Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Carte autographe signée
CAZALS F.-A.Carte de visite autographe signée de son monogramme. 1er juin 1904 ; 2 pages in-32 oblongue. « Doublement heureux, comme admirateur de Rodin et comme Parisien de m’associer à la glorification du “Penseur” sur une place de Paris. »
Manuscrit autographe signé
MATHEY JacquesManuscrit autographe signé. « Le souligné en italique — Les cabinets de dessins au XVIIIe siècle ». Article paru dans Le Temps [circa 1935]; 7 pages in-folio. Très intéressant article sur le sujet.
Lettre autographe signée
RAOUL-ROCHETTE (Désiré Raoul Rochette, dit)Lettre autographe signée, adressée à Emmanuel Miller à Paris. Jeudi 7 septembre 1837 ; 2 pages 1/2 in-8°, adresse avec marques postales, infime perte de texte due à l’ouverture de la lettre��. Sur une expédition scientifique vraisemblablement abandonnée d’après M. Lenormant. « Il me disait que, d’après les renseignements qu’il avait pris dans les bureaux, l’expédition scientifique était probablement abandonnée, en même temps que la pensée qui avait confié d’abord à l’aîné de la famille la conduite de l’expédition militaire. […] C’est donc une occasion perdue ; mais il nous faut nous en consoler, en pensant qu’il nous en restera toujours quelque chose d’avantageux.»
Deux lettres autographes signées
SALVAGE DE FAVEROLLESDeux lettres autographes signées. Arenenberg 9 avril 1837 et Paris vendredi 30 juillet [1852] ; 3 pages in-8 avec adresse et 2 pages in-16°. La première lettre est adressée à Marie Belmontet, épouse du poète et homme politique Louis Belmontet, et donne des nouvelles de la mauvaise santé de la Reine Hortense. Madame Salvage fait part de ses grandes inquiétudes et de celles du Dr. Lisfranc [le chirurgien Jacques Lisfranc de Saint-Martin], appelé au chevet de la duchesse de Saint-Leu, très malade et à qui il faut éviter toute émotion vive. Elle se décrit comme le « témoin impuissant de souffrances qu’on voudrait au prix de sa propre vie pouvoir alléger ». Cependant le moral de la duchesse est bon, « ses angoisses sur son fils sont calmées » [le futur Napoléon III était alors à Londres, revenu de son exil américain après avoir appris que sa mère était mourante], elle est soulagée de n’avoir pas à subir une éventuelle opération, « elle a fait ses dévotions et son testament ». Hortense de Beauharnais devait mourir le 5 octobre suivant. De Paris, en 1852, elle remercie son correspondant [Louis Belmontet ?] pour l’envoi de pêches : elle apprécie à sa juste valeur « le noble dévouement que vous avez toujours montré pour la Reine et son fils aîné que pour la mémoire de l’Empereur ».
Lettre autographe signée
BARRÈS MauriceLettre autographe signée. Paris, 12 rue Legendre (parc Monceau) ; 4 pages in-8° sur papier monogrammé. Lettre au sujet du livre “ Amour de tête” de Abel Hermant. « Je viens de lire “ Amour de tête ” que je crois comprendre très bien et que j’aime beaucoup. Ce n’est pourtant pas un drame pour mille personnes. Moi, je comprends cette tendance et cette répugnance à faire des thèmes à réflexions de tout ce que nous offre la vie, mais c’est une vilaine misère que cette culbabilité ».
Lettre signée
CHATEAUBRIAND François RenéLettre signée adressée au Vicomte de Senonnes. Paris, 23 août 1823. 1 page in-folio. Il transmet une pétition adressée au roy par Mme de Lagny, veuve de deux officiers victimes de la révolution. Le Prince de Polignac la recommande à la bienveillance du Ministère.
Lettre autographe signée
LECOCQ CharlesLettre autographe signée. 4 pages petit in-8°. A propos de la première représentation du Petit Duc. « Les isola ont fait dire par les journaux que la 1ère du Petit Duc aurait lieu le 3 décembre. Jusqu’à présent, on a si peu répété la pièce qu’il m’est impossible de prévoir qu’elle sera prête pour cette date. Vous savez ce qui m’est arrivé pour mme Angot dont la 1ère était donné devant le public payant, n’était en somme qu’une mauvaise répétition générale. On a passé malgré mes protestation. Pour le Petit Duc, beaucoup plus difficile d’exécution, il est absolument indispensable de faire de nombreuses répétitions d’ensemble, et je me crois en droit de l’exiger. Au besoin j’aurai affaire à vous, et au besoin aussi à la commission des auteurs. Les directeurs persistent depuis longtemps à annoncer que la pièce sera jouée par Melle Dancrey et Polin. Ils n’est jamais question d’Audain, ni ne Melle Dzéri ni de Melle Fernoy obligeamment prêtée par Lagrange, et qui, à ma grande satisfaction jouera et répète en ce moment le rôle trsè important de la Directrice qu’elle a déja joué à Trianon. »
Lettre autographe signée
PITOËFF SachaLettre autographe signée. Paris, le 28 janvier 1989 ; 2 pages in-4°. « Je ne puis que répondre hâtivement à votre lettre, trop occupé en ce moment. Mais c’est la fidélité à l’esprit qui compte, plus qu’autre chose. L’écrivain peut s’inspirer d’un ouvrage, d’une idée, d’un thème, et le traiter […]. C’est son droit le plus absolu — le résultat, c’est une autre affaire... Quant aux critiques, il y en aura toujours plus que de créations ... ! Puisqu’il y a plus d’exégit que de créateurs.. ! (Je vous signale, en passant, que j’ai là entre les mains une adaptation scénique du roman dont vous me parlez. »
Photographie autographe signée, dédicacée
HÉBERTOT JacquesPièce autographe signée. 170 X 200 mm. Sous la photographie le représentant, assis devant une scène avec Henry de Montherlant à ses côtés : « Bon succès ! Bonne chance ! Bien sincèrement Jacques Hébertot. »
Lettre autographe signée
LOUŸS Pierre (Pierre Louis, dit)Lettre autographe signée. 28 juin 1911 ; 1/2 page in-12.« Je vous remercie d’avoir bien voulu m’envoyer l’exemplaire du traité que j’avais laissé sur votre table. Je l’ai reçu et je vous renvoie l’autre convention signée. »Mention au crayon bleu en surcharge d’une autre main : « Aphrodite. »
Lettre autgraphe signée
FROMUTH CharlesLettre autographe signée. Concarneau, Hotel de France, 2 octobre 1901. « Monsieur, ayez l’obligeance de m’envoyé les Pastels tendre sur ma liste ci dessous, aussi n’oublie pas de numéroté chaque un comme d’habitude. Comme je remarque des variations des variations quelques fois en commandant d’après les numéros c’est dire, 993, par exemple je commande d’après le numéro en le recevant, je vois qu’il a la même nuance que qur 994, à eu à la dernère commande. Donc, voulans avoir la quelque couelurs, sans faute je vous envoie l’échantillon même de ces couleurs. En dehors de ca, voici ma liste à remplir. [...] 1764-1766-1768 Vert Reseda 1523 Vert jaune 1553 Vert bleuatre 1847 jaune vif degrade au noir 754 Brun chaude 675 Brun rouge ou noir 1051-1052 Indigo 241-243 Gris tourterelles [...] 1811-1812 Vert Olive 1736 Vert Degrade au jaune orange 142 Jaune fauve clair 153 Jaune fauve foncée En tout 114 baton y compris le trois bateon de noir sur échantillon et le 9 Baton de les nuances de Vert chrome. Envoyé les aussitôt possible. » On joint un billet autographe signée qui parle d’un montant de facture.
Lettre autographe signée
CONSIDERANT Victor ProsperLettre autographe signée, adressée à Edgar Monteil. Vendredi (?) février 1874 ; 4 pages in-8°. Très longue lettre : « Je suis charmé que vous soyez arrivé sans encombre dans cet ou cette oasis qui s’appelle Bruxelles et qui se prononce Brucelle ; mais comme vous dites, ce n’est pas tout d’y être, encore y faut-il ou faut-il y vivre à la provinciale. Il faut faire beaucoup de connaissances afin de multiplier les chances de se faire des moyens d’existences (l’s d’existence est la pour la richesse de la rime). Mon cher crapaud de petit Demeur vous a bien reçu. Je n’attendais rien de moins de lui (je vous prie de remarquer que je dis rien de moins et non rien moins (comme une foule de littérateurs contemporains ne manqueraient pas de le faire, dans leur profonde ignorance de la distinction de ces deux termes). Je vois que les succès, les grandeurs, la famille, la propriété et la fraternité ne l’ont pas encore tout à fait corrompu : vous lui en ferez mon compliment : j’aime cette résistance vertueuse aux illécèbres qui en ont tant perdu d’autres. S’il ne vous a pas mené chez mon vieil ami Bourson, allez-y de ce pas, vous même, (vous-même, entendez vous !) et cette lettre-ci à la main présentez-vous à lui. Vous lui direz de ma part et de la vôtre, que vous êtes un grand tocqué, je dis tocqué, et sa perspicacité est telle qu’il reconnaîtra immédiatement que vous êtes grand, et très promptement que vous êtes tocqué — ça lui montrera qu’il a affaire à une nature loyale et sincère. Vous lui direz que nous nous intéressons beaucoup à vous , et s’il vous demande pourquoi ? vous lui répondrez que vous n’en savez rien — ni nous non plus. Mais ils sont si bêtes — lui et sa femme (Madame Fré — je n’en dis pas plus et vous n’en saurez pas davantage) que je parierai bien que cela suffira pour qu’ils s’intéressent, eux aussi à votre personne démesurée. Vous demanderez aussi à voir les enfants — pas celui qui est en Espagne parce que ce serait vous montrer tout de suite trop exigeant que de lui montrer un dérangement de ses affaires et un voyage coûteux rien que pour faire votre connaissance : c’est quelque chose sans doute, mais enfin il faut aussi de la discrétion. À propos de discrétion je vous engage, si vous faites des conférences ou si vous écrivaillez, à montrer quelque réserve pour les personnes qui pourront vous piloter entre les écueils et dans les passes de leur ordre moral (car la Belgique est si contrefaçonnante que, sans le savoir, je parierai bien qu’elle a aussi son ordre moral en ce moment) si l’équipée que vous vaut la Belgique vous vaut aussi un peu de self control et de prudence, n’y mangeassiez-vous pendant un temps que de la vache très enragée, cela n’aura pas été sans profit. Je ne connais guère à Bruxelles maintenant que ceux avec qui je vous mets en relation ; ingéniez-vous, voyez ce que vous pouvez faire, faites avec eux votre examen de conscience et prenez leurs conseils et leurs avis. S’ils peuvent vous faciliter les voies et moyens je sais qu’ils le feront de grand cœur car c’en sont — Dernière calembredaine qui n’en est pas moins, au fond la très sérieuse expression du mien, du cœur. Allons grand vaurien ma femme est prête pour aller chercher notre déjeuner, nous vous serrons les mains et vous chargeons de dire aux Boursons que nous les embrassons comme nous les aimons. Ce qui veut dire extrêmement fort. V. Considerant. »
Ensemble de lettres autographes signées
TEXCIER JeanEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées à M. Reuillard :— « Vendredi 17 » ; 1 page in-4°. « Il faut que je vous remercie encore pour le papier publié dans Paris-Normandie. Il est tout à fait bien, et trop élogieux ! mais tout est bien dit et la sympathie qui s’y ajoute me touche beaucoup. Merci de m’avoir communiqué la lettre de ce Séhet — dont le nom aujourd’hui ne me dit rien/ mais que j’ai dû connaître au lycée. Tout ce qu’il dit est très précis et me rappelle le vieux temps. »— « 30 octobre » ; 1 page in-4°. « Je suis content que ma note — on appelle cela “note” ou “notule” à la NRF — à propos de Damia vous ait plus. Trop courte dites-vous ? mais naturellement la difficulté est de faire court. C’est un bon exercice, à la fois de style […]. C’est parfois assez enrageant. »— 13 novembre 1955 ; 1 page in-4°. « Merci pour votre amitié si attentive. Votre histoire — musée Grévin — est bien amusante. J’ai, l’année dernière, consacré une chronique à ce musée, à ces personnages et les visiteurs. […] On ne sait jamais comment vont les écrits...! »Sont jointes 2 lettres de son frère (1960). Lettres de remerciements pour une chronique à Radio-Normandie évoquant Jean Texcier et projet d’exposition à Rouen lors de l’inauguration d’une rue.
Lettre autographe signée, illustrée d’un dessin à l’encre signé, adressée à un artiste parti sous les drapeaux
GOLAY MaryLettre autographe signée, illustrée d’un dessin à l’encre signé, adressée à un artiste parti sous les drapeaux. Paris, 20 octobre 1939 ; 4 pages in-8°.« Cher aimable artiste , connaissant vos goûts si portés vers les Beaux-Arts, j’espère vous causer une petite satisfaction en vous invitant à lire ces notices, que j’ai retrouvées ces jours-ci et vous les adresse aussitôt ! […] Ces légers feuillets, doivent vous rappeler le souvenir d’une amie artiste qui ne vous oublie pas. Honneur aux dévoués soldats qui sont bien loin de nous. Espoir et courage. Mary Golay. » Le dessin représente des papillons.À la suite sur le 4e feuillet est collé un extrait de la Revue du vrai et du beau d’octobre 1939 sur Mary Golay avec la dédicace en dessous « Hommage sympathique à Monsieur Pierre de Ruben, artiste peintre. »