Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie signée
INDY Vincent d’Photographie signée. Prague, 1925 ; 13,5 x 8,2 cm.
Diplome de théologie
DIPLÔME DE THÉOLOGIE.Diplôme de théologie décoré en couleurs de motifs floraux peints à la main. 1719 ; 44 x 57 cm, en latin, sur parchemin effrangé dans le bas. Grand en-tête en lettres majuscules peintes : « Claudius Boisot ». Le diplôme est signé par le professeur Perrin et visé par J. Doroz, premier avocat général au Parlement de Paris.
Carte autographe signée
DAUBIGNY Karl PierreLettre autographe signée, adressée à Charles Chincholle. Paris, 19 mars 1885 ; 1 page in-8°. « Ma vente est prête, les catalogues se font ainsi que les cartes d’invitation. Comme vous avez eu la gentillesse de me promettre de venir à l’atelier lorsque tout serait prêt. »
Photographie dédicacée
HAMBOURG AndréPhotographie dédicacée à Gérard Leman. 1er janvier 1993 ; 42 x 30 cm.Grande et belle photographie dédicacée représentant Hambourg dans son atelier.
7 lettres ou pièces la plupart autographes signées, adressées à Madeleine Marceron.
PEINTRES.7 lettres ou pièces la plupart autographes signées, adressées à Madeleine Marceron.— Thérèse Manessier : 1965 : « Alfred va travailler ici cet hiver, il y a tant de paix et de belle lumière tout autour de nous. Nous serions très contents que vous veniez partager tout cela avec nous un jour prochain. »— Robert Rey : 1943 : Sur une collecte des amis de Stival.— Ginette Signac, fille du peintre Paul Signac : 1970 : Longue lettre de 2 pages sur une candidature. On joint une carte de bonne année (sur une carte postale représentant une oeuvre de Van Dongen).— Gustave Stingier : Carte de vœux autographe signée, illustrée d’une aquarelle. 1962-1963.— Jean Alphonse Stival : Lettre et carte autographe signées. Intéressantes.On joint un carton d’invitation pour le vernissage d’une exposition Fautrier en 1942.
Photographie signée
MONDOR HenriPhotographie signée. Photographie de H. Martinie représentant Henri Mondor, assis à un bureau en habit d’académicien. 23 x 16 cm.
Lettre signée et portrait à la mine de plomb de E.Castel signé
BOULANGER Georges ErnestEnsemble de 2 documents :— Lettre signée du 21 janvier 1889 concernant un bal dans les salons de l’hôtel oriental au profit de la caisse de la société de secours des amis des sciences.— Portrait à la mine de plomb le représentant par E.Castel (signé et daté [18]88) et signé par le général Boulanger. 19 x 13 cm, pli horizontal.
Brevet franc-maçonnique
FRANC-MAÇONNERIE.Brevet franc-maçonnique. Paris, 7 février 1893 ; 350 x 270 mm, petite déchirure aux fentes au milieu. Très bel en-tête illustré maçonnique « Le Grand Orient de France », imprimé en bleu. Beau sceau à sec sur papier couleur outremer. Brevet délivré à Eugène Gautier, adjudant d’artillerie, sur la demande de la loge Le réveil du Calaisis, Orient de Calais, pour être reçu maître franc-maçon. Beau diplôme.
Lettre autographe signée
SIHANOUK NORODOMLettre autographe signée, adressée à Gérard Leman. « Palais Chang Gou Wou, près de Pyong Yang, R.P.D de Corée, le 2 avril » ; 1 page in-4°. « Ma petite-fille, la princesse Sisowath Kalyan Dévi, aura l’honneur de vous adresser une photo d’elle avec sa signature. Quant à moi, j’aurai le plaisir de vous envoyer, by Air Mail, dès demain, de Pyong Yang (R.P.D de Corée), 1 DVD du plus récent de mes films Un chateau au milieu de la forêt avec Kalyan Dévi (que vous admirez à juste titre) comme “star”. »
Lettre autographe signée
SIMON Jules (Jules François Simon Suisse, dit)Lettre autographe signée. [Paris, 14 novembre 1870] ; 1 page in-8°. « Les départs en ballons sont retenus à l’avance. Je vais voir ce soir ce qui est possible. Venez me voir demain matin, 15 novembre, entre 9 et 10 heures, je vous dirai la réponse. Les ballons dépendent du ministre des Finances. »
Lettre autographe signée
FARRÈRE Claude (Frédéric-Charles Bargone, dit)Lettre autographe, signée « Claude », adressée à Pierre Louÿs. « Dimanche, 3 h 30 a.m.» ; 2 pages in-4°, enveloppe timbrée de Paris avec cachet du 12 septembre 1915.Longue lettre d’ordre financier sur le prix de ses tirages. « Dernière heure : Humblot me propose 1° de lui payer 40 000 francs sur mon premier tirage (86 800, chiffre initial, non discuté encore avec Flam.)2° de lui payer 33 % des tirages ultérieurs.Il s’agit, bien entendu, des cinq Fumées ... Petites Alliées, à 50 c. (100 000) 95 c. (40 000) 3 f50 (12 000) 5 f.(2 000 exempl.). […] Ce qui reviendrait à payer près de 70 000 francs, dont 40 000 au comptant, ma liberté. Pensez-y et conseillez-moi. »Il doit s’agir ici de rééditions populaires d’œuvres de Farrère chez Ollendorff et Flammarion, car Alfred Humblot était directeur des éditions en question (il est resté célèbre par son refus, en 1913, du manuscrit de Du côté de chez Swann). On voit que Farrère était un redoutable homme d’affaires et savait défendre ses intérêts, en demandant souvent conseil à Louÿs. À la fin de la lettre, Farrère évoque Simone : probablement Simone Puget, une des maîtresses de Farrère, lequel échangeait à son sujet des confidences intimes avec Louÿs.
Manuscrit autographe signé
FARRÈRE Claude (Frédéric-Charles Bargone, dit)Manuscrit autographe signé, « Sociétaires à part entière ». « En mer, mars 1930 (bord el Biar) » ; 12 pages in-folio. Le manuscrit est dédicacé à Jean-Paul Merzbach. Conte dédié à Alfred Sexer.« Dans l’auto qui nous ramenait de Djemila à Saint-Arnaud, nous étions quatre : Nanjac, l’homme des barytes ; Abrial, le poète ; Ornano, l’administrateur des communes mixtes et moi. J’étais venu pour donner un coup d’œil à mes blés. Et Ornano, pour montrer le théâtre antique à Abrial ».
Manuscrit autographe signé
FARRÈRE Claude (Frédéric-Charles Bargone, dit)Manuscrit autographe signé « Front de mer ». [1940] ; 14 pages in-4°. Manuscrit sans doute incomplet du début.Récit de batailles navales. Article sans doute publié dans Gringoire de mars 1940.
Lettre autographe signée
FARRÈRE Claude (Frédéric-Charles Bargone, dit)Lettre autographe signée, adressée à M. Vecchini. Nice, 23 janvier 1951; 4 pages in-4°, enveloppe timbrée jointe.Superbe lettre sur le roman de Pierre Benoit, Les Agriates : « Je suis très gravement malade, mais je serais mourant que je répondrais à la lettre d’un homme tel que vous. Ce que je pense des Agriates ? D’abord que c’est un chef-d’œuvre. Rarement Pierre Benoit a écrit un roman plus exaltant. Si j’avais cependant une critique, je ne me placerais qu’au point de vue corse. Vous savez que je suis Corse. C’est pourquoi je n’estime pas qu’un Corse mortellement offensé, mais ne sachant pas par qui, voudra jamais éparpiller sa vengeance sur trois coupables possibles, mais improbables. On ne se venge bien que d’un ennemi dont on est assuré qu’il l’est. Dans le cas du héros de Pierre, je crois qu’avant de recourir à la cause froide ou à la balle chaude, l’admirable Ald’Auton aurait d’abord dû réfléchir. Il a une femme de 27 ans. Qui cette jeune peut-elle choisir pour amant ? À n’en pas douter, pas un homme de beaucoup son aîné. Ce sont les petites filles qui se toquent d’un galant à cheveux blancs. […] Le continental est en Corse depuis trop peu de temps. La dame a beau être de Lucques, elle n’a rien d’une catin. Elle ne se sera pas jetée aux bras d’un inconnu ou presque. Reste l’amateur de yachting. C’est le moins impossible. Avec sa prodigieuse maîtrise, P.B. s’est gardé de nous faire assister à la scène de provocation. Elle serait d’une effarante difficulté. Il me semble invraisemblable que l’amant supposé ne puisse pas trouver une preuve de son innocence, à s’étaler sous les yeux de l’époux indécis. […] Tout ça est de la logique pure. Je n’en serai pas moins désolé que Pierre ne s’y fût point conformé. Nous aurions perdu une, deux, trois scènes magnifiques. […] Mais je répète que mes critiques corses n’entachent en rien la splendeur du plus beau récit corse que je sache depuis Colomba. »
Lettre autographe signée
SOUPAULT PhilippeLettre autographe signée, adressée à Mme Georges Lubin. Paris, 20 décembre 1933 ; 1 page in-12, enveloppe timbrée jointe. « Voici qq. photos de Ph. Soupault. Il a un peu l’air d’un assassin ou d’un bourreau ce qui convient bien à un critique qui exécute les films avec régularité. » Lettre amusante.