Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
ARTISTES ANIMALIERS.Livre dor avec adresses, commentaire et signatures (environ 500) de lexposition des artistes animaliers au Cercle Volney en avril 1957 (Sandoz, Margat, Mme Kisling, Henri Valete, Roger Raboussin...). 38 pages in-4°. Parmi les signataires, on relève : peintres : Georges Villa,, Georges Helleu, Robert Mahias, Paul Véra, Mario Cavaglieri, Peynet, Lucien Martial, Mathurin Méheut, Alexis Kalaeff, Christian Ehlinger, Maurice Buffet, Chou Ling, etc. sculpteurs : Michel Saint Olive, Maurice Saulo, Lucie Bouniol, Kaïko Moti, Arnold Huggler, Olga Yversen, etc. architectes : Jean Taillens, Georges Labro, écrivains : René Domergue, Louis Le Sidaner, dOrmession, Kikou Yamata, etc. paléontologues : Henri Victor Vallois, Jean-Pierre Lehman, Joailler : Charles Mellerio, cavalier : Yves Benoit Gironière, gouverneurs des colonies : Emile Bollaert, Armand Annet, divers : Jacqueline Milan (gérante de la Closerie des Lilas), Darthea Spayer (1919-2014), galeriste US.
Lettre autographe signée
VICTOR Paul-ÉmileLettre autographe signée, adressée à Mme Bour. Nice, 6 septembre 1938 ; 1 page in-4°, enveloppe jointe. « Comment va Baram ? Jai pensé à lui lautre jour en rendant visite à mes chiens. Ils sont au fort des Gondrans à 2600 m au dessus du Mont Genièvre. Jai pensé à lui car jai pensé à la différence qui existe entre lui et eux. Comme entre Serge Lifar et moi, lui étant Serbe, bien entendu. Il ny a quun pays au monde pour ne rien faire, cest la Riviéra. Peut-être aussi la Polynésie. Cest pourquoi avec ma tente et mon canoë, avec mon harpon aussi (avec lequel je fais de la chasse sous-marine) je ne fais rien et dois mefforcer de partir bientôt pour me remettre à une vie plus active. Elle me permettra ainsi daller vous baiser la main puisque quil ny a quun pays pour travailler : Paris. »On joint une lettre autographe signée du même, également adressée à Mme Bour, pour demande de rendez-vous.
Lettre signée
CLARY JulieLettre signée, adressée au Grand Maître de la Reine d'Espagne. Mortefontaine, 30 Xbre 1808 ; 1 page in-4°. Lettre intéressante sur son aumônier, l'abbé Lécuy, autrefois abbé général des Prémontrés. « M. L'abbé Lécuy, autrefois abbé général de Prémontré, aujourd'hui mon aumônier chapelain, désire une place de conseiller ordinaire de l'Université. Vous pouvez voir par la note ci-jointe qu'il en était membre de l'ancienne et qu'il a passé une partie de sa vie dans l'instruction publique. M. Lécuy est un des officiers de ma maison et un homme d'un mérite distingué ; je prends à lui beaucoup d'intérêt et je verrais avec plaisir qu'il obtint par vos bons offices la place qu'il désire. »
Livre avec envoi
MATHIEU Georges« Au-delà du Tachisme ». René Julliard, Paris, 1963 ; 20 x 14 cm, broché, couverture salie. Envoi autographe signé avec petit dessin. « Pour Gil Fonteneau en souvenir de Mathieu. » Accompagné d'un dessin au feutre sur la page de gauche.
Ensemble de lettres autographes signées
CRAUK AdolpheEnsemble de 9 lettres autographes signées, adressées à M. Bernier. Issy-les-Moulineaux, 1910 ; 14 pages in-12. Au sujet de parchemins. « Certes le parchemin rend beaucoup mieux une uvre de gravure que toute autre épreuve ; la différence est très grande ; le seul inconvénient du parchemin, c'est qu'il coûte très cher, aussi on en tire que très peu, c'est ce qui augmente la valeur des épreuves. Au sujet du parchemin de la Vierge que vous désiriez bien posséder aussi mais vous trouvez la somme un peu trop élevée, je dois vous dire franchement que c'est le prix que j'ai vendu les deux autres et que, vu le tirage restreint des parchemins, cela vaut grandement 300 F chaque. »
Ensemble de 4 lettres autographes
COCHELET LouiseEnsemble de 4 lettres autographes adressées à Louis Blondel. [Wolfsberg, 1832-1833] ; 19 pages in-8° et 5 pages in-12°. Correspondance de la lectrice d’Hortense de Beauharnais, écrite de Suisse où elle a accompagné la reine en exil. Lettres amicales, répétant à l’envie toutes les qualités de dévouement et de fidélité qu’elle trouve à son correspondant, homme d’une espèce rare, « sous le rapport des nobles et constants sentiments vous en êtes le héros ». Elle lui demande des nouvelles de Paris, bien que cette ville semble peu désirable au regard de la vie qu’elle mène à Wolsberg, avec son mari Charles. Elle évoque le temps d’avant, notamment un séjour dans les Pyrénées, en 1807, et l’impression que lui avait le cirque de Gavarni, « les grandes beautés de la nature rendent les hommes bien petits et bien vilains ». Elle décrit une vie calme, entre visites de voisinage, promenades et jeux de loto, et si leur bourse est un peu plate, ce qui compte, c’est l’honneur et la fidélité aux souvenirs. « Les hommes doivent paraître pour lutter et triompher, les femmes pour calmer, consoler et pardonner, chacun son rôle et les changer de place, c’est vouloir dénaturer notre belle nature ». Louise Cochelet (1783-1836) avait fait la connaissance de la future reine de Hollande dans la maison d’éducation de Madame Campan. Devenue une fidèle dame de compagnie, elle accompagna Hortense dans l’exil. Ayant épousé en 1822 le commandant Charles Parquin, ancien militaire des armées napoléoniennes, elle s’installa au château de Wolfsberg, tout proche d’Arenenberg, la résidence d’Hortense et de son fils Louis Napoléon. Elle et son époux y tinrent une pension de famille ; elle laissa des Mémoires sur la reine Hortense et la famille impériale, publiés en 1836, un an après son décès.
Ensemble de 2 lettres autographes dont une signée de ses initiales
Mme Davillier2 lettres autographes dont une signée de ses initiales adressées au bonapartiste Louis Belmontet. Bade 6 août et 5 septembre 1836 ; 3 pages in-8° avec adresse et 3 pages in-12°. Lors d’un séjour dans le Grand-Duché de Bade, quelques semaines avant la tentative du coup d’état de Strasbourg. Mme Davilliers décrit une vie agréable, dans le beau duché la ville où elle séjourne et où elle a fait la connaissance du prince Louis qu’elle aime beaucoup, « il est si distingué, si bon [...] sa conduite ici est fort mesurée et fort simple ». Elle transmet à Belmontet toutes les choses flatteuses que le prince pense de lui, parle de la petite coterie que les Français forment à Bade, retrouvant les Anglais et les Russes lors de magnifiques bals : « il n’y a plus qu’une seule nation dont l’opinion et le but est le plaisir ». Le 5 septembre, elle explique qu’elle n’a pas pu faire part à Louis Napoléon, déjà parti de Bade, de la naissance du fils de Belmontet, ajoutant qu’elle a été affligée de voir que le prince n’a pas été prudent : « il est à mon avis des positions si grandes dans la vie (et la sienne est du nombre) où toutes fantaisies légères doivent être interdites [...] et ça n’a pas été assez la règle de conduite du prince ». Elle condamne également la conduite de la princesse Stéphanie de Beauharnais [grande-duchesse de Bade] qui semble avoir oublié qu’elle est française. En raison du choléra qui sévit, elle-même ne pourra pas aller voir la duchesse de Saint-Leu [la reine Hortense] comme elle l’a promis au prince.
Aquarelle représentant un pot de fleurs.
CARELMAN JacquesAquarelle représentant un pot de fleurs. Signée et datée du 30 août 1964 en bas à droite. 50 X 32,5 cm. Provenance : vente de la succession Carelman.
Lettre autographe signée
CLAUDE GeorgesLettre autographe signée. 16 novembre 1930 ; 1 page in-8°. En-tête gravé à son nom et adresse. « En réponse à votre aimable lettre du 8 novembre, je vous adresse un phrase de mon discours d'hier au banquet qui nous a été offert à Boucherot et à moi. »
Lettres autographes signées
DUNOYER DE SEGONZAC AndréEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à Mme Lacourière. Saint-Tropez, 7 mai 1947 ; 2 pages in-4°, enveloppe jointe. Je trouve votre idée excellente. Il est même dommage que nous n'y ayons pas pensé plus tôt. Dès mon retour, je passerai vous voir. Nous verrons pour le tirage du tome ÌI. 100 exemplaires me semblent bien comme chiffre. Et je m'occuperai tout de suite de la couverture et des emboîtages. Le chant II doit être très avancé. Il y a certainement quelques cuivres réenmargés à travailler. Je m'en occuperai dès mon retour. » Saint-Tropez, « Lundi de Pâques » ; 2 pages in-4°. Est jointe un enveloppe du 8/07/1964. « Je pense que Jacques a bien reçu 3 cuivres (format géorgique) que je lui ai fait expédier d'ici, il y a 8 jours. Un de ces cuivres doit figurer dans la plaquette, imprimée à l'occasion du Quadricentenaire des Libertés de Saint-Tropez où les galères espagnoles ont été repoussées quand elles ont attaqué la Ville de Saint-Tropez en 1558. J'ai besoin très rapidement d'avoir les épreuves d'essai pour choisir le cuivre qui sera utilisé. Et il faut que le tout soit exécuté fin avril. J'ai un peu la responsabilité de ce travail vis à vis de la Municipalité ici. René Clair s'occupe de la publicité et de radio et télévision Cette cérémonie de la Bravade - 1958 revêtira une certaine solennité. Les ambassadeurs d'Italie, d'Argentine, du Pakistan viendront. »
Carte autographe signée
CAROLUS-DURAN (Charles Durand, dit)Carte autographe signée sur une photographie le représentant. Sans date ; 14 x 9 cm. « Je vous assure que vous vous exprimez très bien, et dans une forme très charmante vous dites votre admiration dont je suis très touché. Un poète de mes amis a dit que les amis inconnus sont les meilleurs. Je suis de son avis, surtout lorsqu'ils sont jeunes, car leur enthousiasme vient facilement du cur aux lèvres. Il est doux d'inspirer de la sympathie à ceux qui sont l'avenir. »
Partition autographe signée
OLLONE Max d (Maximilien Paul Marie Félix, dit)Portée musicale autographe signée. 1 page in-4°. « Trio en la mineur pour violon. »
Pièce autographe signée
HUE Georges AdolphePièce autographe signée. 1 page in-16 oblongue. Portée musicale signée.
Miniature ovale, sur ivoire, signée Philippot
ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe SIÈCLE MINIATURE.Portrait d'homme à l'habit noir. 1829. 51 x 63 mm. Miniature ovale, sur ivoire, signée Philippot et datée 1829.
Lettre signée
BYRD Richard EvelynLettre signée, adressée à un admirateur, McCorison. Boston, le 19 septembre 1950 ; 1 page in-4°. « I will be delighted to sign your book. I suggest that you send it to me here, since I hope to return home again before too long. Please forgive this very hasty note, as I am leaving for Washington tonight and there is a great deal of accumulated mail to be attended to before I leave. »