Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
BARTH HenrichLettre autographe signée. Berlin, le 13 mai 1864 ; 1 page in-8°. « Après avoir fini ma dernière lettre à vous, j’ai eu le grand plaisir de recevoir ensemble avec le cahier d’avril , un bulletin contenant l’intéressant article sur le régime des crues périodiques du Nil, la première feuille de la table des matières (1844-1860) si importante pour qui veuille faire usage consciencieux de tout ce qui est écrit et publié. » Rare.
Sa carte d’identité de 1916
BARTET Julia (Jeanne-Julia Regnault, dite)Pièce signée « Regnault Bartet ». 1916 ; 14,5 X 11 cm. Carte d’identité de 1916.
Carte autographe signée
BARTET Julia (Jeanne-Julia Regnault, dite)Carte autographe signée. 1 page in-32 oblongue sur carte de visite à son nom.« Ma pensée amicale et tout heureuse est près de vous et des vôtres. Je veux prendre ma part de votre joie. À vous de tout mon coeur. B. »
Carte autographe signée
BARTET JuliaCarte autographe signée [adressée à Georges Feydeau]. 1 page in-32 oblongue. « Je n’oublie pas, croyez le bien et quand cela me sera possible je dirai avec plaisir la petite saynète. Mille compliments. Bartet »
Lettre autographe signée
BARTET JuliaLettre autographe signée [adressée à Georges Feydeau]. 2 pages in-12. « Il me sera véritablement impossible d’apprendre la saynète pour le 15 octobre, j’ai une chose importante à apprendre et je vais répéter tous les jours. Croyez à tous mes regrets bien sincères de manquer cette première occasion qui se présente et je vais me mettre en mesure de savoir le plus vite possible afin d’être toute prête pour une autre fois. »
Photographie signée
BARTET JuliaPhotographie signée. Carte postale de la collection Coquelin.
Lettre autographe signée
BARTET Julia (Jeanne-Julia Regnault, dite)Lettre autographe signée. Cannes, 2 mars 1923 ; 1 page 1/2 in-8°. « Un poème sur Thaïs a été envoyé au Gaulois ; Mlle Cécile Hubaine, l’auteur serait fière de le voir publier dans votre supplément. C’est une poésie exquise que j’ai eu la grande joie de dire plusieurs fois et qui a été hautement apprécié ». On joint un carte de visite autographe signée.
Sauf-conduit
BARTET Julia (Jeanne-Julia Regnault, dite)Sauf-conduit délivré à Mme Bartet. Biarritz, 4 novembre 1914 ; 1 page in-4°, avec sa photographie. Elle avait soixante ans.
Carte didentité de Mme Bartet
BARTET Julia (Jeanne-Julia Regnault, dite)Carte didentité de Mme Bartet, signée par elle. Paris, 17 janvier 1923 ; in-16.
Lettre autographe signée
BARSACQ AndréLettre autographe signée; Paris, le 16 octobre 1960 ; 2 pages in-4° (petites fentes), en-tête « Théâtre de l’Atelier ». Sur l’attribution de la nationalité française à Félicien Marceau :« Je me permets de vous écrire cette lettre à la suite de l’article intitulé « La véritable Académie, c’est celle des interdits » paru sous votre signature dans Libération du 12 octobre dernier. Si je suis parfaitement d’accord avec vous sur le fond de l’article (en ma double qualité de Président du Syndicat des Metteurs en scène, qui avec toute la Fédération du Spectacle a pris très nettement position contre l’interdit illégal et aussi celle du directeur de l’Atelier, qui joue la pièce d’un des auteurs interdits, Françoise Sagan), il n’en reste pas moins que je ne peux que réagir très vivement contre votre post-scriptum qui attaque gratuitement Félicien Marceau, auteur d’une pièce que je vis en train de monter au théâtre de la renaissance et que vous aurez à juger bientôt en tant que critique dramatique. Votre attaque contre Félicien Marceau sur lequel vous semblez vouloir attirer les foudres officielles alors que votre article, à juste titre, se réclame de la liberté d’expression me semble d’abord en contradiction absolue avec l’esprit même de votre protestation. Ensuite puisque vous admettez avec tous les yeux intelligents que la justice militaire s’égare lourdement de nos jours, pourquoi croire qu’en Belgique il a pu en être autrement il y a quinze ans. Marceau qui a quitté la Belgique et ses fonctions à la Radio Belge en 1942, a été condamné par la Libération par un tribunal militaire à quinze ans de prison par contumace et sans avoir été défendu pour des faits qui en France, à mon avis, n’aurait même jamais fait l’objet d’une poursuite judiciaire (et je parle là en connaissance de cause, ayant eu le triste privilège de siéger à la Libération dans les commissions d’épuration). Son cas, contrairement à ce que vous insinuez a été étudié avec le plus grand soin par les autorités de notre pays et je puis témoigner que la nationalité française ne lui a été accordée qu’après une enquête approfondie qui a fait bonne justice des ragots proférés contre lui. »
Manuscrit autographe signé
BARRUCAND VictorManuscrit autographe signé. Cabourg, juillet 1888 ; 95 x 148 mm, plusieurs centaines de pages. « Notes Philosophiques ». Important manuscrit daté de Cabourg, juillet 1888, comportant de nombreuses notes de lectures, des pensées, des poèmes.
Lettre autographe signée
BARROT OdilonLettre autographe signée, adressée à un député. Sans date; 3 pages 1/2 in-4°. Importante lettre réfutant Lamennais qui avait qualifié la charte de « loi athée » et traitant de l'athéisme en politique. « Dans la lettre que j'ai eu l'honneur de vous adresser, j'ai dit que c'est à M. l'abbé de Lamennais qu'il faut imputer d'avoir qualifié la loi d'Athée : voici le passage qui le prouve. Il est extrait d'un article du Conservateur (Tome 1er 11e livraison). Encore une fois, dit M. de Lamennais, dans cet article qu'on s'explique, la Charte a t-elle le sens que lui prête M. Barrot ? A t-il saisi la véritable intention du législateur si on répond affirmativement alors ne disputons plus sur les conséquences ; disons le nettement oui la loi garanti toutes les croyances quelles quelles soient et comme il peut y avoir autant de croyances que d'individus, elle garantie l'anarchie la plus complette, elle force le magistrat à respecter 30 millions de culte s'il plait de les etablir... à respecter l'athéisme même et ce n'est pas trop dire, puisqu'enfin le magistrat doit sans doute respecter la loi et qu'enfermer la loi n'est d'aucune religion, la loi est athée. M. de Lamennais s'exprimait ainsi à l'occasion d'un Ier mémoire que j'avais publié dans l'affaire des tentures et dans lequel je soutenais sa thèse ; que la loi respecte toutes les croyances, lorsqu'elle ne troublent pas l'ordre public »
Ensemble de 2 lettres autographe signées et d’1 billet autographe, adressés à M. Mulhfeld
BARRÈS MauriceEnsemble de 2 lettres autographe signées et d’1 billet autographe, adressés à Lucien Mulhfeld.— Sienne, 10 avril 1894 ; 4 pages in-8°. « Je ne prétends pas qui que ce soit me doive intellectuellement quelque chose ; chacun de nous doit à ses premières lectures ferventes, et ce m’est un honneur et un hasard heureux […] si des camarades se sont trouvés qui sentaient comme moi et arrivaient à leur majorité quelques années après moi. Mais quoi qu’il soit de ce point, il m’est insupportable qu’on quitte la maison intellectuelle dont nous sommes, pour aller sans loyauté de pensée se joindre aux mercenaires et aux frivoles de la fausse littérature. Voilà pourquoi j’avais protesté ». Il reproche à son cadet de le « juger sur des anecdotes : Rien n’est plus faux et dégradant que l’interprétation d’un homme à l’aide d’anecdotes [… ] on l’a fait pour Hugo, pour Barbey d’Aurevilly, pour Baudelaire : je ne l’ai pas fait pour Renan. » Il se défend de vouloir prolonger cet incident ; au reste, il éprouve le besoin de se retirer de la querelle littéraire.— Sans date ; 3 pages in-12. Il remercie M. Mulhfeld d’un article de la Revue Blanche où celui-ci a pris sa défense contre Anatole France : « ce merveilleux écrivain de France ne m’a jamais lu. Soyez-en sûr. C’est d’ailleurs fort spirituel de la part d’un aîné, et cela excuse les contradictions où vous le prenez. […] L’étude du moi est close » Il va faire « des petits livres socialistes ».— « Maurice Barrès est à Paris et serait heureux de serrer la main de M. Mulhfeld. »
Lettre autographe signée
BARRÈS MauriceLettre autographe signée, adressée à Louis Madelin. « Lundi de Pentecôte » ; 1 page 1/4 in-4°. Intéressante lettre lors des négociations sur le traité de Versailles « Je viens de passer avec vous, lisant lExpansion Française, ce jour de répit. Combien vous avez raison ! Avant 1914 nous, [ ] nous ne connaissions plus nos propres richesses, nos vertus et nos droits à travers le monde ! Léquilibre de notre nation équilibre politique, moral, social exige la frontière du Rhin et comme vous, japprouve le terme de restitution pour ces terres peuplées par notre race... et de ces limites naturelles retrouvées par la France dépend lexpansion française, pas de lEurope. Mon cher Ami, ce mest une vive satisfaction de me touver aussi complètemnt daccord avec lhistorien, le soldat que vous êtes. Mais ne sommes nous pas lorrains tous deux ? »À partir de novembre 1918 et jusquà la signature du traité de Versailles, le 28 juin 1919, la région est de facto annexée par la France, avant de faire de nouveau partie intégrante de la nation française, conformément à l'article 27 du traité.
Lettre autographe signée
BARRÈS MauriceLettre autographe signée, adressée à Laurent Tailhade. [Charmes, 16 décembre 1886], date de la poste ; 3 pages in-8°, enveloppe timbrée jointe.« Voilà que je vous avais écrit une belle lettre d’explications quand votre dépêche m’arrive. Et tout s’explique “Le monde n’a plus de mystères” comme dit M. Berthelot ; c’est un drôle, direz-vous, une âme basse. Donc puisque vous savez les déplorables extrémités on se débat mas santé : je ne suis pas à Paris. J’ignore Demeny, son silence impudent et tous les bavardages littéraires. Mais je ne dirige aucune revue : l’erreur veut de ceci qu’un canard (en avons nous connu de ces volailles !) réimprime de vieux articles que je fis au Voltaire. Il faudra qu’on vous les serve. Cela me chiffonne, rendez le leur. […] J’aime beaucoup les feuilles où ceux de mon âge servent l’art. Je ris, je soupire et j’admire. Ils me font rougir de n’être pas des leurs, et me félicitent de ne pas leur ressembler. »