Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
ROBIDA AlbertLettre autographe signée, adressée à Georges Moreau, directeur de La Revue Universelle. Le Vésinet, 3 février 1896 ; 1 page in-8°. « Je n’ai pas reçu les épreuves de l’article Rosny. Les dessins sont commencés, mais si vous pouviez m’envoyer ces épreuves je verrais à ne rien oublier. »
Lettre autographe signée
SCHOFFER NicolasLettre autographe signée, adressée à M. Lassaigne. [1963] ; 10 x 40 cm. Au dos d’une photographie représentant le spectacle de ballet dans son exposition au Pavillon Marsan (1963).« J’étais très heureux de vous lire et je vous remercie vivement pour vos bons voeux, en vous souhaitant une année excellente de mon côté avec des crédits accrus pour les manifestations artistiques et qui sait, peut-être un peu d’électricité pour Venise. C’est avec un très grand plaisir que je vous recevrais dans mon atelier et je me permettrais de vous appeler dès le 2 janvier pour prendrez rendez-vous ».
Pièce signée
CALDWELL ErskinePièce signée. Paris, 26 novembre 1945 ; 1 page 1/2 in-4°.Pièce signée par Erskine Caldwell, Jack Kirkland et Marcel Duhamel pour la traduction française de “La route au tabac” du roman d’Erskine Caldwell et son exploitation théâtrale.
Ensemble de 3 lettres autographes signées
BACHELET AlfredEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées au redacteur en chef de la revue Musique ; Nancy 2 Mars - 25 mars 1929 ; 12 pages in-8°, en-tête du Conservatoire National de Musique, succursale de Nancy. Longue lettre à propos de l’acualité musicale et thêatrale nancéenne au printemps 1929. La première lettre concerne principalement Ponce-Pilate, un drame lyrique de Pierre Bretagne sur un livret de Louis Mercier qui a été créé à Nancy le 14 Février. « Alfred Bruneau, délégué aux beaux-arts pour assister à cette “decentralisation” navré de la nullité de l’oeuvre ne put rien dire à l’auteur après la représentation [...] L’ennui avait glacé jusqu’au mieux disposés » Il suggère que son ami se mette en relation avec mme Poisson, épouse d’un haut fontionnaire de la banque, musicienne et cultivée n‘appartenant à aucune coterie et qui pourrait être le correspondant parfait pour la revue Musique. On joint une dactylographie corrigée de Pierre Bretagne « La Musique à Nancy ; Concerts et Théâtres ».
Lettre autographe signée
COUTAUD LucienLettre autographe signée, adressée à M. Lassaigne. Paris, le 2 février 1947 ; 1 page in-8°. « Je tiens à vous remercier vivement pour les lignes que vous avez bien voulu écrire sur mon exposition de dessins dans votre rubriques des arts de “ La Bataille”. Je suis très heureux que mes dessins vous aient intéressé. »
Manuscrit autographe signé
MIOMANDRE Francis deManuscrit autographe signé, intitulé « L’ Humanisme de demain », pour la revue À Contre-jour. Sans date ; 3 pages in-8°. « Pour répondre à sa propre définition étymologique, l’Humanisme ne saurait redevenir simplement la copie de ce qu’il fut jadis, aux temps de la découverte éblouie que fit la Renaissance des trésors de l’Antiquité classique. Il était alors, et cela suffisait à la joie de ses tenants, strictement littéraire à telles enseignes que ce qu’il comportait de métaphysique ne séduisait les esprits que parce que le philosophe Platon était surtout un délicieux écrivain. […] Mais le monde a changé d’aspect et tout, jusqu’au sentiment religieux, a été remué, brassé jusque dans les profondeurs. L’Humanisme ne saurait plus s’accommoder d’aucune frontière. Il faut qu’il soit “planétaire”. »À Contre-jour publie des nouvelles, des essais, des notes de lecture et des dossiers thématiques. Au fil des ans, la revue est devenue un lieu d'accueil pour qui envisage la littérature comme une manière de penser, de voir le monde et d'en tracer les contours.
Manuscrit autographe signé
MIOMANDRE Francis deManuscrit autographe signé, intitulé « Rapetisse ton coeur ». Sans date ; 3 pages in-8°. « Il a raison, le vieux Fontenelle quand il dit : “Songeons que la plupart des choses sont d’une nature très douteuse et que, quoiqu’elles nous frappent bien vite comme biens ou comme maux, nous ne savons pas trop en vrai ce qu’elles sont. Tel événement vous a paru d’abord un grand malheur, que vous auriez été bien fâché dans la suite qui ne fût pas arrivé ; et si vous aviez connu ce qu’il amenait après lui, il vous aurait transporté de joie. Oui, certes, il a raison. Et aussi raison quand il nous prévenait contre cette déplorable facilité que nous avons à laisser notre imagination vagabonder à travers les champs du malheur et du désastre. Il va même jusqu’à dénoncer le dolorisme, cette maladie dont on ne savait pas encore le nom au temps de cet aimable centenaire, mais qui a fait depuis tant de ravages. Il n’en est pas moins vrai, hélas, qu’il existe certains chagrins et certaines peines qu’excluent toute possibilité de réaction, et dans lesquels le plus optimiste ne saurait voir le germe d’un bonheur futur. […] D’une manière générale, les conseils de modération donné par Fontenelle et par les philosophes de son temps sont justes mais ne puis m’empêcher de penser à la différence essentielle des deux sortes d’homme à qui ils s’adressent. »À Contre-jour publie des nouvelles, des essais, des notes de lecture et des dossiers thématiques. Au fil des ans, la revue est devenue un lieu d'accueil pour qui envisage la littérature comme une manière de penser, de voir le monde et d'en tracer les contours.
Manuscrit autographe signé
MIOMANDRE Francis deManuscrit autographe signé, intitulé « Défense du Raffinement ». Sans date ; 3 pages in-8°. « De cette belle série qu’il nous annonce sur “La vie de Paul-Jean Toulet”, M. Henri Martineau nous donne aujourd’hui un des plus curieux épisodes sous le titre de Paul-Jean Toulet et Arthur Machen. Inutile de présenter M. Martineau aux lecteurs de ce journal, car il faudrait être vraiment illettré pour ignorer que cet écrivain, à qui l’on doit la monumentale édition intégrale de Stendhal, fut en outre l’animateur, courageux et infatigable, du Divan (publication) qui eut le privilège de rester une jeune revue jusqu’à ses derniers jours, et dont le sage éclectisme accueillait toutes les doctrines, toutes les tendances, toutes les générations. Je garde une reconnaissance particulière à Henri Martineau pour avoir, comme il l’a fait, consacré le travail de sa maturité à Toulet comme il avait dédié celui de sa jeunesse à Henry Beyle. Car je suis un fervent admirateur de Toulet et — même si cela ne me plaisait pas — je serais bien obligé de reconnaître que, sans le dévouement et l’obstination de Martineau, la gloire de l’auteur de Mon amie Nane, subirait à l’heure actuelle une éclipse dont on ne saurait prévoir la durée »...À Contre-jour publie des nouvelles, des essais, des notes de lecture et des dossiers thématiques. Au fil des ans, la revue est devenue un lieu d'accueil pour qui envisage la littérature comme une manière de penser, de voir le monde et d'en tracer les contours.
Manuscrit autographe signé
MIOMANDRE Francis deManuscrit autographe signé, intitulé « Marathons », pour la revue À Contre-jour. Sans date ; 3 pages in-8°. « C’est curieux le nombre de bêtises qui circulent sous le masque de proverbes, d’axiomes, de sentences d’autres formules et que tout le monde accepte sans broncher comme des vérités premières. Une de ces affirmations impertinentes est bien certainement celle qui veut qu’en France le ridicule tue. Hélas non ! Cent fois non ! Le ridicule amuse les gens. C’est tout ce qu’on peut dire. Et encore il ne fait pas toujours rire »…À Contre-jour publie des nouvelles, des essais, des notes de lecture et des dossiers thématiques. Au fil des ans, la revue est devenue un lieu d'accueil pour qui envisage la littérature comme une manière de penser, de voir le monde et d'en tracer les contours.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
COLLAER PaulEnsemble de 2 lettres autographes signées. Malines, 1926 ; 1 page in-4°, chaque.— Malines, 21 octobre 1926 sur papier à en-tête « Concerts “Pro Arte” ».« Je compte jouer votre suite pour piano d’après les choeurs dont m’a parlé Milhaud, le 13 décembre. Vous me feriez un très grand plaisir en pressant votre éditeur pour qu’il m’envoie une épreuve à bref délai, car je prends toujours beaucoup de temps pour l’étude d’une oeuvre, de façon à pouvoir la présenter dignement ».— Malines, 14 décembre 1926 sur papier à en-tête « Association internationale de Musique Contemporaine ».« Vos choeurs ont bien porté. Le public a été, je crois, unanime pour en reconnaître les grandes qualités, et leur a fait un accueil très chaleureux. Je ne puis vous en dire davantage en ce moment, car je suis très fatigué. Figurez-vous que samedi je me suis payé le luxe d’une bonne petite grippe. J’ai réussi à me tenir droit à coup d’aspirines. Maintenant que l’effort a été fourni, j’ai besoin de repos. Je vous renvoie le matériel d’exécution aujourd’hui même. Vous trouverez dans la partition un programme du concert. ».
Lettre autographe signée
NOWOWIEJSKI FeliksLettre autographe signée « Felix Now », adressée à Joseph Debroux. Paris, 3 janvier 1904 ; 1 pages in-12, en français, avec portées musicales sur une carte pneumatique.« Recevez tous mes remerciements pour l’agréable soirée que vous m’avez fait passer et surtout pour le délicieux concert […] que vous avez joué que je n’ai jamais entendu exécuté d’une façon si parfaite. Veuillez m’excuser auprès de Mme Debroux que j’a été un peu distrait ». Il donne ensuite l’adresse du compositeur Max Bruch et finit sa correspondance avec deux portées musicales.
Lettre autographe signée
ORMANDY EugeneLettre autographe signée, adressée à M. Konn. Paris, 21 mai 1953; 1 page in-8°, carrée, en anglais.Tous les solistes ont été engagés pour la prochaine saison et tous les pianistes sur la saison 1954/55. Il ne pourra donc rien faire.
Lettre autographe signée
CHARCHOUNE Serge (en russe : , Sergueï Ivanovitch Charchoun)Lettre autographe signée, adressée à une amie. 16 juillet 1960 ; 2 pages in-8° (21 x 13,5 cm), trous d’archivage.Lettre intéressante : « C’est avec mes plus grands et sincères remerciements, que je viens de recevoir l’almanach Ruperto-Carola. Un si beau cadot pour moi. Ah, vous autres les Allemands, vous avez les coeurs chauds. Cela me plaît beaucoup. Malgré que j’étais étonné le premier moi-même d’apprendre que je suis “des bendeutens se gegenstandloser Maler Europes” [peintre dépourvu de sens sans signification] — je remercie M. Joachim Geissler pour ses paroles sur moi ! J’avoue que je suis flatté. Mais je suppose que d’être honoré de cette façon... encore avec la reproduction faite par le Dr Scharschuck — ne s’est pas passé — sans vos efforts. Merci 1 000 fois... Oui, ne sommes-nous pas, Dr Scharschuck et moi, des parents ? Mon père était slovaque. Où êtes-vous partie pour les vacances ? Moi — pas encore, d’abord parceque mon expos n’est permis que le 8 XII, et encore parceque ma soeur, qui habite Moscou, me demande de venir en Russie. Mais, mon frère qui habite Irkoutsk est sérieusement malade. Je l’ai demandé s’il peut venir à Moscou, pour que nous nous revoyons tous, après 1/2 siècle de séparation. Alors, j’attends sa réponse. Si elle sera négative, j’irai volontiers en Allemagne et Autriche. Dans ce cas n’y a-t-il pas moyens d’y récupérer mes peintures que vous gardez à la galerie, en les remettant à une personne (le gardien du musée, par ex.), si vous même serez absente ?[…] En vous remerciant encore une fois et en vous priant de remettre mes meilleures amitiés à toutes mes connaissances heidelbergeoises, veuillez agréer, chère Amie, mes salutations les plus dévoués.»
Lettre autographe signée
DURAND-ROSÉ AugusteLettre autographe signée, adressée à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Paris, 10 avril 1955 ; 1 page in-4°, trous d’archivage à gauche.« Je prends la liberté de vous rappeler votre promesse et avoir le plaisir de vous recevoir à mon atelier, mardi ou mercredi pour voir mes peintures et vous attendrai à l’heure que vous voudrez bien me fixer. […] Les peintures que je vous ai montrées m’ont valu vos compliments mais j’ose ajouter en toute sincérité pouvoir vous montrer mieux »…
2 lettres autographes signées, 1 lithographie (4/100) signée, une carte de voeux de 1956 avec une oeuvre sur la couverture, adressées à Raymond Nacenta
PLANSON AndréIntéressant dossier comprenant 2 lettres autographes signées, 1 lithographie (4/100) signée, une carte de voeux de 1956 avec une oeuvre sur la couverture, adressées à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier.La Ferté, 12 septembre 1951 ; 1 page in-4°. « J’écris par le même courrier à Jules Cavaillès qui, comme l’a annoncé le Figaro, est l’organisateur du Salon des Tuileries. J’irai juste à Paris pour porter mes toiles et ne rentrerai guère avant la fin du mois si la température le veut bien. Je demande - si cela est possible - d’inviter mon beau frère Desmeures qui exposait l’an passé. Son envoi était plus qu’honorable et vous vous souvenez que la fameuse séance de guillotine il ne pouvait être question d’envisager certaines invitations. Mais chaque année nous connaissons au dernier moment des défections et un certain nombre de refus. Je pense que l’on peut envisager honnêtement la participation d’artistes tels que Desmeures »…