Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Fable, sous forme de dialogue, autographe signée
NOGARET FélixFable, sous forme de dialogue, autographe signée, intitulée « La Truffe ». Sans date ; 1 page in-4°.« La TruffeOui, mais, sous le bâton, il baisse les oreillesQuand il veut trop avant enfoncer son museau ;Et l’on vous jette à lui.La PommeOn m’achète au boisseau !La TruffeEt moi ; Madame... à la corbeille!La PommeOn vous aime, mais on vous craint.Et l’on court après moi ».
Ensemble de 3 manuscrits autographes signés
PRÉVOST MarcelEnsemble de 3 manuscrits. Intéressants articles parus dans un journal de Vienne en 1905 sous le titre de Causerie Parisienne :— Manuscrit autographe signé. « Causerie Parisienne — Fin et commencement d’année ». [1905] ; 9 pages in-4°. On joint le tapuscrit de ce manuscrit. Manuscrit évoquant la désuétude du devoir des vœux et qui permet « de découvrir le nombre considérable d’inconnus qui prétendent vous rendre des services tout au long de l’année et s’empressent d’accourir chercher une récompense sous forme d’étrennes ».— Manuscrit autographe à l’encre, signé au crayon. « La vie courante. Hier et aujourd’hui. Une pièce et un film ». [1905] ; 5 pages in-4° avec corrections. Article concernant le tournage des Demi-Vierges d’Alexandre Dumas. « C’est de plus en plus un usage qui porte à l’écran les romans et les pièces de théâtre que le public a accueillis. »— Manuscrit autographe signé : « Mœurs Parisiennes — L’avènement d’une aristocratie ». [1905] ; 7 pages in-4°, au crayon. Sur les salons de peintures qui déclinent, l’aristocratie de la IIIe République, la vie parisienne, etc.
Quatrain autographe signé
XANROF (Léon Fourneau, dit)Quatrain autographe signé, intitulé « Les deux âges ». Sans date ; 1 page in-4°.« Je suis plus vieux que toi. Cela fait un ménage,Qui passe du bonheur aux scènes pour un rien !...Quand je me sens aimé, je crois que j’ai ton âge.Quand je me crois trahi, je sens que j’ai le tien. »En dessous figure un dessin à l’encre de Chine le représentant, légendé « Xanrof, en 1906, d’après A. Barrère. » La pièce est signée également par Marcel Farges en août 1951.
Lettre autographe signée
MARMONT Auguste-Frédéric-Louis Viesse de, duc de RaguseLettre autographe signée, adressée à Auguste de Beauregard. Le 30 octobre ; 1 page in-4°.
Lettre autographe signée
COUTAUD LucienLettre autographe signée [adressée à Eugène Dabit]. « 19 juil » ; 2 pages in-8°.« J’ai lu avec le plus grand plaisir votre livre que Blanzat m’a remis il y a quelque temps, il me plaît beaucoup et je vous remercie d’avoir pensé à me le faire parvenir. J’ai vu qu’en octobre, il y aurait un prix P. Guillaume, vous faites partie du jury, si vous pouvez m’y présenter, cela m’intéresserait, ne serait-ce que pour accrocher avec d’autres. »
Pièce autographe signée
DECRIND Paul-JeanPièce autographe signée avec dessin. Sans date ; 1 page in-4°. Réponse au critique d’art Henri Corbière à son enquête mondiale, Maximes de vie des grands peintres contemporains. « Accepter la vie simplement en dehors de toutes les vanités humaines, pouvoir la quitter sans angoisse... Découvrir la sérénité, la paix... L’art m’a beaucoup torturé... beaucoup aidé... jusqu’au bout, malgré tout. La pureté de la neige ! » En dessous, il a dessiné un paysage de neige avec deux sapins.
Lettre autographe signée
DRÉSA JacquesLettre autographe signée, adressée à Roland-Manuel. Paris, 17 décembre 1926 ; 1 page in-4°. « J’ai retrouvé le livret du ballet dont je vous ai parlé et qui n’a pas de titre. […] Si vous ne venez pas le prendre, il est capable de rester encore des années dans un tiroir. Il y restera d’ailleurs s’il ne vous inspire pas. »
Lettre autographe signée
DROLLING Michel-MartinLettre autographe signée, adressée à Mme de Grandpont. 9 octobre 1843 ; 1 page in-8°, adresse avec marques postales.« Voilà bientôt quatre mois que je n’ai vu [mot rayé]. J’ai fait tout ce qui était en mon pouvoir pour le ramener dans la bonne voie. Je crains qu’il n’y ait plus rien à attendre de ce jeune homme. Comme j’espère, Madame, que vous le voyez quelquefois je prends la liberté de vous écrire pour que vous lui disiez que, s’il ne change pas de conduite, je lui interdirai l’entrée de mon atelier ».
Lettre autographe signée
GUILLAUME PaulLettre autographe signée, adressée à Mme Eugène Dabit. Sans date ; 2 pages in-4° sur papier de deuil. « Une grande exposition organisée pieusement — ses livres — sa photographie au centre de la pièce — ses amis pour informer le public —, cela vous conviendrait-il ? Et à ses pauvres parents ? Téléphonez-moi et dites-moi où je pourrais voir les toiles. »
Lettre autographe signée
MAHMOUD PASHA FALAKI (autre forme du nom : Mah m d Ah mad H amd al- Falak )Lettre autographe signée. Le Caire, le 2 juillet 1885 ; 1 page in-4°, en-tête Palais d’Ismailieh. « Veuillez je vous prie, avoir l’extrême bonté de me procurez de la maison Pleyel et Wolff les fabricant des pianos des dessins spéciaux des pianos de grande luxe. Je vous prie d’envoyez ces dessins le plutot possible. »
Photographie représentant
POINCARÉ RaymondPhotographie en noir et blanc le représentant en buste, de face. Cliché Ad. Braun & Cie, rue de Rivoli. 105 x 160 mm. Très beau cliché.
Photographie représentant
POINCARÉ RaymondPhotographie en noir et blanc le représentant en pied avec la Légion d’honneur. Cliché Félix , boulevard des Italiens à Paris. 160 x 105 mm. Très beau cliché.
Ensemble de deux brouillons de lettres autographes dont une signée
BOIS DE BEAUCHESNE vicomte Alcide-Hyacinthe duEnsemble de 2 brouillons de lettres autographes dont une signée, adressées à Chateaubriand. 4 août 1834 et 2 juillet 1835 ; 2 pages 1/2 in-8° et in-12.« M. le V te, le premier exemplaire d’un ouvrage breton revient de droit à la première gloire de la Bretagne. Si quelques mains ont ouverts ce livre, c’est qu’à plusieurs pages on avait aperçu votre nom. Ce nom est pour elle la première chance de succès, comme votre regard fut pour moi le premier des encouragements. Vous agréerez l’hommage d’un Breton qui sais se dévouer, mais qui parle mal de son respect et de son admiration ».« Monsieur le Vicomte, je me suis souvenu un jour de ce vers de Boileau “Soyez plutôt maçon si c’est votre talent” et aussitôt j’ai laissé la plume et j’ai saisi la truelle. N’allez pas croire au moins que l’ambition soit entrée dans une tête bretonne en me faisant maçon dans l’ordre des choses. Je n’ai pas, en cela, je vous jure, la pensée de flatter le Roi de notre choix. C’est une petite maison gothique que j’élève et sous ce toit d’un autre âge je ne veux que me mettre à l’abri des mages de celui-ci. Je fais mon oeuvre en silence et lentement comme un pauvre blessé de juillet peut le faire, car j’ai eu comme tout le monde, ma part de la prospérité générale. Je viens vous demander une grâce : c’est la permission de faire peindre sur un des vitraux de ma maison à côté des hermines de notre Bretagne des armoiries de mes amis poètes, ce vieil écu des Chateaubriand auquel vous avez ajouté tant de rayon de gloire. Dans ces […] de déceptions, ce sera pour moi une consolation et une joie d’orgueil national, d’avoir ainsi constamment sous les yeux le souvenir du plus beau caractère poétique et du plus beau génie littéraire des […] modernes. Ne prenez pas la peine de me répondre mais soyez assez bon pour n’envoyer que l’empreinte de votre cachet. Veuillez agréer la nouvelle expression de mon respect et de ma reconnaissance. »On y joint trois gravures représentant Chateaubriand à divers moments de sa vie.
Lettre autographe signée
COPPÉE FrançoisLettre autographe signée. « 3 février » ; 1 page 1/2 in-8°. « Merci, Monsieur, de vos deux beaux volumes. Je suis plongé dans votre “Rousseau”. J’en lis quelques chapitres chaque soir, et, décidément, je me brouille avec le citoyen de Genève. […] Le pauvre fou ! et pardonnez-lui beaucoup, pour l’amour du style. J’ai aussi parcouru déjà vos “comédiens”. Vous avez raison. Le préjugé contre eux était monstrueux & absurde. Décorons Talma et enterrons la Raucourt en faux bourdon. On ne saurait trop honorer les bons serviteurs de l’art. Ils sont assez à plaindre, car toute leur gloire est viagère. Heureusement ce sont des âmes enfantines, à qui suffit la vanité de la minute vécue. »
Photographie autographe signée, dédicacée
DORGELÈS Roland (Roland Lécavelé, dit)Photographie de face avec envoi autographe signé, adressé au photographe Willy Michel. 13 juin 1928 ; 160 X 220 mm, collée sur feuillet avec dédicace sur le feuillet : « À Willy Michel, cordial souvenir de son ami Roland Dorgelès. » Photographie de Willy Michel.