Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Pièce signée
SOREL Cécile (Céline Seurre, dite)Gravure la représentant sur la scène avec envoi autographe signé, adressé à Maurice Escande. 305 X 440 mm. « C’était pour représenter la race française que Dieu nous avait fait beaux, Maurice, continue, et remercie-le. Je t’aime en Lui. Cécile. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées, adressées au peintre Émile Henry Tilmans
BAËS ÉmileEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées au peintre Émile Henry Tilmans. 1950-1952 ; 3 pages in-4° et 1 page in-12. Il regrette de ne pas l’avoir rencontré au Salon d’Hiver « J’ai une magnifique presse à bras » qui lui sert pour ses tirages d’eaux fortes. Il va déposer chez Helvig dix planches vernies, son nouvel album. On joint une photographie signée de son tableau L’été nu représentant une jeune femme nue.
Manuscrit autographe
FAYE HervéManuscrit autographe. 5 pages in-4°. Communication faite à l’Académie des sciences sur les travaux de M. Sage. Il est question d’astronomie, d’applications de procédés photographiques à la dernière éclipse. « Un des beaux clichés, obtenus à cette occasion à l’aide de la grande lunette de M. Vorro, a été présenté à l’Académie par M. Sage. C’était l’épreuve relative à la plus grande phase. » Très intéressant manuscrit scientifique.
Lettre autographe signée
BERL EmmanuelLettre autographe signée [adressée à J. Carcopino]. Paris, 21 novembre 1959 ; 1 page 1/2 in-4°. « Votre aimable lettre me rend confus. J’admire beaucoup votre César. Je pense que, loin d’être imposteur, vous avez contribué plus que personne à démystifier Cléopâtre et à réduire à leurs justes proportions, ses charmes illustres. César a été sans doute un romain patriote. D’autre part les romains l’ont tué. De là, pour ceux qui l’admirent - comme vous et moi - une ambivalence à laquelle on ne peut guère échapper. J’estime, moi aussi, stupide, d’imaginer un César vieilli que sa passion pour Cléopâtre égarerait ; mais non pas de supposer qu’il eut institué en Égypte un régime différent et celui que ses successeurs établirent. Je me demande si on n’a pas un peu méconnu la civilisation hellénistique - quoique je sente les terribles défauts de l’administration lagide. […] L’Islam ayant pris contre l’administration romaine - une preuve par neuf trop évidente - il ne me semble pas interdit de supposer que César s’il eut échappé à ses assassins et battu les Parthes aurait mieux sauvegardé en Égypte la tradition pharaonique et la tradition macédonienne et qu’il eut consolidé au lieu de l’abattre, l’édifice vermoulu qui défendait Cléopâtre »...
Ensemble de 2 aquarelles. Scènes de Blaise le savetier.
ÉCOLE FRANÇAISE DU XVIIIe.Scènes de Blaise le savetier.Ensemble de 2 aquarelles.Fin XVIIIe-Début XIXe siècle ; 9 x 14 cm.Scènes de Blaise le savetier l’opéra-comique en un acte mêlé d’ariettes de Michel-Jean Sedaine, musique de Philidor, représenté pour la première fois à la Foire Saint-Germain le 9 mars 1759.
Lettre autographe signée
BLANCHE Jacques-ÉmileLettre autographe signée, adressée à Paul Dermée. Offranville, 4 décembre 1920 ; 3 pages ¼ in-8°. Il le remercie pour son n° II : « un record. Tout y est étonnant. » et lui demande son aide : « Lisez le prochain mercredi (je crois, du moins) de Comoedia, et mon appel aux « Avantguardas ». Il s’agit de constituer pour le musée de Strasbourg une salle de peinture française « ultra » moderne. Si des gens comme Salmon voulaient s’en occuper (mais Salmon est trop bon et il est grave !) il semble qu’il fût facile d’obtenir des dons d’artistes tels que Derain et autres peintres fort à leur aise ; et de faire « marcher » les négociants en art d’« Esprit nouveau », gens, pour la plupart, d’origine germanique, mais parfois alsacienne, ou ravis de le faire croire au public. » Il ne peut prendre, personnellement, la tête de cette initiative, mais il pense que Dermée, « qui sut mettre sur pied le seul périodique réussi qu’on nous ait servi depuis longtemps », pourrait réussir. « Mme Langweil [Florine Langweil], la grande Alsacienne, qui a enrichi le musée de Strasbourg d’une merveilleuse collection de peintures chinoises, tirées de ses magasins et galeries privées, se chargerait de recueillir les dons. […] Mais il faudrait que les œuvres fussent importantes, « significatives » […] Il serait assez bien que le premier musée de province française pouvant rivaliser avec ceux d’Allemagne, fût celui de Strasbourg, quant à l’Esprit Nouveau. J’écrirais volontiers à Salmon, car il semble tutoyer tous les génies ; mais, encore un coup, j’ai peur de me perdre à ses yeux, ou de le blesser, comme il est susceptible et haut juché dans son ministère apostolique, l’excellent garçon. »
Lettre autographe signée
ADAMOV ArthurLettre autographe signée, adressée à Morvan Lebesque. 1 page 1/2 in-4°. « Sartre a bien voulu participer à une table ronde organisée par France Observateurs où l’on parlerait de théâtre politique et aussi, bien-sûr de Paolo Paoli. […] Il y aurait aussi Michel Butor, et peut-être quelqu’un d’autre encore. » Jolie lettre.
Ensemble de 2 lettres autographes signées
BRÉVILLE Pierre Onfroy deEnsemble de 2 lettres autographes signées :— Paris, 1er mars ; 1 page in-8°, oblongue. « Voici les très petites modifications à apporter au court ensemble Dans le fenouil. Au début, un bref point d’orgue […] sur le 1er temps du “Vivace”. Plus loin, sur oh ! leurs paroles, la mention modéré et deux mesures plus loin la nuance mf. »— Paris, 20 juin 1944 ; 2 pages in-8°. « Hélas ! mon pauvre frère est mort à Nice dans un tragique isolement, sa fille et son gendre n’ayant pu aller l’assister dans ses derniers moments ! […] La vie est actuellement bien dramatique et la remise à une date indéterminée d’un concert n’y est qu’un épisode que les circonstances obligent à considérer comme secondaire. »Sont joints 2 fragments de manuscrits (portées musicales) ainsi qu’une photographie le représentant (cliché de F. Boissonnier, 100 X 115 mm).
Lettre autographe signée
TANSMAN AlexandreLettre autographe signée, adressée à Gérard Leman. Paris, 20 juin 1972 ; 1 page 1/2 in-4°, enveloppe timbrée jointe.Très belle lettre dans laquelle il énumère toutes ses principales œuvres :« Je vous signale les quelques œuvres que je considère comme les plus importantes dans ma production :Éditions Max Eschig, 48 rue de Rome Paris. Musique pour orchestre, Musique pour cordes, concerto pour orchestre, Quatre mouvements pour orchestre, Hommage à Erasme de Rotterdam, Résurrection - ballet (partitions de poche).Sabbataï Zévi, le faux Messie opéra en 1 prologue et 4 actes (réduction pour chant et piano).Universal Edition, Vienne (Autriche)Le Serment, opéra (réduction p. ch. et piano) Sinfonia Piccola, les Habits neufs du roi, d’après Andersen, Isaïe le Prophète (oratorio p. choeurs et orch.) […]. Pour les enregistrements sur disques, malheureusement, ils sont tous faits à l’étranger […], ne figurent au catalogue français que les œuvres pour guitare, enregistrées par André Segovia. »
Lettre autographe signée
PESKÉ Jean (Jan Miroslaw Peszke, dit)Lettre autographe signée, adressée au peintre Alfred Roll. 1 page in-8°.Lettre dans un français hésitant : « Cher Monsieur Roll, Je vous serai bien obligé de jeter un coup d’œil sur mes envois. Pour bien des raisons j’aurai été hereux, grace à vous, a devenir associé (dans la peinture). Si mes envois actuels ne justifient point cette pretention, j’ai d’autres qui la justifieront bientôt. En somme c’est un peu de confiance que je vous demande et vous n’aurez pas à vous repentir de m’avoir accorder : contrairement aux bien des associés presents ou foutures je ne suis pas prèt à m’endormir. Je me rappelle respectueusement aux souvenirs de Madame Roll et je vous prie de croire à mes sentiments les meilleurs et les plus dévoués. Jean Peské. »
Lettre signée
LOUIS IerLettre signée, adressée au cardinal Clarelli. 26 janvier 1865 ; 2/3 page in-folio, en portugais. Adresse et cachets sous papier aux armes.
Dessin autographe signé
PICART LE DOUX JeanDessin autographe signé. 14 décembre 1968 ; 1 page in-12, dans la brochure du XVe Salon de Noël. Exposition de la ville de Bollène du 14 décembre au 12 janvier 1968 dont l’invité d’honneur était Jean Picart Le Doux. Le dessin représente un oiseau dans un soleil. Pièce attrayante.
Lettre autographe signée
GRÉVIN AlfredLettre autographe signée, adressée à un baron. « Saint-Mandé, mardi » ; 1 page in-8°. « Puisque vous voulez bien me consacrer quelques instants, vous conviendrait-il de vous trouver mardi, demain à neuf heures, 11 rue Michelet (atelier Jumelin), là j’aurai le plaisir de vous présenter quelques spécimens de mes portraits en cire : et nous pourrions ensemble causer tout à notre aise ? »
Manuscrit autographe
CASTELAR y RIPOLL EmilioManuscrit autographe « Los Asuntos de Espana ». 15 pages in-8° oblongues, en espagnol.L’article contient tout un plan détaillé de réformation de l’Espagne.
Ensemble de 8 lettres autographes signées
DELCASSÉ ThéophileEnsemble de 8 lettres autographes signées, adressée au journaliste Henry Leyret [1864-1944]. Entre 1914 et 1921 ; ensemble de 18 pages in-12 ou in-8°, enveloppes timbrées jointes.Intéressante correspondance d’ordre politique que nous ne pouvons citer intégralement, citant les nouvelles internationales, la guerre de 1914-18, évoquant la bataille de la Marne et l’instabilité mondiale. 29 septembre 1914 : « Comment se terminera la rude bataille qui a commencé le 14 septembre ? Voilà mon cher ami, la seule question que je me pose. […] Tant d’intérêts et de si sacrés sont dans les mains de nos petits soldats. Ils luttent, ces braves, […] avec la vision de la victoire prochaine. Mais les autres ont la rage de la défaite, et le besoin de l’effacer : que de choses s’écrouleraient avec la réputation de leur armée ». 16 décembre 1915 : « Les Allemands paraissent avoir retiré du front beaucoup plus d’hommes qu’on ne l’avait dit. C’est sur la France qu’ils les ont dirigés. Sur qu’au printemps les troupes russes s’ébranlent, ils veulent éviter une attaque simultanée sur les deux fronts ». 1916 : « Les nouvelles d’Orient ne sont pas de nature à diminuer mes appréhensions. Je lis qu’on somme les Russes, qu’on leur crie : à la rescousse ! » 7 mars 1916 : « La lutte redouble de violence et s’étend. Nos troupes résistent admirablement, ne cédant du terrain que pied à pied. On savait déjà l’énorme supériorité de l’artillerie lourde ennemie ». 12 mars 1916 : il annonce la démission de Galliéni. 6 septembre 1917 : « les nouvelles de Russie sont de plus en plus lamentables, et pour la Russie, et pour nous ». 7 février 1920 : sur la solidité du cabinet. 18 janvier 1921 : il évoque son désir de rester au Palais-Bourbon et de se faire réélire dans l’Ariège. Les lettres évoquent aussi des nouvelles familiales.