Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Ensemble de 3 lettres autographes signées
ADAMOV ArthurEnsemble de 3 lettres autographes signées, adressées à Paul Morelle :— 10 juin 1957 ; 1 page in-4°. « Le paragraphe consacré à ce petit personnage ineffable qui est Madame De Saint-Sauveur. Vous avez si bien saisi les transferts loup-agneau de Cécile et de l’abbé... J’ai revu Paolo qui a fait énormément de progrès. C’est vraiment très beau maintenant, même la dernière partie. »— 19 juin 1968 ; 1 page in-4°. « Vraiment merci de tout cœur pour votre article paru dans Le Monde. D’abord, parce qu’il rend bien compte de ma vie. Ensuite parce que j’y trouve (cela est si rare) des phrases poétiques : “Farandole tragique, haletante dont les masques tombaient en même temps que les cornes révélant des visages d’enfant étonnés que la danse fût finie.” ».— « 11 février » ; 1 page in-4°. « Ce mot de Lyon-Villeurbanne où demain aura lieu la première représentations des Âmes. Mais la “générale” est reculée au 19, le jour du gala France-Urss. On aura donc le temps de causer. »
Lettre signée
COMÉDIENS.Lettre signée, adressée à François Tédesco. Paris, 27 avril 1905 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Comité de l’association de Secours mutuels entre les artistes dramatiques ». « Monsieur Coquelin aîné, Président, a annoncé au comité à la séance d’hier, la mesure tant aimable et bien gracieuse que vous avez bien voulu adopter, comme conséquence de la conversation que vous avez eue avec M. Brémont et qui se traduira par l’envoi gratuit du journal dont vous avez la direction. Il y a là, l’exemple d’un témoignage d’intérêt pour les vieux comédiens qui est précieux à tous et à toutes et pour lequel le Comité vous prie d’agréer ses plus chaleureux et sincères remerciements. » Ont signé notamment : Coquelin, Grivot, C. Lamy, Brémont, Debruyère, Alexandre, Louis Ulbach, L. Péricaud, Galipaux, Guyou, Regnard, etc.
Lettre autographe signée
FINI LéonorLettre autographe signée, adressée à son traducteur Gerhard Weber. Lundi. 2 pages in-4°, 2 trous d’archivage en marge du texte. « Je déteste les explications mais je dois vous dire que notre editeur allemand sans me prévenir a vendu mes livres à Nelrich Verlag et après mes protestations il a dit que mon contrat avec Stock est terminé ce qui est faux et je déteste avoir des reproches et ennuies — votre Verleger est un salaud. Mais le pire c’est votre poeme à Rot qui fini “t’en avant allez c’est cela, n’est pas”. Donc dans votre subconscient stupide vous avez imaginé que il avait […] — moi comprise et ceci est ultra faux — grossier — blessant pour moi et cela si Rot aurait pû le lire l’aurait faché enormement. Rot était content d’avoir enfin la fin de son contrat […] Noel en Suisse avec moi il etait encore gai, actif et promenades sur traineau à cheval il me disait “je suis si heureux dans ce paysage de mon enfance d’etre avec toi et le projet d’ecrire un livre est de plus en plus [?]”. Tout ce precipita. […] moi brisée pour toujours — lue votre poeme “inspiré” venu de votre subconscient montre une vraie hostilité envers moi — une [incompréhension] à quel point moi et Rot nous étions d’accord et unis — méfier [vous] de votre inspiration elle a révélé une insolente sotte haine pour moi. Pourquoi devrais-je l’accepter ? Voilà. Leonor »On joint une autre lettre au même du 24 octobre relative à un appel téléphonique.
Photographie dédicacée
SENGHOR Léopold SédarPhotographie dédicacée. 24 x 17 cm sur un carton aux palmes académiques de 32 x 23,5 Photographie le figurant en habit d’académicien, collé sur un carton à décor de palmes académiques, dédicacée. « À Monsieur André Jouniaux en hommage cordial. »
Manuscrit autographe signé
SUAREZ GeorgesManuscrit autographe signé « Idoles allemandes ». 16 pages in-4°. Sans doute paru au Temps.« Jamais le problème allemand n’est apparu au public français avec une forme aussi complète, sous un aspect aussi déroutant qu’aujourd’hui. Notre opinion est divisée devant lui en autant de réactions qu’il en faut à l’âme allemande pour être totale. Il y a ceux qui croient que Hitler est sincère quand il nous tend la main. Il y a ceux qui croient qu’il veut nous faire la guerre quand il réarme. Il y a ceux qui ne croyant ni l’un ni l’autre, ne voient dans son attitude que le temps qui est traditionnel dans la politique allemande. Il y a ceux aussi qui ne distinguent en lui que le barbare rénovateur […] d’autres le dépeignent comme austère, héritier de la Reforme »...
Lettre autographe signée
DAVOUT Aimée LeclercLettre autographe, signée « Aimée », adressée à sa belle mère Madame Davout. Vienne 22 octobre 1809; 3 pages in-8°, adresse sur le 4e feuillet avec marque postale en rouge N° I / Arm. d’Allemagne. « Mille circonstances ce sont opposées à ce que j’aille vous voir ma bonne mère avant de me réunir à votre bon fils mes affaires m’ont retenue huit ou dix jours de plus que le Mal ne le croyait et pendant lesquels je suis restée sans nouvelles de lui. Vous pouvez vous faire une idée de cette privation et de mon desire de la faire cesser; passez chez vous mon excellente mère m’eut fait faire un grand détour. J’eusse voulu y séjourner et l’on m’a assuré que je trouvrais de mauvais chemins qui casseraient ma voiture qui n’était pas trop solide. Ayant d’abord voulu voyager dans ma bonne calleche j’ai du sacrifier ce desir quoi que bien vif à celui de me réunir le plus tôt possible à mon Louis que je suis venu trouver presque sans m’arreter puisque je n’ai couché qu’à Bar et à Munich chez le Gal Beaumont que j’ai trouvé très bien portant. J’espère pour Julie qu’il ne tardera pas à lui être réunis alors il ne manquera rien à son bonheur; la santé de ses chers petits étant excellente, ma nièce me mandé que celle des miens ne laisse rien à désirer. Je sens bien vivement de la peine d’en être séparée; j’ai besoin de me dire souvent mon Louis mérite tous les sacrifices que je peux lui faire et mes derniers enfants sont trop petits pour me flatter qu’ils n’eussent pas souffert d’un aussi long voyage dans la saison ou nous sommes. Ma mère me mande aussi qu’elle n’a pas encore touché une somme de 3000 mille francs que je l’avais prie de vous faire tenir mais vous ne pouvez éprouver un grand retard. Soyez assez bonne pour me donner souvent de vos nouvelles. Le Mal se porte on ne peut mieux. Il va de nouveau être bien occupé il commande l’armée d’Allemagne et toutes les marques de confiance que l’Empereur veut bien lui donner. Je ne vous dis rien de sa part. Il est sorti et ignore que je vous écris. »
Lettre autographe signée
DAVOUT Aimée LeclercLettre autographe, signée « La Male D. Psse d’Eckmühl », adressée à sa belle soeur, l’épouse du général Davout. [Paris], 14 août 1830 ; 3 pages in-8°, adresse sur le 4e feuillet avec marques postales dont un superbe déboursé de DEB.83/ ANCY-LE-FRANC. Petit manque de mots dus à la brisure du cachet à l’ouverture de la lettre. Belle lettre sur les événements de 1830. « J’arrive du fond des Pyrénées, ma chère soeur. J’en suis partie précipitamment à la 1e nouvelle des grands événements qui viennent de se passer et jugez de ma surprise et de ma joie d’avoir trouvé tout si promptement rentré dans l’ordre que dès le soir de mon arrivée, j’ai été je ne dirai pas faire ma cour à la Reine. Mais lui faire porter le tribut de ma reconnaissance qui est du à ma famille qui placée par la providence pour nous sauver de l’anarchie la plus effroyable a eu le devouement de ne pas se soustraire à ce mandant dans l’état actuel des choses le républicanisme est le seul ennemi à craindre puisque seul il pourrait troubler la France et la brouiller avec l’étranger qui profiterait de nos divisions tout ce qui porte un cœur français gemit des fautes et même des crimes qui ont rendus inévitable ce qui vient de se passer on n’en sent que mieux l’injustice de se rallier au prince dont les vertus privées dont le caractère public sont une garantie d’ordre et de respect pour tous les intérêts. Je suis convaincue que votre excellent esprit aura compris toutes ces vérités et que vous n’hésiterez pas à convoyer Jules à Saint-Cyr. J’ai vainement cherché à savoir ou il se trouvait. Je lui aurais su gré de m’en informer par un mot. Je le crois auprès de vous. Il est urgent qu’il soit rentré le 22 car, il perdrait une carrière ou maintenant son nom peut puissamment le servir, si lorsque vous recevrez ma lettre il n’est pas encore parti, recommandez lui […] de passer chez moi avant de rentrer à l’École ».
Deux lettres autographes signées, adressées à M. Martin
JOB (Jacques-Marie-Gaston Onfray de Breville, dit)Deux lettres autographes signées, adressées à M. Martin. 2/6 décembre 1901 ; 8 pages in-8°. Longues lettres de colère, adressées à son éditeur. « Je comprends maintenant pourquoi, si mal organisée, la publication devait sombrer et pourquoi, maintenant que son envoi, sa fabrication, sa publicité sont régulièrement,t dirigés, elle sera une excellent affaire, s’annonçant déjà sous les plus heureux auspices. J’ai reçu quelques exemplaires des Chants nationaux. Je dois vous avouer qu’il est difficile de voir q.q. chose de plus laid. Le papier est infâme, l’impression adéquate. Si, pourtant, Montorgueil me dit qu’il y a plus laid encore ! La réimpression de France en 3 volumes - heureusement je ne l’ai pas vue et j’aime mieux l’ignorer. […] Je suis moins sensible à l’argent perdu , qu’à voir mon nom, chez les libraires, sur des publications grossièrement imprimées sur du papier à chandelles et avec un tel mépris de tout sentiment artistique que le public, j’espère, pensera que je ne suis pour rien dans de si traitresses reproductions ! »On joint un ensemble de 4 reçus signés « J. de Breville » pour les volumes Jean la poudre, Flamberge au vent, et pour ses dessins de l’album Montorgueil.
Ensemble de lettres autographes signées
MANZANA-PISSARRO GeorgesEnsemble de 3 lettres autographes signées :— 4 avril 1910 ; 1 page in-8°. « Vous seriez bien aimable de me faire savoir si vous êtes en mesure de me donner un rendez-vous afin que nous puissions causer de notre affaire, les essais sont terminés et je voudrais bien vous les montrer. »— 13 avril 1910 ; 1 page in-8°. « Êtes-vous en état maintenant de me donner une réponse ? Si je vous le demande, c’est que de l’autre côté on attend votre décision avec impatience. »— 16 août 1910 ; 1 page in-8°. Lettre écrite avec une belle calligraphie. « Êtes-vous à Paris ? Vous serait-il possible de venir me voir ? J’ai quelques eaux-fortes à vous montrer. J’en ai 30 à 40, si vous voulez que nous fassions un ouvrage ensemble, c’est le moment, plus tard, je n’aurai peut-être plus le temps. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées
COPEAU JacquesEnsemble de 3 lettres autographes signées [adressées à Lucien Dubech]. 1923-1930 ; 4 pages -4°. 1923 : « Je pars ce soir pour Zurich. Je reviens mercredi soir. Tâchons de dîner ensemble bientôt. J’aime vous voir, mon cher Dubech, parce que vous êtes un honnête homme. Voyez-vous j’aurais voulu pouvoir être à fond avec l’A.F. Ça aurait pu arriver mais il n’y a pas moyen. Je ne prends plus Daudet au sérieux »… 18 juin 1930 : « Il n’y a plus rien à attendre des suites de la campagne à laquelle vous avez pris part si vaillamment. Moi j’avais la naïveté de croire ce qu’on me disait. Je suis informé maintenant que ce qu’on me disait n’était rien de réel. […] Je vous remercie de parler toujours si amicalement de moi sous votre double signature. […] Dites moi ce qu’on peut faire contre cette diminution de l’esprit de défense et de l’esprit tout court dont parlait hier Maurras ? […] Je ne suis pas un fainéant. Il y a un an quand on m’a parlé de donner cette maison perdue, j’ai dit : présent. On me répond que je vais à la messe et que j’ai rêvé de faire fortune au Vieux-Colombier. On me répond aussi que le théâtre national ne va pas si mal que ça, et que d’ailleurs il peut bien croire qu’on s’en fout. Alors ? »… 24 décembre sur papier à en-tête « Le Vieux Colombier » : « Je ne devrais pas laisser votre article sans une longue réponse. Mais je n’ai pas le temps. Je suis déjà au travail sur autre chose. Votre réaction ne me surprend pas extrêmement J’aime que votre esprit ait cette liberté de se retourner aussi vivement. Mais il se retourne un peu trop tout d’une pièce, je crois. Il y a de l’humeur là-dedans. Cette pièce vous a inspiré de la répugnance. Vous vous en êtes détourné. C’est bien. […] Mais du même coup vous vous condamnez à être injuste. Vous laissez tomber la plupart des éléments qui vous permettraient de juger la pièce. Influence nordique, réalisme, tranche de vie, oeuvre statique... tout cela est bientôt dit, et je crois que rien de cela n’est tout à fait vrai. Comme nos jeunes gens vous tenez pour résolu une foule de problèmes qui, à mes yeux, ne le sont pas si franchement, si définitivement. J’espère bien que nous aurons l’occasion de reparler de tout cela. Ce que je regrette c’est que vous ayez l’air, dans cet article, de déclarer que tout est perdu, de regretter d’avoir été dupe, d’avouer que cet homme là n’est pas celui que vous aviez cru, et de lui dire adieu. Je m’attristerais beaucoup si je ne saurais que toutes ces impressions sont provisoires, qu’il y aura de l’éclaircissement, si je n’avais conscience de ne m’être nullement nié moi-même. Vais-je vous irriter en vous priant d’attendre encore ? C’est pourtant sur ce mot que je vous quitte, avec confiance en vous assurant, mon cher Dubech de mes fidèles sentiments. Jacques Copeau. »
Ensemble de 30 lettres autographes signées
ROY Tatiana (née Soukoroukoff)Ensemble de 30 lettres autographes signées (Tania), adressées au journaliste Gilbert Guilleminault, rédacteur en chef de l’Aurore, avec qui elle collabora plusieurs fois. Une est signée également par Jules Roy. 63 pages in-4° et in-8°; Très intéressante chronique de sa vie littéraire, de la tradition orthodoxe (superbe relation de la Pâque russe) ; nouvelles de son mari Jules Roy (Julius), pour la période 1983-1986.
Lettre autographe signée
MUSIDORA (Jeanne Roques, dite)Lettre autographe signée, adressée au journaliste René Brest. Mai 1938 ; 5 pages in-8°, sur son papier rose illustré d’un petit portrait.« Voici un petit papier qui vous permettra de pénétrer — un peu chez moi — en attendant qu’un jour vous conduise jusqu’ici et que vous daignez vous rendre compte vous-même de la part de vérité. Voici trois photos. Je préfère — pour mon goût celle où je suis avec mon fils. J’ai joint une toute petite photo d’une sculpture dont je suis l’auteur représentant ce fils en Bacchus. Une des copies est au musée d’Epernay. J’espère que tout cela pourra vous servir ». Elle « ajoute une toute petite poésie inédite à l’intention de Paris Soir par votre truchement. Si cela peut intéresser...».« Un jardin près du mien ! Et ce matin Le lilas blanc de ma voisineA jeté vers le ciel ses grappesEt c’est un parfum que j’attrappeEn passant lorsque je jardinePour mon festin.Il est certainQue le bout de mon pied taquineLe mur, ou les moellons s’échappentUn bout de ciment les rattrapeJoint aux bras forts de la glycineDans son instinct.Tel un pantinUn tamaris en frisées rosesRépand sa poudre dans l’espaceEt se reflétant dans la glaceJ’aperçois la rose qui poseDans son satin.Glace sans trainLa vitre est à moitié rompueSous un toit penché, sans gouttièreCachant cette masure le lierreEntoure les poutres trapues de serpentins. »
Lettre autographe signée
MUSIDORA (Jeanne Roques, dite)Lettre autographe signée, adressée au journaliste René Brest. 9 août 1954 ; 7 pages in-8°.« Je ne vous ai pas écrit, ayant toujours une bourse qui m’oblige à tout faire : cuisine, fond de casserole, évier, cuvette de W-C. J’ai simplement trouvé quelqu’un pour les parquets et les carrelages sui sont au dessus de mes forces physiques. […] Ajoutez que j’ai entrepris - c’est fou - je l’avoue la plantation plutôt la “semaison” de salades et vous vous rendrez vite compte que 24 heures sont vite passées. Quand on déduit les heures de train pour aller au travail. J’ai cette année ouvert un cours à la C.F. 2 fois par semaine. Et je suis enchantée des résultats. […] Mais les aiguilles de la pendule tournent trop vite à mon gré. Quelle hécatombe de malades et de morts ont suivi. Le grand poète Vitta, abandonné de tous et que j’ai suivie seule à son enterrement. […] La mort de J.J. Renaud, champion du monde d’épée et journaliste […] Je revenais, me proposant d’aller voir Colette... avec l’impossibilité pour moi de la croire victime de la mort. […] Il paraît que je suis à l’Union des Artistes, l’actrice qui a travaillé le plus longtemps »…
Lettre signée
GUITRY SachaLettre signée, adressée à Léon Volterra. Paris, 2 février 1935 ; 1 page 1/2 in-4°.« Il est convenu entre nous que je vous donne une comédie nouvelle en quatre actes dont je suis l’auteur et qui sera créée eu Théâtre de Paris, le 1er septembre prochain. Il est également convenu que, si rien ne vient contrarier notre magnifique projet, la pièce et ses cinq interprètes quitteront Paris le 2 septembre en avion pour aller faire le tour de l’Europe. Le 15 septembre, elle reprendra sa place sur votre affiche et elle ne la quittera plus que lorsqu’elle aura entièrement couru sa chance. Cette tournée aérienne se fera par vos soins, et je suis sûr que, de la sorte, elle aura tout l’éclat nécessaire. […] Les répétitions commencées au mois de juin, interrompues pendant le mois de juillet, seront reprises au mois d’août - et, comme partout ailleurs, mes droits d’auteur seront de 15 %. »
Lettre autographe signée
DUBOUT AlbertLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-12. « Si je n’ai rien dit lorsque vous êtes venu, c’est que j’était un peu distrait par la naissance de mon rejeton. Les dessins de journaux sont assez mal côtés, sans une exposition. C’est un système employé par ceux qui sont à court. C’est un peu mesquin. Ne trouvez-vous pas ? Il faudrait peut-être me laisser un peu de temps pour que je puisse préparer l’envoi d’oeuvres réfléchies. La plupart de ces dessins sont vieux de 2 ou 3 ans. Je ne veux pas donner l’impression que j’ai baissé. Vous savez comme j’aime mon art, et, c’est la seule raison qui me fait agir ainsi. »