Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce signée
GREENE Henry GrahamPièce signée. Paris, 25 février 1963 : 4 pages in-4°. Contrat signé avec la Société des Auteurs et Compositeurs pour la pièce L’amant complaisant.
Lettre autographe signée
BLUMENTHAL JacquesLettre autographe signée, adressée à un « maestro ». « Thursday » ; 1 page in-16, en anglais sur papier illustré de deux papillons gris et bleu sur la lettre. Charmante missive. « I was very sorry I could go neither to your’s nor to Princess Viano’s party yesterday night as I had one of my usual headaches and did not step out at all. Yours most sincerely. Jacques Blumenthal. »
Lettre autographe signée
CARAFA Michele Enrico, prince de ColobranoLettre autographe signée, adressée à M. Dufau. Paris, 19 août 1844 ; 2 pages 1/2 in-4°. En-tête « Gymnase Musical militaire ». Longue lettre musicale : « Voici la musique que j’ai vue et corrigée de mon mieux. M. Onslow, qui est parti samedi après la séance de l’Institut pour l’Auvergne, m’a chargé de vous témoigner tous ses regrets de ne pouvoir assister aujourd’hui à votre distribution des prix. » Il donne ensuite son avis, jugeant et commentant les compositions musicales présentées.
Photographie signée
MARKÉVITCH IgorPhotographie signée. 12,5 x 17,7 cm.« Pour Gérard Leman, ce souvenir de Markévitch ».
Lettre autographe signée
CLAIRIN Pierre Eugène3 lettres autographes signées, adressées à Raymond Nacenta, directeur de la galerie Charpentier :— Paris, le 6 mars 1932 ; 1 page in-4°. « Veuillez accepter toutes mes félicitations pour votre Légion d’honneur. Tous les artistes qui ont été exposés par votre galerie doivent se réjouir de vous voir à l’honneur. »— Paris, le 12 décembre 1946 ; 1 page in-8°, trous d’archivage. « Je voulais aussi vous annoncer cette petite exposition d’aquarelles. Dès que j’aurai terminé sa préparation, je téléphonerai pour avoir un rendez-vous. »— Paris, le 27 novembre 1953 ; 1 page in-4°, trous d’archivage. « Ayant eu encore la chance de vendre ma toile des Tuileries grâce à vous, et n’ayant pas fait d’exposition depuis longtemps, voudriez-vous venir voir l’ensemble de ce que j’ai chez moi. J’ai beaucoup travaillé dans le calme à Saint-Loup et pas hâtivement. »
Ensemble de lettres autographes signées
MAC-AVOY ÉdouardLettre autographe signée, adressée à Mme Ramel. Paris, 29 décembre 1951 ; 4 pages in-4°, enveloppe timbrée jointe. Longue et jolie lettre évoquant une exposition. « Le triomphe de notre récente présentation de céramiques est plus significatif quant aux possibilités qu’elle permet d’envisager. » Il offre une toile pour couvrir les frais dentaires de son fils dans le besoin : « J’accepterais qu’il s’occupe du rafraîchissement des peintures de mon appartement, qui datent de 1938 !! Il s’agit d’un couloir, peint à l’huile, en blanc, et que Pierre connaît par cœur et de 3 pièces assez petites, peintes au Silexor. »On joint 4 lettres autographes signées, adressées à la même, déchirées (sauvées de la destruction). Ces lettres évoquent la préparation d’expositions de toiles de Jean Cocteau, etc.
Ensemble de 8 lettres autographes signées
PROZOR MauriceEnsemble de 8 lettres autographes signées, adressées à M. Royer. De 1894 à 1909 ; formats in-8° principalement :— Pétersbourg, le 21 janvier 1894. « Monsieur Lugné-Poë, directeur de l’Oeuvre, nous a demandé M. Henrik Ibsen et à moi, l’autorisation de jouer en tournées (hors de Paris) Maison de Poupée. Après m’être concerté à ce sujet avec l’auteur, je lui ai notifié notre consentement. […] Les tournées rapportant un bénéfice, il est juste que nous en ayons note part, mais j’ignore ce que cette part est d’habitude et vous serais très reconnaissant de la fixer conformément à l’usage. […] Deux points spéciaux à vous signaler : 1°/ Les tournées ne devront avoir lieu qu’après la représentation de Maison de Poupée au Vaudeville, 2°/ Le rôle de Noa devra être joué soir par Mme Hartman, soit, à son défaut, par telle bonne actrice sur le choix de laquelle nous tomberions d’accord ».— Pétersbourg, le 27 décembre 1896. « J’envoie à Ibsen un projet de défense relativement à la représentation de la comédie de l’Amour à la maison d’art de Bruxelles. […] Il n’y a aucun danger que vous vous heurtiez à une autorisation d’Ibsen, puisque c’est lui qui, le premier m’a signalé verbalement cet été la traduction de Melle de Zeffelin et de Colleville et m’a engagé à prendre contre elle des mesures judiciaires ».— Genève, le 13 mai 1898. « J’ai l’honneur de vous informer que je fais abandon à l’Oeuvre de mes droits d’auteur pour la représentation à ces théâtres de Balcons […]. Il y a 4 ans, j’ai présenté au Vaudeville une pièce intitulée Les Loups. Ayant appris que le même titre avait été donné par M. S Just au drame que l’Oeuvre va réferer […] je réserverai mes droits de priorité dans une lettre à M. Lugné Poë, qui après s’être entretenu avec l’auteur, m’annonça que ce dernier avait changé le tire de sa pièce, ce dont je le remerciais. »— Genève, le 6 mars 1899. « Je viens vous prier de vouloir bien faire, en général, pour toute cette saison, la remise à l’Oeuvre, en mon nom et au nom de l’auteur de nos droits pour toutes les pièces e M. Ibsen dont je suis le traducteur et surseoir, en ce qui concerne les autres, à la perception des droits de ce dernier. »— Genève, le 27 novembre 1899. M. Shumann lui a demandé « l’autorisation de faire jouer Maison de Poupée à Paris, en allemand, avec Mme Somma dans le rôle de Nora. […] Je viens de lui télégraphier ce qui suit : “ Autorise représentations Somma aux conditions ordinaires”. Ces derniers mots signifient soit que les droits d’auteur de M. Ibsen doivent être évalués d’après la règle en vigueur à Paris, doit qu’ils doivent être les mêmes que ceux, qu’il touche pour les représentations de Maison de Poupée avec Mme Somma en Allemagne. »— Genève, 1er mars 1900. On lui a demandé télégraphiquement « le privilège de la nouvelle pièce d’Ibsen, Quand nous nous réveillerons d’entre les morts […]. Depuis lors, la direction du Gymnase a, à diverses reprises fait passer des notes empêchant son franc parler d’un autre côté. »Paris, le 30 octobre 1906. Au sujet de la représentation de la Dame de la Mer à Genève : « Comme je vous l’ai dit, cette représentation m’a mis personnellement dans la situation la plus délicate, puisque d’une part, j’avais donné la pièce à Mme Réjane, à qui j’ai cru devoir présenter mes excuses en lui expliquant la Dame de la Mer avait été jouée à mon insu et à celui des héritiers d’Ibsen, a bien voulu me dire qu’elle ne soulèverait pas d’obstacle de son côté. »— Genève, le 12 juin 1909. « Comme vous le savez, j’avais demandé à M. Porel, s’il comptait reprendre Maison de Poupée dans le courant de la la saison actuelle, avec Mme Réjane dans le rôle de Nova […]. M. Porel m’ayant répondu négativement, je lui ai confirmé ma première lettre, en ajoutant, que quelques usages que je fisse de mon droit, Mme Réjane conserverait pour jouer la faculté de rejouer le rôle si magistralement créé par elle en France.»
Lavis signé
LÉPAULLE Guillaume-François-GabrielScène de montagne.Lavis signé « G. Lepaulle ». 1830 ; 13,5 x 18 cm.
Photographie signée.
DULLIN CharlesPhotographie autographe signé. 14 décembre 1944 ; 240 x 180 mm. Grande photographie représentant l’acteur dans le rôle de Shylock dédicacée : « À Madame Joutel. Le 14 déc. 44 Ch. Dullin ».
Photographie
MENDELSSOHN BARTHOLDY FelixPhotographie (sans doute d’après un tableau). Format cabinet (16,5 x 11 cm). Photographie éditée par F. Bruckmann in München.
Photographie
RUBINSTEIN Anton GrigoriévitchPhotographie. Format cabinet (16,5 x 11 cm). Belle photographie par J. Gantz à Bruxelles.
Correspondance de Marcel Galabert, poilu :
GUERRE 1914-1918.Correspondance de Marcel Galabert, poilu :— Manuscrit de 3 pages in-4°, intitulé « Journées mémorables » : « 9 septembre - Gouvonge, bombardés dans le village, ma section reste seule dans le village, impossible de se replier, enfin sur le point d’être pris, tentons une sortie qui nous réussit, arrivons la section complète, saine et sauve à Tiémont. Très bien reçus par la municipalité. […] Violent combat dans le bois. Continuons d’avancer. Constant. Retraite des allemands jusqu’à Révigny. Nous faisons demi-tour. Sommes remplacés par l’Infie. Direction Verdun. 13/7bre. Bombardés toute la journée dans un champ. Mission Reste sur place. Amis disparus […]. 29 [octobre] : 1/4 h de repos. Commençons l’assaut, assaillis par une pluie de balles. Assaut commencé par le 40e […]. Arrivons à proximité des tranchées, arrêtés par les fils de fer, obligés de se replier à cause de marmites qui tombent 240 et 420. 2 fusils coupés par les balles, 1 par un éclat d’obus, 2 balles traversent mon sac. Arrive au sommet avec le sabre d’un sous-lieutenant blessé à mes côtés. »— 4 cartes adressées à sa soeur, Juliette. De 1914 à 1917. Pensées affectueuses.— 3 lettres adressées à ses parents. Le 7 mars, il est toujours en bonne santé « sur une [photographie] nous sommes pourvus des peaux de bique dont on nous a dotés et dont nous n’avons pas eu l’occasion de nous servir souvent » ; Sur la deuxième lettre : « Voici quelle est ma situation, très légèrement blessé au combat de Lunéville, je me trouve dans cette ville depuis le 22 août. […] Je me trouvais à environ 300 mètres de l’ennemi quand en me portant en avant, je reçus une balle dans le pied. En me retirant pour me faire panser une autre balle m’atteignit à l’épaule et suivant une côte ressortit au beau milieu de la poitrine. […] Il n’y a pas lieu de s’alarmer pour cela car d’ici quelques jours, il n’y paraitra plus. » ; Le 2 octobre 1914, il a apprend à ses parents qu’il est prisonnier de guerre au Camp de Hammelburg et en parfaite santé « Il ne reste actuellement de mes blessures que de légères cicatrices. Vous pouvez être rassurés aussi sur la façon dont nous sommes traités, l’appréciation générale se traduit sûrement par un “bien” relatif, vous le comprenez. »On joint une lettre de sa soeur, adressée à un ministre pour connaître l’endroit où son frère a été fait prisonnier en Allemagne et 2 lettres de l’Ambassade d’Espagne.On joint également toute la correspondance adressée à sa soeur Juliette de 1914 à 1918.
Photographie avec dédicace autographe signée
HERRIOT ÉdouardPhotographie avec dédicace autographe signée sur le montage, adressée à M. Bréhant. 75 x 115 mm sur un carton 125 x 180 mm. Photographie collée sur un carton sur lequel E. Herriot a écrit « À M. Jacques Bréhant, hommage d’un Français passionnément dévoué à son pays. E. Herriot ».
Manuscrit d’un récit de l’époque révolutionnaire écrit en 1848.
REVOLUTION.Manuscrit d’un récit de l’époque révolutionnaire écrit en 1848.[1848-1849] ; 50 pages in-8°. Ce manuscrit a été écrit par « Jean-Pierre Landon père alors, sergent à la 1ère Cie du 1er bataillon de cette légion et demi-brigade. Ce mémoire a été commencé et dicté par le dénommé ci-dessus le 15 novembre 1848 et a été fini le 1er février 1849. » « Mémoire et récit circonstanciels de la part que prit le 4ème bataillon des chasseurs des montagnes depuis le mois de juin 1793 jusqu’à la paix d’Espagne 1795 dans le département des Pyrénées Orientales, son arrivée à Toulouse en octobre même année, son embrigadement avec la légion des Allobroges, le départ de cette légion pour l’armée d’Italie en 96, la part que prit cette légion à partir du pied des Alpes jusqu'à Léobins où se traitèrent les préliminaires qui suivirent la paix de Campo-Formio, l’embrigadement de la dite légion avec la 27e légère à Pressano en avant de la ville de Trente dans le Tirol. »
Lettre autographe signée
BARBUSSE HenriPensée autographe, signée. 1 page in-8°.« Le vin Mariani est à la fois le pinard et la gnole de tous les soldats de la pensée. »Connue comme « vin Mariani », la préparation est commercialisée à l’époque sous le nom de « vin tonique Mariani (à la Coca du Pérou) ». La boisson est un énorme succès qui lui vaut la célébrité dans toute l’Europe. En France, la version cocaïnisée du vin Mariani sera autorisée jusqu’en 1910.