Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Deux pièces signées.
SIMENON Georges2 pièces signées :— Extrait tiré de Aboard the Aquitaine. 1/2 page in-4° sur papier saumon, en anglais. « And what about the stolen wallet ?… No one was ever sure, although Grenier was arrested two years later for the same sort of theft, in a large hotel in Deauville. »— Carte autographe signée. 14 janvier 1987 ; 1 page in-16 oblongue, en anglais. « Many thanks for your letter and for the little heap of work you gave me to do. If all booksellers were like you I would spend my life writing signatures and the printing of my books would multiply by I don’t know what figure. You are the most entreprising [sic] and active bookseller I know. »
Photographie signée
COSTES DieudonnéPhotographie signée. 14 X 9 cm. Photographie des frères Manuel, signée et dédicacée à Émile Lassalle « à Monsieur Émile Lassalle en toute sympathie. D. Costes ».
Lettre signée
GRETCHANINOV AlexandreLettre signée. Saint-Pétersbourg, 16 février 1911 ; 1 page 1/2 in-8°, en français. « Mon cher Maître, agréez le témoignage de ma plus profonde reconnaissance pour l’embarras que vous avez eu à cause de mon opéra Sœur Béatrix. Je regrette infiniment de vous avoir dérangé pour une affaire qui n’a pas eu de succès. Quant aux traductions de mes romances, je me suis entendu avec la maison Bélaieff, qui a donné son consentement pour une traduction française et anglaise […]. Dans 15 jours je serai à Paris et j’espère alors d’avoir le plaisir de vous témoigner personnellement ma considération parfaite. »
Photographie dédicacée
ROSENTHAL MoritzPhotographie dédicacée à Alice Reinhart. Monte-Carlo, 20 nov. 1899 ; format cabinet (17 x 11 cm). Beau portrait (London Stereoscopic & Photographic Company).
Lettre autographe signée
VAN DONGEN Kees (Cornelis Theodorus Marie, dit)Lettre autographe signée, adressée à M. Depas. Monaco, 18 février 1959 ; 1/2 page in-12, enveloppe timbrée jointe.« Ci joint la photo reproduction d’une peinture faite par moi en 1935 et que j’avais oublié de vous renvoyer. J’espère que vous êtes content de votre séjour sur la côte. Bien cordialement, Van Dongen. »
Photographie signée
MITCHELL Edgar D.Photographie en couleur dédicacée. 204 X 255 mm. Photographie de la NASA montrant E. Mitchell sur la Lune à gauche du drapeau Americain planté sur la surface lunaire. « Edgar Mitchell 6th man to walk on the moon Apollo 14 ».
Manuscrit médical autographe
BROUSSAIS François Joseph VictorManuscrit médical autographe. Paris, 20 février 1828 ; 2 pages in-folio. Il s’agit d’une réponse à une lettre de recommandation du Dr Desparanche, médecin à l’hospice de Blois (auteur de travaux sur la valériane, etc.) pour un patient atteint de gastroduoentérite chronique. Il donne son diagnostic et les remèdes à prendre :« Mr est attaqué d’une gastroduoentérite produit d’un traitement irritant […] qui se manifeste par des accès de coliq avec douleur de la rég. ombilicale […] des irritations pharmaceutiq, un régime doux […], de qq. moy. adoucis ont amené bcp d’amélior. ds l’état de Mr Le Cors […] de ne jamais se rassasier complètement et ne boire que de l’eau. 2. Boissons entre les repas […] avec un sirop adoucissant [...] après les repas et à petit gorgées. 3. Medica. Prendra aussi de... ». Il conseille du sirop de violettes, de l’opium délayé, de l’huile d’amandes douces, des frictions des membres, etc.
Lettre autographe signée
STAPFERLettre autographe signée en tant que ministre des Secours de la République helvétique, adressée au citoyen Girard, cordelier à Fribourg. Lucerne, 8 février 1799 ; 1 page 1/4 in-folio. En-tête imprimé avec jolie vignette gravée représentant Guillaume Tell et un enfant. « J’ai conçu une haute idée de vos talents, vos lumières et vos principes. Mon archiviste me quitte. Cette place rapportera à peu près 100 louis, probablement davantage. Le mécanisme de mon bureau se réduit à peu de choses. L’archiviste a toujours beaucoup de temps de reste pour se livrer à des travaux de tête et à des recherches intéressantes. Il doit d’ailleurs par la nature de sa place devenir dans la suite le conservateur du dépôt de tout ce qui concerne les arts et les sciences de notre nation. »
Lettres autographes signées
ARLAND MarcelEnsemble de 5 lettres autographes signées, dont 4 adressées à Marcel Schneider. De 1981 à 1985 ; formats in-8° :— « Je tenais à vous dire combien me fâchait le retard de la NRF à parler de votre livre. Dès sa publication, comme un nouveau critique, Mme Michèle Cote, m’avait demandé de l’accueillir parmi nos collaborateurs, et qu’elle m’avait parlé chaleureusement de votre livre, je lui avais donné mon accord. J’ai attendu vainement sa note, puis je me suis adressé à Alain Clerval. Il va m’apporter sa note, qui paraîtra donc dans le n° d’août. »— « Je vous remercie de vos deux livres, cher Marcel Schneider. J’achève la lecture de Princes de la Terre, lecture qui m’a vraiment charmé et entraîné. J’avais lu avant-hier à Paris l’Apparition de la Rose ; à peine cent pages, mais que c’est plein ! Je trouve cette nouvelle admirable, par les thèmes par la composition, par la sobriété évocatrice de l’écriture, par le mélange très intime du fantastique et de choses ou de gens “de chaque jour”. »— « Je vous remercie de m’avoir envoyé La Symphonie imaginaire. Je l’ai lue avec autant de plaisir que d’intérêt. Et même avec profit, par exemple en ce qui concerne Wagner, que vous me faites mieux comprendre (je me suis toujours senti injuste envers lui). »— « Je vous remercie de m’avoir envoyé votre nouveau livre. J’ai eu grand plaisir à vous y retrouver, au mieux de vous-même. J’ai suivi ces histoires avec une sorte d’envoûtement ; car si mystérieuses,, souvent si sombres, parfois cruelles. »— « La nouvelle de Marcel Schneider me plaisait beaucoup et j’aurais souhaité qu’elle parût dans la NRF, mais je ne suis point parvenu à convaincre Paulhan (bien qu’il l’ait lue avec intérêt). »
Lettre autographe signée
MARCEAU le mime (Marcel Mangel, dit)Lettre autographe signée « Marcel », [adressée à son frère Alain Mangel, administrateur de la Compagnie de Mime entre 1964 et 1977]. Sydney, 8 juillet 1977 ; 40 pages numérotées in-8°. Importante lettre sur ses projets: « En ce qui concerne Hossein d'accord pour 1.250.000 [ ] Surtout que ce sera plein. [ ]Si Robert Hossein veut tout concentrer en nous laissant jouer en matinée dimanche, nous pourrons même jouer lundi de Noël s'il désire terminer le vendredi 16 cela fera 12 représentations. S'il n'en désire que 10, il vaut mieux commencer le mercredi 7 et aller jusqu'au samedi 17 ». Il ne veut rien accepter en mai, juin juillet car il a besoin de 3 mois pour filmer et « il faut retenir les studios dès octobre 1977 ». Il a appris que sa mère est très malade: « Je suis très inquiet, est elle sous perfusion ? Je suis affolé. Il faut qu'elle reste calme ». [ ] Je ne pourrais pas venir d'Australie, je mettrai toute la compagnie dans une situation épouvantable ! (je te le dis sous le sceau du secret) je prie de toute manière que tout se passe bien, parle à maman de mon retour le 1er septembre. J'irai la voir immédiatement. Écris moi de suite, envoie moi, mêle un télégramme. Ici le succès est immense ! Je rapatrierai exactement 49.000.000 pour le fisc. Il y a 6.000.000 de droits d'auteurs dont 4.000.000 me reviennent ». Après des pages de chiffres, il envisage de monter une société et d'en être salarié afin de bénéficier des charges sociales et de la retraite. « Nous sommes égoïstes et inhumains. Tu dois autant à Tante Fanny que moi? ne serait ce que par respect pour la mémoire de Papa et pour maman. De temps à autre il faut faire un bilan et être lucide que nous mêmes nous sommes toujours self indulgents également. je vais écrire une lettre à Charlie qui garde Berchères. [ ] Prends des vacances en août et fais attention à ta santé ! Embrasse maman et toute la famille. » On joint des copies photographiées de lettres de M. Duchemin à son frère Alain Mangel.
Manuscrit autographe signé
MAGRE MauriceManuscrit autographe signé. 1 page in-4°. Poème (4 quatrains) écrit en hommage au poète Maurice Delorme, reproduit dans son Anthologie des poètes. « La descente au paradis... Et j’ai crié : Seigneur ton amour est sans charme !La souffrance est trop belle, on ne peut l’oublier.Si la vertu de Dieu ne peut verser des larmesJe préfère le mal qui connaît la pitié.[…]Je préfère la chambre étroite où je me coucheAvec le linge impur et les bouquets flétris,La triste odeur des corps, le goût humain des bouches,Mon paradis mauvais plein d’ombres et de cris. »
Ensemble de 2 lettres et d’1 carte autographes signées, adressées à Marcel Schneider
AURIC GeorgesEnsemble de 2 lettres et d’une carte autographes signées, adressées à Marcel Schneider :— 30 décembre 1955 ; 150 x 105 mm. « Je vous avoue que j’attendais avec un peu d’anxiété l’accueil qui serait fait à ma partition de La Chambre : j’ai la faiblesse — en effet — d’y accorder quelque importance. »— 26 septembre 1960 ; 1 page in-8°. « Il est bon de ne pas rester trop longtemps en Seine-et-Oise et de revenir parfois à Paris. Ceci me permet de trouver, Faubourg Saint-Honoré, votre Wagner que j’emporterai demain soir pour le lire avec tout le calme et le flegme nécessaires (Wagner est un de ces dieux à propos desquels je n’ai pas fini de m’interroger...) »,— 7 avril 1979 ; 1 page in-8°. « Revenant de Barcelone, je trouve ici Le Point où vous parlez avec tant d’amitié de mes Imaginées. Vous le faites d’une telle façon que je suis obligé de vous avouer que pour moi, ces lignes à leur tour deviennent pure délectation. Le vieux musicien que je suis aujourd’hui ne peut donc que vous adresser le plus reconnaissant “Merci !...” Et “ Merci” encore pour votre Hoffmann qui m’a révélé beaucoup de choses passionnantes sur un auteur que j’admire depuis mon adolescence. Je crois avoir lu tout ce qui, plus ou moins bien, a été traduit de lui et j’ai d’ailleurs la chance de posséder les quatre volumes de ses œuvres complètes dans l’édition du Club des Libraires de France. J’ai toujours été fasciné par les romantiques allemands qu’il me semble connaître assez bien. […] Cela m’enchante : l’orateur qui, dépendant de son manuscrit, perd toute spontanéité et devient l’acteur de soi-même qui répète quelque chose au lieu de l’inventer. »On joint une lettre de Nora Auric, son épouse.
Lettres autographes signées
RUBINSTEIN IdaEnsemble de 5 lettres autographes signées, dont 4 adressées à Mlle Wiener. Enveloppes jointes :— « Ce mercredi » ; 2 pages 1/2 in-4°. « Je ne veux plus tarder à vous remercier de votre si exquise hospitalité et à vous dire combien votre charmant accueil m’a touchée. Je garde un souvenir vraiment enchanté de ces quelques instants passés avec vous et avec vos amis dans votre ravissante maison. »— « Ce mercredi » ; 2 pages in-4°. « C’est avec plaisir que j’accepte votre si aimable invitation. Je garde un souvenir charmé de votre visite de l’hiver dernier. »— « Ce lundi » ; 4 pages in-4°. « Je ne puis vous dire combien je suis attristée de ne pouvoir venir déjeuner avec vous et votre amie ; mais je me suis réveillée ce matin avec plus de 38 de fièvre. Je toussais un peu ces jours derniers mais je pensais que ce ne serait rien. Je suis vraiment désolée d’être privée du plaisir de passer quelques instants avec vous et vos amis et si confuse de ne vous prévenir que si tard. […] Si vous devez rester à Paris encore quelques jours j’espère bien avoir le très grand plaisir de vous revoir avant votre départ. »— Sans date ; 2 pages in-4°. « J’ai lu avec beaucoup d’intérêt la pièce que vous m’avez apporté. Elle sera, j’en suis persuadée d’un grand effet au théâtre mais hélas le rôle de femme n’est pas pour moi. »— [adressée à une femme].11 janvier 1930 ; 3 pages in-4°. « Je rentre à Paris après une absence de presque six mois, d’une croisière dans des pays lointains et perdus […]. Je trouve votre lettre et suis désolée de ne pouvoir vous répondre que si tard. Comme j’aurais été heureuse de vous revoir et de connaître votre mari. Mais j’espère bien que vous me ferez signe à votre prochaine visite à Paris. »
Photographie signée
BRAYER YvesPhotographie signée, adressée au peintre Constant Baruque. 180 X 130 mm. Photographie le représentant en train de peindre dans son atelier, collée sur un support et dédicacée en dessous : « à Constant Baruque , cordialement 1970 Yves Brayer. » Rare.
Lettre autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]
LE SIDANER HenriLettre autographe signée [au critique d’art Henri Corbière]. Versailles, 18 janvier 1934 ; 1 page in-4°. « En retour sur des impressions anciennes je ressens que la vue de l’image m’a plus frappé peut-être que la musique même des vers et je transcris ici ces deux souvenirs (si vous le permettez) dont je conserve l’enchantement :de Mallarmé dans “Soupirs” ce vers !Fidèle, un blanc jet d’eau soupire vers l’azur !et de Baudelaire dans “L’harmonie du soir”Chaque fleur s’évapore ainsi qu’un encensoir....Le ciel est triste et beau comme un grand reposoir. »On joint la réponse à deux questionnaires de H. Corbière : Maximes de vie des grands peintres contemporains : « Travailler ».et « Par le travail et l’Amour. Henri le Sidaner. »