Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
ROCHET CharlesLettre autographe signée, adressée à M. Burty. « Ce 29 janvier 8 heures du soir 79 » ; 4 pages in-8°. « Il m’est impossible de résister au désir de vous remercier […] de l’article de la République française que je trouve reproduit dans le National sur le Charlemagne et la manière plus que cavalière, je devrais dire ignorante et brutale avec laquelle une majorité mal renseignée a accueilli une œuvre exceptionnelle de sculpture d’histoire, d’ethnologie et surtout de patriotisme ; cet article est admirablement fait, que je voudrais pouvoir signer, fait ressortir en effet la grande pensée qui animait mon frère en produisant cette œuvre, arracher à l’Allemagne qui veut nous la ravir, comme elle désire nous ravir tant de choses, cette grande figure des temps barbares il est vrai, mais des temps barbares au milieu desquels elle éclaterait comme un soleil. »
Carte autographe signée
ROCHEGROSSE Georges AntoineCorrespondance autographe signée, adressée à Georges Moreau, directeur de La Revue Universelle. Ensemble de 3 pièces :— Lettre autographe signée. 11 juin 1891 ; 3 pages in-12. Il lui envoie l’autorisation [sur le troisième feuillet] de « faire reproduire dans La Revue Encyclopédique mon tableau La mort de Babylone. »— Carte autographe signée. 2 pages in-32. « Je n’ai pas encore d’épreuves du menu du banquet franco-russe. »— Carte de visite. « La pièce “fleur” n’a pas encore paru en volume. Elle a été publiée à L’Écho de Paris le 23 décembre 1890. »
Manuscrit autographe signé
ROCHEFORT Henri (Henri de Rochefort-Luçay, dit)Manuscrit autographe, signé « Henri Rochefort, l’autre Bonaparte ». 2 pages in-4°, découpées pour l’impression et remontées sur papier. Traces de crayon de couleur du typographe.« Vous voulez parler de Dozinval ? Parlons de Dozinval, dit quelque part Henry Monnier. Vous voulez parler de Napoléon ? Parlons de Napoléon, dirons-nous à notre tour, parce qu’à force d’en parler, il est à croire qu’on n’en parlera plus. Et puisqu’on paraît tenir à le mettre à pied, à cheval, debout, assis, couché, sur le dos, sur le ventre, en rond et chien de fusil, afin d’épuiser définitivement la matière. Seulement puisqu’on nous la fait à “l’épopée” aussi bien en Vaudeville […] il serait équitable et rationnel que quelque auteur nommé le représentât un peu tel que l’a peint Stendhal, Bourienne ou seulement Madame de Rémusat. […] Ce qu’il y faisait, tout le monde le savait dont le parti royaliste et Bonaparte était à ce sujet mieux renseigné que qui que ce soit. Le duc d’Enghien, fiancé depuis longtemps à la princesse de Rohan, Rochefort habitant le château d’Ettenheim qu’elle tenait de son oncle le prince de Rohan — Rohan du Collier —, qui archevêque de Strasbourg avait une partie de son diocèse de l’autre côté du Rhin et possédait en toute propriété avec les bois qui l’entouraient le château où fut capturé le jeune émigré. Il vivait dans l’intimité de celle dont il devait faire sa femme et c’est parce que Bonaparte en quête d’une proie […] savait le duc d’Enghien tout à l’amour et endormi dans les délices […] qu’il fondit sur lui à l’improviste. »
Pensée autographe signée
ROCHEFORT Henri (Henri de Rochefort-Luçay, dit)Pensée autographe signée. Fin XIXe siècle ; 1/2 page in-4°. En-tête illustré « Grand Hôtel Central ». « En octobre prochain, on verra tomber les feuilles et les portefeuilles. Henri Rochefort ».
Lettre autographe signée
ROCHEFORT Henri (Henri de Rochefort-Luçay, dit)Lettre autographe signée, adressée à un confrère. Sans date ; 1 page in-8°. Superbe témoignage sur son retour de Nouvelle-Calédonie :« J’ai été surpris à mon réveil, par l’aimable et spirituel article que vous avez bien voulu consacrer à mon Voyage d’outremer. Je n’aimerais pas à recommencer ce vilain tour du monde, mais aujourd’hui que j’en suis revenu, je ne suis pas fâché de l’avoir fait, puisqu’il me vaut de votre part ce témoignage de sympathie. »
Lettre autographe signée
ROCHEBRUNE Octave Guillaume deLettre autographe signée. Fontenay, 16 avril 1868 ; 1 page 1/2 in-8° sur papier de deuil. Il le remercie pour les louanges dont il est l’objet. « J’aurai grand plaisir à apposer ma griffe sur votre vue du Louvre. Je verrai avec grand plaisir ma planche signalée aux lecteurs de la Gazette. »
Poème et texte d’une chanson, autographes signés
ROCHE EdmondPoème et texte d’une chanson, autographes signés. 9 novembre 1858 ; 3 pages in-12 et 3 pages in-8°.« Amy Léon, ce m’est soucyDe t’écrire en ce moment cy ;Gehenné par la fiebvre quarte,L’estomach sonnant quinte et quarteAinsy qu’un rebec dégradéFélé, rompu, désaccordé,Mais dont le crus tire des chordes,des notes sourdes dischordes.Mon Esculape hier est venusavoir ce qui m’est advenu,Et m’a dit en langue techniqueQue j’étais poussif, asthmatique ;Il m’a prescrit force julepsTous autres que le jus d’escepsDe Saint Bordeaux, de Saint BourgogneQui nous purpurinent la troyne ! », etc.
Photographie dédicacée
ROCH MadeleinePhotographie dédicacée. 16 x 10,5 cm (format cabinet). Photographie Henri Manuel.« Au charmant docteur Mayeurock, Madeleine Roch. »
Pièce signée
ROBLÈS EmmanuelPièce signée. 18 août 1964 ; 1 page in-4°.Bulletin de privilège signé pour son adaptation de la pièce de Miguel Mihura , L’Âne bleu, dont on trouve aussi, la signature au bas du document.
Ensemble de lettres signées
ROBLÈS EmmanuelTrois lettres signées, adressées à M. Morazzani. 1953-1955 ; 1/2 page in-12, chaque. Autorisations pour les représentations de Montserrat, données à Radio-Limoges, à la Société Les Compagnons du Coteau d’Yvorne , à l’Union Chrétienne et à M. Gueguen de Rouen. L’ensemble.
Photographie signée, dédicacée à René Bernard
ROBINSON Edward G.Photographie signée, dédicacée à René Bernard. 180 x 240 mm. Photographie en noir et blanc le représentant en buste, de face. (Cliché Harcourt - Metro-Godwyn-Mayer.) Très longue dédicace de 6 lignes. « Pour René Bernard avec l’espoir de venir bientôt en Belgique et de revivre les jours heureux qui ont été pour moi un si beau souvenir. Edward G. Robinson ».
Aquarelle et crayon avec dédicace autographe signée
ROBIDA AlbertAquarelle et crayon avec dédicace autographe signée à son dernier fils Jacques. Circa 1918 ; 24,7 x 16,2 cm sur papier collé sur carton, sous verre.« À mon vieux camarade Jacques Robida. A Robida. ». Sur la gauche : « Croissy (vieille église) ».Au verso de l’encadrement, un long texte autographe signé de Michel Robida [1909-1991]qui décrit la scène: « La terrasse de la vieille église à Croissy sur Seine par Albert ROBIDA mon grand-père - (1848-1926).Cette aquarelle qui se situe vers 1918, représente sous les tilleuls, Mme Th(éophile) Poilpot née Carrier Belleuse, maman, Mme Léo ROBIDA née Jeanne Lemonnier, ma soeur Françoise et moi, assis sur le banc de pierre de la terrasse au-dessus de la Seine. cette terrasse a été détruite vers 1920 pour rectifier le cours de la Seine et la propriété qui contenait l’ancienne église de Croissy a été vendue par mes parents, vers 1922. Cette aquarelle donné par mon grand-père à son fils Jacques a été léguée par celui-ci à ses petits neveux Nicolas et Christophe Grave... qui me l’ont donnée à l’occasion de mes soixante dix ans, en 1979. Michel Robida. »
Lettre autographe signée
ROBIDA AlbertLettre autographe signée, adressée à Georges Moreau, directeur de La Revue Universelle. Le Vésinet, 15 avril 1897 ; 1 page in-8°, avec dessin représentant une église. « La vue d’Orléans que je vous ai remise hier est de Choffard d’après Cochin, elle doit se trouver facilement à l’un de ces deux noms aux Estampes. Pour la vue de Creil, l’original sera facile à retrouver aussi. Le château détruit à la Révolution était une merveille, figurée par Viollet le Duc dans son dictionnaire, d’après Ducerceau, il n’en reste que la chapelle d’Evremond, menacée de disparaître prochainement. » Le dessin représente en effet la collégiale de Saint Evremond à Creil.
Lettre autographe signée
ROBIDA AlbertLettre autographe signée, adressée à Georges Moreau, directeur de La Revue Universelle. Le Vésinet, 3 février 1896 ; 1 page in-8°. « Je n’ai pas reçu les épreuves de l’article Rosny. Les dessins sont commencés, mais si vous pouviez m’envoyer ces épreuves je verrais à ne rien oublier. »
Aquarelle originale signée
ROBIDA AlbertAquarelle originale signée en haut à gauche. 31 décembre [1892] ; 88 x 112 mm. Amusante carte de vœux représentant une petite ballerine en rouge coiffée du bonnet phrygien, un grand « 93 » sur son tutu, actionnant la guillotine (dont la lame porte la date 31 Xbre) sur sa victime « 92 ». En haut : « Mille bons souhaits de A. Robida ».