Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
RAIMU (Jules Muraire, dit)Lettre autographe signée, adressée aux frères Isola, directeurs de théâtres parisiens. Paris, sans date ; 1 page in-4°.« Encore merci pour l’exquise matinée de dimanche dernier. Malheureusement je ne pourrais entendre demain La Tosca, mon ami Max Dearly m’ayant promis une place hier à Grenelle et lui ayant promis moi que j’irai l’applaudir. Cela sera pour une autre fois. »
Lettre autographe signée
RAIMU (Jules Muraire, dit)Lettre autographe signée, adressée au président de l’Union des artistes. Sans date ; 1 page in-8°.« Il faut que tu me rendes un service si tu as un vieux complet à toi; mais quand tu étais gros il y a de cela quelque temps prête le moi ou donne le moi pour jouer la prochaine Revue. S’il est vieux vieux il serait épatant pour moi. Un mot à la cigale S.t.p. Bien à toi, Raimu. »
Lettre autographe signée
RAIMU (Jules Muraire, dit)Lettre autographe signée, adressée au président de l’Union des artistes. 7 mai 1936 ; 1 page in-12 sur un pneumatique.« Je suis tellement navré. je tourne à Joinville. Voulez vous dire à Laughton (Charles LAUGHTON [1899-1962], acteur et réalisateur britannique) combien j’admire son geste et son grand talent. Cordialement à vous, Raimu. »
Lettre autographe signée
RAIMU (Jules Muraire, dit)Lettre autographe signée, adressée au président de l’Union des artistes. 8 février ; 1 page in-4°.« Mon cher Président mon vieil et grand ami de tout coeur merci à toi, merci au conseil, merci à tous.Affectueusement à toi, Raimu. »
2 cartes autographes signées
Raffy le PersanEnsemble de 2 cartes autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque. 2 pages in-16 oblongues (140 x 90 mm) chaque.— Saint-Aygulf, le 2 janvier 1961, enveloppe jointe. « Merci pour votre charmant dessin qui orne ma cheminée provençale. Je connais parfaitement votre région où je viens de temps en temps. […] J’y ai passé de merveilleux séjours et ai croqué des vues de votre coin. »— Paris, le 9 février 1963. « Merci de votre mousseux, que je n’ai pas eu le plaisir de déguster. […] Je vous serai reconnaissant de ne pas m’écrire, car je n’ai jamais le temps de répondre à toutes les lettres. J’ai été atteint d’un affreux strabisme de l’œil gauche, qui m’a empêché de peindre durant de longs mois, à présent cela va mieux mais je peins moins et je n’écris que rarement. »
2 cartes autographes signées
RAFFY LE PERSAN (Jean Raffy, dit) [Paris, 1920 - id., 2008], peintre français.Ensemble de 2 cartes autographes signées, adressées au peintre Constant Baruque. 2 pages in-16 oblongues (140 x 90 mm) chaque.— Saint-Aygulf, le 2 janvier 1961, enveloppe jointe. « Merci pour votre charmant dessin qui orne ma cheminée provençale. Je connais parfaitement votre région où je viens de temps en temps. […] J’y ai passé de merveilleux séjours et ai croqué des vues de votre coin. »— Paris, le 9 février 1963. « Merci de votre mousseux, que je n’ai pas eu le plaisir de déguster. […] Je vous serai reconnaissant de ne pas m’écrire, car je n’ai jamais le temps de répondre à toutes les lettres. J’ai été atteint d’un affreux strabisme de l’œil gauche, qui m’a empêché de peindre durant de longs mois, à présent cela va mieux mais je peins moins et je n’écris que rarement. »
Aquarelle signée.
RAFFET AugusteDeux soldats sur un champ de bataille. Aquarelle signée. 16,5 x 14 cm. Datée 23 mars 1845. Élève de Gros et de Charlet, Raffet s'attacha tout particulièrement à glorifier les soldats de la République et de l'Empire. Cette aquarelle est tout à fait représentative de son talent.
Portrait en buste gravé
RAFFET AugustePortrait en buste gravé. XXe siècle ; 120 X 170 mm sur une feuille de 230 X 305 mm. Buste stylisé, gravé à l’eau-forte par Gandon. Belle épreuve.
Lettre autographe signée
RAFFAËLLI Jean-FrançoisLettre autographe signée, adressée à M. William Pengelg. Paris, 2 janvier 1897 ; 2 pages in-12.Extraordinaire lettre sur l’impressionnisme. « Il y a longtemps que je veux répondre à votre aimable demande, mais je vis au milieu d’un ardent travail et ne sais gère m’en distraire. Vous me demandez quel est le Credo Impressionniste. Il faudrait un volume pour vous répondre . Et lorsqu’on ne peut écrire un volume il faut se borner à écrire une phrase et la voici : L’impressionnisme est le retour fervent à l’émotion esthétique, intellectuelle et morale, de la nature et des idées. C’est l’étroite communion des êtres avec tout ce qui les entoure, les émeut et les passionne. C’est l’âme en émoi dans la vie universelle! »
Lettres autographes signées
RAFFAELLIEnsemble de 2 lettres autographes signées et de 2 billets autographes signés :— À M. Moreau. Paris, le 17 juillet 1899 ; 1 page in-12. « Si la combinaison que je vous ai proposée l’autre jour vous convenait, vous seriez bien aimable de me faire envoyer le “Larousse” que je vous ai demandé, dans une reliure rouge. Et je tiendrais à votre disposition son paiement soit par de mes pointes-sèches en couleurs, au prix où je les vends. »— À un ami. Sans date ; 1 page in-12. « Je vous envoie texte et dessins dont le seul prix est : 350 pour la reproduction des dessins et 100 francs pour l’article. Comme il y a plus de six mois que cette grosse affaire est en train, soyez donc assez bon de me faire dire oui ou non dans les quelques jours. Je vais vous envoyer un plâtre. »Les 2 billets autographes signés autorisent la Revue Encyclopédique à reproduire dans sa publication ses tableaux Les Vieux Convalescents et La place Saint-Sulpice.
Manuscrit pris en phototypie par Jean Cocteau
RADIGUET RaymondManuscrit pris en phototypie par Jean Cocteau. 1925 ; 22 X 17 cm.À la dernière page de cet opuscule, est reproduit le texte de Jean Cocteau : « La phototypie de ce manuscrit a été faite par Daniel Jaconet pour Edouard Champion. Achevé de tirer le 4 mars 1925 à cent trente exemplaires dont dix sur japon de A à J tous chiffrés à la main par Jean Cocteau. » Suit le chiffre G et la signature originale de Jean Cocteau.Cocteau publia deux manuscrits quasi illisibles du jeune écrivain, écrits en septembre 1923 à Piquey (bassin d’Arcachon), qu’il a fait éditer en phototypie et sans titres par Champion en mars 1925 (repris dans les Œuvres complètes de Radiguet sous les titres Ébauche d’une nouvelle et Île de France, île d’amour) : « Quelquefois le ciel se cache pour nous prendre entre ses mains. Raymond Radiguet était un gant du ciel. Je savais qu’il mourrait vite, qu’il montait, qu’il avait rendez-vous. »
Livre aux armes
Louis-Philippe« À travers la Bretagne ». Souvenirs et Paysages. Chez Lévy Frères, Paris, 1865 ; 1 volume in-12. Deuxième année d’édition. Belle reliure en maroquin rouge, dos orné à nerfs, plats aux armes de Louis-Philippe Ier avec la charte de 1830 au centre. Dentelles intérieures, toutes tranches dorées. Reliure de E. Pouget. Très bel exemplaire.
Livre aux armes
Louis-Philippe« À travers la Bretagne ». Souvenirs et Paysages. Chez Lévy Frères, Paris, 1865 ; 1 volume in-12. Deuxième année dédition. Belle reliure en maroquin rouge, dos orné à nerfs, plats aux armes de Louis-Philippe Ier avec la charte de 1830 au centre. Dentelles intérieures, toutes tranches dorées. Reliure de E. Pouget. Très bel exemplaire.
Photographie dédicacée
RACHMANOWA AljaPhotographie dédicacée. « Weihnachten 1937 » ; 15 x 10,5 cm.« Alles Liebe und Gute wünscht Ihnen vom Herzen. Ihre Alja Rachamanowa. »
Lettre autographe signée
RACHILDELettre autographe signée, adressée à Charles-Henry Hirsch. 10 décembre 1909 ; 2 pages in-8°. Magnifique lettre dans laquelle elle revendique une fois de plus son statut “d’homme de lettres” : « Je ne sais rien, ni ne veux rien savoir, Hirsch, mais, loin des intrigues et des drames du boulevard, vous savez qu’il y a deux hommes, moi et mon mari, qui peuvent toujours vous attendre en la maison où vous êtes né littérairement pour vous dire : “Allons, notre gosse, du courage !.. Nous ne connaissons guère les honneurs mondains mais nous partageons les peines… toutes les peines des enfants qui nous sont venus… dans la petite classe du Mercure ! Hirsch, les ruisseaux de larmes comme les fleurs de sang, tout passe devant le laurier que rien de déracine, à ce que l’on prétend, pas plus les orages furieux que les inondations sournoises. Il faut presser à votre gloire et la mettre encore plus haut, voilà tout. »Dans le Paris de la fin du siècle, elle tient salon où se croisent Maurice Barrès, Jean Lorrain, Pierre Louÿs, André Gide ou Huysmans. Elle porte le cheveu court et une autorisation spéciale de la Préfecture qui lui permet officiellement de s’afficher en pantalon. Elle se dit “homme de lettres” et laissera à la postérité plus de soixante titres. Elle s’appelle Marguerite Eymery avant d’épouser Alfred Vallette, fondateur du Mercure de France, mais pour le monde des lettres, ce sera Rachilde, et sans elle, Jarry ne serait peut-être pas Jarry.