Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Photographie autographe signée, dédicacée
DESNOYER FrançoisPhotographie signée, dédicacée au peintre Constant Baruque. 1979 ; 205 x 295 mm, collée sur un support cartonné de 207 x 295 mm. Photogravure en noir et blanc, le représentant de profil. « Au peintre de Limoux, Baruque, souvenir d’un collègue, Desnoyer 1979 ».
Lettre autographe signée
CLÉMENT Jean BaptisteLettre autographe signée. Le 8 mars 1894 ; 1 page in-8°. « Monsieur, ce n’est point pour vous presser, mais à titre de renseignement, que je vous informe que j’ai remis au bureau du Gil Blas un paquet de chansons pour vous en priant le garçon de bureau de vous les faire parvenir le plus tôt possible. J’ai joint une lettre à ce paquet. Si toutefois il ne vous avait pas été remis, veuillez, je vous prie, le réclamer.»
Lettre autographe signée
MEISSONIER ErnestLettre autographe signée. Evian, le 24 août 1878 ; 2 pages in-12 sur papier de deuil. « Vous avez achetté (sic) le tableau de Boutin, un enterrement à Villerville. J’aime beaucoup ce tableau, que j’ai trouvé, sinon d’une exécution parfaite, du moins d’un sentiment irréprochable avec une simplicité naïve, le drame en est absolument saisissant et c’est par ce temps-ci une qualité rare. Voudriez-vous placer ce tableau au Luxembourg. Je vous saurais un gré infini de contenter ainsi le désir & l’ambition de ce brave garçon qui a confiance en moi et qui commence à me demander des conseils avec le désir de les suivre ? »
Lettre autographe signée
MATHIEU GeorgesLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-4° sur son papier à en-tête illustré et gravé. « Mademoiselle, pourriez-vous me faire la grâce de me dire où se trouve actuellement François Di Dio ? J’aurais grand plaisir à lui faire part de quelques projets. Merci. »
Ensemble d’une lettre autographe signée et d’un manuscrit autographe sur Colette :
BERL EmmanuelEnsemble d’une lettre autographe signée et un manuscrit autographe sur Colette :— 22 novembre 1972 ; 2 pages in-4° avec enveloppe jointe [à Mme Ginette Guitard] : « Très touché et embarrassé par votre lettre, j’hésite à y répondre. Pardonnez-moi le retard. Je n’ose pas écrire mon amie Colette “je l’aimais beaucoup, elle a été très bienveillante et bonne pour moi. L’amitié implique une égalité à laquelle je n’ai jamais osé prétendre. “Un” très Chère voisine vaudrait mieux. Pour la radio, je suis à votre entière disposition. Venez avec un micro, le jour à l’heure que vous voudrez — le mieux étant l’après-midi. […] Je pourrai vous parler de Colette, collaboratrice et Marianne et la Treille Muscate et de Palais-Royal. C’était un grand écrivain & un grand personnage. Je ne me jucherai pas sur sa tombe. »— Manuscrit autographe. 3 pages in-8°. Beau manuscrit sur Colette :« J’ai eu pour Colette beaucoup d’admiration et beaucoup de tendresse. […] Elle a eu pour moi et de la bienveillance et de la bonté. Quelque chose néanmoins... Quand on me dit: votre amie, en parlant de Colette. L’amitié implique, il me semble une certaine égalité qui ne pouvait être entre elle & moi. Non seulement à cause de la différence d’âge […] mais parce que Colette était réellement d’une espèce différente de mois & des autres, à un stade plus avancé de l’évolution.[…] Quand ses regards se posaient sur une fleur, sur un paysage, sur la mer, ils y laissaient une trace que je n’imaginais percevoir — et qui les changeaient […]. Et son esprit était toujours en travail afin de trouver les mots qui leur répondent. Je me le rappelle, méditant ainsi, devant un pan de mur & finissant par dire “C’est blanc foncé”. On ne pouvait prévoir ce qui allait lui déplaire ou la charmer. Personne n’était plus modeste. Elle répétait constamment que, si elle avait été riche, elle n’aurait pas écrit. Et personne toutefois n’avait une conscience plus juste de ce qu’elle était. Quand j’entrepris le journal Marianne, je l’invitai à déjeuner pour lui demander sa collaboration; je lui dis : “après tout, vous êtes le meilleur écrivain français. Tranquillement, elle me répondit : “ c’est probable”. Elle estimait toutefois que le dernier des poètes passait avant le premier des prosateurs ; parfait M. Francis James avec humilité et respectait l’ambition sinon la réussite des poètes qui n’ont pas touché la cible qu’ils visaient.[…]Je ne me jucherai pas sur le cercueil de Colette, pour prendre des poses avantageuses. Elle aimait le silence & sa mémoire doit inspirer d’abord le respect. »
Photographie dédicacée
MONTOYA GabrielPhotographie dédicacée. 13,5 x 9 cm. [1903]. Carte photographique de Cautin et Berger.
Lettre signée
MASSINE LéonideLettre dactylographiée signée, adressée à Marcel Ballot. New York, 20 juin 1929 ; 2 pages in-12. Mention au crayon bleu : « Css. Léonide Massine », et au crayon : « R. 1er Juillet 1929 ».« Pendant la dernière saison du Ballet Russe, au mois de Mai, au Théâtre Sarah Bernhardt, on a présenté un ballet nommé, « Baba Yaga », avec ma corégraphie [ce mot toujours ainsi orthographié dans cette lettre]. Je dois appeler votre attention à ce sujet, que ce ci n’est qu’une partie du ballet « Contes russes », dont je suis l’auteur de la corégraphie et je vous serais bien obligé de voir à ce que les droits pour ce ballet, « Baba Yaga », soient acquises à mon profit. » Puis il demande comment seront répartis les droits des ballets « David » et « Les Enchantements d’Alcine », entre lui-même et les auteurs des livrets et les compositeurs (Daudret et Sauguet pour David, Louis Laloy et Georges Auric pour Les Enchantements d’Alcine).
Aquarelle
COLIN Paul-ÉmileAquarelle représentant un pont.Cachet de l’atelier au dos.17,2 x 25,2 cm.Provenance : vente de l’atelier.
Lettre autographe signée
TANSMAN AlexandreLettre autographe signée, adressée à M. Paul Aron. Paris, 5 janvier 1939 ; 1 page 1/2 in-8°, enveloppe jointe. Son correspondant, en difficulté, lui a adressé une lettre et à laquelle il répond : « Je ne connais malheureusement personne du service consulaire de Cuba ou de Panama à Paris, mais comme vous vous arrêtez à Londres, j’ai pensé que vous trouverez peut-être un conseil auprès de mon ami, le grand écrivain espagnol, et l’ancien ambassadeur d’Espagne à Paris, Salvador de Madariaga. […] Comme il a présidé autrefois la Sté des Nations, peut-être a-t-il des relations dans ce monde hispano-américain de Londres et pourrait vous aider. […] À Cuba, j’ai un grand ami, le compositeur et chef d’orchestre Sanjuan, qui pourra vous guider au besoin un peu au début.»On joint une lettre autographe signée, adressée au même. Paris, 25 mars 1939 ; 3 pages in-8° carré, enveloppe jointe, en allemand. Sont évoqués les noms de ses amis Madariaga, Sanjuan.C’est Ravel qui emmène Tansman chez Roland-Manuel, aux lundis de Roland-Manuel. C’est là que Tansman fit la connaissance de Milhaud, Honegger, Roussel, Florent Schmitt, Ibert et de toute la musique française dont la légèreté et le caractère spirituel marqueront très souvent ses propres compositions.
Pièce signée
DESGENETTES Nicolas René Dufriche, baronPièce signée. Paris, 10 octobre 1808 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Les Inspecteurs généraux du service de santé militaire ». Pièce signée également par Coste et Parmentier. Ils émettent un avis favorable en faveur de M. Funster, médecin requis pour l’hôpital militaire de Perpignan. Belle réunion.
Ensemble de 3 pièces signées
DESGENETTES Nicolas René Dufriche, baronEnsemble de 3 pièces signées. 1806-1816 ; 1 page in-4°, chaque.Lot intéressant sur l’ouverture de ses lettres par une personne indélicate ; certificat pour un pharmacien externe à l’hopital de Paris ; envoi d’un brevet.
Lettre autographe signée
BARTH HenrichLettre autographe signée. Berlin, le 13 mai 1864 ; 1 page in-8°. « Après avoir fini ma dernière lettre à vous, j’ai eu le grand plaisir de recevoir ensemble avec le cahier d’avril , un bulletin contenant l’intéressant article sur le régime des crues périodiques du Nil, la première feuille de la table des matières (1844-1860) si importante pour qui veuille faire usage consciencieux de tout ce qui est écrit et publié. » Rare.
Lettre autographe signée
BERRY Marie-Caroline de Bourbon-Sicile,Lettre autographe signée, adressée à Mme Bourgeois. 1/2 page in-8° oblongue. Déchirure réparée. « Je remercie Mme Bourgeois et Laure de leurs lettres du 20 juin , 10 8bre [18]29 ainsi que de leurs souhaits. Je suis touchée de leur souvenir, je suis charmée que Laure soit guérie après tant de souffrances, et que son fils soit un bon sujet. […] Je n’oublierai jamais leurs bons soins et que Mme Bourgeois a été la première à la naissance d’Henri. » Belle lettre.
Pièce autographe signée
LANTAGNE RogerPièce autographe signée. Émouvant témoignage sur le débarquement américain à Ste-Mère-l’Église. « À Monsieur George Fournier de la part de M. Roger Lantagne de la 101e Division aéroportée. Descendu du ciel le soir de 5 au 6 juin 1944 a Normandie R.L. American Legion 17 Mar. 81 » On joint une carte postale de Ste-Mère-l’Église et une du débarquement. Ensemble contre-collé sur une feuille de papier bleuté.
Poème autographe. (Sans lieu ni date), 1 page in-4 oblongue.
LOUŸS Pierre (Pierre Louis, dit)Poème autographe. (Sans lieu ni date), 1 page in-4 oblongue. Recopie de la main de Pierre Louys d’un poème d’Antoine Girard, dit de Gérard de Saint Amant. [1594-1661]. 20 vers.« O toy, vieille putain, cause de mon martyr !Toy, louve, toy, guenon, qui m’as si bien poivréQue je ne croy jamais en estre délivréToy que je chevauchay quasi par penitance; Toy qui dans ma douleur fais bouquer ma constance,Pour te récompenser, inspiré d'un lutin,Je prie, en reniant au bourreau du destinQue le diable te f... avec un v... d’escaille »... Cf. Saint-Amant, Oeuvres, volume I, Paris, Toussaint Quinet, 1651, “Caprice”, p. 5.