Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
MORAND EugèneLettre autographe signée, adressée à « Ma Chère Moreno ». 21 juillet 1927 ; 1 page in-4°. « Comme suite à votre lettre, j’ai été hier consulter Marcel Ballot sur l’opportunité de consentir ou non l’interprétation d’Hamlet par Gémier sans aucun engagement avec le nombre de représentations. Marcel Ballot nous conseille d’accepter, sachant — je le lui ai dit — que, y eut-il un engagement et qu’il ne fut pas tenu, je n’aurais aucun recours, puisque pour ma part, je n’accepterais jamais d’exercer quelque contrainte que ce soit envers un artiste tel que Gémier. En outre, nous devons pouvoir compter sur un nombre de représentations qui, pour être réduit ne sera pas négligeable et aussi, comme vous le pensez vous-même, que le chemin le plus direct qu’ait le prince du Danemark pour rentrer au Th. français est encore de passer par l’Odéon. »
Photographie signée
DANIEL-ROPS (Henry Petiot, dit)Photographie signée. 18 x 13 cm.
Lettre autographe signée
DESCHAMPS ÉmileLettre autographe signée. Paris, le 1er septembre 1841 ; 3 pages in-8°. « J’ai lu quatre fois votre magnifique prospectus et l’article si profond et si brillant du n° d’hier. […] Je crois fermement à l’avenir du 19e siècle, et ma voix donne des échos partout. Soyez sûr que de grandes sympathies vous sont acquises. Un talent si littéraire et si poétique […] ne pourrait manquer d’y porter la lumière et la flamme. Je suis très fier aussi de voir mon nom figurer parmi ceux des collaborateurs littéraires du 19e siècle […]. Je n’ai pas de loisirs pour la publication d’un nouvel ouvrage qui est tout prêt et qui va rester dans des boîtes de carton, peut-être des mois entiers. […] Le feuilleton de M. Al. Dumas est excellent. Voilà de l’histoire intéressante, comme votre grand article sur la politique inspirée. »
Lettre autographe signée
CALMETTE AlbertLettre autographe signée, adressée à un secrétaire général. Paris, le 2 juin 1921 ; 1 page in-8°, entête « Institut Pasteur ». « Il me sera impossible d’assister et de prendre la parole au Congrès de l’exposition Nationale de la maternité et de l’enfance à la date que vous m’indiquez. J’ai déjà promis de me trouver à cette époque à Rennes pour le congrès régional de notre association nationale contre la tuberculose dont je suis vice-président. »
Ensemble de
GALOPPE D’ONQUAIRE Pierre CléonEnsemble de 14 lettres autographes signées, adressées à l’éditeur Bourdilliat. [1805-1867] ; 28 pages in-8° et 2 pages in-12. Le sujet des lettres évoque des écrits de l’auteur dont Le Diable boiteux au château que Bourdilliat publia en 1860.
Lettre autographe signée
ANOUILH JeanLettre autographe signée, adressée à M. Leclair, directeur de l’Agence générale de la Société des auteurs et compositeurs dramatiques. [12 août 1946] ; 1 page in-8°.« Cher monsieur Leclair. Il y a des photos de moi à moustache et datant de cent ans au Studio Piaz. Une photo plus récente avec Barsacq et une photographe qui s’appelle Brenken. Je n’ai pas son adresse et l’atelier doit être fermé. Faites au mieux. [...] As-t’on pris le copyright de l’Invitation au château ? »
Pièce signée
HARMAND Jean-BaptistePièce signée, avec petite vignette ronde représentant des canons et autel « Patrie » surmonté du bonnet phrigien et en-tête imprimé « Le Représentant du Peuple, député par la convention nationale dans les départements de la quartorzième division ». Sans date ; 2 pages 1/2 in 4.« Je dois instruire la Convention d’une Révolution survenue à la voix du Peuple, dans les villes d’Angoulême et Larochefoucaud relativement à la taxe des denrées, mais cette Révolution ne doit pas inquiéter la Convention elle est salutaire puisque le Peuple l’a demandée [...] j’ai moins calculé l’avantage local qui résultera de cette taxe à la République par le dépot des chevaux réunis à Angoulême [...] manquant presqu’entièrement de pain par la malveillance et la crainte il ne pouvait atteindre le prix du vin dans la circonstance présente ».
2 lettres autographes signées
FÉVRIER Henry2 lettres autographes signées, sans doute adressées à M. Baudut. Lyon, 7 et 11 mars 1921 ; 2 pages in-12 et in-8°. Il souhaite lui exprimer ses remerciements pour des études de Gismonda au Grand Théâtre. « Tout va bien et mon ouvrage est préparé avec beaucoup de soins. » Il le remercie enfin du soin apporté au montage de sa pièce : « Je n’ai qu’à me louer de tous, artistes, orchestre, chœurs, tous, grands et petits. »
Aquarelle (attribuée à)
CICÉRI Pierre-Luc-CharlesPaysage.Aquarelle non signée.XIXe siècle11,5 x 15,8 cm.
Lettre autographe signée
ODIOT GustaveLettre autographe signée, adressée à M. Debax. Paris, 22 juin 1852 ; 1 page in-4°. En-tête imprimé « Odiot Orfèvre ». Concernant un devis de service d’argenterie pour vingt-quatre personnes. « Cette demande est très vague et je vous serais obligé de vouloir bien me faire savoir si vous désirez une service de couverts complets ou un service avec vaisselle, ou bien encore un service avec pièces de surtout. »
Encre de chine
CARELMAN JacquesEncre de Chine sur papier représentant un bosquet. Signé en bas à gauche et daté en bas à droite du 22 juillet 1952.32,4 x 49,7 cm.Provenance : vente de la succession Carelman.
Ensemble de 2 lettres, adressées au Père-Noël, signées par « Jean-Michel »
LETTRES AU PÈRE-NOËL.Ensemble de 2 lettres, adressées au Père-Noël, signées par « Jean-Michel » :— [1916] ; 1 page in-8° avec enveloppe jointe avec mention autographe « Père Noël au ciel ». « Mon Cher Père-Noël, Au lieu de la panoplie capitaine Spahis, je désire un tank qui lance du feu. Veuillez ne pas envoyer le tambour. Veuillez agréer mes sentiments respectueux. Jean-Michel ». Est joint un petit pantin en laine.— [Sans date] ; 1 page in-8°, oblongue, écrite probablement par la mère de Jean-Michel : « Vous pouvez passer, on est de retour. Je dormirai bien. Je serai bien sage. Mettez les jouets au pied du lit. Sil reste une maison, mettez-la moi. Merci beaucoup d’avance. Jean-Michel. »
Ensemble de 3 lettres signées
BOSQUET Alain (Anatole Bisk, dit)Ensemble de 3 lettres signées, adressées à Raymond Barkan, journaliste. Paris, 9 août-14 octobre 1965; 4 pages in-4°. En-tête de l’éditeur Calmann-Lévy.« Nous avons longuement discuté de La mort de Tilt qui est assurément une œuvre méritant la considération. À la suite de deux lectures successives, je m’étais d’ailleurs permis de vous téléphoner pour dire que votre manuscrit nous intéressait. Une autre lecture a pourtant révélé des réticences dont je suis obligé de tenir compte en vous écrivant cette lettre. » — « Je suis heureux de savoir que vous êtes disposé à retravailler La mort de Tilt et je vous souhaite bon courage. » — « Merci de m’avoir envoyé la nouvelle version de La mort de Tilt ».
Poème autographe signé
DELORME Hugues (Georges Thiebost, dit)Poème autographe signé. Sans date ; 1 page in-12 oblongue.« Moi, les vers, me dit un crétin,Ce n’est pas que cela m’embête,Mais quand j’en lis, je suis certainDe me donner mal à la tête.Eh bien (ne poussez pas de crisEn apprenant cette nouvelle)Des vers, moi, Monsieur, j’en écrisPour me rafraîchir la cervelle. »En dessous de ce poème, une portée musicale signée d’Henri Hirchmann, extrait de La Petite Bohème créée le 19 janvier 1905 au Théâtre des Variétés à Paris.
Lettre autographe signée
GRAMONT Ferdinand, comte deLettre autographe signée. 6 octobre 1873 ; 3 pages in-8°. Il énumère à son correspondant les maisons souveraines et non souveraines de l’Italie, au XVIe siècle. Puis il compose dans le corps de la lettre une ballade :« J’ai lu vos gentilles balladesEt souvent je les reliraiPour me purger des choses fadesDont en ce temps, bon gré, mal gré,On est sans mesure écœuré.Sous cette influence malsaineQue d’ennuis on souffre et de gêne !On succombe à tant de dégoûts,Mais rien n’altère votre verve,Cher Monsieur, c’est affaire à vous.[…]La ballade est votre domaine.Une ou deux, soit ; sans trop de peineOn en pourra joindre les bouts ;Mais d’en tisser triple domaine,Cher Monsieur, c’est affaire à vous.Cette ballade n’est pas dans les règles ; les couplets ne devraient avoir que huit vers, mais elle est venue comme cela. »