Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
« L’OMBRELLE, LE GANT, LE MANCHON »
UZANNE Octave« L’OMBRELLE, LE GANT, LE MANCHON ». Illustrations en couleurs de Paul Avril. Paris, Quantin, 1883 ; in-4°. Relié demi-maroquin bleu sombre à coins (reliure de Pierson), titre doré, tranches dorées, couverture en couleur conservée. Édition originale. Tirage courant après 100 sur japon. Bel exemplaire de cet ouvrage finement illustré.
Ensemble de 3 contrats signés par J. Anouilh.
ANOUILH JeanEnsemble de 3 contrats signés par J. Anouilh.— Contrat pour La Sauvage avec le Théâtre du Parc de Bruxelles. 10 septembre 1945.— Traité pour L’Alouette avec le Théâtre Montparnasse-Gaston-Baty. 4 novembre 1953.— Traité pour L’Alouette avec Marcel Karsenty directeur des tournées Galas Karsenty. 8 février 1955.
Billet d’entrée au Palais de l’Élysée. Paris, 1826
BERRY Marie-Caroline de Bourbon-Siciles, duchesse deBillet d’entrée au Palais de l’Élysée. Paris, 1826 ; 11 x 13 cm.Signature autographe du marquis Claude-Henry-Étienne Bernard de Sassenay (1760-1840), Secrétaire des commandements de la duchesse de Berry sous la Restauration.« Le Concierge laissera entrer dans les Appartemens de L.L. A.A. R.R. depuis onze heures jusqu’à trois heures M... avec quatre personnes, le jeudi seulement ».
Photographie signée
ESCOFFIER HenriPhotographie signée avec 3 lignes autographes signées, dédicacée à Bertin Vilain. Format cabinet (14,5 x 10 cm). Tirage sur papier albuminé contrecollé sur carton ; cliché Truchelut, Paris.« À Monsieur Bertin Vilain, sincère hommage de sympathie pour son admirable dévouement au progrès social. H. Escoffier. »
Lettre autographe signée
GOERG ÉdouardLettre autographe signée. Sans date ; 1 page in-8°. « Nous vous adressons à l’un et à l’autre nos meilleurs voeux pour la nouvelle année. Le premier de nos souhaits est votre prochain retour en notre bonne ville où nous serons heureux de vous revoir, le second une petite reprise de l’activité en général pour chacun de nous en particulier. »
2 lettres autographes signées adressées à M. Got.
DUMAS Fils (Alexandre Dumas, dit)2 lettres autographes signées adressées à M. Got. Sans date ; formats in-8° :— « Trop tard. Les deux rôles sont distribués comme je supposais à Madame Lafontaine et à Mme Dubois. Je suis fâché pour la première occasion qui m’était offerte de vous être agréable de m’en être si mal tiré. »— « Voulez-vous bien remettre […] dîner à samedi. […] Je ne suis pas libre demain. Samedi à l’heure que vous voudrez après votre répétition. Ce que nous n’aurons pu dire avant, nous le dirons après la victuaille. »
Manuscrit autographe illustré d’un dessin à l’encre rehaussé au crayons de couleurs
GOLAY MaryManuscrit autographe illustré de dessins de roses à l’encre rehaussées au crayon de couleurs. Noël 1939 ; 1 page in-4° (21,6 x 17,8 cm). Au dos une inscription « original de Mary Golay ».« Des anges sont venusT’apporter de bonnes choses !Car le bon Dieu au fond dans le ciel bleu est chagrin quand tu es morose !Veux-tu le bel encensoir d’or ?Ou la rose tressée en couronne ? ET moi, le petit Sphinx; je veux le bonheur, la santé et le doux revoir de celui que j’aime. »
Pièce signée
WARNODPièce signée. Sans date ; 1 page in-8° avec dessin en couleurs représentant un ange portant un bouquet de fleurs. En-tête du Figaro. « Toutes mes félicitations bien sincères et toutes mes amitiés. »
Manuscrit
Note des effets des princesses Charlotte et Pauline« Note des effets des princesses Charlotte et Pauline ». 26 février 1819 ; 3 pages in-folio. Les deux premières pages sont écrites et signées par Émilie Bourdais. Il s’agit de la liste de linge, robes et fichus, bijoux et dentelles des princesses.
Longue lettre autographe signée, illustrée d’un dessin à l’encre signé
GOLAY MaryLongue lettre autographe signée, illustrée d’un dessin à l’encre signé. Vendredi 8 décembre 1939 ; 4 pages in-4° et 4 pages in-8° dont un dessin à pleine page représentant un bouquet de fleurs ; rassemblées par un fil d’or.« Mon ami très cher, voyez-moi devant le grand panneau dont je vous ai parlé, d’une hauteur de 2 m 30 et qui sera bientôt terminé. […] Je préfère travailler et je garde la promenade pour l’après-midi. Mais les journées sont si courtes, à 4 h. tout est noir et il faut profiter du peu de temps, au milieu du jour. Et je devrais peindre encore des petits panneaux qui m’attendaient depuis la semaine dernière. […] Je prends vos lettres chéries et je relis ces lignes si délicieuses, où vous me dites beaucoup plus que la réalité n’existe ? ; où vous me voyez dans votre imagination si délicieuse à mon égard et je suis profondément touchée. […] Aussi je garde pour moi vos chères lettres - c’est mon porte bonheur. Personne ne peut savoir que vous êtes là si près de moi et que vous m’aidez à réussir dans mes affaires pas toujours faciles » Elle doit se rendre à Paris « bien souvent je me sers des taxis mais hors de prix vu que l’on demande ce que l’on veut, et c’est ruineux. Voyez vous, ami chéri, que la vie ici n’est pas le rêve et le “Charme de Paris” ainsi que l’on chante toujours... […] Lundi dernier, encore j’étais au Château […] J’ai travaillé au son du canon qui n’a cessé de tonner tout le jour et l’impression était telle que les coups semblaient partir de la propriété même »... un dessin d’un bouquet de fleurs occupe toute la 7e page. « Le grand panneau des fleurs nées pendant la Guerre. Les couleurs sont brillantes, malgré les pensées moroses et surtout mélancoliques. La vie suit son cours avec la nature. La beauté lutte contre la cruauté... Les belles fleurs sont victoriennes et sont crées au bruit du canon. Grands pavots des jardins, rouges sang intense, coeur noir, roses safran en groupe de tons jaune souffre lumineux »…
Lettre autographe signée
BERNARD Jean-JacquesLettre autographe signée. Bréhat, le 23 août 1929 ; 1 page in-4°. « Je suis bien de votre avis quant à la vanité des théories. Aussi je n’ai pas voulu en émettre une, mais seulement essayer, sans la donner pour nouvelle, de dégager une vérité : la valeur dramatique de l’inexprimé. Cet inexprimé, ce n’est pas — ou du moins très rarement — ce qu’il y a sous les répliques... répliques, mais ce qu’il y a sous les répliques ... quelquefois. Rien ne serait dangereux comme de tirer de cela un procédé. Vous savez d’ailleurs qu’il n’y a pas d’art plus souple que celui du théâtre et que sa plus importante vérité est que les vérités y sont toujours relatives. Je suis bien heureux que Martine vous ait plus et très touché de la façon dont vous me le dîtes. »
Lettre autographe signée
CHÉRET JulesLettre autographe signée. Nice, le 5 avril 1901 ; 2 pages in-12. « Je suis le plus heureux d’être des vôtres au comité d’organisation pour le bénéfice de notre grande artiste, Marie Laurent, malheureusement ce ne pourra être […] étant obligé de rester à Nice jusqu’à fin mai pour mes travaux. Je serai dans l’impossibilité de faire l’affiche qui m’est demandée mais j’exécuterai et avec le plus grand plaisir le programme illustré. Je vous demanderai à cet effet de bien vouloir m’adresser des photographies de notre chère artiste afin que je puisse me mettre de suite à la besogne. »
Pièce signée
SUAREZ GeorgesPièce signée. Sans date ; 1 page in-4°, oblongue. « Les femmes n’aiment guère la politique parce qu’elles sentent en elle une terrible rivale auprès des hommes ; Mademoiselle Germaine Wiener ne le croit pas ; c’est le signe d’une rare force d’âme que je lui souhaite de garder toujours pour son bonheur. »
Lettre autographe signée
DHÔTEL AndréLettre autographe signée, adressée à Gaston Picard. Coulommiers, le 19 novembre 1957 ; 1 page in-8°, enveloppe timbrée jointe. « Je ne puis me garder de vous écrire pour mon ami Alfred Kerne et son livre. Parce que j’ai pour ce livre une admiration que je n’ai pas ressentie depuis longtemps pour quelque autre roman. Et puis j’entends discuter et je regrette d’être un peu loin de Paris et même des cocktails et ne pouvoir dire ce que je voudrais dire. »
Lettre signée
BEAUVILLIER Paul, duc deLettre signée. 31 décembre [1692 ?] ; 2 pages in-8°. « On m’a assuré […] que le Roy a fait prendre une maison appartenant à la femme du sieur de Goulheyre, scituée pres de Brest, pour y construire plusieurs fours à biscuit ; et que la maison, le jardin, et les heritages qui en dependent en ont esté fort endommages. Ayant ce gentil homme dans ma maison et estant content de ses services, je dois prendre véritablement part a ses intesrest, et aux prieres qu’il a avoue faire pour le dédommagement qui peut luy estre deü. »