Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
PITOËFF GeorgesLettre signée, [adressée à M. Bloch, agent de la Société des Auteurs et Compositeurs]. 8 mai 1939 ; 1 page in-4°, sur papier à en-tête de la Compagnie Pitoëff.« Je voudrai savoir si j’ai ou si je n’ai pas le droit de jouer “Le Canard Sauvage” en même temps que l’Odéon. Je suis en possession d’une autorisation écrite de Monsieur Georges Sautreau me donnant ce droit sans exclusivité. D’un autre côté Monsieur Lugne Poe a téléphoné à mon secrétaire, M. Maurice Goldschild pour lui dire qu’il se désintéressait de cette question. Avant d’annoncer mon cycle Ibsen, je voudrai savoir dans quelles conditions “Le Canard Sauvage” est reçu à l’Odéon. »
Pistolet à silex, transformé à percussion.
Pistolet à silex, transformé à percussionPistolet à silex, transformé à percussion. Canon octogonal damassé, rayé intérieurement. platine gravée de feuillages. Fût uni. Crosse incrustée de filigrane. Réserve dans la crosse, garniture de fer gravée. XIXe siècle. Bel objet.
Lettre autographe signée
PISSARRO CamilleLettre autographe signée, adressée à Madame veuve Duter à Paris. Éragny-sur-Epte dans l’Eure, 27 novembre 1897, d’après les cachets postaux ; 1 page in-8°, enveloppe jointe. Poignante lettre évoquant ses débuts à Paris et la mort de son fils Félix.« J’ai beau faire des efforts pour me souvenir de la famille Loudet je n’y arrive pas. Ma famille n'a jamais habité rue St-Quentin près le chemin de fer du Nord. À cette époque 1857 et 59, nous étions au 31 rue Notre-Dame-de-Lorette, j’ai eu un atelier peu de temps, rue Lamartine. Je ne suis venu en France qu’en 1856 au mois de novembre, mais j’avais un frère Alfred qui se trouvait à Paris de 1855 à 1859. Peut-être est-ce lui que vous avez connu, mais il est mort il y a quelques années. En ce moment, nous avons des chagrins de famille, nous venons de perdre un fils [Félix Pissarro], et me trouve, comme vous devez le penser, bien désorienté ; je ferai le possible pour aller à Paris dans les premiers jours de décembre et je verrai à éclaircir cette affaire. Il m’est impossible de m’absenter pour l’instant, j’espère pouvoir le faire en décembre.»
Lettre autographe signée
PISSARRO CamilleLettre autographe signée « C. Pissarro », adressée au peintre William Thornley. Paris « 204 rue de Rivoli » 21 janvier 1900, ; 1 page ¾ in-8°.Sur la préparation de l’Album de 25 lithographies d’après Camille Pissarro.[Cet album de lithographies de William Thornley [1857-1935] d’après Pissarro, avec une préface de Gustave Geffroy, a été édité par Charles Hessèle dans un tirage limité à 108 exemplaires.] « Je reçois votre lettre ce matin, vous ne me dites pas avoir reçu l’échantillon de couverture que je vous ai envoyé en même temps que les tableaux. Ce ne serait pas une grande perte mais je voudrais en être avisé afin d’aviser autre chose, car il est temps, je crois de penser à votre couverture. En tout cas être fixé sur ce que vous aurez décidé. Jusqu’à présent je n'ai aucune nouvelle de G. Geffroy qui m’avait bien promis de venir me voir, j’attends qu'il fasse un peu moins mauvais temps je me déciderai à aller le voir sur les quais, c’est tout près d'ici, je sais qu’il est fort occupé en ce moment, mais moi aussi, je ne puis facilement manquer une séance, on ne retrouve pas aisément un effet attendu avec impatience. On fera pour le mieux […] amicalement votre, C. Pissarro. »Correspondance, n° 1691, t. V, p. 70.
Lettre autographe signée
PISSARRO CamilleLettre autographe signée, adressée à sa femme Julie. Rouen, Hôtel d’Angleterre, 25 octobre 1896 ; 3 pages 1/2 in-8°.« Ma chère Lucie, Voici une lettre de Lucien tu y verras combien il est difficile de faire entendre raison à ce pauvre Georges qui voit tout en mal, ne se figure-t-il pas que Lucien mets des bâtons dans les roues pour les empêcher de faire à leur guise.... On se casse la tête pour leur chercher un endroit possible, ils croyaient que c’est pour les ficher dedans, non, ils n’ont pas changé. Tu as raison Menton est en France, mais les gars choisiront l’endroit qui leur sera le plus commode, je ne demande pas mieux, seulement le Maroc ne me va guère. C’est trop loin et en cas de besoin, nous ne pouvons faire ce voyage et puis je sais que c’est un endroit difficile à cause de sa sauvagerie, pays bon pour y passer et revenir mais y rester non, ce serait absurde. J’écrirai à Dario de nouveau. J’espère avoir fini avec les 1ers jours de nov. le plus tôt possible car mes fonds baissent. Malheureusement je suis enrhumé en ce moment et ne puis travailler, j’espère que cela passera vite, je prends ce qu’il faut. Je comptais aller voir Depeaux aujourd’hui ... mais un sale vent me retient dans la chambre. Lucien m’a envoyé une lettre du Dr Georges où il dit que en effet c’est le mur sol de la 3e trituration qu’il a dû donner au début du mal de gorge qui lui a fait venir des aphtes, mais que cela allait mieux, qu’il avait conseillé à Georges d’aller à Epping qui est plus sec que Kero. Qu’il pensait qu’il n’était pas nécessaire de quitter l’Angleterre qu’à Bornemouth (en anglais, Bournemouth) ou l’ile de White ce serait très bien. Ce n’est en somme qu’une opinion, ces gens ont cru que l’on voulait les empêcher d’aller en Espagne. Cela m’est égal l’Espagne si cela convient. En somme le vrai mal est enrayé et tu as dû voir par la lettre de L. Simon qu’il n’en paressait pas inquiet.Je n’ai pas assez d’argent pour payer 80 f à L. Simon ce sera pour mon retour. Tu as dû recevoir 500 f de Durand [Ruel]Le Dr de Londres dit que dans une quinzaine les gars pourront partir, car tu sais qu’il ne faut pas prendre froid quand on est sous l’influence de Mere. Sol ou Bella. Voici la lettre de Lucien.Je vous embrasse touston mari aff. [ectionné]C. Pissarro.Peux tu m’envoyer mon schall ou couverture pour partir, il commence à faire froid. »Cette lettre, très importante, possède plusieurs associations artistiques importantes: elle est écrite de Rouen, ville préférée et sujet des impressionnistes; il discute longuement de ses deux fils artistes eux aussi, Lucien et Georges; il évoque François DEPEAUX [Bois-Guillaume, 1853 - Mesnil-Esnard, 1920], industriel, collectionneur d’art et mécène français. Il fut un collectionneur réputé des impressionnistes et postimpressionnistes ; et il fait référence au célèbre marchand d’art Paul DURAND-RUEL, qui a popularisé l’impressionnisme à l’échelle internationale.
Lettre autographe signée
PISSARRO CamilleLettre autographe, signée « C.P », [adressée à son fil, Lucien Pissarro]. « Paris. Dimanche » [25 octobre 1891] ; 4 pages in-8° dont 2 oblongues, avec 2 petits dessins. Étonnante lettre de Camille Pissarro qui se transforme en médecin :« Je viens de voir de Bellio, je tai télégraphié chamois teinture mère 2 gouttes dans 8 cuillères deau toutes les deux heures si cest nécessaire pour le ballonnement du ventre, si il y a fortes douleurs Bell. Teinture mère. de Bellio ma répété que cest dommage de ne pas connaître létat des selles, digérées ou pas en bouillie jaune, fétide, etc... Si il y a des vents cest probable, etc... Le mieux cest de voir à Londres un médecin Homeo. Je tenvois 100 f pour cela, ce nest rien mais il faut suivre prudemment un régime ainsi il naurait pas fallu manger si vite, quand on a été secoué il faut y aller doucement, le poisson bouilli est moins digestif que frit. Bellio conseille pendant quelques jours du thé de Boeuf qui est très usité en Angleterre. Voilà comment cela se prépare. 1 livre de Boeuf absolument dégraissé et débarrassé de tout ce qui nest pas de la vraie chair. Couper en petit morceau faire bouillir même poid deau jetter la viande dans leau en ébullition, passer dans un linge et tordre ce qui reste comme on le fait pour les groseilles quand on en fait de la confiture. Georges pourra prendre cela pendant la maladie et il pourra y ajouter à un moment donné un jaune doeuf bien frais, cest inutile si loeuf nest pas frais. Il ne faut pas laisser de viande dans le bouillon au thé. Il me semble que Alice pourrait te rendre le service de confectionner ce thé car il faut que ce soit fait ainsi à la lettre, on sale un peu, on y ajoute un tout petit rond de carotte et un tout petit bout de poireaux dans leau bouillante après avoir jeté le boeuf dans leau. Quand il sera un petit peu mieux, cest-à- dire quil naura plus de douleurs ni de diarrhée il commencera tout en buvant du thé de viande, sucer la chaire dune côtelette, manger ensuite un oeuf frais à peine cuit. En ce moment il peut manger un jaune doeuf battu dans du sucre, loeuf cru bien entendu, une petite cuillèrée de temps en temps cest excellent, loeuf frais. Écris-moi tous les jours létat de Georges, et vois si cest nécessaire un médecin il doit y en avoir dans ton quartier. Jécris à ta mère, elle va encore être inquiète, je ne sais si ce nest pas mieux de ne lui rien dire, cependant il faut que je reste ici pour veiller à ce qui est nécessaire. Je comptais partir je reste encore, je técrirai quand je men irais. Jai vu hier Geffroy .... il ma dit quil navait pas encore reçu dordre de M. Gallimard .... Madame Gallimard a été fort malade et il parait que le père a été terrible de sorte que M. Gallimard na pas pu socuper de ton affaire. Jattends une occasion pour en parler à M. Gallimard, Geffroy va du reste lui en parler, dans 2 ou 3 jours il faut que je donne à ce dernier un rendez-vous .... Je ne sais que faire. Ta mère mappelle à cors et à à cris là bas elle est terriblement mécontente que je reste car elle a promis aux Estruc de venir passer une quinzaine, mais je ne demanderai pas mieux que de men aller, jai aussi à faire, cependant, il est absolument nécessaire que je ne laisse pas rater ton affaire et puis nest-ce pas nécessaire pour Georges... Enfin voilà tout, fais ce que tu dois adviendra ce que pourra!... Remercie je prie Madame de Beauvière que je nai pas lhonneur de connaître, qui par les éloges que tu men a fait, dis-lui combien je suis touché des soins quelle vous prodigue et que je regrette de ne pas pouvoir faire sa connaissance. Alice ne pourrait-elle pas taider pour les provisions ? Pour le thé de viande ...... tu sais quil ne faut pas laisser le bouillon au chaud et même ce serait mieux den faire tous les jours. Écris-moi, ce ne sera cependant rien cest une imprudence.... Compliments à Esther, Alice. Ton père aff. [affectionné] C.P.N.B. : avec le gonflement du ventre, il devait y avoir des vents.[ ] As tu le livre de Léon Simon ?»
Photographie dédicacée
PIRON Léa, danseuse à l’Opéra de Paris et actrice du cinéma muetPhotographie dédicacée à la cantatrice Andrée Vally. Décembre 1915 ; 24,5 x 16 cm.« À Madame Vally, en très grande sympathie. Léa Piron. Décembre 1915. »
Billet signé
PILLE HenriBillet signé, avec 3 lignes autographes. Paris, le 1er juin 1893 ; 1 page in-16 oblongue. Il autorise la Revue Encyclopédique à photographier l’œuvre exposée aux Champs-Élysées, sous le titre : « Le 9 juin 1601, les Bâlois fêtent leur premier centenaire anniversaire de la réunion de leur ville à la confédération helvétique n° 1423. »
Manuscrit dépoque écrit dune autre main.
PIIS Antoine-Pierre-Augustin, chevalier deManuscrit d'époque écrit d'une autre main. « La mort de la Sainte Ampoule par le citoyen Piis ». 1 page in-folio. Extrait du « Recueil de chants philosophiques, civiques et moraux ». Paris, an VII.
Lettre autographe signée
PIIS Antoine-Pierre-Augustin, chevalier deLettre autographe signée. 24 mars 1808 ; 1 page in-folio. En-tête « Préfecture de Police ». >« Monsieur, vous me permîtes lan passé de vous rappeler une personne à laquelle je prends le plus vif intérêt. » Piis propose que cette personne soit nommée à linspection ou au contrôle des travaux publics. On joint 1 billet signé de Marescalchi, ministre des Relations extérieures de la République cisalpine, « Jattends de Milan un rapport exact à ajouter aux papiers que vous me dites avoir reçus du ministre de la Guerre » ; 1 mot de M. Chabrol .
Pièce signée
PIIS Antoine-Pierre-Augustin, chevallier dePièce de vers autographe signée « Par le chevalier de Piis ». 1 page in-4°. Épigramme royaliste.« Quoique inventeur du Vaudeville,Je compte à sa caisse pour rien !Je ne suis rien en cour, en ville Pas même AcadémicienSire, celui dont la MusetteVous plût à Versaille, à Brunoi, Votre Secrétaire-interprèteNe sera tôt que fou du Roi ?Supposons que mon luth encorePuisse avoir Momus comme Patron,Et que jimite RoquelaureTriboulet, Debièvre et Scarron ;il nen faut pas moins que je craigneDe me borner à cet emploi,Puisque nous sommes dans un RègneOù tout le monde est fou du Roi. »
Photographie dédicacée
PIGNON ÉdouardPhotographie signée, adressée au peintre Constant Baruque. 1985 ; 17,8 x 13 cm. Dédicace sous la photographie : « Pour Constant Baruque très cordialement, Pignon 85 ».
Lettre illustrée de dessins dont un signé.
PIGNON ÉdouardLettre illustrée de dessins dont un signé.Très belle lettre de son épouse, Hélène Parmelin, illustrée de dessins dÉdouard Pignon, dont un signé, adressée à lun de leurs amis [Gildo Caputo de la galerie René Drouin (place Vendôme)]. Sanary, 10 octobre ; 4 pages in-4°.« Cher Gildo, nous sommes des affreux. Mais tu connais les difficultés de lécriture dans la douceur (de la pluie) du midi et sous le ciel (noir) de la Provence. En réalité nous ne te savions pas à Venise, et nous pensions te voir à notre passage à Paris. Jespère que tu es sage et que tu attends les nuits vénitiennes de lannée prochaine pour savoir si Casanova a dit vrai. Édouard est en train de lire le deuxième volume, et ose me le raconter : ce qui le rend infiniment plus inacontable... Et tout cas donc, sois sage, dis-nous si et quand tu te feras opérer pour que les petits coqs accompagnent ta convalescence. Nous avons passé à Paris chez ... une charmante soirée, où mes pieds nont pas voulu danser le charleston... Paris était beau, nous étions les cousins de province, nous avions mal aux pieds, nous avons vu des westerns et Les Séquestrés (que jaime); nous avons fait la famille Fenouillard au Louvre avec tous les enfants; nous avons vu le kinopanorama et mangé des oursins aux Halles à trois heures du matin avec des ambassadeurs (ça fait très Musset) et des bouchers (ça fait très Peyrefitte); nous avons enroulé autour de nos fourchettes, et toute la Biennale de Paris, dont Édouard était membre (mais ce nétait pas suffisant), du jury; nous avons (mais cest Édouard mais la peintresse dit nous voulons) entendu Malraux, parler dart et de liberté sur le Parthénon du Musée dArt Moderne, dont la Minerve était Cogniat. Nous avons vu Marilyn (ou peut-être est-ce le contraire quant à ly...) avec délices, le faubourg Saint Honoré avec ivresse, les liaisons dangereuses sans danger et [ ] trente six mille magots en un seul soir aux Deux Magots. On était ravis, morts, et le Moulin a du bon (à condition que le reste existe). On mène une vie dermites. Picasso de temps en temps, mais on manque de se casser la gueule dans lEstérel parce quil pleut à torrents. Mon livre sort vers le 25. Édouard, comme à lordinaire : des coqs, des plages, des maisons des toiles vertes et des pas mûres, des aquarelles, des dessins, des colères, des western au cinéma de Sanary, et une énorme gloire locale dans les journaux [ ]. On saime bien, on est meuniers, on monte des toiles et tout va bien ».
3 documents autographes signés
PIEYRE DE MANDIARGUES André [Ensemble de 3 documents autographes signés : 1 lettre autographe signée, adressée à Georges Henein. 26 août 1957 ; 2 pages in-4°. Il lui propose la lecture de plusieurs livres : « Antyanax et les Monstres de Bonarzo, qui seront en librairie en septembre. [ ] Il faudrait aussi que vous lisiez l'Art magique de Breton (un petit peu décevant) et le second livre de Michaux. [ ] Également les Préparatifs d'une noce à la campagne, de Kafka, qui contient les plus merveilleux cahiers d'inédits que l'on n'avait pas encore traduits. » 1 lettre autographe signée, adressée à Georges Henein. Paris, le 26 novembre 1957 ; 1 page in-folio. « Le petit livre d'Octavio Pay que vous avez reçu ne lui fait pas suffisamment justice ; sauf dans certaines proses (une version était due à Péret) ; je souffre de la traduction terriblement rudimentaire et bâclée de Lambert. » 1 manuscrit autographe signé, intitulé « L'Innomé ». Sans date ; 1 page in-4°. « Ce lien qui est entre elle et moi, quel est-il, ou bien, si ce n'est qu'un lien précisément qu'il s'agit, qu'est-ce, et quel mot de langage d'homme plus justement accuserait cela ? les yeux ? Sans doute, il y a le regard de ces très grands yeux [ ]. Il y a la chevelure, massivement brune avec un ton de bois beau et bon [ ]. Vingt ans presque ont passé depuis que s'est ourdi ce lien, qui tient le ciel ouvert au-dessus de moi, sans l'empêcher parfois de s'assombrir avant un radieux renouveau. Ce lien élémentaire, je ne le nommerai pas. »
Lettre autographe signée
PIERRET AugusteLettre autographe signée. Guéret, 8 octobre 1906 ; 3 pages 1/2 in-12. Il demande à être inscrit parmi les abonnés du Guide musical et demande s’il est possible d’insérer une annonce « de la tournée de concerts avec orchestre et récitals, que j’entreprends fin octobre et novembre en Allemagne, Autriche-Hongrie […] sous la direction de l’imprésario Schurmann. Je vous serai reconnaissant de bien vouloir faire ressortir la place importante qui occupera l’école moderne française dans nos programmes par les noms de Franck, Gabriel Fauré, Debussy, Chabrier, Albenitz et Ravel ».