Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre signée
ENTRECASTEAUX Antoine-Raymond-Joseph de Bruni,Lettre signée, adressée à M. de Morassin. Pondichéry, 8 juin 1787 ; 1 page 1/4 in-folio. Afin de satisfaire à lapprovisionnement de M. de Morassin, dEntrecateaux signale « [...] que la frégate La Résolution ne séloignera pas de la côte de Coromandel jusquau renversement de la mousson, époque où elle ira à la côte de Malabar [...]. La frégate La Calipso ne prendra de vivres que jusquau mois de janvier prochain [...]. La Vénus doit être de retour en août [...] Jaurai lhonneur de vous prier, Monsieur, pour éviter toute discussion entre les différents bâtiments de vouloir bien régler la répartition du vin, 1° Daprès la quantité totale que vous comptez pouvoir vous en procurer dans le courant de lannée ». Texte rare de cette époque.
Importante correspondance adressée à son amie Yvette Rosenfeld, comprenant 10 lettres autographes signées, 14 cartes postales autographes signées, 2 cartes autographes signées, 2 télégrammes et un carton d'invitation avec apostille autographe signée
ÉDY-LEGRAND (Édouard Léon Louis Warschawsky, dit)Importante correspondance adressée à son amie Yvette Rosenfeld, comprenant 10 lettres autographes signées, 14 cartes postales autographes signées, 2 cartes autographes signées, 2 télégrammes et un carton dinvitation avec apostille autographe signée. [Suisse, Italie, Maroc, 1948-1966] ; Ensemble denviron 50 pages in-12, in-8° et in-4°, et 4 enveloppes avec suscription autographe. Lensemble permet de suivre lartiste dans ses pérégrinations à travers la Suisse, lItalie et le Maroc, où il vécut pendant une vingtaine dannées : Assise, 7 mai 1950 : « Ici, quoiquon en dise, peu dart, mais un étalage "romain" écrasant pour la fragile image du pauvre St François, dont la présence émouvante se retrouve néanmoins, dans de petits monastères des environs » ; Rabat, 21 avril 1952 : « Me voilà rentré, après un pénible voyage de retour (pénible, car le flotteur de mon carburateur, crevé dune façon invisible, ma laissé en panne 4 fois !!), et après de fatigantes dernières journées, accroché au mécanisme de ma voiture, défaillante pour les causes ci-dessus, hélas ! connues trop tardivement. Voilà des imprévus qui comptent, lorsquon voyage dans ces régions désertiques, et dune façon telle quils absorbent, à leur manière, la régularité des horaires et des travaux projetés. À Goulimine, jai dû faire venir un mécanicien dAgadir : il a trouvé la raison de la panne, et a fait sa soudure (pièce irremplaçable, et que lon doit faire venir de N. Y. - il sagit dun carburateur spécial, que fabrique que Chevrollet - chose inouïe !!) ». Quelques croquis dans les lettres et deux cartes à part tracées par lartiste pour représenter ses voyages au Maroc. La correspondance est accompagnée dune plaquette intitulée « Représenter le visage du Christ », portant un envoi autographe signé dÉdy-Legrand à Yvette Rosenfeld (4 novembre 1948), et dune carte autographe signée de Myriam Édy-Legrand (24 décembre 1972, 1 p. in-12). Plusieurs cartes portent des reproductions duvres de lartiste.
capitaine dartillerie à cheval
ÉCOLE FRANÇAISE DU XIXe HUILE SUR TOILE.Huile sur toile signée Taillade. Datée de 1850 ; 82 x 65 cm. Portrait en buste d'un capitaine d'artillerie à cheval [en uniforme portant épaulettes, giberne, cordon raquette, grenade, Légion d'honneur, ceinturon. Ancienne collection P. Benoit. Sur son chassis, non encadrée.
Lettre signée
PASTEUR LouisLettre signée. Villa Elysa, 1er janvier 1870 ; 1 page in-12. « Je vous ai envoyé hier une lettre d'affaires ; elle n'était pas plus tôt partie que j'ai beaucoup regretté son ton de mauvaise humeur, depuis le commencement jusqu'à la fin. Me souvenant de la bonté que vous avez eue de vous intéresser à ma santé, je me reproche de ne vous en avoir rien dit, et ces quelques lignes n'ont d'autre but que de m'excuser auprès de vous. »
Lettre autographe signée
DAVOUT Louis NicolasLettre autographe signée « Louis » adressée à sa femme. « Près de Presbourg», 2 juillet [1809] ; 2 pages 1/2 in-4°. « Je t’ai annoncé il y a quelques jours ma chère aimée l’envoi de 20 000 francs environ provenant de nos revenus de [...] Hanovre. J’avais espéré pouvoir réaliser les ordonnances qui m’aveient été envoyés sur les receveurs généraux françaisdans ces pays. La lettre ci jointe de Lenoir te prouvera que j’ai échoué. Je te l’envoie avec les ordonnances qui ne se montent qu’à 17 000 francs et non à 20 000 francs comme je le croyais. La lettre de Lenoir explique comment il faut s’y prendre pour faire acquitter les ordonnances. Ainsi je n’entrerai dans aucun détails. Tu as ma procuration qui est général et par conséquent suffisante pour toucher ces sommes. Hier soir j’ai passé une bonne soirée ayant recus tes lettres les 15, 18, 18, 21 et 22juin. Tous les détails que tu me donnes ma chere aimée, sur nos enfants me font le plus vif plaisir. Continue les ils me font trouver quelques fois avec eux et leur excellent et brave maman. Ce que tu me mandes ma chère aimée, de l’état de ta santée me trouble de plaisir des autres détails. Soigne la bien pour être prompteusement en état de venir joindre ton Louis. Il me semble que l’époque ou les circonstances le permettront s’approchent. »
Lettre autographe signée
CHATEAUBRIAND François René deLettre autographe signée, [adressée à la marquise de Castéras]. « Vendredi 28 avril 1821 » ; 1 page in-4°. « Ma première pensée a été de courir à la ferme ; puis les mille devoirs de la Diplomatie, sont venus m'arrêter. Dites, je vous prie, Madame la marquise à l'admirable princesse, que je n'aurai pas de plus grand bonheur que d'aller mettre mon respect à ses pieds. Malheureusement nous ignorons encore le jour [ ] ; mais il ne peut être éloigné. Mille tendres hommages. Chateaubriand. » Blanche-Marie-Elisabeth-Pola de Medina, marquise de CASTERAS SEIGNAN [Villa Carlos, Mahon, Minorque, 1777 - château de Seignan, 1844], demoiselle d'honneur de Marie-Louis-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre.
Intéressantes correspondances entre Montholon et Bertrand
SUCCESSION DE NAPOLÉON Ier.Intéressantes correspondances entre Montholon et Bertrand. Juillet 1827- janvier 1829; formats divers. 3 lettres autographes signées du général Montholon, adressées au général Bertrand. Lettres très intéressantes concernant le banquier Laffitte, et certains points sur le règlement du legs « Je ne comprends pas quelle bonne raison Monsieur Laffitte peut avoir à s'opposer à l'exéquator qu'avec tant de peines j'ai obtenu du gouvernement français de laisser rendre par le tribunal de 1ere instance de la Seine. ce jugement est aussi avantageux pour les intérêts de la maison de commerce que pour les exécuteurs testamentaires en ce qu'il met l'un et l'autre à l'abri de toute attaque des héritiers ou autres. Même d'une réaction contre-révolutionnaire » On joint 12 pages in-folio de feuilles de comptes et notes de la main du général Bertrand, sur le legs rassemblées sous une chemise légendée « Gal Montholon » de la main du général Bertrand. « État des sommes payées par M. Laffitte pour le compte du gal Montholon ». Figurent aussi les sommes payées aux personnes figurant sur le testament : St Denis, Noverras, Pierron, Archambault, Vignali, Larrey, Desnouettes, Drouot, etc.
Manuscrit musical autographe signé
ROUSSEL AlbertManuscrit musical autographe signé. Circa 1928 ; 1 page oblongue (17,4 x 27 cm).Manuscrit d’une partie du Psaume LXXX op. 37.Manuscrit avec 10 portées, découpé d’une feuille plus grande, annotée au crayon par une autre main, comprend les cinq premières mesures de la partie Turn again o God, and cause thy face to shine, partition annotée pour trois voix (soprano, contralto et ténor) et pour piano sur un système unique de cinq portées, encre brune foncées, sous chemise demi-maroquin rouge moderne.Composé en 1928, ce psaume de Roussel a été publié à Boston et à New York en 1929. Le passage musical se trouve au signe de répétition 8 de la partition vocale de Birchard.Ancienne bibliothèque R. et Bernard Loliée.Le Psaume LXXX op. 37 pour ténor solo, chœur et orchestre est une œuvre d’Albert Roussel.La version originale, composée d’avril à août 1928, repose sur le texte de l’Ancien Testament tel qu’il figure dans la traduction de la Bible utilisée par l’Église anglicane (ce qu’on appelle la King James Version). En effet la partition répondait à la commande d’un éditeur américain. Pour la version française qui a suivi peu après, Roussel a adopté avec quelques retouches le texte qu'on lit dans la Bible publiée par Louis Segond, d’un usage très courant à l’époque. La première audition en a été donnée à l’Opéra de Paris le 25 avril 1929 sous la direction d’Albert Wolff, à l'occasion d’un festival destiné à célébrer le soixantième anniversaire du musicien. La partie de ténor était tenue par Georges Jouatte.Sa durée d’exécution est d'une vingtaine de minutes.
Lettre autographe signée, adressée à Jean Marais, avec un dessin au dos représentant le profil d’Œdipe.
COCTEAU JeanLettre autographe signée, adressée à Jean Marais, avec un dessin au dos représentant le profil d’Œdipe. Santo-Sospir, St Jean Cap-Ferrat, dimanche [1959] ; 1 page in-8°.Pendant le tournage du Testament d’Orphée.« Mon Jeannot, c’était bien doux de t’entendre mais je préférerais t’entendre et le soir. Je me réjouis de notre trop brève besogne et je voudrais que tu penses à être terriblement beau (toi) et s’il y a barbe, une simple petite moustache grise. C’est ton visage à toi que je veux et si cela te convient. Madame Janet qui fait les faux yeux peux t’en préparer. On les applique sur les paupières. Madame Jan et est la fée des vitrines et sera près de nous pour les détails de masques, trop grossiers à l’écran. L’optique du théâtre n’est pas la même. Ne te fatigue pas. Je t’aime de me rendre solide et pas trop moche. Je t’embrasse. Jean. »
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus. 26 avril 1916 ; 2 pages in-8°.Belle lettre du front : « J’ai reçu hier vos lettres, celle acheminée à l’ambulance 13, et celle envoyée ici. J’ai reçu aussi tous les colis, les délicieux œufs de Pâques, le poisson, la mayonnaise. Tout cela est largement entamé. Les crèmes sont englouties. Je suis assez souvent privé de dessert. Je vous disais hier que je ne trouvais plus de remerciements. Je ne dis donc plus rien, mais n’en pense pas moins. Oui, oui, il faut que je dise encore quelque chose. Il faut que je vous dise ma joie, et ma reconnaissance, de savoir que l’état de Maman n’est plus grave. Édouard me le confirme. Je suis tout à fait heureux. Et le temps est splendide, et je vais repartir demain ; et je vais, peut-être bientôt, reprendre cette vie d’aventures, un peu fatigante mais si admirable. […] Il faut que je fasse mes malles, ou plutôt mes sacs. Écrivez-moi dorénavant à la 171, je vous prie. »
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus (la mère de Roland-Manuel). 29 juillet 1916 ; 1 page in-8°. Il a appris par sa mère que Mme Dreyfus avait eu un accident. Il l’espère rétablie mais se dit vivement inquiet. Il serait rassuré si elle pouvait télégraphier de ses nouvelles à M. Roger Noël à Chamouilly. «J’allais précisément vous demander pourquoi vous ne m’écriviez plus, quand j’ai reçu la lettre de Maman. Et cette lettre m’inquiète doublement, plus illisible que jamais, presque incohérente, au point que je me demande si ma pauvre maman n’a pas rêvé ce qu’elle m’y annonce. » Belle lettre.
Lettre autographe signée
HUGO Victor« La Voix de Guernesey ». Exemplaire imprimé daté « Hauteville House, novembre 1867 » ; 49,5 x 16 cm, déchirures et trous aux pliures. Exemplaire avec corrections. Avec au dos la mention autographe signée « A Eugène Pelletan Victor Hugo ». Ce poème, anticlérical et opposé au gouvernement de Napoléon III, fut composé par Victor Hugo après la bataille de Mentana (1867) au cours de laquelle les troupes Françaises et Pontificales mirent en déroute les Chemises Rouges de Garibaldi. Il conduisit à l’arrêt des représentations d’Hernani à Paris :« Ces jeunes gens, ces fils de Brutus, de Camille,De Thraséas combien étaient-ils ? quatre mille.Combien sont morts ? six cents. Six cents ! comptez, voyez. Une dispersion de membres foudroyés,Des bras rompus, des yeux troués et noirs, des ventres Où fouillent en hurlant les loups sortis des antres, De la chair mitraillée au milieu des buissons, C’est là tout ce qui reste, après les trahisons, Après le piège, après les guet-apens infâmes, Hélas, de ces grands cœurs et de ces grandes âmes ! Voyez. On les a tous fauchés d’un coup de faulx.Leur crime ? ils voulaient Rome et ses arcs triomphaux ; Ils défendaient l’honneur et le droit, ces chimères. Venez, reconnaissez vos enfants, venez, mères ! Car pour qui l’allaita, l’homme est toujours l’enfant. Tenez ; ce front hagard, qu’une balle ouvre et fend, C’est humble tête blonde où jadis, pauvre femme, Tu voyais rayonner l’aurore et poindre l’âme ; Ces lèvres, dont l’écume a souillé le gazon, O nourrice, après toi bégayaient ta chanson »…Grande rareté !
Manuscrit musical autographe signé. 6 pages de musique in-folio avec sa signature en haut
MILHAUD DariusManuscrit musical autographe signé. 6 pages de musique in-folio avec sa signature en haut.« Réduction des voix pour piano à quatre mains ».Sur la page de gauche intérieure de la chemise, envoi autographe signé « À Jacques Benoist Méchin, amateur de manuscrits, D.M. »
Lettre autographe signée
MARCHAND Louis-Joseph-Narcisse, comteLettre autographe signée, adressée aux comte Napoléon, Henry, Arthur et Alphonse Bertrand, fils du Grand Maréchal. Paris, 15 décembre 1844 ; 4 pages in-8°. Intéressante et longue lettre contre les calomnies lancées contre le Grand Maréchal. « Je viens de lire avec le plus vif intérêt quelques une des notes laissées par Monsieur le Grand Maréchal contre les calomnies entassées sur lui et sur Madame la Comtesse Bertrand, votre mère dans deux ou trois ouvrages. Informé de la publication que vous vous proposez d'en faire, je vous prie d'y ajouter, que je n'ai jamais eu connaissance, bien qu'on me le fasse dire, d'aucune discussion religieuse, entre l'Empereur et son Grand Maréchal. Qu'on le sache bien ; c'est qu'à Ste Hélène, la volonté de l'Empereur était aussi ferme et aussi entière que lorsqu'il était sur le trône et que les sentiments de Monsieur le Comte Bertrand pour lui sont restés jusqu'au dernier moment trop respectueux, trop dévoués, et son admiration un culte trop élevé pour se permettre les inconvenances qu'on lui prête, qui, si elles eussent existées seraient inqualifiables, et n'eussent point été souffertes. Ainsi que l'expose avec beaucoup de clareté Monsieur le Grand Maréchal, les auteurs de ces ouvrages ont été mal renseignés dans ce qu'ils racontent de son projet de départ de Ste Hélène avec sa famille. Voici, à cette occasion ce que l'Empereur étant au bain, me fit l'honneur de me dire : c'est moi qui engage Bertrand à accompagner sa femme en Europe, pour mettre ordre à ses affaires, qui, s'il n'y allait pas pourraient bien en souffrir. Ils n'ont pas été mieux renseignés, lorsqu'ils disent, que l'Empereur ne voulut plus voir Madame la Comtesse Bertrand, parce que son salon, était devenu le rendez-vous des officiers anglais. Vous pouvez répondre, Messieurs, qu'à l'époque ou les officiers anglais entraient dans Longwood, Madame la Comtesse Bertrand les recevait et venait voir l'Empereur, qui, ne lui en faisant point de reproches, c'était plutôt l'occasion pour sa Majesté d'avoir des nouvelles dont l'entretenait le Grand Maréchal. Lorsque plus tard, ces mêmes officiers de durent plus entrer dans l'enceinte, l'interdit fut pour Madame la Comtesse Bertrand, comme pour toute la colonie, et comme toute la colonie, elle s'y conforma. Je demanderai à ces auteurs qui déversent avec tant de malignité, leu venin sur Madame la Comtesse Bertrand, et qui paraissent si bien instruits de ce qui se passe à Ste Hélène, comment il se fait qu'à l'époque citée par eux, l'Empereur me demanda une tabatière ornée de son portrait enrichie de diamants, et que la prenant, du plateau de vermeil sur lequel j'avais l'honneur de la lui présenter, il dit à Madame la Comtesse Bertrand en la lui offrant, tenez Madame, je vous la donne dans de bien mauvais jours, elle vous témoignera de mon estime et de mon amitié. Ceci se passait au billard, un an avant la mort de l'Empereur, et la comtesse remerciait Sa Majesté avec une émotion qui laissait voir combien elle se trouvait honorée de cette distinction. St Denis attaché au service de l'Empereur, et qui à Ste Hélène était chargé de remettre au net les dictées faites par Sa Majesté, justifiera au besoin de ce que j'avance. Je n'entreprendrai pas ici une réfutation qui demanderait que ces ouvrages fussent pris feuille par feuille pour rétablir la vérité, presque partout altérée. L'un d'eux intitulé Mes souvenirs sur Napoléon par la veuve du Général Durand, est arrivé à Ste Hélène, il contient beaucoup de notes de la main de l'Empereur. L'auteur déplore aussi la fatale influence de Madame la Comtesse Bertrand dans la détermination prise par Sa Majesté de se confier aux Anglais, et l'on ajoute que Madame Bertrand qui est anglaise d'origine se jeta aux genoux de l'Empereur en le priant, en le pressant de se confier à l'honneur, à la loyauté et à la générosité des Anglais. Cet ouvrage m'appartient, et je déclare qu'en regard du passage que je viens de citer, j'y vois écrit par l'Empereur, faux. Je ne doute pas, Messieurs, que le général Comte de Montholon, qui partage à Ham une captivité supportée avec autant de courage que de résignation par le neveu de l'Empereur, ne fasse justice dans la prochaine publication sur Ste Hélène, de productions dont le but évident est de flétrir le noble caractère de l'homme du quel l'Empereur disait à Ste Hélène, Bertrand est un véritable homme d'honneur ».
Dessin automatique au feutre. Signé et daté 1984
SOUPAULT PhilippeDessin automatique au feutre. Signé et daté 1984. 22,5 x 16 cm.Ce dessin a été offert par P. Soupault à Ré Soupault, sa femme. Il vient de recevoir fac-similé du manuscrit des Champs magnétiques publié par les éditions Lachenal et Ritter. (Archives de Ré Soupault).