Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Imprimé. 1812
QUATRIÈME BULLETIN DE LA GRANDE ARMÉE.Imprimé. 1812 ; 3 pages 1/4 in-4° (26 x 21 cm), petit manque de papier sur le bord gauche répercuté sur les 4 pages. En-tête imprimé avec aigle impérial et en dessous : « QUATRIÈME BULLETIN DE LA GRANDE ARMÉE. » (Extrait du Moniteur du 14 juillet. Nouvelles de la Grande Armée en route pour Moscou. Nouvelles de Wilna, de l’Empereur, des rencontres avce les Russes, des prisonniers, etc.
Lettre autographe signée
PUY JeanLettre autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Roanne, 16 janvier 1946 ; 1 page in-8°, trous d’archivage en marge du texte.« Veuillez agréer tous mes remerciements pour la carte d’entrée que vous m’avez envoyée et dont je serai très heureux de profiter ce printemps quand je rentrerai à Paris. Je vous remercie en même temps de m’avoir accueilli parmi les exposants de votre galerie ».
Lettre autographe signée
PUY JeanLettre autographe signée, adressée au critique dart Georges Boudaille. Roanne, 12 juillet 1954 ; 1 page in-4° traces de crayon rouge pour sélectionner les passages à la publication. « Très flatté que vous ayez songé à moi pour vous raconter les mémoires et fantaisies de première et assez ancienne exposition.Malheureusement je nai aucun souvenir de cette exposition, ni de sa situation dans le temps, aucune émotion ne mest demeurée dans la boite de ma conscience, très par le séjour ou je me suis risqué bien malgré moi dans les hautes latitudes de lâge. Il ne men reste ni document, ni photo. Peut-être la vitalité de la première reprise des Indépendants, au Cours de la Reine en 1901, ou tout alors était neuf pour moi, et pour tous. On était neufs et vaillants, on avait confiance en ces recherches nouvelles, et les formules non vieillies. Tout un groupe de camarades amis, Marquet, Matisse, Bonnard et Vuillard, Camoin, Manguin Madame Marval et Flandrin, etc. et la découverte du jour, en la personne du curieux Douanier Rousseau. Létoile de Cézanne allait briller en flèche sur le firmament mais était encore bien peu connue en 1901. Moi-même je lignorais totalement, à part uen nature morte entrevue à lexposition de 1900 et qui était bien loin de mavoir ravi ».
Lettre autographe signée
PUVIS DE CHAVANNES PierreLettre autographe signée, adressée à un ami. Sans date ; 1 page 1/2 in-12, à la mine de plomb. « Pourrez-vous venir me prendre demain matin place Pigalle à 9 h, j’irai au pavillon de la ville de Paris et vous chez Beraud — c’est tout près — nous pourrons ainsi causer de l’affaire. Plus j’y pense et plus je crois que ce serait absurde de s’abstenir. »
Lettre autographe signée
PUVIS DE CHAVANNES PierreLettre autographe signée, adressée à une femme. 28 aout 1891 ; 4 pages in-8°. « Qui peut bien vous venir troubler ainsi par un affreux racontar — piétinez-moi donc […] votre carton est très bien, il n’y a que l’orateur qui soit un peu de travers, mais ce n’est rien quant à son costume, si vous représentez un personnage âgé il il est très convenable (je parle sérieusement) qu’il ait un manteau […]. Ne craignez pas de faire empiéter un peu sur vos contours, le dessin se verra en dessous, vous le retrouverez facilement. […]. Les fleurs feront merveille. Ce sera le côté réjouissant de ce austère. J’aimerais bien mieux vous dire tout cela que de vous l’écrire, mais je suis de plus en plus prisonnier […] Je suis allé hier à Rouen placer mes deux dernières toiles. »
Pièce autographe signée
PUIFORCAT Louis VictorPièce autographe signée. 6 juillet 1942 ; 180 X 240 mm. Au dos d’une photographie représentant l’intérieur d’une chapelle décorée par son fils, Jean, il écrit à Michel de Saint-Pierre : « En l’absence de Jean Puiforcat, je suis heureux d’offrir “au poète des artisans” cette photographie; je garde un excellent souvenir de nos deux entretiens. » Photographie du studio Jean Collas.
Lettre autographe signée
PUIFORCAT Jean ÉmileLettre autographe signée. [1922] ; 7 pages in-8°. « Je n’ai pas assisté au match Criqui-Wyns : je ne peux donc t’en dire davantage que les journaux. Mais notre voyage à Strasbourg vaut la peine de quelques mots. La Turcat n’a pas trop mal marché mais son pauvre débrayage se cassa trois fois pour le grand malheur des ripipipoulets mais qui chanceux à l’excès s’en tirèrent avec le sourire. À Strasbourg nous avions loué depuis deux mois des chambres en ville : nous étions donc 3 ménages dans le même appartement. Appartement à l’unique cuvette pour 6, ce qui donnait lieu à des plans extraordinaires. […] Te dire les fous rires piqués dans cet hospitalier appartement est impossible. Sache seulement que toute la maison (11 familles) s’est plainte. Strasbourg en fête valait le coup d’œil, couverte de drapeaux et de fleurs, mais que de monde ! Au reste succès formidable pour Bugatti qui avait monté ses voitures la nuit même et s’était aligné sans essai. Trois voitures sur quatre arrivées. La 4e Bugatti qui emportait tous les espoirs de la maison puisque marchant plus vite que Fiat […] cassa sa magneto et dut abandonner. Pour Fiat, moins gros succès à mon avis. […] Le lendemain, le tourisme nous a paru de la gnognote ! Mais la Voisin était belle d’allure et la nouvelle Peugeot épatante. »
Lettre autographe signée
PUIFORCAT Jean ÉmileLettre autographe signée, adressée au photographe Jacques-Henri Lartigue. Île de Batz, 26 août [1921] ; 2 pages in-4° sur papier bleu, enveloppe timbrée jointe. « Bravo ! Pour un coup d’essai, c’est un coup de maître et je fais tous mes compliments à la jeune mère de l’heureux Daniel. C’est très gentil de nous avoir annoncé cette arrivée tant attendue, aussi rapidement et nous en avons été extrêmement touchés. Je vois d’ici l’adorable gosse et suis impatient de lui serrer la pince. […] Nous faisons les meilleurs vœux pour la maman et le petit salé sans trop oublier le père... car tout de même. »
Lettre autographe signée
PUIFORCAT Jean ÉmileLettre autographe signée, adressée à Jacques Lartigue. Paris, 26 août 1924 ; 2 pages in-4° sur papier à son en-tête « Puiforcat Orfèvre ». Sur une brosse à habit en ivoire qui lui avait été déposée pour réparation. « Je tombe ici sur ta brosse à dents dont on ne m’avait pas parlé depuis le temps.[…] J’ai un travail fou. […] Quel boulot ! et pas toujours si rigolo. » Il revient de vacances de l’île de Batz.
Lettre autgraphe signée
PUGNO Stéphane RaoulLettre autographe signée adressée à un directeur de théâtre.[23 avril 1852] ; 1 page in-8°. Il recommande un jeune artiste italien « qui a eu l’honneur il y a quelque temps de vous offrir ses services » et qui désire obtenir un billet de faveur pour la représentation de ce soir. Dans la marge supérieure, d’une autre main, indication d’une place accordée le 23 Avril.
Pièce autographe signée
PUGNO Stéphane RaoulPièce autographe signée, adressée à M. Blau. 1 page in-8° oblongue, sur télégramme (formule de dépôt). « Je reçois à l'instant un strapontin de Lalo. Je vous remercie mille fois de votre obligeance, et ne voulant vous priver d'une place, je vous renvoie immédiatement celle que vous avez bien voulu m'envoyer. »
Pièce musicale autographe signée
PUGNOPièce musicale autographe signée, adressée à Mlle Jeanne Le Bon. 1898 ; 1 page in-8° oblongue (160 x 100 mm). Extrait musical de sa Sonate en ré mineur avec envoi autographe signé au-dessus d’une portée musicale : « À Mademoiselle Jeanne Le Bon, avec mes compliments, Raoul Pugno. Bruxelles 10 décembre 1898 ».On joint sa photographie sur papier albuminé (100 x 135 mm). Très belle pièce.
Pièce musicale autographe signée
PUGET PaulPièce musicale autographe signée, adressée à Mlle Jeanne Le Bon. Paris, novembre 1898 ; 1 page in-8° (135 x 182 mm). Portée musicale de l’air extrait de « Litanies de la Beauté IV ». Très belle pièce.
Ensemble de lettres autographes signées
PUGET Claude-AndréEnsemble de 2 lettres autographes signées et une carte de visite, adressées à « Guillaume ». Sans date ; 1 page in-4° et 1/2 page in-4°. « Un mot seulement pour te répéter que je t’aime bien, que j’aimerai avoir de tes nouvelles. Pour te dire aussi que depuis des mois, l’on diffuse par T.S.F. dans les postes italiens […] La ligne de cœur, et que nous n’avons pas touché un rond de droits. »
Ensemble de 8 lettres autographes signées
PROZOR MauriceEnsemble de 8 lettres autographes signées, adressées à M. Royer. De 1894 à 1909 ; formats in-8° principalement :— Pétersbourg, le 21 janvier 1894. « Monsieur Lugné-Poë, directeur de l’Oeuvre, nous a demandé M. Henrik Ibsen et à moi, l’autorisation de jouer en tournées (hors de Paris) Maison de Poupée. Après m’être concerté à ce sujet avec l’auteur, je lui ai notifié notre consentement. […] Les tournées rapportant un bénéfice, il est juste que nous en ayons note part, mais j’ignore ce que cette part est d’habitude et vous serais très reconnaissant de la fixer conformément à l’usage. […] Deux points spéciaux à vous signaler : 1°/ Les tournées ne devront avoir lieu qu’après la représentation de Maison de Poupée au Vaudeville, 2°/ Le rôle de Noa devra être joué soir par Mme Hartman, soit, à son défaut, par telle bonne actrice sur le choix de laquelle nous tomberions d’accord ».— Pétersbourg, le 27 décembre 1896. « J’envoie à Ibsen un projet de défense relativement à la représentation de la comédie de l’Amour à la maison d’art de Bruxelles. […] Il n’y a aucun danger que vous vous heurtiez à une autorisation d’Ibsen, puisque c’est lui qui, le premier m’a signalé verbalement cet été la traduction de Melle de Zeffelin et de Colleville et m’a engagé à prendre contre elle des mesures judiciaires ».— Genève, le 13 mai 1898. « J’ai l’honneur de vous informer que je fais abandon à l’Oeuvre de mes droits d’auteur pour la représentation à ces théâtres de Balcons […]. Il y a 4 ans, j’ai présenté au Vaudeville une pièce intitulée Les Loups. Ayant appris que le même titre avait été donné par M. S Just au drame que l’Oeuvre va réferer […] je réserverai mes droits de priorité dans une lettre à M. Lugné Poë, qui après s’être entretenu avec l’auteur, m’annonça que ce dernier avait changé le tire de sa pièce, ce dont je le remerciais. »— Genève, le 6 mars 1899. « Je viens vous prier de vouloir bien faire, en général, pour toute cette saison, la remise à l’Oeuvre, en mon nom et au nom de l’auteur de nos droits pour toutes les pièces e M. Ibsen dont je suis le traducteur et surseoir, en ce qui concerne les autres, à la perception des droits de ce dernier. »— Genève, le 27 novembre 1899. M. Shumann lui a demandé « l’autorisation de faire jouer Maison de Poupée à Paris, en allemand, avec Mme Somma dans le rôle de Nora. […] Je viens de lui télégraphier ce qui suit : “ Autorise représentations Somma aux conditions ordinaires”. Ces derniers mots signifient soit que les droits d’auteur de M. Ibsen doivent être évalués d’après la règle en vigueur à Paris, doit qu’ils doivent être les mêmes que ceux, qu’il touche pour les représentations de Maison de Poupée avec Mme Somma en Allemagne. »— Genève, 1er mars 1900. On lui a demandé télégraphiquement « le privilège de la nouvelle pièce d’Ibsen, Quand nous nous réveillerons d’entre les morts […]. Depuis lors, la direction du Gymnase a, à diverses reprises fait passer des notes empêchant son franc parler d’un autre côté. »Paris, le 30 octobre 1906. Au sujet de la représentation de la Dame de la Mer à Genève : « Comme je vous l’ai dit, cette représentation m’a mis personnellement dans la situation la plus délicate, puisque d’une part, j’avais donné la pièce à Mme Réjane, à qui j’ai cru devoir présenter mes excuses en lui expliquant la Dame de la Mer avait été jouée à mon insu et à celui des héritiers d’Ibsen, a bien voulu me dire qu’elle ne soulèverait pas d’obstacle de son côté. »— Genève, le 12 juin 1909. « Comme vous le savez, j’avais demandé à M. Porel, s’il comptait reprendre Maison de Poupée dans le courant de la la saison actuelle, avec Mme Réjane dans le rôle de Nova […]. M. Porel m’ayant répondu négativement, je lui ai confirmé ma première lettre, en ajoutant, que quelques usages que je fisse de mon droit, Mme Réjane conserverait pour jouer la faculté de rejouer le rôle si magistralement créé par elle en France.»