Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
SEGHERS PierreLettre signée, adressée à Gaston Picard. 7 novembre 1950 ; 1 page in-8° sur son papier à lettre « Pierre Seghers, éditeur ».« Je n’édite qu’un seul roman par an. Le Jour des Rois par Véronique Blaise m’a paru différent des autres livres. »
Lettre autographe signée
SÉGALAS Anaïs MénardLettre autographe signée, adressée à Mme Denne Baron. Sans date ; 1 page in-8°.« Nous regrettons bien vivement de ne pas voir figurer votre nouvelle dans les heures du soir, elle est arrivée trop tard […]. Mais nous serons plus heureux pour le journal des femmes. La duchesse de Montmouth est remise à Mme Fanny Richomme. Si nous ne partions pas sitôt, je vous aurais transmis sa réponse, mais elle doit vous la rendre elle-même; assurément elle vous sera favorable. »
Lettre autographe signée
SÉGALAS Anaïs MénardLettre autographe signée, adressée à une dame. 27 octobre 1842 ; 2 pages in-8°.« J’ai vraiment du malheur ; je me suis présentée deux fois chez vous et j’ai choisi maladroitement des heures où vous étiez sortie. Aujourd’hui ma visite était un peu intéressée, je venais en solliciteuse : le théâtre a un éclat qui éblouit tout le monde, et moi toute la première ; j’ai fait il y a quelques temps mes premiers essais : l’Odéon a reçu le 3 avril dernier un crime en 4 actes que j’ai commis et qui sera représenté cet hiver. L’indulgence du comité m’a encouragée à continuer mes essais dramatiques. Je viens de finir un vaudeville en un acte, que je serais bien heureuse de voir représenter au Gymnase. Je voudrais le soumettre au jugement de M. Fournier; j’ai foi dans sa bienveillance et cependant il a plus que personne le droit d’être difficile ».
Lettre autographe signée
SÉGALAS Anaïs MénardLettre autographe signée, adressée au directeur général des Postes. 25 septembre 1856 ; 1 page in-4°.« Au moment de publier une nouvelle édition d’un de mes anciens ouvrages (Les Oiseaux de passage), je viens vous demander l’autorisation d’envoyer par la poste mes épreuves corrigées et de les recevoir également avec des corrections s’il est nécessaire que je les renvoie une seconde fois. Mon imprimeur est M. Simon Raçon rue Erfurth, n°1. »
Lettre autographe signée
SÉGALAS Anaïs MénardLettre autographe signée, adressée à une dame. 15 octobre 1862 ; 2 pages in-12.« Je viens de finir mon roman Les Magiciennes aujourd’hui, et je m’empresse de vous en prévenir, pour ne pas être accusée de paresse. J’ai fait quelques chapitres de plus que je ne le pensais, et je vous assure, qu’en faisant la part du temps perdu, qui teint toujours une grande place dans la vie, j’ai travaillé assez rapidement. Le roman a 37 feuilletons : vous en avez déjà 20 ; dès que je serai de retour à Paris, je donnerai à copier les 17 que je viens de terminer, et j’aurai le plaisir de vous les apporter dans une quinzaine de jours. J’apprécie trop l’importance de La Patrie, pour ne pas avoir mis tous mes soins à cet ouvrage. Quand on a déjà habité le rez-de-chaussée de votre journal, on tient à y revenir, car c’est un logement en vogue. Je me suis souvenue de vos conseils éclairés, quand nous avons causé ensemble des romans et de leur assaisonnement. Vous aimez le sel et le vinaigre, m’avez-vous dit ; vous avez mille fois raison ; j’ai tâché d’en mettre ; mais quand il s’agit de juger mes ouvrages, c’est de la douceur et de la bienveillance que je demande : je compte sur l’indulgence de M. de Villermé comme sur la vôtre, qui ne m’a jamais fait défaut. »
Lettre autographe signée
SÉGALAS Anaïs MénardLettre autographe signée, adressée à Charles Wallut. 2 février 1867 ; 1 page in-8°.« Merci, Monsieur, de votre aimable demande, que mon mari m’a transmise. Je vous envoie mon image, avec prière de ne pas la faire trop en charge, si cela est possible. Votre Panthéon est très spirituel et très amusant : je suis charmée d’y prendre place ; je n’aurai garde de m’ennuyer en aussi bonne compagnie. »
Lettre autographe signée
SCOTT sir WalterLettre autographe signée, adressée à sir John. [1817 ?] ; 1 page in-4° ; en anglais. Au sujet dun bateau, qui doit être vendu et démantelé, quil souhaite acheter pour lajouter au feu qui aura lieu sur le Trône du Roi Arthur [une colline dÉdimbourg ; il sagit sans doute de la fête celtique de Beltrane qui se tenait en mai, où étaient allumés des feux sur des sites élevés]. Il demande à ce que la vente ait lieu lundi afin quils aient le temps de le monter au sommet de la colline et veut le payer 10 à 12 livres. Il se propose de porter au roi la coupe de Saint-André. Peu commun.
Lettre signée
SCHWEITZER AlbertLettre signée, adressée à l’éditeur R.E. Haugan. Lambaréné, le 27 mars 1955 ; 1 page in-8°, froissure sur la partie gauche. Lettre écrite en anglais par une de ses infirmières avec 4 lignes autographes signées. « Dr Schweitzer asked me to thank your in his name for the American Annual of Christmas Literature and Art, edited by yourself. It is a beautiful and atistic volume and it was a real pleasure to read it. » Le Dr Schweitzer ajoute quatre lignes en français : « Je vous remercie de cœur de votre grand envoi d’illustrés. On l’a très apprécié ! Votre dévoué Albert Schweitzer. »
Lettre autographe signée
SCHWEITZER AlbertLettre autographe signée, adressée à une dame. Saar-Union 19 octobre 1900 ; 3 pages in-12.Rare lettre de la période alsacienne : « Voilà des semaines et des mois que vos bonnes lettres m’ont trouvé à Strasbourg ? Vous devez trouver que je mets du temps à répondre. Elles m’ont beaucoup touché. La sympathie qu’elles me témoignent me fait du bien. Mais depuis ces semaines d’été, il s’est passé tant de choses, que je ne suis pas arrivé à écrire les lettres les plus pressantes et les plus nécessaires - celle que je vous destinais, rentrait dans le nombre. Il y a eu d’abord mes examens pour le professorat. C’était une quinzaine émouvante. Tout a bien marché. A la fin j’étais à bout. Le médecin m’a défendu tout travail pour des mois. Il n’est pas question que je commence à faire des cours cet hiver. En rentrant à Günsbach (chez mes parents) pour me reposer, j’ai trouvé mon père dans un état assez inquiétant. Il souffrait d’une maladie d’estomac. Nous avions beaucoup de soucis. Il a quitté Günsbach pendant le mois d’août et de septembre pour faire traiter sa maladie à la maison des diaconesses de Fribourg. Pendant tout ce temps j’ai dû le remplacer dans ses fonctions de pasteur à Günsbach. Le voilà remis. Depuis trois semaines nous sommes tout à fait rassurés. vous comprenez que je ne me suis guère reposé pendant ce temps. Pour me changer les idées, j’ai accepté l’aimable proposition d’une de mes tantes de l’accompagner à Oberammergau et au Tyrol. C’était un beau voyage d’automne. La représentation à Oberammergau comme valeur artistique de la pièce, est loin de pouvoir être comparée à la passion de Bacho […]. On m’a défendu la science — je m’occupe de l’art. Je rédige un petit travail sur les chorals de Bach, dont Widor m’a chargé. En approfondissant l’étude sur ces oeuvres poétiques de Bach, je suis tout à fait surpris de découvrir de nouvelles richesses chez lui, dont je ne me doutais pas. »
Lettre autographe signée
SCHWEITZER AlbertLettre autographe signée, adressée à Mme Doll. Gunsbach, 29 avril 1929 ; 3 pages in-12, en français.« N’est-ce pas, vous êtes bien Madame Doll que je connais du Chant Sacré ? À mon concert à Melbourne, je voulais venir vous saluer, mais j’étais si fatigué que j’ai dû abandonner toutes les visites que je voulais faire. Mais j’espère vous voir à un prochain séjour. Que vous avez été touchante de vous associer à la souscription de l’office colonial de Mulhouse pour Lambaréné ! Cela m’a profondément ému et votre don a une valeur toute particulière pour moi. Merci de pout cœur. Je pense retourner à Lambaréné en automne. Cet été, j’aurais encore à terminer un travail sur la mystique de st Paul auquel je suis occupé depuis 25 ans. A Lambaréné, il y a en ce moment 4 médecins, 6 infirmières européennes et 6 infirmiers noirs... et tout ce monde ne suffit pas pour faire face à la besogne... Quelquefois j’ai l’impression que cette oeuvre, toujours grandissante, va m’écraser. La sympathie que j’ai trouvé à Mulhouse a été un grand réconfort pour moi. Permettez-moi, chère Madame, de vous donner en souvenir cette photographie prise à un orgue de Hollande. »
Pensée autographe signée
SCHWEITZER AlbertPensée autographe signée. [1962] ; 1 page in-12 oblongue.« Lhumanisme profond exige que nous soyons humains avec toutes les créatures. Albert Schweitzer. »On joint une photographie dun dessin de Raoul Serres (portrait de Schweitzer) avec envoi autographe (21,5 x 17,5 cm).
Lettre autographe signée
SCHWEITZER AlbertLettre autographe signée, adressée à Ernest A. Nieschmidt à Las Vegas. Lambaréné, 13 mars 1965 ; 1 pages 1/2 in-8° oblongue, en allemand, enveloppe timbrée jointe. Son correspondant lui propose de lui envoyer une contribution pour son hôpital. La collaboratrice du Dr Schweitzer lui répond d'abord et le Dr Schweitzer répond sur 8 lignes.
Manuscrit autographe signé
SCHWEITZER AlbertPièce autographe, signée en tête « Hôpital du Docteur Albert Schweitzer—Lambaréné, 14 août 1960 » ; 1 page in-8° oblongue. Attestation en faveur de M. et Mme Guy Barthelemy-van der Kreek qui « m’ont fait part de leur intention de faire autant que les circonstances leur permettront, œuvre de dévouement. Madame a travaillé cinq ans ; avant son mariage à mon hôpital comme médecin. Avec Monsieur Guy Barthelemy je suis en relation depuis de longues années. Je connais son esprit de dévouement. Je souhaite aux deux qu’ils puissent faire l’œuvre qu’ils se proposent et je prie ceux qui pourraient les aider dans la réalisation de leur projet, de leur faire confiance et de leur prêter leurs concours. »
Pièce signée
SCHWEITZER AlbertPhotographie signée. Lambaréné, janvier 1965 ; 14,8 X 10,3 cm, avec cachet du Dr Schweitzer au dos. La photographie en couleur représente le lieu de débarquement de l’hôpital sur le fleuve. Brève lettre de remerciements pour les vœux envoyés pour son 90e anniversaire. Albert Schweitzer remercie son correspondant au dos de la carte : « With my best thoughts, Albert Schweitzer. » [avec mes pensées les meilleures, Albert Schweitzer]. Sur le devant de la carte postale, « The landing place of the hospital » [Le lieu de débarquement de l’hôpital].
Ensemble de 6 cartes autographes signées, adressées à une femme écrivain.
SCHUMANN MauriceEnsemble de 6 cartes autographes signées, adressées à une femme écrivain. 1994-1998, enveloppes jointes ; sur cartons à en-tête du Sénat.1994 : « En application du règlement de la Haute Assemblée, le groupe d’amitié France-Pologne (qui existe depuis de nombreuses années) bénéficie du concours largement suffisant d’un administrateur du sénat. Je n’en suis pas moins sensible à votre proposition et vous assure de mes sentiments les meilleurs. » - 1995 : « J’ai dû quitter la présidence de la commission des affaires culturelles ». - 1995 : « Hélas ! mon âge ne permet pas l’espoir d’une amélioration. Comme je vous l’ai dit, “never complain!” Je vous souhaite le bonheur que vous avez mérité. »