Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Lettre autographe signée
GOURGAUD Gaspard, baronLettre autographe signée, adressée au général Bertrand. Palais des Tuileries, le 12 mai 1840 ; 3 pages in-8° avec adresse. « Mon bon ami, On présente aujourd'huy à 3h. un projet de loi aux chambres pour le retour des cendres de l'Empereur. Je viens de dire au roi que je ne vous avais pas trouvé, mais que je vous avais écrit pour vous indiquer Vendredi comme le jour ou vous remettiez les armes de l'Empereur. Tous les ministres ont décidé que cette cérémonie aurait lieu avec l'appareil convenable. Je pars à l'instant avec le roi pour Fontainebleau où je vous prie de m'écrire sur le champ un mot de réponse. Je resterai demain à Fontainebleau et serai de retour aux Tuileries à 6h. jeudi après demain et je m'empresserai de vous voir. J'aurai aussi l'honneur de vous conduire chez le ministre de la Marine pour vous concerter avec lui. Vive l'Empereur ! Le Lt gal Gourgaud. Un mot de réponse à Fontainebleau. »
Lettre autgraphe signée
MAILLOL AristideLettre autographe signée, adressée à Jean-Paul Luthringer. Banyuls-sur-Mer, 1er octobre 1942 ; 2 pages in-4°, enveloppe timbrée avec adresse autographe. Il n’a pas eu le temps de répondre plus tôt à sa lettre. « Je suis tellement accablé de lettres que si je répondais à toutes je ne pourrai plus travailler. Vos travaux m’ont parus bons à encourager. Malheureusement une lettre ne peut apprendre grand chose. Cependant je vous engage à dessiner avec continuité, ne vous arrêtez pas à des dessins faciles mais dessinez pour apprendre en poussant très loin l’étude des formes, en faire sortir puissement tous les détails. de plus tachez de faire grandeur naturele des bras des jambes des mains. Jusqu’à ce que vous sachiez par coeur, ainsi vous pourrez faire des statues sans avoir recours au modèle, car la copie bête du modèle éloigne de l’esprit, mais il faut savoir vos dessins sont harmonieux. Étudiez avec un petit carnet dans la rue et aux champs, vous arriverez surement. Vos photos sont trop petites pour que je puisse dire quelque chose sur les sculptures mais cela m’a paru un bon commencement. Bon courage, Maillol. »
Lettre signée
RODIN AugusteLettre signée. Paris, le 27 novembre 1905 ; 1 page 1/2 in-8°, fente, aux plis et fort pli sur la signature, sur papier à en-tête du 182 rue de l’Université. « Monsieur Rodin ayant été en voyage pendant huit jours regrette de n’avoir pas pu répondre à votre lettre immédiatement. Si les étrangers orientals, qui vous voulez lui amener si aimablement sont encore à Paris, M. Rodin serait bien heureux de les recevoir samedi prochain vers 2 heures comme vous le proposez. En attendant, M. Rodin, très reconnaissant de votre attention vous envoie l’assurance de ses meilleurs sentiments. » Lettre probablement rédigée par R.M. Rilke qui fut secrétaire de Rodin en 1905/1906.
Lettre autographe signée
CHATEAUBRIAND François René deLettre autographe signée, [adressée à la marquise de Castéras]. « Vendredi 28 avril 1821 » ; 1 page in-4°. « Ma première pensée a été de courir à la ferme ; puis les mille devoirs de la Diplomatie, sont venus m'arrêter. Dites, je vous prie, Madame la marquise à l'admirable princesse, que je n'aurai pas de plus grand bonheur que d'aller mettre mon respect à ses pieds. Malheureusement nous ignorons encore le jour [ ] ; mais il ne peut être éloigné. Mille tendres hommages. Chateaubriand. » Blanche-Marie-Elisabeth-Pola de Medina, marquise de CASTERAS SEIGNAN [Villa Carlos, Mahon, Minorque, 1777 - château de Seignan, 1844], demoiselle d'honneur de Marie-Louis-Adélaïde de Bourbon-Penthièvre.
Intéressantes correspondances entre Montholon et Bertrand
SUCCESSION DE NAPOLÉON Ier.Intéressantes correspondances entre Montholon et Bertrand. Juillet 1827- janvier 1829; formats divers. 3 lettres autographes signées du général Montholon, adressées au général Bertrand. Lettres très intéressantes concernant le banquier Laffitte, et certains points sur le règlement du legs « Je ne comprends pas quelle bonne raison Monsieur Laffitte peut avoir à s'opposer à l'exéquator qu'avec tant de peines j'ai obtenu du gouvernement français de laisser rendre par le tribunal de 1ere instance de la Seine. ce jugement est aussi avantageux pour les intérêts de la maison de commerce que pour les exécuteurs testamentaires en ce qu'il met l'un et l'autre à l'abri de toute attaque des héritiers ou autres. Même d'une réaction contre-révolutionnaire » On joint 12 pages in-folio de feuilles de comptes et notes de la main du général Bertrand, sur le legs rassemblées sous une chemise légendée « Gal Montholon » de la main du général Bertrand. « État des sommes payées par M. Laffitte pour le compte du gal Montholon ». Figurent aussi les sommes payées aux personnes figurant sur le testament : St Denis, Noverras, Pierron, Archambault, Vignali, Larrey, Desnouettes, Drouot, etc.
Manuscrit musical autographe signé
ROUSSEL AlbertManuscrit musical autographe signé. Circa 1928 ; 1 page oblongue (17,4 x 27 cm).Manuscrit d’une partie du Psaume LXXX op. 37.Manuscrit avec 10 portées, découpé d’une feuille plus grande, annotée au crayon par une autre main, comprend les cinq premières mesures de la partie Turn again o God, and cause thy face to shine, partition annotée pour trois voix (soprano, contralto et ténor) et pour piano sur un système unique de cinq portées, encre brune foncées, sous chemise demi-maroquin rouge moderne.Composé en 1928, ce psaume de Roussel a été publié à Boston et à New York en 1929. Le passage musical se trouve au signe de répétition 8 de la partition vocale de Birchard.Ancienne bibliothèque R. et Bernard Loliée.Le Psaume LXXX op. 37 pour ténor solo, chœur et orchestre est une œuvre d’Albert Roussel.La version originale, composée d’avril à août 1928, repose sur le texte de l’Ancien Testament tel qu’il figure dans la traduction de la Bible utilisée par l’Église anglicane (ce qu’on appelle la King James Version). En effet la partition répondait à la commande d’un éditeur américain. Pour la version française qui a suivi peu après, Roussel a adopté avec quelques retouches le texte qu'on lit dans la Bible publiée par Louis Segond, d’un usage très courant à l’époque. La première audition en a été donnée à l’Opéra de Paris le 25 avril 1929 sous la direction d’Albert Wolff, à l'occasion d’un festival destiné à célébrer le soixantième anniversaire du musicien. La partie de ténor était tenue par Georges Jouatte.Sa durée d’exécution est d'une vingtaine de minutes.
Lettre autographe signée, adressée à Jean Marais, avec un dessin au dos représentant le profil d’Œdipe.
COCTEAU JeanLettre autographe signée, adressée à Jean Marais, avec un dessin au dos représentant le profil d’Œdipe. Santo-Sospir, St Jean Cap-Ferrat, dimanche [1959] ; 1 page in-8°.Pendant le tournage du Testament d’Orphée.« Mon Jeannot, c’était bien doux de t’entendre mais je préférerais t’entendre et le soir. Je me réjouis de notre trop brève besogne et je voudrais que tu penses à être terriblement beau (toi) et s’il y a barbe, une simple petite moustache grise. C’est ton visage à toi que je veux et si cela te convient. Madame Janet qui fait les faux yeux peux t’en préparer. On les applique sur les paupières. Madame Jan et est la fée des vitrines et sera près de nous pour les détails de masques, trop grossiers à l’écran. L’optique du théâtre n’est pas la même. Ne te fatigue pas. Je t’aime de me rendre solide et pas trop moche. Je t’embrasse. Jean. »
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus. 26 avril 1916 ; 2 pages in-8°.Belle lettre du front : « J’ai reçu hier vos lettres, celle acheminée à l’ambulance 13, et celle envoyée ici. J’ai reçu aussi tous les colis, les délicieux œufs de Pâques, le poisson, la mayonnaise. Tout cela est largement entamé. Les crèmes sont englouties. Je suis assez souvent privé de dessert. Je vous disais hier que je ne trouvais plus de remerciements. Je ne dis donc plus rien, mais n’en pense pas moins. Oui, oui, il faut que je dise encore quelque chose. Il faut que je vous dise ma joie, et ma reconnaissance, de savoir que l’état de Maman n’est plus grave. Édouard me le confirme. Je suis tout à fait heureux. Et le temps est splendide, et je vais repartir demain ; et je vais, peut-être bientôt, reprendre cette vie d’aventures, un peu fatigante mais si admirable. […] Il faut que je fasse mes malles, ou plutôt mes sacs. Écrivez-moi dorénavant à la 171, je vous prie. »
Lettre autographe signée
RAVEL MauriceLettre autographe signée, adressée à sa marraine de guerre, Mme Fernand Dreyfus (la mère de Roland-Manuel). 29 juillet 1916 ; 1 page in-8°. Il a appris par sa mère que Mme Dreyfus avait eu un accident. Il l’espère rétablie mais se dit vivement inquiet. Il serait rassuré si elle pouvait télégraphier de ses nouvelles à M. Roger Noël à Chamouilly. «J’allais précisément vous demander pourquoi vous ne m’écriviez plus, quand j’ai reçu la lettre de Maman. Et cette lettre m’inquiète doublement, plus illisible que jamais, presque incohérente, au point que je me demande si ma pauvre maman n’a pas rêvé ce qu’elle m’y annonce. » Belle lettre.
Lettre autographe signée
HUGO Victor« La Voix de Guernesey ». Exemplaire imprimé daté « Hauteville House, novembre 1867 » ; 49,5 x 16 cm, déchirures et trous aux pliures. Exemplaire avec corrections. Avec au dos la mention autographe signée « A Eugène Pelletan Victor Hugo ». Ce poème, anticlérical et opposé au gouvernement de Napoléon III, fut composé par Victor Hugo après la bataille de Mentana (1867) au cours de laquelle les troupes Françaises et Pontificales mirent en déroute les Chemises Rouges de Garibaldi. Il conduisit à l’arrêt des représentations d’Hernani à Paris :« Ces jeunes gens, ces fils de Brutus, de Camille,De Thraséas combien étaient-ils ? quatre mille.Combien sont morts ? six cents. Six cents ! comptez, voyez. Une dispersion de membres foudroyés,Des bras rompus, des yeux troués et noirs, des ventres Où fouillent en hurlant les loups sortis des antres, De la chair mitraillée au milieu des buissons, C’est là tout ce qui reste, après les trahisons, Après le piège, après les guet-apens infâmes, Hélas, de ces grands cœurs et de ces grandes âmes ! Voyez. On les a tous fauchés d’un coup de faulx.Leur crime ? ils voulaient Rome et ses arcs triomphaux ; Ils défendaient l’honneur et le droit, ces chimères. Venez, reconnaissez vos enfants, venez, mères ! Car pour qui l’allaita, l’homme est toujours l’enfant. Tenez ; ce front hagard, qu’une balle ouvre et fend, C’est humble tête blonde où jadis, pauvre femme, Tu voyais rayonner l’aurore et poindre l’âme ; Ces lèvres, dont l’écume a souillé le gazon, O nourrice, après toi bégayaient ta chanson »…Grande rareté !
Manuscrit musical autographe signé. 6 pages de musique in-folio avec sa signature en haut
MILHAUD DariusManuscrit musical autographe signé. 6 pages de musique in-folio avec sa signature en haut.« Réduction des voix pour piano à quatre mains ».Sur la page de gauche intérieure de la chemise, envoi autographe signé « À Jacques Benoist Méchin, amateur de manuscrits, D.M. »
Lettre autographe signée
MARCHAND Louis-Joseph-Narcisse, comteLettre autographe signée, adressée aux comte Napoléon, Henry, Arthur et Alphonse Bertrand, fils du Grand Maréchal. Paris, 15 décembre 1844 ; 4 pages in-8°. Intéressante et longue lettre contre les calomnies lancées contre le Grand Maréchal. « Je viens de lire avec le plus vif intérêt quelques une des notes laissées par Monsieur le Grand Maréchal contre les calomnies entassées sur lui et sur Madame la Comtesse Bertrand, votre mère dans deux ou trois ouvrages. Informé de la publication que vous vous proposez d'en faire, je vous prie d'y ajouter, que je n'ai jamais eu connaissance, bien qu'on me le fasse dire, d'aucune discussion religieuse, entre l'Empereur et son Grand Maréchal. Qu'on le sache bien ; c'est qu'à Ste Hélène, la volonté de l'Empereur était aussi ferme et aussi entière que lorsqu'il était sur le trône et que les sentiments de Monsieur le Comte Bertrand pour lui sont restés jusqu'au dernier moment trop respectueux, trop dévoués, et son admiration un culte trop élevé pour se permettre les inconvenances qu'on lui prête, qui, si elles eussent existées seraient inqualifiables, et n'eussent point été souffertes. Ainsi que l'expose avec beaucoup de clareté Monsieur le Grand Maréchal, les auteurs de ces ouvrages ont été mal renseignés dans ce qu'ils racontent de son projet de départ de Ste Hélène avec sa famille. Voici, à cette occasion ce que l'Empereur étant au bain, me fit l'honneur de me dire : c'est moi qui engage Bertrand à accompagner sa femme en Europe, pour mettre ordre à ses affaires, qui, s'il n'y allait pas pourraient bien en souffrir. Ils n'ont pas été mieux renseignés, lorsqu'ils disent, que l'Empereur ne voulut plus voir Madame la Comtesse Bertrand, parce que son salon, était devenu le rendez-vous des officiers anglais. Vous pouvez répondre, Messieurs, qu'à l'époque ou les officiers anglais entraient dans Longwood, Madame la Comtesse Bertrand les recevait et venait voir l'Empereur, qui, ne lui en faisant point de reproches, c'était plutôt l'occasion pour sa Majesté d'avoir des nouvelles dont l'entretenait le Grand Maréchal. Lorsque plus tard, ces mêmes officiers de durent plus entrer dans l'enceinte, l'interdit fut pour Madame la Comtesse Bertrand, comme pour toute la colonie, et comme toute la colonie, elle s'y conforma. Je demanderai à ces auteurs qui déversent avec tant de malignité, leu venin sur Madame la Comtesse Bertrand, et qui paraissent si bien instruits de ce qui se passe à Ste Hélène, comment il se fait qu'à l'époque citée par eux, l'Empereur me demanda une tabatière ornée de son portrait enrichie de diamants, et que la prenant, du plateau de vermeil sur lequel j'avais l'honneur de la lui présenter, il dit à Madame la Comtesse Bertrand en la lui offrant, tenez Madame, je vous la donne dans de bien mauvais jours, elle vous témoignera de mon estime et de mon amitié. Ceci se passait au billard, un an avant la mort de l'Empereur, et la comtesse remerciait Sa Majesté avec une émotion qui laissait voir combien elle se trouvait honorée de cette distinction. St Denis attaché au service de l'Empereur, et qui à Ste Hélène était chargé de remettre au net les dictées faites par Sa Majesté, justifiera au besoin de ce que j'avance. Je n'entreprendrai pas ici une réfutation qui demanderait que ces ouvrages fussent pris feuille par feuille pour rétablir la vérité, presque partout altérée. L'un d'eux intitulé Mes souvenirs sur Napoléon par la veuve du Général Durand, est arrivé à Ste Hélène, il contient beaucoup de notes de la main de l'Empereur. L'auteur déplore aussi la fatale influence de Madame la Comtesse Bertrand dans la détermination prise par Sa Majesté de se confier aux Anglais, et l'on ajoute que Madame Bertrand qui est anglaise d'origine se jeta aux genoux de l'Empereur en le priant, en le pressant de se confier à l'honneur, à la loyauté et à la générosité des Anglais. Cet ouvrage m'appartient, et je déclare qu'en regard du passage que je viens de citer, j'y vois écrit par l'Empereur, faux. Je ne doute pas, Messieurs, que le général Comte de Montholon, qui partage à Ham une captivité supportée avec autant de courage que de résignation par le neveu de l'Empereur, ne fasse justice dans la prochaine publication sur Ste Hélène, de productions dont le but évident est de flétrir le noble caractère de l'homme du quel l'Empereur disait à Ste Hélène, Bertrand est un véritable homme d'honneur ».
Gouache originale signée.
FRIESZ Émile-OthonPot de fleurs.Gouache originale signée.Sans date (vers 1935).28,5 x 22 cm.
Lettre autographe signée
VALOIS Charles deLettre autographe signée « Charles B de Valois », adressée au cardinal de Richelieu. 15 septembre [1627] ; 1 page in-folio, adresse au verso avec cachets de cire rouge aux armes sur lacs de soie rose. Très belle lettre écrite juste après l’arrivée de Gaston d’Orléans au siège de La Rochelle. Il voulut aussitôt se faire montrer les travaux, mais un peloton de cavaliers sortit de La Rochelle et attaqua l’escorte de Monsieur qui montra beaucoup d’assurance et de calme. « Tout ce que jay preveu est arrivé, ce qui contynuera puis que les choses sont si contraires à lordre de la guerre, que toutes choses sont à la ruine de tant de Noblesse qui est icy et de la conservation de ce qui fait besoin. Ce gentilhomme vous dira ce qui sest passé à la tente de Monseigneur le duc d’Orléans et pour le reste je le remets à la sufisance de ce porteur. »Très rare.
Correspondance de 6 lettres autographes signées
ISABELLE II (Marie-Louise, dite)Correspondance de 6 lettres autographes signées, adressée par Sa Majesté la Reine Isabelle II d’Espagne à sa nièce S.A.I.R. Dona Januaria d’Alcantara, princesse Impériale du Brésil et fille de l’Empereur du Brésil Pedro Ier. En Espagnol.— Bemfica, 30 décembre 1860 ; 1 page in-8°. Voeux de bonne année.— Bemfica, 26 décembre 1862 ; 1 page in-8°. Voeux de bonne année.— Frascati, 10 août 1863 ; 1 page in-8°. « Je suis à Rome pour recevoir la bénédiction Papale le 15 prochain, et je baiserai le pied de Sa Sainteté de ta part.»— Roma, 24 janvier 1864 ; 1 page in-8°. Grâce à Dieu elle est en bonne santé en dépit du froid qui a régné.— Bemfica, 19 janvier 1866 ; 1 page in-8°. Elle souffre de maux de tête, mais les médecins estiment que ce n’est pâs grave. « Ma belle-soeur l’Impératrice a une grippe, mais grâce à Dieu pas grave ».— Bemfica, 1er janvier 1869 ; 1 page in-8°. « J’ai eu des rhumatismes au bras droit qui m’ont assez fait souffrir […]. Quand tu verras la Reine d’Espagne, dis lui mille et mille choses de ma part ainsi qu’au Roi. Dis-moi, est-ce exact ce que disent les journaux ici, que le Roi de Naples est très malade ? »On joint un document signé par François d’Assise de Bourbon [1822-1902], époux de la reine Isabelle II d'Espagne.