1828 ; 2 pages in-4°. « Je vous adresse par une voie sûre, la plus grande partie du manuscrit nécessaire pour remplir les neuf pages et demie que vous avez eu la complaisance de me réserver à la fin de mon mémoire qui commence le volume — je dis la plus grande partie parce que j’ai voulu me réserver la latitude nécessaire pour tomber juste dans l’espace que vous m’avez accordé. […] Je vous supplie de faire composer cette addition et de me l’envoyer le plus tôt possible, car je m’en vais entrer dans mes examens, le quatre du mois prochain. Et c’est alors pour moi une grande fatigue qui me rend bien pénible de faire autre chose en conséquence. »Est jointe une lettre de son épouse.