Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Envoi autographe signé
SALACROU Armand« IMPROMPTU DÉLIBÉRÉ — ENTRETIENS AVEC PAUL-LOUIS MIGNON ». Éditions Gallimard., 1966 ; 120 X 185 mm. Service de presse. Envoi autographe signé par Paul-Louis Mignon : « Pour Maurice Escande, bien fidèlement. Paul-Louis Mignon. »
« THÉÂTRE : Une femme TROP HONNÊTE — BOULEVARD DURAND COMME LES CHARDONS »
SALACROU Armand« THÉÂTRE : Une femme TROP HONNÊTE — BOULEVARD DURAND COMME LES CHARDONS ». TOME VIII. Exemplaire de service de presse. Éditions Gallimard, NRF, Paris, 1966 ; 115 X 185 mm. Broché, dos piqué. Envoi autographe signé, adressé à Maurice Escande : « À Maurice Escande, avec la reconnaissance de l’auteur et son amitié, Armand Salacrou. »
Lettre autographe signée
SALACROU ArmandLettre autographe signée, adressée à Hervé Bazin, président de l’académie Goncourt. « Le Havre, samedi » ; 1 page in-8°. « Je reçois votre lettre du 23. Comme vous, je crois que ce voyage dans le Canada francophone est important, et je suis décidé à accompagner notre Académie dans cette expédition. » Il part demain pour les Pyrénées où il restera qinze jours.
Pièce signée
SALACROU ArmandPièce signée. Paris, 1er décembre 1961 ; 1 page 1/2 in-4°. Contrat dactylographié entre la Société des auteurs et compositeurs, représentée par son président, M. Armand Salacrou et Mme Belin, directrice du Théâtre du Gymnase à Paris sur les conditions d’émissions de billets à prix réduits. Signature des deux en fin du document.
Lettre autographe signée
SALACROU ArmandLettre autographe signée, adressée à Hervé Bazin, président de l’Académie Goncourt. 28 avril ; 1 page in-8°. « Me voici opéré pour la troisième fois, et j’espère quand même venir déjeuner avec vous tous avant les vacances. Faites toutes mes amitiés autour de la table et dites leur que je m’ennuie de vous tous. »
Lettre signée
SALACROU ArmandLettre signée « Armand », adressée à Guillaume. [Vieux-Port], 5 juillet 1932 ; 1 page in-4°. « Je suis actuellement à Vieux-Port par Sainte-Opportune-La-Mare (Eure) dans une cour normande, où tu seras le bienvenu cet été, avec ta femme. C’est à 50 km de Rouen, et sur les bords de la Seine. Je travaille et j’espère être prêt pour faire l’ouverture des Quinze. […] Si tu as un manuscrit des Frénétiques, tu peux lui donner à lire, cela n’engage à rien. »
Lettre signée
SALACROU ArmandLettre signée, adressée à l’agence Leclair. Luchon, 10 août 1951 ; 1 page in-8°. « D’accord pour Jacky Gaillard à Rouen, avec Histoire de rire et l’Archipel Lenoir. Qu’il me tienne au courant. »
Pièce signée
SALACROU ArmandContrat signé. Paris, 12 mars 1954 ; 2 pages in-4°. Contrat signé pour son œuvre Une Femme libre, avec MM. Fonson et Declercq, directeurs du Théâtre des galeries St. Hubert à Bruxelles. 12 représentations sont prévues au contrat.
Pièce signée
SALACROU ArmandBulletin de privilège signé. Liège, le 29 juin 1962 ; 1 page in-4°. Contrat signé entre Armand Salacrou et M. Joosen, directeur du théâtre royal du Gymnase de Liège, pour donner à M. Joosen le droit de représenter sa pièce L’inconnue d’Arras pour la saison 1962/63.
Lettre autographe signée
SALACROU ArmandLettre autographe signée, adressée à M. Bloch. Vieux-Port, [circa 1932] ; 1 page in-4°. En-tête de La Bonne Auberge. « Pouvez-vous me faire envoyer ici par chèque ma répartition du 14. Pour partager le reliquat Besnard, je vous demanderai de faire rentrer ma créance car je veux bien payer mes dettes si je les dois, mais je désire aussi que la Société me fasse payer ce qu’on me doit. Je suis ici, tranquille devant les bords de la Seine, en train d’écrire ma nouvelle pièce. »
Lettre autographe signée
SAINTINE Joseph-Xavier Boniface, ditLettre autographe signée, adressée à M. Juisserat. Paris 19 novembre 1860 ; 1 page in-8°. « J’étais absent de chez mi lorsqu’hier, à 10 heures, le triste billet d’invitation qui conviait à assister aux obsèques de Madame veuve Gérard y est arrivé. Je sens le besoin de vous faire part du regret que j’éprouve de n’avoir pu, en cette occasion douloureuse, vous donner un témoignage de ma vive sympathie, à vous, qui, récemment, dans une circonstance identique, m’avez donné, malgré vos nombreuses occupations , une si bonne preuve de votre amitié ».
Extraordinaire réunion de 3 autographes dans une lettre autographe signée de Gedeon Gorrequer, adressée à Hudson Lowe. Sainte-Hélène, 14 décembre 1818 ; 4 pages in-8°, en anglais et en français.
SAINTE-HÉLÈNE. LES RARES PAPIERS DE SAINTE-HÉLÈNE.Extraordinaire réunion de 3 autographes dans une lettre autographe signée de Gedeon Gorrequer, adressée à Hudson Lowe. Sainte-Hélène, 14 décembre 1818 ; 4 pages in-8°, en anglais et en français.GORREQUER Gedeon [1741 - 1841], officier anglais, aide de camp de H. Lowe à Sainte-Hélène. « Count Balmain said, that notwithstanding count Bertrand and Montholon had called upon him, he has never returned their visits, nor had he ever renerved his application to be prevents to Bonaparte — though he has received the authority of his court, to ask to be presented as a private individual — but he has prefered acting on his own discretion “et attendre une occasion plus propice”. The governor repleid, he was now ready (as he had always been and frequently has offered) to present them the commissionneers when ever they applied — that if they wrote to him on the subject, he was ready to send them an answer. G. Gorrequer, major. »À la suite 5 lignes autographes signées en français du comte Balmain : RAMSAY DE BALMAIN Alexander Antonovitch, comte [1779 - Saint Pétersbourg, 1848], diplomate russe d’origine écossaise, commissaire du gouvernement russe à Sainte-Hélène. Il arrive à Sainte-Hélène le 17 juin 1816. Il repartira le 3 mai 1820 sans avoir été reçu par l’Empereur malgré ses liens avec certains membres de la colonie française.« Ceci n’est pas entièrement exact, attendu qu’il y a une (1) transposition des divers points de la contestation, qui dénature (2) le fait. Le Cte Balmain. »Suivent deux pages autographes signées de la main de G. Gorrequer : « The Conversation was a long one, but the part to which this relates very short, and the note was taken down in writing immediatly afterwards by me and read by the Governor, to whom I appeal for its […]. The conversation was in french, but the purpose the same as I saw expressed above, which was copied verbatim from the original note, without transposition or alteration. G. Gorrequer, major. St Helena 22 February 1819. »Suivent les indications des renvois dans le passage du comte Balmain :« (1) This word was not in the original paper with Count Balmain’s signature, but found to be added after the second note had been written by me, and the paper again returned by him. (2) This word in the original was “dénaturent”. G. Gorrequer, major. »La fin de ce document est écrite par Hudson Lowe :LOWE sir Hudson [Galway, 1769 - Chelsea, 1844], général britannique, gouverneur de Sainte-Hélène. « The explanation of Major Gorrequer are confirmed by me. Any difference drawn from transposition, in support of …… Count Balmain ………………… establish as the meaning of my anxious to him on the occasion referred to, is not only ………… but can be demonstrate in direct opposition to the whole ……… of my conversations with him. It is only to ……… this apprehension of my words & meaning the term “denature” ....... properly apply. H. Lowe. »
Gravure représentant une vue de Jamestown de locéan
SAINTE-HÉLÈNE.Gravure représentant une vue de Jamestown de l'océan. Gravé par A. Chamouin d'après un dessin de Garneray. Imprimé par Chardon à Paris. XIXe siècle ; 17,5 x 28,5 cm.
Gravure américaine ancienne montrant une vue de Longwood.
SAINTE-HÉLÈNEGravure américaine ancienne montrant une vue de Longwood. « Longwood, from the gate, St-Helena ». XIXe siècle ; 21,5 cm x 29 cm. « Drawn from Nature by Heine, Figures by Brown ». Lithographie imprimée à New York.
Gravure ancienne montrant une vue du New Longwood.
SAINTE-HÉLÈNE.Gravure ancienne montrant une vue du New Longwood. Lithographie de H. Clerget d'après une peinture d'Adolphe d'Hastrel. XIXe siècle ; 28,5 cm x 44 cm. Lithographie tirée de « L'Album d'artiste ». Longwood House est située sur une plaine exposée au vent à 6 km de Jamestown. Ancienne résidence d'été du Lieutenant-Gouverneur de l'île, elle fut réservée à l'usage de Napoléon en 1815. Le gouvernement britannique reconnaissait qu'elle était inadéquate pour être la résidence de l'ancien empereur et son entourage, et au moment de sa mort il venait de construire une nouvelle maison à proximité, New Longwood, mais que Napoléon n'occupa jamais.