Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
BACHELARD GastonLettre autographe signée, adressée à Robert Prade. Dijon, le 23 septembre 1952 ; 1 page in-8°. « Merci de m'avoir envoyé Éphémères avec une dédicace qui me donne le plus beau des titres : Ami des poètes. Et comment un philosophe qui a écrit L'Air et les Songes ne serait-il pas l'ami d'un poète qui, dès la première page écrit : l'oiseau luttait à la hauteur du cri perdu. Cet élan vers le bleu est dynamisant. Il est une vérité dynamique. Il tient aussi le souvenir du déchirement de la grande fleur sauvage. »
Ensemble de 4 lettres autographes signées [adressées au poète Jean Stiénon du Pré].
BACHELARD GastonEnsemble de 4 lettres autographes signées [adressées au poète Jean Stiénon du Pré]. 1956-1960 ; 7 pages 1/2 in-4°. Très intéressante correspondance. 16 février 1956 : « Merci de m'avoir fait un don nouveau, un don qui comble l'ami des beaux livres et l'ami des poètes. Entre tous j'ai élu le poème en prose de la page 17. C'est un Phénix discret. Il y a quelques années, j'ai fait à la Sorbonne cinq ou six cours publics sur l'image du Phénix. Ces cors sont perdus. Relisant votre page, je me suis mis à regretter la perte de mes papiers. J'aurais mis en page dans ces papiers l'image que vous m'apportez ». 21 mars 1957 : « Votre Cri perdu réveille les profondeurs. Qu'il soit jeté au seuil de la caverne ou dans la touche d'ombre d'une urne prochaine, il émeut des secrets d'âme. On écoute, on entend au Passé. Quel grand don que nous fait le poète quand il nous rend à la puissance d'écouter. Je voudrais retrouver la caverne devant laquelle j'essayais ma voix, une voix que j'avais peur d'entendre. Quelles résonances philosophiques, morales, antologiques s'animent en vos poèmes ! [ ] Pureté ma soie, ma déchirure c'est plus grand qu'un roman de trois cent pages. Sur ce thème, un musicien ne viendra-t-il pas écrire le drame humain ?» 5 mars 1959 : « Je r'ouvre peu souvent votre livre, car en chacune de ses doubles pages je rêve deux fois, je reçois la verticalité du Haut cristal, une verticalité solide et aérienne. Comme j'aurais été aidé par un tel livre quand j'écrivais L'airs et les Songes ! La colombe sur l'amphore. Deux grands oiseaux sur les vagues de la mer. La fleur aux dix ailes de l'Absolu. Tout m'aide à respirer mieux vos poèmes. Les accords sont parfaits, dans la fleur des mots, vous trouvez les vertus florales de toute la poésie ». 25 janvier 1960 : « Les drames de l'Histoire seuls les poètes savent les dire. Les historiens ne voient que les faits. Le calendrier de la mort est grâce à vous sensibilisé épine par épine la douleur revient, s'en va, reprend. Les cloches sonnent et les bois font silence, accroissent le silence. Oui, parfois, dans votre récit, une note stylistique suffit pour rappeler le style de la mort.[ ] Avec un livre comme le vôtre on a un compagnon. Le livre pense à celui qui le lit, qui le lira... [ ] Sachez que vous avez en moi un lecteur ouvert à tous les retentissements. Votre prose résonne. Vous êtes poète. »
Photographie
BACCELLI GuidoPhotographie le représentant appuyé sur un fauteuil. 17 x 11 cm. Photographie Sorgato.
Dessin original signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé légendé « Villa d’Este ». 1912 ; 32,5 x 25 cm à l’encre, crayons de couleurs et aquarelle, contrecollé sur feuille.
Lettre autgraphe signée
BAC FerdinandLettre autographe signée avec un très beau dessin en couleurs représentant un homme couché. 22 février 1942 ; 2 pages in-4° provenant d’un cahier à spirales à petits carreaux. « 22 fev : Les écrivains qui font de la littérature, dite “patriotique” leur vache à lait, devraient bien acheter des fermes. Ils se rendraient au moins utiles à l’alimentation. 1 mars : Un homme ayant le sens de l’excellence, peut impunément reconnaitre ses propres mérites. Cette manière lui dicte un devoir constant de se hausser sans cesse sur la vulgarité du médiocre. Mais une nation n’a pas cette conscience. Elle prend le bénéfice et néglige ses devoirs. Elle se ruine par l’aveuglement et la suffisance ». Légende sous le dessin : « Première sortie. sieste sur le gazon grillé par la neige. Rimont, 7 mars 42 ».
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original à l’encre et aux crayons de couleurs, signé avec légendes autographes. 1941 ; 230 x 210 mm. « Esprit de famille. » « — Casquée comme Minerve, vous êtes la Sagesse. Moi je suis le Risqueur, et cela réussira ! Et cela réussira ! » « Mais moi aussi je risque. Il est sage de risquer. »
Dessin original signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé légendé « Villa Pamphili - Fontana della regina ». 1912 ; 32,5 x 24,7 cm à l’encre, crayons de couleurs et aquarelle, sur feuille contrecollée sur carton.
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé « Lucien Descaves ». [1951] ; 270 X 210 mm à la mine de plomb et encre rouge pour la partie écrite. Portrait de Lucien Descaves, légendé : « Descaves, dit Maurice Donnay, c’est le moment où l’on entend une trappe s’ouvrir chez le troquet et qu’on crie : “Patron ! il n’y a plus de bouchons !” »
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé « Paul Claudel ». [1951] ; 270 X 205 mm à la mine de plomb et encre rouge pour la partie écrite. Portrait de Paul Claudel, légendé : « Il y a eu Jésus Christ, puis Napoléon. À présent il y a Claudel (Saint Paul).»
Dessin original signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé légendé « Villa Falconieri ». 1912 ; 32,5 x 25 cm à l’encre, crayons de couleurs et aquarelle, contrecollé sur feuille.
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé « Maurice Donnay ». Daté de 1892, ce dessin a plutôt été exécuté dans les années 1950 ; 21 X 16 cm à l’encre et aux crayons de couleurs et encre bleue pour la partie écrite sur un papier de format 37,5 X 27,5 cm. Portrait de Maurice Donnay, légendé : « Le plus spirituel des Parisiens de Paris, petit-fils de Bérangère et peut-être d’un poète espagnol... n’était pas un français. Était-il Européen ? Lisez sur le visage […]. Il était unique, inoubliable et inimitable. »
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original signé « Giraud chez la Princesse Mathilde ». [Circa 1950] ; 32,5 X 25 cm au fusain et encre rouge pour la partie écrite. Portrait d’Eugène Giraud, légendé : « “Vieille giraille ! disait Madame Demidoff” , vous aussi tortillez vos moustaches, mais ce n’est pas les mêmes que Mossieu le Surintendant...” »
Dessin autographe signé. Glatigny.
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin autographe signé. Glatigny. Crayon sur papier, signé en bas à droite. 30,6 x 22,8 cm.« Glatigny porte une redingote, don dun mai corpulent, deux gilets pour remplacer le pardessus et le privilège dêtre le seul homme qui ait fait pleurer Victor Hugo. Cétait le jour de son dernier voyage... »
Dessin autographe signé. Maxime Ducamp.
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin autographe signé. Maxime Ducamp. Techniques mixtes sur papier, signé et daté en bas à gauche, 23,1 x 19 cm.« Nouvelles Littéraires, 21 avril 1949. Maxime Ducamp de lAcadémie française est stupéfait de laudace de Georges Mongredin qui demande aux lecteurs de placer dans leur bibliothèque ses livres à côté des ouvrages de ce gamin, ce Ferdinand Bac quil rencontrait de 1881 à 1889 chez A. Houssaye. F. Bac, 1949. »
Dessin original à lencre et aux crayons de couleurs, signé avec légendes autographes
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin original à l'encre et aux crayons de couleur, signé avec légende autographe. 15 juin 1945 ; 27 x 21 cm. Dessin réalisé à la fin de la guerre : « Il est sévèrement défendu à l'armée américaine de saluer les sujets allemands. Le haut commandement en pays occupé. »