Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomPhotographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 24 x 18 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À vous adorable Jeannette. Ce souvenir de votre fervent admirateur, N. Sihanouk. Paris, 22 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brûlées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomGrande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 29,5 x 23,5 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À Mademoiselle Jeannette Batti. En très amical souvenir, N. Sihanouk. Paris, 20 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brûlées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Grande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti
SIHANOUK NorodomGrande photographie du studio Harcourt, dédicacée à l’actrice Jeannette Batti [1925-2011]. [1946] ; 29,5 x 23,5 cm ; photographie signée par le studio Harcourt, avec le portfolio de la maison Harcourt. « À Mademoiselle Jeannette Batti. En très amical souvenir, N. Sihanouk. Paris, 20 juin 1946. » Cette photographie a été dédicacée à l’actrice durant son séjour à Paris en 1946. Il rencontra à cette occasion le général de Gaulle. Les archives du roi ont brulées dans le palais Royal lors de l’arrivée des Khmers rouges.
Lettre autographe signée
STROUD RobertLettre autographe, signée « Love, Bob, Robert Stroud #594 », adressée à sa soeur, Mamie E. Stroud, Metropolis, Illinois. Alcatraz, California, 19 mai 1952 ; 2 pages in-4° recto-verso. Il évoque ses problèmes de santé de son foie dde ses soins, de ses visites, il évoque une hypothétique sortie de prison, etc. « I am feeling o.k., but there is no danger of that liver getting any better. That is something that does not happen. When the liver starts to harden in a person over fifty, it keeps on doing it. The process may be slowed up by proper treatment and living conditions, but it can’t be reversed. Marc was down to see me Saturday and we had a real nice visit. I had made up my mind not to quarrel with him if I could help it and it developed that he did have some constructive ideas. He admitted that he was wrong in the way he handled that affair last year, but gave as his excuse that he was away in the hole and was trying to get out. He is now doing well […] He seemed very anxious to help me and he said that he now has the money to do it and that he will fly to Washington anytime I think it necessary […] I think he has now become convinced that he can never change me, and will play it my way. If he does, we will get somewhere. […] If things go as ... plan, something can probably be done this summer or in the early Fall, and I think we will be able to see that you do not need anything. If I get out, I know that you will never want, and after the talk we had, I think that he will send you money more often […]. I know that you will be pleased that Marc and I have made up. It was too bad that I had to use the method I did use, but since they have cleared the air». Peu commun.
Ensemble de 2 lettres signées
HAMBOURG AndréEnsemble de 2 lettres signées, adressées à Michel de Saint-Pierre, enveloppes jointes :— Englesqueville-en-Auge, le 5 septembre 1972 ; 2 pages in-4°. Il remercie son correspondant pour son invitation et son « magnifique article. […] Votre fille, que j’ai eue au téléphone, m’a dit que vous rentriez ces jours prochains, et j’espère bien pouvoir vous dire, de vive voix, combien votre article m’a ravi. On se sent soulagé, que cela ait pu paraître dans la presse, et écrit, de cette façon-là par vous. Des réactions officielles se sont-elles manifestées ? […] C’est un véritable combat à mener, contre cette déshumanisation de notre planète, devant laquelle trop restent indifférents... On pourrait penser que cela fait partie d’un complot mondial contre l’intelligence et contre l’homme, pour pouvoir plus facilement le conduire, le mener par le bout du nez... Le soi-disant est contemporain, l’hypocrisie, religion d’État, les murailles de béton, les tours et autres marinas... le mensonge, la prise d’otages, tout cela va bien ensemble. »— Englesqueville-en-Auge, le 22 octobre 1972 ; 2 pages in-4°. « Quel bruit cela a fait dans le milieu peintres. Personne, sauf vous, n’a eu le courage de prendre cette position aussi nette, parmi les écrivains ou les critiques d’art (sauf quelques rares, peu lus, peu connus). Et cela a coûté officiellement dit-on près de 200 millions (réponse à M. Poniatowski)... sans le catalogue, l’éclairage, l’enménagement, le déménagement... etc., c’est-à-dire, en effet 400 millions (ou plus !) […] Certains peintres... des sculpteurs également, pensent que de toutes façons, il serait peut-être bon et utile (en effet, nous pouvons tous nous tromper.... et le Président avoir raison !) pour rendre hommage — déférent — aux déclarations du Pdt, et pour préparer peut-être les futures collections du musée Pompidou ou plateau Beaubourg (sans que, pour une fois, cela coûte quoi que ce soit à l’État), nous pourrions déposer à l’Elysée, un don, à son nom, chacun son petit flacon bien bouché, cacheté même, et daté bien entendu ? De quelle richesse serait en effet une salle, en ce moment, de flacons d’urine (de différentes couleurs... suivant l’âge des peintres... mais on pourrait augmenter l’intérêt de pareilles collections en sollicitant des dons... à différentes époques de leur vie...)... Urines de Michel Ange, de Léonard, de Rembrandt, de Chardin (quelle belle nature morte il en aurait tirée !) »On joint une carte autographe signée où il indique un itinéraire à son correspondant.
Manuscrit autographe signé
POINCARÉ RaymondManuscrit autographe signé « La réception de M. Barboux ». [Février 1908] ; 9 pages in-8°, découpées et remontées sur des feuillets plus grands pour l’impression.Discours prononcé à la réception de M. Henri Barboux à l’Académie française.M. Henri Barboux, a été élu par l’Académie française à la place vacante par la mort de M. Ferdinand Brunetière, y est venu prendre séance le jeudi 20 février 1908.
Lettre autographe signée
MARTIN HenriLettre autographe signée « HM », adressée à un ami. [Fin 1917] ; 4 pages in-8°.Sur son élection à l’Académie des Beaux-Arts (24 novembre 1917).Il a eu « beaucoup à répondre à des félicitations », correspondance « un peu fastidieuse malgré tout le plaisir qu’elle me cause, et je ne saurais la comparer qu’à un pauvre s/lieutenant se promenant dans une garnison de province sur une promenade couverte de pioupious qui saluent, et auxquels il doit rendre le salut. Vous savez, je suis encore tout épaté de me trouver Immortel, et le milieu est un peu vieillot, ça n’est pas une blague, mais on est entre gens bien élevés, et puis sous la coupole, par comparaison, je me trouve moins vieux et presque jeune. Je n’ai pas encore commandé le fameux complet aux broderies vertes, le tailleur spécial s’est présenté le jour même de mon élection et 2 ou 3 fois ensuite... il m’a soumis des échantillons de broderies plus allumées les unes que les autres et aussi le prix de cet ensemble, total 880 F, il n’y a pas de centimes et dire que je suis obligé d’avoir cet outil !! Je suis dans mon atelier agrandi, et c’est très bien. La semaine prochaine j’aurai ma toile agrandie et je pourrai me mettre à la besogne, jusqu’à présent je n’ai travaillé qu’à mes toiles de la campagne, et ça n’est pas encore fini »...
Pièce autographe signée
CHEVALIER MauricePièce autographe signée. [1960] ; 1 page in-4°. Reproduite pleine page dans le programme (joint) des Compagnons de la Chanson pour la saison 1960-1961 (8 pages, 31 x 23 cm, plus la couverture).« Les Compagnons de la Chanson sont dans le monde du spectacle la marque de l’avance des temps.- talents rassemblés de chaleur et d’harmonie, ils forment un groupe qui porte magnifiquement dans tous les coins du monde les plus belles chansons de France. Ils ont gagné la sympathie et le respect de ceux qui passent pour avoir ennobli la mélodie populaire. Ils ont le rare mélange de classicisme et de modernisme qui fait que toutes les vagues de publics y trouvent leur satisfaction. Ils sont - parmi ceux que j’ai vu apparaître - des purs.Bonne route chers Compagnons. Maurice Chevalier. »
Lettre autographe signée
JAMMES FrancisLettre autographe signée, adressée à Léon Zack. Hasparren, 20 juillet 1933 ; 3 pages in-4°, enveloppe jointe. Francis Jammes évoque sa vie à Hasparren, en comparaison à la vie parisienne : « Il est certain que sur cette côte, d’Hendaye à Biarritz, le malaise est plus grand qu’ailleurs, endettement par une cherté de vie dont il est difficile de se faire une idée. D’autre part, les indigènes […] y sont assez sots, pas avertis, et subissent en ce moment, avec une exagération en sens inverse, la crise économique […]. Je sais une mauvaise petite villa, en ciment armé, qui s’est louée alors 80 000 francs à des Américains pour deux mois et que l’on ne vendrait peut-être pas aujourd’hui pour 40 000 francs [… ]. Moi-même je suis dans l’inquiétude, avec une maison de douze personnes à faire marcher. Oui, les journaux sont pleins de mon nom et les argus me coûtent cher. Mais quand j’essaye de relancer mes éditeurs, autant espérer tirer du sang d’un navet. »
Ensemble de 9 lettres ou cartes autographes signées, adressées à M. Amouroux
BOSCO HenriEnsemble de 9 lettres ou cartes autographes signées, adressées à M. Amouroux. Formats divers. Avril 1946 : « Pour remercier très tardivement, mais vous remercier tout de même la chronique littéraire d'un article sur le Mas Théotime qui m'est arrivé tardivement.» 28 janvier 1947: « D'autant que la critique en général n'a pas été très tendre pour le Jardin d'Hyacinthe». 11 mai 1947: « Il est bon de sentir qu'on a des amis, surtout quand on prétend dispenser - discrètement - des messages. Je m'efforce, vous le savez, de mettre un peu de bon air, dans les lettres françaises [...]. On peut écrire des livres cruels - le Carré Benoît en est un - sans employer la manière noire. Je m'y efforce.» 7 septembre 1949: « Je vous ai expédié le 16 septembre le texte que vous m'aviez demandé. Comme j'ai déjà corrigé et envoyé d'autres textes, pour d'autres revues, à la même date, je me demande si vous avez reçu celui qui vous était destiné.» 16 septembre 1949: « Ci-joint le texte promis. Il est inédit. Il doit paraître en décembre dans un volume de luxe dont le titre sera Sites et Mirages, Éditions de la Cigogne avec 30 aquarelles d'Albert Marquet.» 7 novembre 1949: «J'ai bien reçu les exemplaires de Sud-Ouest et vous en remercie Le livre va paraître ce mois-ci, où ce texte trouvera sa place.» 5 février 1951: « Amizmiz, loin dans le sud, est sur les premières pentes du grand Atlas, à 1000 mètres, c'est là que m'est parvenu votre beau compte-rendu d' «Un rameau de la nuit», témoignage d'une fidélité amicale à une oeuvre écrite avec un secret désir d'amitié.» 19 avril 1952: « On me communique votre éloge d'Antonin. Il me touche beaucoup et j'ai tenu à vous le dire, vite - trop vite - entre deux trains.» Sans date: « Ce que vous dites de Rousseau m'a fait plaisir. Rousseau m'a fait une simple politesse [...] Il n'aime pas ce livre. Je lui sais gré d'en avoir parlé tout de même, et cependant je regrette qu'il l'ait fait sans une sympathie réelle.»
Lettre autographe signée
DENIS MauriceLettre autographe signée, adressée à Jean Loisy. Saint-Germain, 9 décembre 1936 ; 2/3 page in-4°. Il se déclare sensible à la proposition de Jean Loisy, qu’il se doit toutefois de refuser. « L’urgence de travaux commencés (en vue de l’Exposition) m’interdit avant deux mois, au moins, de prendre une part active à vos réunions. Je suis surmené. Lorsque votre date sera fixée, prévenez-moi. Je ne promets rien, mais je m’intéresse beaucoup à la Défense de la spiritualité dans l’Art, et si je suis en état d’y paraître, je me rendrai bien volontiers à la réunion que vous organisez à ce titre. »
Manuscrit musical autographe signé « Ronde des Métiers ».
INGHELBRECHT Désiré-ÉmileManuscrit musical autographe signé « Ronde des Métiers ». Sans date ; 2 pages in-folio. Chanson pour chœur d’enfants. « Voici le bois clair et gai menuisier ». À la fin de la partition, D.E Inghelbrecht ajoute : « Comme vous l’avez vu, j’ai harmonisé différemment les couplets par groupes de trois, pour éviter la monotonie, mais si c’était trop difficile, tout peut se chanter avec les harmonies du premier couplet. Je suis impatient de savoir votre avis. On peut aussi aux refrains parlés, prolonger en ajoutant les métiers les uns aux autres après chaque couplet. »
Lettre autographe signée
GOUNOD CharlesLettre autographe signée, adressée à « mon cher Directeur » [Nestor Roqueplan, directeur de l’Opéra]. Samedi 9 septembre 1853 ; 2 pages in-8°.Il réside actuellement « dans un petit coin sauvage […] près de Fécamp. Les bains de mer qui sont ordonnés à ma femme ainsi qu’à moi ne nous retiendront plus maintenant qu’une huitaine de jours ». Il se propose de voir Mme Bosio le lendemain de son retour à Paris. « Je travaille sans cesse ; et je puis dire que pour vous comme pour moi-même, j’accomplis, dans ma conscience au moins sinon dans mon œuvre, une véritable mission : je ne me suis jamais senti ni plus de crainte de ne pas faire assez bien, ni plus de courage pour faire tout ce qui est en mon pouvoir. »Charles Gounod travaillait alors à La Nonne sanglante, opéra que Théophile Gautier jugea « une des oeuvres les plus belles, les plus grandioses de ce temps-ci ».
Lettre autographe signée
VLAMINCK Maurice deLettre autographe signée « Vlaminck », adressée à son « cher Lucien » [Descaves]. La Tourillière, Rueil-La-Gadelière, 14 janvier 1934 ; 1 page petit in-4° à son adresse.Vlaminck évoque la parution prochaine chez Delamain de son livre Hautes folies (Paris, 1934), pour lequel il a demandé à Descaves un avant-propos.« Ci joint la lettre de Delamain. J’attends les épreuves. Je compte aller à Paris la semaine prochaine et te voir à ce sujet. Sinon je t’écrirai et t’enverrais les épreuves avec le bon à tirer signé. Tu le feras alors parvenir à Delamain. Ici rien de nouveau il pleut ! C’est le principal ! Les événements financiers, politiques parisiens me plongent dans une sérénité et une béatitude très particulière. À toi mes deux mains et cordialement, Vlaminck. »
Lettre autographe signée
GODIN LouisLettre autographe signée, adressée à un ami. Paris, 2 août 1733 ; 2 pages in-4°. « J’ay reçu icy en tres bon etat les livres que vous et M. Arnaud avez eu la bonté de m’envoyer. Je vous suis tres obligé à tous les deux ; seulement il y en a un de manque intitulé a peu près Astronomie quadam ex traditione sharcholgii arabe et latin si je ne me trompe car il y a plusieurs années que je ne l’ay vu : c’est un petit in-4° mince que je serois fasché qu’il fut perdu […]. Vous ne me dites rien non plus de l’Heveli Machina Caelestis malgré le besoin que vous scavez que j’ay de ce livre, mandez moy au moins (si vous ne voulez pas mieux faire) que vous le voulez absolument garder. […] Je travaille à une Astronomie pratique pour laquelle il me faudra emprunter puisque je ne le scaurais avoir d’ailleurs ; cependant je ne perds pas entièrement l’espérance de votre coté. » Rare.