Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
LOUŸS Pierre (Pierre Louis, dit)Lettre signée [adressée à la Société des Auteurs et Compositeurs]. 29 novembre 1911 ; 1 page in-8°. « Je suis toujours souffrant, je ne puis rien lire, et vous me voyez encore forcé de dicter cette lettre comme les précédentes ; mais je ne veux pas attendre mon rétablissement pour vous renvoyer le traité signé. Vous le recevrez par le prochain courrier, avec tous mes regrets de ne pas vous l’avoir retourné plus tôt. »
Photographie
GLUCK Christoph Willibald Ritter vonReproduction photographique d’un portrait peint. Format cabinet (17 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmannà Munich.
Photographie
HAYDN Franz JosephReprésentation photographique d’un portrait peint. Format cabinet (17 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Lettre autographe signée
RATISBONNE Marie-ThéodoreLettre autographe signée. « Jeudi 17 décembre » ; 1/2 page in-8°. « Pour que Madame Pisani n’oublie point la petite chapelle de N-D. de Sion, j’ai l’honneur de l’inviter, ainsi que sa fille, à assister à la cérémonie de l’érection du chemin de la Croix qui se fera demain vendredi à 2 heures. »On joint une lettre autographe signée d’Alphonse Ratisbonne, son frère, adressée à un frère supérieur, l’informant de son déplacement à Lyon et annonçant son arrivée aux Chartreux. Peu communs.
Photographie
SCHUBERT FranzReproduction photographique d’un portrait peint. Format cabinet (17 x 11,4 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Photographie
SCHUMANN RobertReproduction photographique d’un portrait peint par E. Bendemann en 1859. Format cabinet (17 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
Photographie
WEBER Carl Maria (Friedrich Ernst) vonReproduction photographique d’un portrait peint. Format cabinet (17 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann à Munich.
(Aquarelle attribuée à)
CHARLET Nicolas-ToussaintAquarelle représentant une vieille femme, attribuée à Charlet.XIXe siècle ; 22 x 29,5 cm.Non signée.
Photographie signée
NÉEL LouisBelle photographie, dédicacée au dos à Jacqueline Bonfils. 21 janvier 1992 ; 150 X 110 mm. Photographie en noir et blanc.
Lettre autographe signée
MURAT princesse LouiseLettre autographe signée, adressée à M. Sloani. Ravenne, le 29 juillet 1839 ; 3 pages in-8° sur papier de deuil, adresse au dos. « Je crois que vous avez raison et que je ferais mieux de ne pas m’occuper de l’affaire et des menaces de M. Cavel, aussi c’est pour la dernière fois que je vous en parle, pour la dernière fois que je veux penser à tout ce qui la concerne. Je suis fâchée, je l’avoue, que le duc lui ait donné pour raison de la condition que je mets à l’achat du Moniteur, la peine que j’aurais à vous rencontrer avec lui. […] J’aimerais mieux qu’il lui ait dit la vérité, c’est-à-dire que l’intérêt pour lui, et le souvenir du mois que nous avons passé ensemble me portaient à vouloir lui fournir les moyens de regagner son pays et de pouvoir s’y établir pour ses talents d’une manière convenable, au lieu de le voir sur le pavé de Florence. »
2 pièces signées par Samuel Martineau, évêque de Bazas
GASCOGNE. CASTEL-JALOUX.2 pièces signées par Samuel Martineau, évêque de Bazas. 28 janvier 1647 ; 1 page in-4° oblongue et 1 page in-folio. Cachets secs sous papier à ses armes. Certificat de tonsure et d’inscription à l’état ecclésiastique de Bertrand Le Roux.
Pièce signée
JALOUX EdmondTapuscrit signé avec nombreuses corrections autographes. 7 pages in-4°. « Le souvenir de René Boylesve ». Il raconte sa visite au cimetière de Passy et la tombe de René Boylesve. « Cette tombe est toute simple. Une simple dalle de marbre gris avec ces mots : René Boylesve, écrivain français et deux dates. Une croix de chrysanthèmes rouges est posée sur la pierre.» Il raconte en quelques pages la passé de Boylesve. Intéressant manuscrit.
Lettre autographe signée adressée à Monsieur Nacenta
ÈVE JeanLettre autographe signée adressée à Monsieur Nacenta. Levallois-Perret, 12 janvier 1981; 2 pages in-4°, 2 trous d’archivage. « Merci d’avoir fait diligence pour m’envoyer le règlement de ma toile vendue au Salon es Tuileries au mois de novembre dernier. Cet argent me vient bien à point, car en effet, ainsi que Monsieur Eymin vous l’a expliqué, je suis tombé malade à la campagne à Saint Rémy par Ecos (Eure) et dans l’obligation de rentrer chez moi pour me soigner et suivre un régime sévère. Le froid, les soucis , les tourments et les difficultés de la vie présente y sont pour quelques choses et j’ai dû interrompre toutes activité artistique pour me soigner sérieusement. [...] Lors de la clôture du Salon des Tuileries vous m’avez prié de vous confier 1 ou 2 toiles en me disant que vous aimerez beaucoup ce que je faisais. Je suis en mesure de vous faire poster, si vous êtes toujours d’accord, 2 toiles de 10 Figures encadrées qui représente des paysages de la Vallée de l’Epte, de cette région que j’adore et don le tableau que vous venez de vendre, était représentatif. »
Lettre autographe signée avec dessin, adressée Raymond Nacenta
GHIGLION-GREEN MauriceLettre autographe signée avec dessin, adressée Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. [1967] ; 1 page in-4°. « Tous nos meilleurs voeux pour la Nouvelle Année cher Monsieur Nacenta. Que 1967 vous garde en bonne santé et vous apporte tout le succès que vous méritez ».La lettre est illustrée d’un dessin à l’encre représentant deux cartes l’as de trèfle et l’as de coeur.
Lettre autographe signée
LEROUX GeorgesLettre autographe signée, adressée à M. Lassaigne. Lac d’Annecy, 31 août 1946 ; 2 pages in-8°. « Je ne vous fais pas l’injure de croire que vous êtes inféodé aux marchands de tableaux, comme le sont malheureusement certains critiques d’art des quotidiens. Ceux-là répètent des noms ; toujours les mêmes ; ceux dont les marchands ont des toiles à vendre. […] Je vous tiens pour un homme libre. Mais je me demande alors, n’ayant pas l’honneur de vous connaître, si votre passé, vos travaux personnels, le rayonnement de vos œuvres, vous autorisent à émettre des opinions aussi nettement tranchées. Je veux le croire cependant. Je pense que le temps m’aura manqué, hélas, pour me tenir au courant de votre production. [… ] Vous effleurez dans votre article, une idée extrêmement intéressante : celle de la confrontation directe. En effet, au lieu de répéter toujours des noms, il faudrait un jour, comparer les oeuvres. […] Sachez bien que nous souhaitons vivement d’être exposés sous la même cimaise que ceux dont vous parlez. »