Nos plus beaux documents autographes
4423 autographes de prestige trouvés
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 7 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Waldemar-George : L’humanisme et l’idée de patrie (Fasquelle) ; Édouard Krakowski : La France et la mission (Mercure de France) ; Paul Gaultier : L’âme française (Ernest Flammarion) ; Brice Parain : Retour à la France (Grasset).
Ensemble de 14 documents concernant l’exploitation de la pièce Parents Terribles de Jean Cocteau
[COCTEAU Jean].Ensemble de 14 documents concernant l’exploitation de la pièce Parents Terribles de Jean Cocteau. 1948-1958.
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1936] ; 6 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Roland de Maret : La maison du chanoine (Mercure de France) ; René Füllöp-Miller : Charivari (Plon) ; Philippe Amiguet : Race de Calvin (Albin Michel) Claude Aveline : Le Prisonnier (Emile-Paul).
Manuscrit autographe signé
THÉRIVE André (Robert Puthoste, dit)Manuscrit autographe signé « Les livres ». [1935] ; 7 pages in-4°. Article de critique littéraire pour sa chronique Les livres dans le journal Le Temps.Il évoque les dernières parutions : Henri de Régnier : Moi, elle et lui (Mercure de France) ; Jacques Chenevière : Connais ton coeur (Calmann Lévy) ; Clarisse Francillon : La Mivoie (Gallimard) ; André Fraigneau : L’Irrésistible.
Photographie dédicacée
PIRON Léa, danseuse à l’Opéra de Paris et actrice du cinéma muetPhotographie dédicacée à la cantatrice Andrée Vally. Décembre 1915 ; 24,5 x 16 cm.« À Madame Vally, en très grande sympathie. Léa Piron. Décembre 1915. »
Lettre signée
TERRASSE ClaudeLettre signée, adressée à M. Ballot. Paris, 2 juillet 1918 ; 3/4 page in-4°. « Avec ce mot, je vous fait porter la partition des Travaux d’Hercule. Vous savez que cette pièce avait été sensiblement modifiée lors de la reprise à Femina. Est-ce la nouvelle ou l’ancienne version que l’on adapterait pour l’Espagne ? Si c’est l’ancienne, la partition que je vous envoie est la bonne », etc.
Photographie signée
CAVALIERI Lina (Natalina, dite)Photographie signée. 14 x 9 cm. Carte postale de la collection Coquelin.
Lettre autographe signée
BLANQUI Jérôme AdolpheLettre autographe signée. Paris, le 8 septembre 1848 ; 1 page in-4°. « Le retard mis à m’acquitter envers vous pour les honoraires de l’acte que vous avez rédigé ne dépend ni de mauvais vouloir, ni de l’oubli de l’empressement que vous avez mis à l’achever. Il tient tout simplement à l’impossibilité financière provenant des pertes énormes que les événements m’ont fait subir et qui nous mettront encore plus de six mois dans une position malaisée. Je vous envoie en signe de bonne volonté 300 francs à valoir, et ne me tiendrai jamais quitte, Monsieur, même après solde, des sentimens de gratitude dûs à votre zèle. »
Ensemble de 3 lettres autographes signées
FABRE LucienEnsemble de 3 lettres autographes signées [adressées à Lucien Dubech]. 1925-1934 ; 5 pages in-4° ou in-8°. 5 février 1925 : « Je viens de relire vos trois nouvelles, mais j’hésite encore à vous en parler car j’ai surtout du bien à vous en dire, j’ai, par suite, peur de passer à vos yeux pour un inutile. […] Vivacité du ton […]. Je ne puis mieux louer ces deux qualités qu’en me rappelant qu’à travers elles perce l’auteur, et que c’est pour son caractère et que c’est pour son caractère que je suis son ami, avant tout autre considération d’estime littéraire. Ardeur de la satire et valeur de celle-ci. À ce point de vue là, vos nouvelles sont uniques par la justesse et la proportionnalisation des moyens, par le timbre de la voix qui raconte l’histoire, par tout ce qu’il y a de rationnel, et je veux dire, de cartésien dans tout cela. Intérêt de l’histoire. Vous avez sans peine réalisé ce que tant de conteurs et de romanciers ratent après avoir longuement besogné, et qui est pourtant l’essentiel de toute histoire, quoiqu’en disent les gardiens du savoir qu’on ait envie de tourner la page pour lire la suite. […] Ne vous ferais-je pas de reproches ? Si. D’abord un manque d’individualisation. Vos personnages n’ont pas, à mon avis, leur tiers. On ne les voit pas assez. Votre chartiste, je vois seulement qu’il a des favoris et le torse étroit. Quoiqu’on en dise, dans un conte, il faut voir le héros, au physique […]. Deuxième reproche. Disproportions des parties. dans cette dernière nouvelle le véritable sujet tient la même partie, plus encore dans l’esprit du lecteur que par le nombre de lignes. Troisième. L’atmosphère est inégalement répartie. Tantôt excessivement détaillée, tantôt manquante. […] Mille excuse de ce topo qui n’est qu’un tissu d’impressions. Toutes peuvent être absurdes mais, que je vous envoie parce qu’elles valent en toute simplicité et affection. »Bucarest, 3 juin 1929 : « Je crois, carissime, que nous serions des épistoliers si nous le pouvions entre nous : l’esprit, la culture, la confiance et l’affection mutuelles ne nous manquent pas. Et comme dirait Valéry, “la bêtise n’est pas notre fort”. Mais les loisirs, nous manquent et les destins nous sont contraires. Ainsi me serais-je privé des moments qui eussent peut-être été les meilleurs de ma vie : ceux de lire de vous des lignes écrites uniquement pour moi. […] Je vous envoie un essai sur le Rire et les Rieurs qui est le fruit, sinon du génie, du moins d’une longue et amoureuse patience. Faites-moi la grâce de le juger et de m’en parler. La récompense d’un tel effort n’est que dans l’adhésion de nos pairs. Je l’envoie aussi à Maurras et à Daudet »…12 octobre 1934 : « Je viens de rentrer à Paris et la N.R.F. me communique vos deux articles. Avec quelle émotion, quelle reconnaissance je les ai lus ! À travers le temps, l’Espace, les tribulations, e je vous retrouve le même pour moi et j’en serais plus surpris, tant de belles choses sont rares. Si je ne me sentais à mon côté exactement le même pour vous. Mais j’ai de la chance car, chaque semaine, je puis vous lire et vous lisant, je vous vois, je vous entends, je revis nos entretiens d’autrefois, rien de changé en vous ! »…
Lettre autographe signée
FORT PaulLettre autographe signée, adressée à Aristide Marie [1862 - 1938], essayiste, spécialiste de Gérard de Nerval et avoué français. Paris, 3 novembre 1915 ; 1 page in-8°.« Puis-je espérer que vous voudrez bien me rester fidèle pour une seconde et dernière année des “Poèmes de France”, où je chanterai, sinon avec beaucoup de talent, du moins avec tout mon coeur, la Victoire de nos armes et de notre génie ? […] Ce sera pour moi, si vous accueillez bienveillamment cette seconde suite de poèmes un nouveau et précieux signe de votre estime. »
Lettre autographe signée
FORT PaulLettre autographe signée, adressée à Gaston Picard. 7 mars 1957 ; 1 page in-8°. « Un jour — il y a bien longtemps — Alfred Vallette reçut une commande de grand libraire : « Envoyez moi “L’Homme d’Intérieur” de Charles Guérin et “Montaigne” de Paul Fort ». Il s’agissait de L’Homme intérieur et de Montagne. La fatalité voulut que le grand libraire susdit renseignât un journaliste. Et les deux livres furent annoncés (selon les premiers titres) dans la Presse. Rigolade au Mercure ». En post-scriptum : « Excusez ma fléchissante écriture. Mon cancer à la gorge a filé. Mais les “rayons” demeurent et me tiennent sous chape d’inertie environ 3 heures par jour. Pas bon pour le travail écrit ou “pensé”. En éveil, radio ça va encore. Bonne voix. »
Lettre autographe signée
DUPRÉ MarcelLettre autographe signée [adressée à M. Martinelli]. Meudon, 13 avril 1937 ; 1 page in-4°.« C’est de tout mon coeur que je m’associe au désir que vous m’exprimez, concernant notre grande cantatrice française Germaine Martinelli. Sa carrière magnifique, tant en France qu’à l’étranger la désigne pour la croix de la Légion d’honneur, et je serais heureux qu’elle reçoive cette récompense si hautement méritée ».
Lettre autographe signée
ROSNY l’aîné (Joseph-Henri Boex, dit)Lettre autographe signée, adressée à Gaston Picard. 1913 ; 1 page in-12, adresse au dos.« M. Bergson est un homme admirable et dont l’oeuvre passera à la postérité, mais je doute que son influence persiste. Dès aujourd’hui cette influence est un leurre. Les gens qui la subissent n’ont aucunement saisi M. Bergson. Il ne faut pas trop s’en étonner. Ce charmant esprit est si insaisissable qu’il échoue souvent à se saisir lui-même. »
Lettre autographe signée
FOURNIER GabrielEnsemble de 2 lettres autographes signées, adressées à M. Nacenta, directeur de la galerie Charpentier. Trous d’archivage :— 12 octobre 1945 ; 1 page 1/2 in-4°. « Je suis allé plusieurs fois à votre galerie avec l’intention de vous voir et je n’ai pas eu ce plaisir. Monsieur Jean Baignières vous avait parlé de moi et, comme peintre de sa galerie, vous aviez bien voulu lui promettre de reprendre avec moi les invitations à vos expositions, invitations interrompues je ne sais pourquoi, peut-être à la suite de non réponse de ma part à une invitation égarée car le courrier a été très souvent perdu entre Paris et Fontainebleau. Je me suis réjouis de la promesse que vous avez faites à Monsieur Jean Baignaires, d’autant plus que je n’ai eu qu’à me féliciter de mes participations vos expositions et que vous m’avez rendu quelques services. Votre prochaine exposition s’intitulera — je crois — “hommes et dieux” ? J’aimerais beaucoup connaître son programme et sa date. La publicité de votre dernier catalogue mentionnait un de mes livres La Fille d’Auberge […]. Je serais heureux d’avoir votre avis d’éditeur sur ce livre et j’espère bien avoir le plaisir de vous rencontrer. »— 28 mars 1954 ; 1 page in-4°. « Mon achat de l’État au Salon des Tuileries est toujours à votre galerie. Je suis confus du retard apporté à la réception des papiers que j’ai depuis deux jours. J’irai donc vendredi vous débarrasser du tableau (un paysage de 30 F) et je vous suis infiniment reconnaissant d’avoir bien voulu lui donner asile si longtemps. »
Lettre autographe signée
MAZAUD ÉmileLettre autographe signée. Paris, 26 juillet 1923 ; 1 page in-8°. « Je vous retourne ci-inclus signés les deux exemplaires du traité de “Dardamelle” pour la Hollande. Avec mes remerciements pour l’heureuse conclusion de cette affaire, recevez, cher Monsieur, l’expression de mes meilleurs sentiments. »