Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie autographe signée, dédicacée
MINAUX AndréPhotographie signée, dédicacée au peintre Constant Baruque. Sans date ; 140 x 190 mm, collée sur un support cartonné de 200 x 250 mm. Photogravure en noir et blanc, le représentant avec son chien. « À Constant Baruque, avec ma cordiale sympathie. André Minaux ». Au dos, collée au carton, figure une biographie.
Photographie autographe signée, dédicacée
GRAU-SALA Émilio ou ÉmilePhotographie signée, dédicacée au peintre Constant Baruque. Photographie (retirage ?) en noir et blanc, le représentant dans son atelier. 1964 ; 140 x 190 mm, collée sur un support cartonné de 200 x 250 mm. « À Constant Baruque, bien cordialement. Paris 64. Grau-Sala ». Au dos, collée au carton, figure une biographie.
Photographie autographe signée
AUBERT LouisPhotographie autographe signée. 4 novembre 1958 ; 215 X 185 mm, encadrée. Dédicace sous la photographie : « A Louis et Ginette Guitard, grands et sincères amis de la musique ce qui n’est pas si courant. Louis Aubert. »
Ensemble de pièces signées
SARMENT Jean (Jean Bellemère, dit)Intéressante réunion de 46 documents signés. Majeure partie en in-4°. Documents concernant ses œuvres, demandes d’autorisation pour faire jouer ses pièces, pourcentages alloués, contrats pour Mamouret, Madame XV, Madelon, etc. Correspondance avec la Société des droits d’auteurs.
Lettre signée
LAMARTINE Alphonse deLettre signée. Paris, 1er février 1862 ; 2 pages 1/4 in-4°. « Le 29 septembre dernier, un journal de Paris, bientôt reproduit par les six cent journaux de la capitale et des départements, contenait ces mots “M. de Lamartine est tellement malade qu’il ne peut plus ni écrire ni même dicter”. Cette nouvelle était heureusement fausse, la Providence qui m’éprouve de tant de rigueurs au soir de ma vie, me conserve au moins la santé et le travail armes de la lutte avec la mauvaise fortune », etc.On joint 6 lettres circulaires de Lamartine imprimées en lithographies.
Lettre autographe signée
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)Lettre autographe, signée, adressée à un ami. Sans date (il datait rarement ses lettres) ; 2 pages in-8°.« Cher ami - Je suis tout simplement furieux de ce qui t’arrive. Même chose est arrivée à un de nos amis après m’avoir inscrit tous les noms que j’avais donnés ; on a disposé d’une partie des belles, et dans ma loge qu’on m’a reprise sous le prétexte qu’elle était louée à l’année, j’ai vu Mlle Cora Pearl que je loue au mois et quelque fois à l’heure. Tu aurait dû me faire dire tout de suite ce qui t’arrivais. Tu auras toujours eu une place dans ma loge. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées
BONHEUR RaymondEnsemble de 3 lettres autographes signées [adressées à Jean Cras].1913-1922 ; 10 pages in-12, quelques fentes aux plis.Intéressante correspondance dont la belle lettre sur Polyphème d’Albert Samain à partir de laquelle Jean Cras va créer son opéra Polyphème, représenté à l’Opéra Comique le 22 décembre 1922.— Magny-les-Hameaux, 3 avril 1913 : « Je pense que Roussel vous a déjà envoyé mes regrets de n’avoir pu répondre à votre lettre aussi rapidement que je l’aurais souhaité. J’ai en effet réussi seulement hier à rencontrer Madame Samain que j’avais manquée à un précédent voyage et de mon entretien au Mercure avec Vallette, voici brièvement les conclusions. Du moment qu’ainsi qu’il nous semble ressortir des termes mêmes de votre lettre vous me prétendez passé un droit exclusif sur Polyphème d’Albert Samain les héritiers vous accorderont très volontiers l’autorisation que vous demandez. Un seul point reste délicat et délicat pour moi précisément puisque je me trouve personnellement en cause. Peut-être ignorez vous que j’ai composé du vivant de Samain la musique de scène de Polyphème et que cette collaboration me confère le droit exclusif sur le texte des choeurs : je m’empresse d’ajouter que je suis tout prêt pourvu que les règlements de la Sté des Auteurs comme je le pense me le permettent à me départir celle en votre faveur d’une rigueur excessive puisqu’elle ne tendra à rien mais qu’à mutiler le poème de Samain. Toutefois afin de sauver au moins les apparences et de ménager de justes susceptibilités, car nous avons jusqu’ici refusé toute autorisation pour les choeurs, je vous demanderais s’il ne vous serait pas possible de les traiter de telle façon qu’ils se trouvent en quelque sorte pris dans la trame même du drame et si étroitement liés à l’action qu’ils ne puissent en aucun cas en être détachés. […] Il me restera à vous souhaiter d’écrire une partition belle et durable : Je sais que je suis personnellement très heureux de vous voir entreprendre une telle tâche ».— Magny-les-Hameaux, 18 juillet 1913 : « Je sais trop ce que sont les exécutions improvisées pour m’en occuper excepté au cas même où on ferait semblant d’utiliser ma partition, ce dont je doute n’en ayant pas été informé. Ainsi donc quoi que vous entendiez faire sous mon nom, ne m’en rendez pas responsable. Croyez que mon seul regret de tout cela, sera d’avoir manqué l’occasion de vous connaître qui je l’espère ne tardera pas trop longtemps à se représenter ». Il écrit en post scriptum : « Je souhaite que l’interprétation à la Comédie française ne vous cause pas trop de désillusions sauf la petite Galatée. C’est tellement à coté ! »— Magny-les-Hameaux, 29 octobre 1922 : « J’ai regretté que l’heure tardive où s’est terminée la représentation ne m’ait pas permis soumis que je suis à un inexorable horaire, à aller vous dire tout le bien que je pense de votre oeuvre et vous féliciter du chaleureux accueil qu’elle avait reçu. J’y ai, pour ma part retrouvé, avec amour cette impression que j’avais eue jadis, quand vous me fîtes le plaisir de me le faire connaître, d’une large et noble fresque symphonique, de haute inspiration et d’une ampleur et d’une éloquence en ce temps peu commune. Vous savez combien il est difficile de traduire en quelques lignes les nuances de sa pensée et je m’en excuse auprès de vous ; trouvez des noms ici, cher Monsieur avec tous mes voeux pour que votre succès s’affirme encore, l’expression de mes meilleurs sympathies. »
Dessin autographe signé
BAC Ferdinand (de Sigismond Bach, dit)Dessin autographe signé. 1950 ; 1 page in-4° (30 X 19,7 cm). Portrait d’Ingres à la mine de plomb et légendé à l’encre rouge. « Il m’est venu aux oreilles un racontar stupide des faibles d’esprit n’ont-ils pas répandu la nouvelle que je portais perruque ! (Mossieur Ingres à l’Académie) »
Lettre autographe signée
WURTEMBERG princesse Catherine deLettre autographe signée « Catherine », adressée à Mme de Lucai. Compiègne, 11 janvier 1814 ; 1/2 page in-8°. « Je reçois toujours avec un vrai plaisir les témoignages de votre souvenir. Vous êtes de ce petit nombre de personnes que l’on n’oublie point et que je ne range point dans la classe nombreuse des simples connaissances. Croyez aussi à la durée des sentiments de bienveillance. »
Dessin et gouache signé
LEMEUNIER CarolusDessin et gouache représentant un zouave assis et lisant un journal.Dédicacé, daté et signé. 1914 ; 25,5 x 16 cm (à vue).« Respectueux souvenir à madame Calmels. Carolus Lemeunier. Langrune 1914. »Encadré.
Pièce signée
LEBRUN AlbertPièce signée. Paris, le 31 octobre 1939 ; 2 pages in-folio. En-tête « Ministère de la Défense Nationale et de la Guerre ». Nomination dans le cadre des officiers de réserve du Service de Santé de l’Armée de Terre, au grade de médecin commandant, de M. MAZE Pierre.La pièce est également signée par Daladier, Campinchi.
Lettre autgraphe signée
CAROLUS-DURANLettre autographe signée adressée au Commissaire général de l’Exposition Universelle de 1900. Paris, 19 mai 1899 ; 1 page in-4° sur papier à en-tête Société Nationale des Beaux-Arts, Champ de Mars. Carolus-Duran accepte l’invitation a être menbre du jury de L’exposition . « J’accepte avec plaisir les fonctions de membre du jury auxquelles le Ministre du Commerce et de l’Industrie m’a nommé sur votre proposition ».
Pièce autographe signée en tête du document
KLEIN WilliamPièce autographe signée en tête du document. Sans date ; 1 page in-4°. 20 lignes dans lesquelles il décrit l’ambiance de 1968 à Paris et parle aussi d’un dessin de son fils, alors âgé de 5 ans, dessin dont il joint la photocopie et qu’il a réutilisé pour l’affiche de son film Grands Soirs et Petits Matins. « En 68, j’était à Paris depuis déjà près de 20 ans. Et c’était la 1ere fois qu’on me parlait et en plus on vous écoutait. Dans mon quartier (latin) on vous écoutait, même dans ma maison. Même mes voisins. Sauf la concierge. Elle ne parlait qu’aux flics. Tous les 3 mètres, un groupe discutait, analysait, délirait. J’osais m’y mêler. Même en filmant, je parlait. Malgré mon accent. En juin, c’était terminé. Et depuis 20 ans, on se parle plus comme ça... Voici un dessin que mon fils, 5 ans a fait au Comité Gavroche, à la Sorbonne. Je l’ai employé pour l’affiche de mon film Grands soirs et Petits Matins. » Le document est signé en tête de la lettre : « William Klein, photographe, cinéaste américain ».
Lettre autographe signée
MALOT Hector HenriLettre autographe signée, adressée à un confrère. 8 décembre 1894 ; 3 pages in-8°. « Mais évidemment oui elle était conditionnelle ma démission : l’affaire Rodin s’arrangeait, je reprenais ma place dans le rang. Et je la reprends en Effet ; mais dans le rang seulement. Candidat à la présidence, président malgré lui, jamais de la vie. Je donne ma démission de romancier pour être libre ; je ne vais pas changer mon métier qui me donnait certains avantages pour la présidence du Comité qui m’en assurerait de moindres. Je veux faire et dire ce qui me plaît ; ce n’est pas trop tôt ! […] Maintenant passons à un point que j’ai à coeur : je voudrais appuyer la candidature André Lemoyne au prix de 3000 f et celle de Médéric Chalot à un prix de 500. Envoyez-moi, je vous prie un mot si je dois assister à la séance de lundi pour les soutenir. André Lemoyne est un des grands poètes de notre temps, il a fait des vers qui continuent ceux de La Fontaine par l’ampleur, le naturel et la sublimité, son choix serait un honneur pour notre société qui a vraiment besoin d’un tel lauréat. »
Lettre signée
MONOD ThéodorePièce signée « Théodore Monod ». Dakar, 5 janvier 1952 ; 1 page in-4°. En-tête du « Haut Commissariat de l’Afrique Française ».« Je certifie que Monsieur Gilles Sautter, licencié d’histoire et de géographie, titulaire d’une bourse de voyage de la France d’Outre mer a été officiellement accrédité par le département auprès du Haut Commissariat de l’Afrique Française (Institut Français de l’Afrique noire) en qualité de membre de la mission d’étude des régions montagneuses de la Guinée française »…